<< Sous emprise >> 2ième partie et Fin

Le lendemain arriva assez vite. Assise à sa place, Mireille réfléchissait toujours. Elle avait évité Issouf toute la journée, elle ne pouvait soutenir son regard après tout ce qui s’était passé la vieille. Alors qu’elle était plongée dans ses pensées, Issouf surgit derrière elle

Issouf : << Mireille qu’est ce que tu veux qu’on fasse aujourd’hui ? >>

Mireille : << … >>

Issouf : << Ahii ? Qu’est ce qu’il y a ? Depuis ce matin on dirait tu me fuis façon-là, j’ai fait quelque chose de mal ?? >>

Mireille : << Hihi noon tu n’as rien fait du tout, si tu avais fait quelque chose de mal, je te l’aurais dit tout de suite >>

Comme Coumba lui avait dit, Issouf semblait ne se souvenir d’absolument rien du tout. Il affichait son visage innocent et mignon de tous les jours qui faisait craquer Mireille. Cela semblait déranger quelque peu Mireille que le premier baiser que lui ai fait Issouf ait été sur sa chatte. Même si elle se disait que sa chatte devait avoir vraiment bon goût vu comment il la lui a léchée, il semblait vouloir s’en désaltérer, néanmoins elle voulait un vrai baiser avec lui. Ils semblaient être tous deux seuls dans la salle, alors Mireille pensait que c’est le bon moment pour ce premier véritable baiser, quand Coumba surgit derrière elle et l’effraya

Coumba : << À quoi est ce que tu penses Miri ? >>

Mireille : << IIIHHHHHHH >>

Coumba : << Miri avait des pensées coquines juste à l’instant, ne penses-tu pas qu’on devrait la punir Issouf ? >>

Issouf : << Hein ? La punir ? >>

Mireille tiqua sur le champ. Elle comprit aussitôt où voulait en venir Coumba. Elle eut à peine le temps de vouloir l’en empêcher que Coumba sorti l’amulette et pris le contrôle d’Issouf

Coumba : << Issouf aide-moi à la punir, tu veux bien ? >>

Issouf : << … d’accord … >>

Issouf s’approcha de Mireille et la leva de son siège, il l’enlaça avec passion. Ça semblait être un baiser d’amoureux comme Mireille en avait vu tellement dans les films. Vu comment la tenait son petit ami, elle s’attendait à ce qu’ils s’embrassent passionnément. Elle ferma les yeux, et sentit subitement une main sur sa tête qui l’obligeait à descendre. Elle sentait quelque chose de lisse sur ses lèvres, ça n’était absolument pas les lèvres d’Issouf. Quand elle ouvrit les yeux, elle était en train d’embrasser le gland de la bite d’Issouf. Elle eut à peine le temps d’être surprise, qu’Issouf enfonça sa bite dans sa bouche. Il s’y prenait maladroitement. Son gland cognait contre la joue de Mireille, on aurait dit qu’il essayait de lui transpercer la joue. Mireille essayait de le repousser, mais Issouf la tenait par sa tête et continuait de vouloir plonger sa bite plus loin dans sa bouche, il finit par la plonger assez profondément dans sa gorge

Coumba : << Aimes-tu ce baiser Miri ? Je sais que je t’ai dit de faire comme tu voulais, mais je ne pensais pas que tu serais aussi violent Issouf hihihi >>

De nouveau dans un état animal, Issouf ne tarda pas à jouir dans la gorge de Mireille. Il ne faisait point d’effort pour canaliser son plaisir. Il l'exprimait dans sa forme la plus brute et sauvage. Mais il n’avait pas débandé, il se coucha dans le dos de Mireille et inséra sa bite dans sa chatte. Pendant qu’il tenait dans ses mains les petits seins de Mireille qu’il palpait avec maladresse, Issouf enchaînait les coups de reins dans le dos de Mireille.

