<< Sombre Colocation >> 2ième partie et FIN

Ecrit par Le Kpetoulogue

<< Sombre Colocation >> 2ième partie et FIN 


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Une certaine frayeur se mélangeait à l’excitation de Rose. L’engin de Paul lui paraissait bien trop énorme par rapport à celui des hommes avec qui elle avait déjà couché. Elle était terrifiée, qui la déchire. Toujours maintenue par la prise de Clarisse, elle ne réussissait pas à se débattre, et vu que Maria était en train de l’embrasser, elle ne pouvait aussi pas crier, elle regardait simplement impuissante, Paul la pénétrait tout en douceur avec son gland. Une certaine curiosité, une fascination se propageait dans l’esprit de Rose. Etait-elle capable de prendre en elle un engin aussi gros ? Elle en était devenue muette et n’avait même pas remarqué que Maria avait cessé de l’embrasser. Elle était focalisée sur la queue de Paul qui continuait tout doucement de la pénétrer.

Rose : << Aaah …aaah  Aagnn >>

Paul continua sur sa lancée jusqu’à ce qu’il pénètre entièrement dans la chatte de Rose. Elle ne savait plus si c’était une impression ou si sa bite se trouvait vraiment au niveau de son ventre, mais elle le sentait profondément

Maria : << Alors c’est bon n’est-ce pas ? >>

Bon ? C’était bien plus que bon pour Rose. Elle n’avait encore jamais ressenti autant de plaisir. Était-ce dû à l’atmosphère lubrique dans laquelle elle a commencé à vivre dans cette maison ? Ou au manque de sexe ? Où peut être le lubrifiant que Paul a utilisé tout à l’heure ? Peut-être y avait-il des effets aphrodisiaques. Le fait est qu’elle sentait que la bite de Paul allait la rendre folle, elle sentait que sa queue allait la tuer avec tout le plaisir qu’elle ressentait, mais elle ne devait pas reconnaître cela, elle ne voulait pas paraître si faible face à eux 

Rose : < < Aaah Nooon ce n’est pas booon aanhh je – je – Aaah je ne ressens Mmhnh aucun plaisir >>

Paul la saisit par ses hanches et commença à accélérer le mouvement. Ça devenait de plus en plus dangereux pour Rose. Les intrusions répétées et rythmées de la queue de Paul en elle, dans sa chatte faisaient vibrer tous ses sens. Paul lui semblait beaucoup apprécier la chatte de Rose. Elle se tortillait comme elle le pouvait à chacune de ses pénétrations et cela ne faisait que contracter sa chatte. La pénétrer ainsi était un pur moment de délice pour lui 

Paul : << Oh ouiii Rose c’est tellement bon quand je suis à l’intérieur de toi ! On dirait que ta chatte s’enroule autour de ma queue mmH je sens que je vais jouir à tout instant la > >

Rose : << HUUMM NOON NE JOUIMMMMMH > >

Maria empêcha Rose de finir sa phrase en l’embrassant a nouveau. Lui aussi semblait être sur le point de jouir dans la bouche de Clarisse qui le suçait jusqu’à présent. C’était imminent, Rose sentait la queue de Paul trembler à l’intérieur d’elle. Elle la sentait frémir et il commençait à y avoir un certain désordre dans son rythme de pénétration.

Paul : << Oh Ouiiii !!! >> 

Rose : << MMmmmmhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!! >>

Paul éjacula son sperme à l’intérieur de Rose lui provoquant par la même occasion un orgasme 

Maria : << Ouii je jouis aussi !! >> 

Maria, quant à lui, sortit juste à temps sa bite de la bouche de Clarisse pour déverser sa semence sur leurs visages à Clarisse et à Rose. Rose avait une bonne quantité de sperme sur le visage, mais elle se sentait aussi pleine. Paul avait laissé en elle une grosse décharge. Ses pensées étaient entremêlées, l’excitation et le plaisir se mélangeait à une sorte de colère, d’amertume, mais aussi d’envie, elle n’arrivait pas à comprendre ce qu’elle ressentait sur le moment. C’est comme si son corps se sentait étrangement bien, alors qu’elle voulait être en colère 

