Tout est bien qui finit...

Ecrit par Saria

Alors bonjour mes gens bien ceci est mon mot de fin.

Halik, Maya et leurs enfants vont bien...Leurs proches continuent de les porter et de les soutenir.

Je tenais à partager quelques mots avec vous. C'est vrai que l'histoire est sorti tout droit de mon imagination mais elle m'a beaucoup émue. J'ai choisi alors de revoir avec vous les personnages clés de cette histoire qui me touche énormément et surtout ce que j'ai voulu montrer à travers chacun d'eux :


Halik, m'a permis de montrer qu'un homme "africain" pouvait aimer et dévoiler ses sentiments, ses faiblesses sans être pour autant moins homme ou moins viril. Que respecter celle qu'on a choisi en la valorisant tous les jours que Dieu fait est l'unique preuve d'amour.


Maya, la raisonnable qui se retrouve embourbée dans un mariage où l'amour et le respect n'existe plus. Elle a voulu rester et y croire jusqu'à ce que Halik débarque. Je dirai que même si ce n'était pas évident, elle a choisit d'être heureuse au risque d'être montré du doigt.


Karl, fait partie de cette catégorie d'homme centré sur eux-même et qui pense que la vie de couple se limite à leur bon plaisir à eux seuls. Que la femme et la compagne n'est qu'un fait valoir, qui n'a pas besoin d'être valorisé. La bague au doigt suffit, car c'est l'extrême sacrifice qu'un homme pourrait consentir pour une femme et au nom duquel celle-ci doit tout accepter.


Eugénie, la mère de Maya, détentrice des valeurs...oui les valeurs! Qui se limite à tenir son rôle de femme quoiqu'il arrive! La société africaine fait obligation à la mère de transmettre "ces valeurs-là" à sa fille. Être femme c'est endurer...La question que je me pose à travers ce personnage est la suivante...Endurer oui mais jusqu'où? A quel prix?


Kolawolé, le père, son soutien et sa présence ont été décisifs! Surtout pour Maya qui a toujours recherché l'approbation du père, peut-être parce qu'elle est l'aînée? Je n'en sais rien.


Kyra, l'émancipée, ses invectives ont participé au réveil de sa sœur et son soutien a permis à Halik de savoir où mettre les pieds chez les Olamidé mais je crois que l'âge et l'expérience lui enseigneront la réserve et la retenue.


Merci de m'avoir suivi tout au long de cette histoire! on se revoit bientôt avec une autre histoire qui grouille déjà dans ma petite tête!

Carpe diem