Mireille : << AAAWWH WANNN AANNNH DOUCEMENT ISSOUUUF AANH AAANH TU ES TROP BRUTAL AAANH AAANH >>

Issouf était certes brutale, mais sa manière de le faire procurait du plaisir à Mireille. Un plaisir désordonné. Issouf mettait tout le corps de Mireille en feu. Peut-être que si c’était un autre, elle ne ressentirait pas de plaisir. Mais là il s’agit de l’homme dont elle est amoureuse. Et même si cette manière qu’il avait de la baiser n’avait strictement rien de sensuel, son corps éprouvait bien plus de plaisir qu’elle ne pouvait se l’imaginer. Les jours passaient et c’était devenu comme une sorte de jeu sadique pour Coumba. A chaque fois qu’elle voyait Mireille et Issouf en train de s’amouracher, elle sortait son gris-gris pour lui ordonner de la baiser sauvagement. Peu importe l’heure ou le lieu, Issouf obéissant aveuglement à tous les ordres de Coumba. Peut-être espérait-elle que cela dégoûterait Mireille qui finirait par venir vers elle. Mais ça avait l’effet contraire. Mireille commençait à apprécier cet autre Issouf. Parce qu’à chaque fois qu’ils baisaient, il s’améliorait. Peut-être avait-il un brin de conscience dans cet ensorcellement, ou peut-être luttait-il dans son for intérieur pour au moins donner autant de plaisir que possible à sa petite amie. Ces deux facettes de lui plaisaient beaucoup à Mireille. Tantôt il était doux et attentionné, et tantôt il devenait comme obsédé par son corps. À chaque fois qu’il passait du temps ensemble, Mireille pouvait être sûre qu’Issouf la baiserait comme un animal et cela que Coumba soit là où pas, c’est comme s’il était programmé pour cela.

Cette fois encore ils se retrouvèrent tous les trois sous prétexte de devoir étudier dans la chambre d’Issouf. Pendant que Coumba observait la chambre d’Issouf qu’elle trouvait aussi pitoyable que lui

Coumba : << Donc c’est ça hein la chambre d’Issouf. Qu’est-ce que tu en penses Miri ? C’est la première fois que tu viens ici aussi ? Ah … ce n’est pas le bon moment ? >>

En effet, à peine sont-ils arrivés dans la chambre d’Issouf , profitant de l’absence de ses parents, Coumba lui avait ordonné de baiser comme à l’habitude Mireille. Elle était positionnée en levrette pendant qu’Issouf cognait avec hargne son boule au point d’utiliser sa main pour enfoncer son visage dans le matelas

Mireille : << Aazawwnhh aaanh aanhhh pmmmmhhhh oooH OOOHHH OUIIIIIII AaAaAAANNNWWNNN >>

Mireille ne pouvait même pas entendre ce que disait Coumba. Elle était trop occupée à essayer de canaliser toutes ses sensations que la bite de son petit ami lui procurait. À chaque fois, il la baisait de plus en plus fort. C’était si intense et fougueux. Coumba lui avoua qu’elle avait ordonné à Issouf de la baiser à chaque fois qu’ils seraient seuls tous les deux. Raison pour laquelle même si elle n’était pas présente, le comportement d’Issouf changeait subitement quand il se retrouvait tout seul avec Mireille. À force de lui pilonner la chatte, Mireille ne pût rester en levrette et sous le poids des coups de reins d’Issouf, elle dut se coucher de tout son long sur le ventre. Issouf dans cette position la pénétrait de plus en plus profondément. Le fait de la baiser jour après jour, l'avait rendu plus résistant. Ce qui ne durait il y a quelque jour qu’à peine 3-5 minutes, durait maintenant une bonne trentaine de minutes. Coumba voyait que son plan ne semblait pas marcher. Mireille avait beau faire semblant de ne pas supporter tout cela, juste pour qu’elle ne fasse pas de mal à Issouf, Coumba commençait à se douter qu’en vérité, Mireille appréciait cela de plus en plus. Elle avait beau dire autre chose, son corps ne mentait pas. Et finalement Coumba elle-même se demandait si c’était si plaisant de coucher avec un homme ? En s’approchant d’eux pour avoir une meilleure vue sur leur partie de jambes en l’air, Coumba se caressait le clitoris par-dessus son caleçon. Elle les avait vus baiser tellement de fois, que maintenant elle commençait à ressentir des frissons en les voyant faire. Ce qui la dégoûtait au départ, était maintenant en train de l’exciter. Ce n’était pas la première fois qu’elle se caressait en les regardant baiser. Pendant qu’elle se caressait juste à côté d’eux, Coumba fut

surprise par l’intrusion de doigts autres que les siens dans sa chatte

Coumba : << Aaaah … >>

C’était Issouf qui pendant qu’il baisait Mireille, lui avait introduit trois de ses doigts sans crier gare. Surprise et en colère, Coumba essaya de retirer ses doigts en lui gueulant dessus

Coumba : << ESPECE DE CHIEN QU’EST-CE QUE TU ES EN TRAIN DE FAIRE AVEC TES DOIGTS ??? >>

Issouf : << Tu m’as dit que je pouvais faire tout ce que je voulais >>

À cause de l’ensorcellement, Issouf répondait machinalement à la plus simple des demandes. Il n’essayait pas de réfléchir plus loin qu’il le fallait. Pour lui quand Coumba lui a dit de faire tout ce qu’il voulait, cela sous-entendais qu’il pouvait aussi se servir d’elle.