Paul : < < n'était-ce pas magnifique, Rose ? Je sais que tu as aussi joui > >

Clarisse : < < Evidemment qu’elle a joui, ta queue est incroyable > >

Maria : << Tu aimes les bites maintenant non, n’est-ce pas ? >>

C’étaient des malades. Il leur manquait forcément une case, se disait Rose. Elle en était encore toute tremblante sous l’effet des sensations qu’elle ressentait. Du frisson et des spasmes de plaisir continuaient de la traverser. Mais elle ne voulait toujours pas leur donner satisfaction 

Rose : << Qui .. qui aimerait quelque chose… d’aussi dégoûtant ? Les bites sont… juste dégoûtantes et rien de plus >>

C’est avec une voix assez fébrile que Rose s’exprimait, on aurait dit qu’elle se forçait à dire cela. Ces mots ne collaient absolument pas à l’expression dominée par le plaisir qui s’affichait sur son visage. Elle sentait que ses hanches étaient totalement engourdies, elle voulait néanmoins s’enfuir et cela très rapidement. Elle voulait fuir ces malades du sexe

Maria : < < C’est impossible, tu mens > >

Clarisse : < < Il n’y a aucun doute que tu as joui tout à l’heure et que tu as aimé ce moment, allez avoue le > >

Rose : < < C’est faux, je te l’ai déjà dit… je n’ai rien ressenti du tout… >>

Pendant que Maria s’éclipsait, Clarisse se pencha au-dessus de Rose et commença à lui mettre des doigts. A peine la pénétra-t-elle que les parois de la chatte de Rose se mirent à étrangler ses doigts 

Clarisse : << Tu dis n’avoir pris aucun plaisir mais vois comment ta chatte se contracte > >

Rose : < < Kkkyyaaa Khuuu ENLEVE TES DOIIIGTS IIIiIHhHHHH > >

Rose n’arrivait toujours pas à se relever, elle se sentait toujours autant engourdie et Clarisse en profitait pour la doigter habilement comme elle le voulait. C’était quand même agréable pour Rose, Clarisse savait s’y faire. Elle lui mettait des doigts tout en caressant son clitoris et utilisait sa salive pour la garder constamment lubrifiée. Peut-être était-ce parce qu’elle venait tout juste de jouir, mais Rose ressentait fortement du plaisir et ne pouvait maîtriser ses gémissements

Rose : << Mmmn Aaanh Aahhh Ooohh MLmmmhhh > >

Pendant qu’elle était en train de doigter Rose, Paul voyait le cul de Clarisse se dandiner. Cela réalisa aussitôt son envie. Il se rapprocha d’elle et la pénétra par surprise en levrette 

Clarisse : << OoOhh Oooh !! ! >> 

Paul : << Vous etiez tellement sexy toutes les deux que ça m’a redonné aussitôt envie de te prendre à nouveau > >

Clarisse : << Oooh Ouii c’est bon continue daddy, Mmmh défonce-moi comme ça > >

Paul redressa Clarisse sur ses pieds, la saisit au niveau de ses poignets penchant ainsi son corps en avant et se mit à lui défoncer la chatte avec une certaine fougue. Clarisse semblait aimer quand c’était violent, quand c’était sauvage. Le fait qu’ils soient focalisés tous les deux donnait un certain répit à Rose qui semblait retrouver de la force dans ses jambes. Elle essayait de se relever tant bien que mal quand Maria revint dans la pièce

Maria : < < Rose chérie >>

Rose : << Hein ?? >>

Maria tenait en main comme un vibro masseur, il affichait un mignon sourire sadique 

Maria : << tu verras, je vais te faire apprécier les bites, je suis sûr que tu vas aimer > >

