Sourire aux lèvres
Ecrit par Yayira Bénédicte
Assandy Natasha Éloïse
Il lâche mes lèvres et j’essais de ne pas sourire bêtement, je me sens toute chose sous son regard.
- Y’a quoi entre Oscar et toi ? me demande-t-il en me faisant asseoir sur ses jambes de sorte à ce que je sois dos à lui
- Oscar ? rien pourquoi ?
- Je ne sais pas, vous avez l’air très proche. Dit-il en ouvrant la fermeture éclaire de ma robe
- C’est juste un ami. Dis-je en essayant de rester concentrer alors qu’il m’embrassait le cou et que ses mains étaient à la recherche de mes seins
- D’accord, je ne partage pas Elo, jamais ! dit-il en me mordant l’oreille
- Exclusivité total Femi, et des deux côtés, oh. Dis-je alors qu’il me pinçait les tétons
- Ok, lèves bras. Dit-il en voulant m’enlever ma robe
- Pourquoi tu as rompu avec ta fiancée ? dis-je en levant les bras, comme une petite fille à qui on veut enlever son vêtement
- Elle m’a trompé, avec une autre fille. Lève-toi, me dit-il
- Oh, désolé. Dis-je en me levant de ses jambes, j’étai à présent arrêter en face de lui mais je faisais dos
- C’est rien. Retourne-toi vers moi
- Tu l’aime toujours ? demandais-je en me retournant vers lui, je ne portais qu’un string blanc et j’avais, les seins nues, il détaillait chaque partie de mon cors
- Non, je ne l’aime plus. Dit-il en me regardant droit dans les yeux. Enlève ton string, m’ordonna-t-il
- Non. Dis-je, en le fixant
- Pourquoi ? fit-il surprit
- Je suis presque nu alors que toi tu as toujours tes vêtements, enlève donc ton jogging et ton débardeur d’abord.
- Ok, dit-il en souriant avant de se levé pour s’exécuter, il ne portait pas de boxer, son sexe était à moitié dresser, il possède vraiment un engin
- Tu aimes ce que tu vois ? me demanda-t-il avec un sourire moqueur
- Je kiff grave dis-je sans réfléchis.
- Alors ce string tu l’enlève ? dit-il en passant derrière moi et se mit à me caresser les fesses, et la hanche
Je me baissais sensuellement pour en lever mon string, je collais mon postérieur à son engin et je me mis faire des jeux de reins. Il me laissa faire un moment avant de me retourner et de m’embrasser passionnément, il embrassait mon cou, mes seins, alors qu’une main s’insinuait en moi et qu’une autre pressait mes fesses. Il mordillait mes tétons, descendit sur mon ventre avant de s’agenouiller devant mon entre jambe, j’attrapais ses épaules pour ne pas tomber alors, qu’il titillait mon clitoris. J’avais l’impression que la terre se dérobait sur mes pieds, tant je planais. Il me demandait de me mettre en levrette dans le canapé en attrapant mes jambes pour mieux lui présenter ma croute, ce que fis sans hésité, il se baissa encore, pour me lécher avec avidité comme si j’étais un fruit qu’il voulait dévorer, je me sentais venir, lorsqu’il retira sa langue de moi, et me pénétra d’un coup sec, il fit à peine quelque mouvement que je jouis en laissant mes jambes
- Attrape tes jambes. Dit-il en me donnant une fessée
J’attrapais mes jambes et je me cambrant encore plus, je le recevais bien profond, il me fit changer de position au bout de quelques minutes. Il s’assit dans le fauteuil et me fit asseoir sur lui, j’introduisis lentement son engin en moi avant de me mettre à bouger, il me suçait les seins alors que ses deux mains me tenaient la hanche, ses gémissement m’encourageais à twerker sur sa bite comme si j’avais faire ça toute ma vie
- Oh merde ! tu es bonne Elo… oh ! dit-il en me mordant l’épaule
- Tu aimes que je te baise… Femi, tu aimes ça ? dis-je en tournant plus les reins
- Oh, j’adore !