Mireille : << Coumba tu te masturbes sournoisement à chaque fois en nous regardant baiser, tu as cru que je n’allais pas le remarquer ? hihihi >>

Coumba : << Miri ? .. Miri ??? … >>

Coumba était subitement effrayée. Elle ne venait que de s’en rendre compte, mais en voulant retirer les doigts d’Issouf dans sa chatte, elle avait laissé tomber le gris-gris qui se retrouvait maintenant dans les mains de Mireille.

Mireille : << Alors il suffit que j’attache une mèche de mes cheveux et c’est tout ? Voyons voir >>

Coumba : << Miri fait pas ça, s’il te plait … ne fais pas ça >>

Mireille ne tenait pas compte de ce que lui disait Coumba. Elle comptait lui servir ce qu’elle avait dû supporter jusqu’à maintenant. En ôtant la mèche de Coumba, Mireille la remplaça par la sienne et ordonna à Issouf de la doigter jusqu’à ce qu’elle en jouisse

Issouf : << D’accord >>

Issouf enlaça aussitôt Coumba avec un bras tandis qu’il accéléra le mouvement de ses doigts en elle. Il allait tellement vite et tellement loin que rapidement la chaleur commença à monter en Coumba. Elle sentait ses forces lui échapper. C’est l’excitation qui devenait de plus en plus forte en elle. Son corps devenait de plus en plus détendu comme si elle avait pris une sorte de drogue. Même quand elle se masturbait, elle n’avait jamais ressenti quelque chose de si intense l’envahir. Elle mouillait tellement que les doigts d’Issouf glissaient en elle sans difficultés

Coumba : << AAAH AAAH ARRETE MMMMH AAAWWNNH AAAN AAANHH IIIIIHHAAAAAAAAAAAA >>

Comme Mireille le lui avait ordonné, Issouf doigta Coumba jusqu’à ce qu’elle en jouisse. C’était si intense que Coumba eu du mal à tenir sur ses jambes et tomba sur le sol froid de la chambre d’Issouf.

Coumba : << J-jouir de tes sales mains d’homme … tu es une racaille espèce de... >>

Mireille : << Ta gueule et avoue que tu veux qu’il te baise aussi >>

Coumba : << NOOOON JAMAIS >>

Mireille : << Je suis sûre qu’Issouf adorerait te baiser aussi , j’ai envie de te voir devenir folle en ressentant sa bite en toi >>

Coumba : << ARRÊTE DE DÉCONNER ET LAISSE-MOI PARTIR PAR PITIÉ. JE NE KIFFERAIS JAMAIS ÊTRE BAISÉE PAR CE DÉGOÛTANT BOUT DE VIANDE >>

Coumba devenait de plus en plus effrayée en voyant Issouf avancer vers elle. Elle avait perdu le contrôle de la situation et les choses se retournaient contre elle. Issouf se jeta sur elle et la débarrassa en un instant de ses vêtements. Elle avait beau se débattre, elle avait moins de force que lui. L’ensorcellement semblait décupler sa force. Coumba se retrouva toute nue, à quatre pattes elle se mit à avancer vers Mireille pour la supplier d’annuler son ordre. Mais cette fois, c'est le regard de Mireille qui avait changé. Elle semblait avoir été complètement pervertie par tout le plaisir que lui avaient procuré ses baises forcées à répétition avec Issouf

Coumba : << Miri s’il te plait, pitié, je suis ta meilleure amie non ? Je t’en supplie arrête >>

Mireille : << Hihihi c’est justement parce que tu es ma meilleure amie que je veux que tu ressentes le bien que ça fait de se faire malmener par une bonne bite >>

Coumba : << Miri … >>

Mireille s’approcha de Coumba et se mis à l’embrasser. Elle plongea sa langue à l’intérieur de la sienne et l’embrassa avec passion. Coumba qui était-elle amoureuse de Mireille fut tout de suite emportée par l’émotion que ce baiser lui provoqua. Elle ne remarqua même pas quand Issouf s’approcha d’elle, ou du moins, quand elle le remarqua c’était trop tard. Issouf posa ses mains sur ses hanches et les saisit fermement

Coumba : << MMmmmh ???? >>

Coumba essaya de se dégager, mais Mireille l’étreignit en croisant ses mains dans son dos, l’empêchant ainsi de fuir. Quand Issouf la pénétra, Coumba sentit comme si un train la traversait mais elle fut surprise par la réaction de son corps

Coumba :<< IIIIHHHHHAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaa … >>

Mireille : << Hihihi une seule pénétration Coumba ? Il vient juste de te pénétrer et tu veux déjà jouir ?? >>