Rose : << Hein ? Non  … attend … attend >>

Rose ne sut pas comment elle se retrouva sur la table à manger. Couché sur le dos, les bras au-dessus de la tête maintenus par Clarisse. Les jambes levées vers le plafond et maintenu par Maria qui farfouillait sa chatte avec sa queue. Il avait une bite moins large que celle de Paul, mais plus longue, et pendant qu’il l'a baisée, il utilisait le vibro sur son clitoris. Le rythme de pénétration de Maria était bien plus vif que celui de Paul. Elle sentait en lui la fougue de sa jeunesse. Il la pénétrait comme s’il était alimenté par de l’électricité. Il ne faisait pas de pause, il ne ralentissait pas. Ses hanches étaient d’une souplesse étonnante. S’il continuait sur cette lancée, Rose sentait qu’elle allait devenir folle. Elle ressentait bien plus de plaisir qu’elle ne pouvait le supporter au point d’en avoir les jambes qui commençaient à trembler 

Maria : < < Ta chatte se contracte tellement, comme c’est agréable Rose > > 

Comme si cela ne suffisait pas, Maria se pencha en avant sur le corps de Rose, tout en continuant de la pénétrer de plus belle. Il cherchait à perforer son âme vu la manière dont il s’évertuait à plonger sa queue aussi profondément que possible en elle 

Maria : << alors comment est-ce que c’est, Rose ? Ma queue te fait du bien n’est-ce pas ? Tu ressens énormément de plaisir hein, avoue >>

Rose : < < OOoahh Aaagh STO mmmh STOOPP Aaaah Arrreeeeete de Ooohh OoohMMggh Bougeeer >>

L’espace d’un instant, Rose se dit que si elle cédait, peut être que tout cela s’arrêterait. Elle semblait être à bout de souffle, à bout de jouir sans cesse, plus elle jouissait, plus elle sentait son esprit s’évanouir, et cela devenait de moins en moins supportable pour elle. Ce n’était pas douloureux, c’est juste le fait de sentir son esprit s’évanouir qui l’effrayait 

Rose : < < Oooui j’aime les queues Mmmh sooort la maintenant, aaaarh s’il te plaaaait , je vais devenir folle Mmmh Aaah aaha si tu continues >>

Maria : << Vraiment ?? Tu le dis pour de vrai ?  >>

Rose : << Ooouiiii iiIHHH >>

Clarisse : << Hihihi tu es content maintenant, Maria ? >>

Maria : << Ouiii maintenant je vais pouvoir me donner à fond >>

Rose : << Hein ?? Comment ça ? ? >>

Rose crut qu’elle avait mal entendu, Maria n’était pas a fond depuis tout ce temps ? il tenait un rythme endiablé et il n’était même pas à fond ? Il la saisit par les hanches, et subitement Rose crut que c’était un éclair de plaisir qui venait de la traverser de long en large. Maria avait enfoncé sa bite en elle avec une telle force qu’elle eut l’impression que son gland lui avait secoué le cœur

Rose : << OoooOOOOohhHHHHHHhiiiIIiiiiHHHhhhhhhhh >>

Maria avait l’énergie d’une machine de guerre. Il la baisait comme s'il voulait la détruire. Il semblait même qu’il ne se rendait pas compte de sa fougue. Et Clarisse qui ne cessait de le motiver à continuer, c’était très certainement elle qui l’avait appris à baiser ainsi 

Rose : < < Aaaha aahh CA FAIIT MAAAL AAahhr AAATTENND Mmmhh VAA VAA VAA PLUS DOU DOOOU DOUCEMEEENT iiihhhHHH >>

