Souvenir d’une première fois

Ecrit par Jordan

C’était un après-midi du mois de janvier, il neigeait dehors quand elle est arrivée sur le pas de ma porte. Son manteau était couvert de neige, je la fis entrer sans mot dire et l’aida à le retirer je me suis rendu dans ma chambre et lui ai apporter un t-shirt et un bas de jogging. Elle connaissait l’appart donc se dirigea vers la salle de bain pendant que dans la cuisine je préparais un chocolat chaud pour moi.

- Un thé vert ou un café ? Demandais-je en criant.

Chose peu utile vu qu’elle se tenait debout dans l’embrassure de la porte de la cuisine. Elle n’avait pas mis le jogging et le t-shirt bien plus grand qu’elle lui arrivait mi-cuisse il n’était ni trop ample ni trop moulant mais laissait voir ses courbes généreuses.

Jena est l’archétype de la femme africaine aux formes généreuses avec ce zeste d’élégance à la française, mais la Jena qui se tenait devant moi à ce moment-là était l’objet de mes fantasmes les plus inavoués et elle le savait déjà vu qu’on flirtait ensemble ou du moins ça m’en avait tout l’air. Elle avait des lèvres fines et légèrement pulpeuses si agréables au toucher et si douées pour embrasser, mais aussi pour insulter, des joues douce qui ne demandent qu’à être caressées et couvertes de baiser brûlant un regard inquisiteur qui trahis souvent ses émotions et quand elle vous lance un regard noir c’est vraiment un regard noir car ses iris sont de couleur noir ; une chevelure abondante lui arrivant au ras du cou, des épaules légèrement arrondie, la poitrine galbé, ses seins étaient pas énormes, mais ils étaient beaux et agréables à regarder. Elle avait une silhouette de rêve ses hanches large et fine, son fessier arrondi au-dessus de la moyenne, le tout complété par des jambes belles et longues.

 

-        Un café stp avec une goutte de cognac si tu en as. Sa réponse me tira de ma contemplation

-        Tout de suite.

Une fois nos boissons servies nous nous sommes installées au salon j’ai arrêté le travail qui était en cours sur le pc pour mettre de la musique d’ambiance la bonne vielle playlist R&B de Spotify. Elle s’était blottie dans un coin du canapé et moi assis sur le tapis non loin d’elle. L’atmosphère était bizarre ni l’un ni l’autre n’osait parler. Juste au moment où j’allais lui demander ce qu’il lui arrive la sonnerie retentie. C’était mon pote Gérard il passait récupérer son disque dur qu’il avait oublié la veille je n’avais pas envie qu’il pose des questions sur l’état de Jena. Donc je lui rendis le disque, par chance il était pressé il s’en fut sans demander son reste. A mon retour dans le salon l’atmosphère avait changer Jena était plus détendu, surement le cognac dans son café faisait effet.

 

Je me rassis au même endroit, elle vint s’asseoir entre mes jambes en quête d’un câlin. Je ne me fis pas prier pour lui en offrir un long et tendre à souhait.

 

-        Tu vas mieux maintenant ?

-        Oui le cognac ma fait du bien.

-        Ah moi qui croyais que c’était mon câlin je suis vexé.

-        Il y est pour un peu on va dire.

-        Ok et si je fais ceci ça aide un peu plus ? Sans prévenir je tirais légèrement sur ses cheveux pour lui faire lever la tête vers moi afin de pouvoir l’embrasser elle tenta de résister mais fini par me laisser faire et se retourna même pour me faire face et me rendre la tâche plus aisée nous nous embrassâmes à plusieurs reprises.

-        Oui ça fait du bien mais si tu recommences on risque d’aller trop loin.

-         Et si je veux aller plus loin ?

-        Je ne sais pas quoi qu’il en soit seul moi décide de ce que tu as le droit ou non de faire et range-moi cette main baladeuse qui traine sur mes fesses. Je reçu une claque sur la main en guise d’avertissement.

Nous en étions là dans notre conversation quand une fois de plus la sonnerie retentie.

-        Laisse. Je vais m’en occuper, va plutôt chercher une couverture j’ai un peu froid.

Ne pouvant lui désobéir quand elle me lance un de ses regard autoritaire je m’exécute aussitôt. En plus je n’avais pas envie d’être dérangé donc si elle pouvait nous débarrasser du visiteur c’était tant mieux.

Je recherchais le plaide que m’avait tricoté ma grand-mère quand la porte de la chambre grinça à peine m’étais je retournée qu’elle me sauta dessus et me repoussa jusqu’au lit ou je m’étalais de tout mon long. Elle se redressa avec l’agilité d’un félin et s’assis à califourchon sur moi de sorte à m’empêcher de me relever d’ailleurs qui voudrais se relever d’une telle position.