Il se mit à me cogner plus fort alors que je continuais de tourner les reins. Je le sentis se déversé en moi alors que mon vagin se contractais à cause de ma jouissance autour de son pénis. Il se leva avec moi, je m’accrochais à son cou alors qu’il nous fit entrer dans une chambre que je suppose être la sienne, il nous dirigea ensuite vers la cabine de la douche qui se trouvais dans la salle de bain. Il ouvrit le robinet sur nous deux, c’est que je me rendis comptes que je n’avais plus ma perruque, il éclata de rire quand je fis la remarque. Il me posait délicatement avant de prendre le gel douche et en mettre sur mon corps, il en fit de même pour lui, il prit ensuite l’éponge et se mit à me frotter, je me laissais faire. On se douchait, en silence, il me colla contre la cabine et me pénétra, mon corps se cambrait automatiquement. Il me prit dans diverse position dans cette cabine alors que l’eau ruisselais sur notre corps, mes nattes était mouillé mes je m’en fichais. Je jouis encore deux fois avant qu’il en fasse autant. On sortir de la salle de bain après qu’on s’est nettoyer, il me passa l’un de ses t-shirt
- On ne sait pas protégés. Dit-il alors que j’étais couché contre lui
- C’est vrai, et ne suis pas sous contraceptifs en ce moment. Dis-je le cœur battant, j’ai juste pris la pilule du lendemain après notre première nuit
- Je vois, tu pourrais en reprendre demain, et tu iras ensuite voir un gynéco pour choisis la méthode de contraceptions qui te convient
- Ok. Dis-je simplement
- Concernant, IST et autres mes derniers résultats remonte à il y’a trois mois, je l’ai fais après ma rupture
- Moi c’était après ma fausse couche
- Je voudrais qu’on les refasse ensemble, je n’ai pas l’intention d’utiliser des préservatifs avec toi
- D’accord.
On parla de tout et de rien jusqu’à ce que je m’en dorme tout contre lui. Je ne sais pas mais je me sens bien ce soir…
Alexandre Oluwafemi Adéléké
Je la regarde dormis et je souris, elle est si belle et calme quand elle dort, on ne dirait pas une vrai sauvage avec. Je lui fais un bisou sur le front avant d’essayer de dormir à mon tour, la montre en face du lit affiche 2h37, c’est vrai que demain est samedi mais j’ai quelque trucs à faire dans la journée, comme allé jouer au tennis avec Morel.
Je me réveille et ouvre doucement les yeux en bougeant les mains mais je suis seul dans le lit. Elle n’a pas osé me faire le même coup encore ! Pensais-je en m’assaillant sur le lit, je me lève et je vais vérifier dans la salle d e bain mais elle n’y est pas, je sors au salon personne. Je commence à m’énerver quand j’entends un bruit venir de la cuisine, je m’y rends. Je pousse presque un soupir quand je la vois qui essais d’ouvrir le placard en haut
- Tu cherche quoi ? lui demandais-je en croisant les bras sur ma poitrine
- Merde ! tu m’as fais peur. Dit-elle en sursautant
- Désolé, dis-je en venant l’embrasser
- Je cherchais des provisions, mais il n’y a rien, absolument rien, même pas des œufs, il n’y a que des packs d’eau et des bouteilles de jus au frigo. Dit-elle la main sur la hanche
- C’est vrai, je mange tout le temps dehors donc je n’ai pas faire les courses, tu as faim ? lui demandais-je
- Oui, une faim de loup.
- Je descends nous prendre des viennoiseries, et on ira faire les courses après si tu veux, d’accord ?
- D’accord.
On sortit ensemble de la cuisine, j’allais mettre un short et un t-shirt avant de descendre nous prendre un petit déjeuner complet.
- Ton portable n’a pas cessé de sonner
- Mince ! morel va me tuer. Dis-je en prenant mon portable, il est déjà 9h alors que qu’on devait se voir à 7h
Je lançais l’appel vers lui en allant on balcon
- Allo gars je suis désolé. Dis-je alors dès qu’il décrocha
- Toi là je vais te blesser, à cause de toi je n’ai pas fais la grasse matinée avec ma femme, et tu me pose un lapin
- Je suis vraiment désolé
- Tu as une bonne excuse j’espère, un camion t’es passé la dessus ? je ne prends pas moins que ça
- Lool, tu veux ma mort hein
- Tu ris avec qui ? parle hein
- Euh… je me suis levé tard… je suis avec Natasha
- Nooon, la Natasha ?