Coumba elle-même avait du mal à comprendre ce qui venait de se passer. Elle n’avait jamais été attirée par les hommes, était-ce la présence de Mireille qui l’excitait autant ? Etait-ce parce qu’elle voulait à un moment expérimenter ce que Mireille ressentait qu’elle était autant excitée de recevoir en elle un pénis ? Son corps ne cessait de frissonner au fur et à mesure qu’Issouf lui pilonnait son vagin. Pendant qu’il la baisait, Mireille ne cessait de l’embrasser et de la toucher. Augmentant ainsi de plus en plus l’excitation que Coumba ressentait. Cette dernière essayait de résister autant que possible, elle ne pouvait pas s’avouer à elle-même qu’elle ressentait du plaisir avec la bite d’un homme. Et pourtant le pénis d’Issouf lui procurait des sensations complètement insensées. C’est comme si sa chatte s’agrippait fermement à sa bite pour ne pas la laisser s’échapper. Issouf donnait toute son énergie pour la baiser de plus en plus profondément et à chaque coup de reins, les gémissements de Coumba se faisaient de plus en plus bruyants, mais elle continuait d’y résister. Mireille quant à elle voulait la faire craquer. Elle donna un ordre à Issouf. Celui-ci souleva Coumba pour la tenir dans ses bras. Elle ne pesait vraiment pas, Issouf pouvait aisément la tenir dans ses bras. Il écarta grandement ses cuisses et continuait à la pilonner de plus belle. Mireille alla ouvrir un mini frigo qui se trouvait dans la chambre et pris un bidon d’eau bien glacé dont elle en versa un peu dans un gobelet. Elle revint vers Coumba et but cette eau glacée avant de s’agenouiller entre ses cuisses. Mireille commença alors à lécher son clitoris pendant qu’elle caressait les couilles d’Issouf

Coumba : << IIIISSHHHHHH AATTTEND ARRÊTE MIRIIII HAAWWNNNNN AAANNNH >>

La douce langue de Mireille jouait si habilement avec son clitoris. C’était un décor feu et glace. Pendant qu’à l’intérieur de sa chatte, c’était une chaleur sauvage qui l’envahissait à cause de la bite d’Issouf, à l’extérieur, c'était une douce fraîcheur que la langue de Mireille lui procurait. Coumba sentait qu’elle n’allait pas tarder à perdre la raison. C’étaient des stridents frissons qui la traversait, elle ne savait pas sur quel plaisir se concentrer. Elle avait toujours rêvé que Mireille lui fasse un cunni, elle s’était tellement masturbée en imaginant la langue de Mireille parcourir sa chatte de fond en comble et là son rêve, son désir, son fantasme se réalisait. Et elle n’était pas déçue vu comment Mireille lui léchait habilement le clitoris. Elle avait aussi les mains sur ses seins, les tripotait, titillait ses tétons et à chaque fois qu’elle sentait sa bouche devenir chaude, Mireille buvait encore de cette eau glacée pour rendre encore plus folle Coumba. Elle se retrouvait entre la glace et le feu en ne sachant pas quoi choisir. Pendant que Mireille léchait Coumba, elle enfonça un doigt dans l’anus d’Issouf, cela eut pour effet de le faire aller encore plus profondément en Coumba mais aussi d’accélérer la montée de sa jouissance. C’était bien trop intense pour elle et ce fut le déclic quand Issouf lâcha sa semence en elle

Coumba : << AAWWWNNNNNHHHHGGGGGG >>

Pendant que Mireille continuait de la lécher, Coumba elle tremblait de tout son être. Issouf la déposa sur le lit alors qu’elle était encore toute tremblante. Mireille se coucha à côté d’elle et se mis à lui caresser les cheveux. Coumba semblait être complètement dans les vapes, complètement déconnectée de la réalité

Mireille : << Alors ? Toujours pas convaincue ? Pas de soucis Coumba, on n’a encore beaucoup de temps >>

Mireille s’était prise au jeu. Elle commençait à adorer cette position de dominatrice. Elle ordonna à Issouf de la baiser elle et Coumba jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus. C’était un ordre et Issouf obéît. Les pénétrations profondes d’Issouf finirent par faire craquer Coumba. À la fin de la soirée elle se retrouva avec la chatte complètement en feu ne sachant même plus combien de fois elle avait joui et c’était également le cas pour Mireille.

Bien des jours après cela, la relation entre Mireille et Coumba avait pris une autre tournure. Elles étaient restées toujours autant amies, plutôt que d’ébranler leur relation, cette perversion à laquelle elles s’étaient adonnées n’avait fait que renforcer leur amitié. Issouf se retrouvait de plus en plus en compagnie de toutes les deux. Pour une raison qu’il ignore, cela ne le dérangeait pas vraiment. Il se sentait à l’aise d’être à la fois avec Mireille et Coumba. Il avait l’impression qu’il était intimement proche de chacune d’entre elles sans savoir pourquoi. La véritable raison étant qu’il servait de jouet sexuel à Mireille et Coumba à chaque fois qu’elles voulaient se divertir. FIN

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