 

-        Allons plus loin si tu veux bien !

Je n’eus pas le temps de répondre nos lèvres s’étreignaient déjà passionnément. Mes mains glissèrent de ses fesses à sa nuque en passant par son dos l’une se glissa sous le t-shirt pour caresser la peau de son dos. Elle rompit le baiser pour retirer son t-shirt puis le mien. Elle n’était plus qu’en petite culotte assise sur moi torse nu, le moment me paraissait si irréel et comme pour me dire que tout cela était bien réel elle me pinça douloureusement les tétons.

Elle se mit à les lécher et à les suçoter comme un nouveau-né aurais tété sa mère. Tout mon corps frissonna en réponse à cette caresse sensuelle et grisante. Une morsure survint en plein milieu des suçons m’arrachant un gémissement rauque proche du cri de douleur. Elle parcouru ensuite mon torse en le couvrant de baiser puis mon abdomen mais ne s’y attarda pas comme pour marquer la déception de ne trouver qu’un ventre plat (à ce moment je me suis juré de m’inscrire à la muscu). Elle revint à mes lèvres. Nous échangeâmes un baiser langoureux et passionné qui devin vite fougueux et fiévreux. Nos corps s’enlacèrent nos caresses étaient frénétiques et endiablées, mes mains parcourant son dos. Dans un mouvement ferme mais souple elle nous fit rouler sur le lit, inversant nos positions m’invitant donc à prendre l’initiative.

A ce moment mon inexpérience (oui c’était ma première fois) aurait pu me causer bien des torts, mais j’avais rêvé de cet instant mille fois il ne fallait pas que je gâche tout.

Sans interrompre la danse de nos lèvres qui étaient de nouveau pondérée et sensuelle j’empoignais ses seins me mit aussitôt à les malaxer les caresser maladroitement j’interrompit finalement le baiser pour venir à mon tour suçoter ses tétons. Ne sachant que faire pour varier mes caresses je restais accroché à ses seins frottant mon érection contre son bassin. Au bout d’un moment elle glissa sa main entre nous a la recherche de ma boucle de ceinture instinctivement je compris le message, me redressant pour retirer mon pantalon et me retrouver totalement nu avant de l’aider à retirer sa petite culotte qu’elle avait déjà baissée jusqu’aux cheville.

Je n’eus pas le loisir d’apercevoir son intimité car elle m’attira vers elle précipitant ses lèvres vers les miennes. Sa main se glissa de nouveau entre nous et empoigna cette fois mon érection qu’elle dirigea vers son intimité. Je m’y introduisis délicatement.

Ce moment de plénitude je m’en souvient encore quand mon érection passa entre ses lèvres vaginales mon corps fut parcouru d’indescriptibles sensations, je percevais encore par bribe la musique qui provenait du salon, mais la chaleur humide de ses parois intérieures eu fini de me faire basculer dans les tréfonds du plaisir j’aurais pu jouir à ce moment-là. Je me suis retenu voulant profiter au maximum de cette sensation et d’un geste hésitant je me suis mis à mouvoir mes hanches allant et venant en elle les frissons de mon corps et les frisons de son corps m’enivrai, ce la devenant de plus en plus dur de contrôler mon envie de jouir. Il me fallut une volonté de fer pour ne pas le faire, mais mes gestes étaient mal assurés.

Elle nous fit rouler à nouveau interrompant notre connexion ce qui me permis de contenir un peu plus mieux mon pic de plaisir mais d’un geste souple elle s’empala sur ma verge. Ses hanches ondulaient avec sensualité douceur son bassin se levait et s’abaissait dans un mouvement expert qui ferait perdre la tête à n’importe qui. Elle se pencha en avant pour donner plus d’amplitude à ses mouvements, ses lèvres vinrent chercher les miennes. Dans l’empressement je me mis à bouger mes hanches allant en elle tandis qu’elle se retirait me retirant quand elle venait à moi ; il ne me fallut pas longtemps pour jouir sans retenu en elle.

Mes coups de boutoir devenaient de plus en plus faibles et ses ondulations trahissaient son désir de continuer, mais hélas j’en étais incapable. Elle n’avait pas joui ni pris le moindre plaisir, pourtant moi je m’étais laissé emporter dans un plaisir et une jouissance égoïste.

 

(La honte dans un animé mes ancêtres seraient venus me corriger pour cette piètre performance)

 

-        Alors comme ça c’était vraiment ta première fois ?

-        Oui !

-        Je n’arrive pas à y croire on l’a fait et en plus je t’ai pris ta première fois !

-        Tu regrettes ? La question est sortie malgré moi.

 

A suivre…

KYRIEL