- Lool oui, elle-même
- Et ? vous avez pu parler ?
- Mieux que ça. dis-je en souriant
- Tu es totalement pardonné alors, ça c’est une bonne excuse. Dit-il en riant
- Merci de comprendre
- Bon je te laisse alors, passe à la maison quand tu peux
- Ça marche, bisous. Dis-je pour le chahuter
- Ta baisegueule, je ressemble à ta go ? dégage ! dit-il avant de raccrocher.
Je retournais au salon ou tout était déjà servi, et elle m’attendait pour manger. On prit notre petit déjeuné ensemble, alors qu’elle me parlait des enfants. Je me suis permis de lui faire pas des questions que je me posais concernant les enfants, elle m’expliqua qu’effectivement Mila et Aurélie ne son pas ses enfants mais ses nièces mais qu’elle les considère comme ses propres enfants. Je fus surpris d’apprendre que sa sœur avait laissé ses deux enfants pour suivre un homme, en tout cas cela ne change rien en ce qui concerne mes sentiments pour les filles, je m’en fiche de qui est leur mère, et en même temps je suis fière d’Éloïse, cela montre qu’elle a un grand cœur. Pour moi elle a trois enfants et c’est tout. On prend ensuite une douche, avant qu’on ne sorte faire les courses, elle tient vraiment à ce qu’on le fasse donc je la suis.
- La prochaine fois tu iras toute seule dis-je en me jetant dans le canapé
- C’est seulement les petites courses là qui t’ont fatigué comme ça ?
- On a fais deux entrain de se promener dans les rayons
- Ce n’est pas vrai, juste une heure seulement
- On n’a pas la même notion du temps
Je l’aide ensuite à ranger les courses, avant de la prendre dans la cuisine.
- Oh… hummm…ah ! elle gémissait en s’accrochant au comptoir de l cuisine alors que mes mains pressaient ses seins.
Ses gémissement m’encourageais au plus haut point, je pris une de ses mains que je posais sur son clitoris en lui demandant de se masturber alors que je continuais d’allé et venir en elle. Elle ne faisait que se tortiller, je remontais encore plus sa robe pour presser ses fesses, on n’a même pas prit le temps de se déshabiller, j’avais juste baissé mon pantalon et remonter sa robe, elle ne portait pas de dessous. Je la pris ainsi contre le comptoir de la cuisine jusqu’à ce qu’on jouisse à l’unisson. Je la portais ensuite jusqu’à la douche.
Elle a insisté pour me faire la cuisine avant que j’aille la déposer vers 17 chez elle, parce qu’elle devait rentrer voir les enfants, sans compter qu’elle devait aller travailler dans le bar où elle travaille comme serveuse. Je n’aime pas ça mais on vient à peine de commencer je ne vais pas faire mon macho mais je vais devoir en parler avec elle parce que je n’aime pas vraiment qu’elle soit dehors dans la nuit en plus dans un bar, avec ses pervers qui son rempli dans la ville, et qui traite les serveuses comme des putes. Je passe la soirée avec elle et les enfants, et je demande à m’en aller vers 20h parce que je dois passer chez Meliane.
- Bonne nuit. Dit-elle quand on arrive à ma voiture
- Bonne nuit qui ?
- Femi. Dit-elle en souriant
- Tu sais que c’est seulement ma mère et mon père qui m’appel comme ça le plus souvent ?
- Ah bon ? et ton frère et ta sœur
- Ils ne le font pas souvent, mais j’aime quand tu m’appel comme ça. dis-je avant de l’embrasser
- J’aime bien quand tu m’appel, Éloïse ou Elo, j’ai l’impression d’être une petite fille
- Mais tu es une petite fille. Dis-je en lui faisant un autre smack
- Ah bon hein ! donc tu sors souvent avec les petites filles ?
- Non pas du tout, tu es la seule
- Lool, bonne nuit. Dit-elle en voulant s’en aller
Je la retins pour la prendre dans mes bras, je l’embrassais encore quelques minutes
- Bonne nuit Elo
- Bonne nuit Femi
Je pris le volant sourie aux lèvres, je me sentais léger.