Oui, c'était douloureux, mais bizarrement le corps de Rose ne cessait de croire en excitation, sa chatte ne cessait de mouiller tout en se contractant autour de la bite de Maria. Elle avait réussi à se dégager de l’emprise de Clarisse pour aussitôt se recroquevillé autour du corps de Maria. Elle l’enlaçait de ses bras et de ses pieds lui suppliant d’y aller plus doucement, mais pour Maria, c’était comme si Rose lui disait de continuer sur sa lancée. Vu comment elle n’arrêtait pas de gémir, comme sa chatte suintait sur sa bite, comment elle l’enlaçait, même si sa bouche disait le contraire, son corps lui semblait prendre plus de plaisir que jamais. Si Rose croyait qu’elle était au bout de ses peines, elle se trompait grandement. Clarisse semblait être du genre à aimer l’extrême et elle voulait faire savourer cela à sa chère petite cousine. Elle saisit les fesses de Rose qui se faisait culbuter par Maria et invita Paul à se joindre à eux 

Clarisse : << Daddy veux-tu bien venir décupler le plaisir que ressent ma petite cousine ? >>

Rose n’eut le temps que de jeter un coup d’œil derrière elle pour essayer de comprendre ce que voulait dire sa grande cousine. Elle vit Paul arrêter et positionner sa bite en dessous de sa chatte, alors qu’elle avait déjà la bite de Maria en elle, ou est ce qu’il voulait l’introduire ? Il plaqua son gland vers l’extrémité de sa chatte, et il ne lui fallut qu’une seule poussée, une poussée précise et concrète pour faufiler d’un trait sa bite à l’intérieur de la chatte de Rose, rejoignant ainsi la bite de Maria 

La douleur que ressentit Rose sur le coup fut muette. Elle avait leurs deux bites en elle. Ils étaient tous les deux en elle, c’est comme si sa chatte allait exploser. Elle se sentait pleine comme si elle venait de manger un agneau entier

Rose : << AAAHHH HIIII GUYIIIIIHHHHHHHHHHH UUUHHHHH Ooohhhh aaAHHAHHH >>

Rose pensa que sa chatte allait se déchirer, qu’ils allaient la déchirer en deux avant de se surprendre a gémir. Paul et Maria la baisait avec une telle fougue, comme s’ils étaient en compétition. Devant elle, Maria suçait ses seins, tandis que par derrière, Paul l’attrapait le bras d’une main et de l’autre il lui faisait une sorte de cadenas pour l’étouffer, et tout cela en continuant de la baiser. L’afflux d’oxygène dans son cerveau commençait à diminuer. Rose ne cessait de gémir, elle sentait qu’elle était sur le point de s’évanouir à cause de tout le plaisir qu’elle ressentait. Elle salivait, sa chatte ne cessait de mouiller, c’est comme si tout son corps l’excitait peu importe l’endroit où elle était touchée. Elle n’en pouvait plus, elle voulait que ça s’arrête, c’était beaucoup trop de plaisir pour elle, beaucoup plus qu’elle ne pouvait en supporter, mais sa sadique de grande cousine allait lui porter le coup de grâce. Comme si les deux bites qu’elle avait dans la chatte ne suffisait pas, Clarisse avec un sourire narquois, elle activa le vibromasseur et le posa sur le clito de Rose qui était devenu extrêmement sensible 

Rose : < < NOOOOO NOOOONNNN AARREEEEETE IIIIIHHHDDHHHHHH PAS CAAAAAA AAAAAHHHH MEEERDEEEEEEEEEE > >

C’était tout comme une fracture de l’âme, comme si quelque chose avait explosé en elle. Rose se mit à jouir sans retenue, une jouissance qui semblait être une éternité, son esprit semblait être en chute libre dans un trou sans fond pendant que son corps était assailli par des spasmes de toute part. Sa jouissance ayant subitement encore plus contractée sa chatte, Paul et Maria finirent par jouir quasi en même temps en elle. Rose avait les larmes aux yeux à tel point, elle était submergée par tout ce plaisir qu’elle ressentait sur cet instant. C’était sa première fois d’avoir un orgasme aussi violent et aussi long.  Les jours qui suivirent, ce qui devait arriver, arriva. Rose fut complètement endoctrinée par les vices de ses colocataires. FIN


Vices et Perversions...