TU ES A MOI, RIEN QU’A MOI.
Ecrit par Lari93
Charles-Emmanuel
DASLIVIERA
Il est 22h lorsque je reçois un coup de fil
d’Anderson.
Moi : Allo mec
Anderson : Tranquille Broo. Et le
voyage ?
Moi : Bien, tu devras préparer les
fonds nécessaire car les travaux démarrent ce lundi.
Anderson : Oui j’ai été prévenu par le
directeur des travaux. La jeune dame a accepté ton offre d’emploi ?
Moi : Qui refuse de travailler à
DASILVIER HOLDING (rire) ?
Anderson : (rire) Prétentieux, Mais oui
tu as raison. Le groupe est une prestigieuse entreprise.
Je pense ça sera bénéfique pour nous qu’elle y
soit. Bref que fait tu actuellement ?
Moi : Rien. Je suis chez moi et je lis quelques
rapports de missions que j’ai reçu par Mail.
Anderson : Non arrête-moi ça Mec. Avec les
potes ont a prévu une viré ce soir au F&F.
Je passe te chercher dans une heure et pas de
refus. Et surtout il y aura de belles filles. Et ce n’est pas un débat.
Moi : ok c’est compris. Mais tu aurais pu
m’informer avant. Bon Ça ne sert à rien de discuter avec toi.je serais prêt.
Une heure plus tard Anderson était devant ma
résidence.
Je lui suis en direction du club au volant de
ma Porsche 996 GT3.
Je préfère y aller avec ma voiture, je n’aime
pas être dépendant des autres comme.
Ça je peux partir à n’importe quel moment.
Arrive au club, nous étions assis avec de
belles jeunes filles j’en connais certains.
Des filles de la haute société, comme elles
aiment bien se décrire.
Toutes des gâtés, pourri qui ne saurais faire
de bonne épouse selon moi.
Et bien évidement LYAAH était présente.
Cette fille avait accepté d’être mon objet
sexuel au détriment de son intégrité.
Je suis sûre qu’elle espère secrètement que je
finisse par l’aimer.
J’ai eu plusieurs relations, et certaines avec
des amies à elle mais elle n’a jamais baissé les bras.
C’est une belle fille qui peux avoir des plusieurs
hommes à ses pieds, mais je ne sais pas pourquoi elle s’accroche à moi.
A mon arrivé, elle s’est agripper à moi pour
montrer à tout le monde et surtout aux autres filles présente que je suis sa
propriété.
Pauvre petite !! Si elle savait, qu’une autre me traite un peu
pareillement en ce moment.
Ce soir elle sera déçue car mon corps
appartient à une autre « Annabelle TANOH ».
Rien qu’à la penser de son nom je ressentais
des frissons.
Cette fille je l’ai dans la peau et pour une
fois dans ma vie, une femme pouvait faire ce qu’elle voulait de moi je l’y
autorisais.
Personne ne
croirait que le playboy Charles-Emmanuel DASLIVIERA comme le
disent les journaux à potins du pays est considéré par une femme comme son
objet sexuel.
Je me demande
encore si j’ai bien fait d’accepter son offre.
Je pense que je paie
le fruit de mon attitude avec toutes ces filles avec qui je suis sorti pensais-je
en souriant.
Cela fessait un
moment qu’on ne s’était pas retrouver avec mes vieux potes.
Après la fac aux
Etats unis chacun était dans la vie courante à gérer ses activités, le seul
avec qui je suis resté proche c’est Anderson.
On discutait avec
tout et de rien, lorsque je la vis entrer au bras d’un homme pas très grand, mais
beau gosse, suivi de sa bande.
Mon cœur fit un
bond à l’intérieur. Je me posais mille et une questions qui est ce type ?
En plus au bras de
ma Bella ?
De ma position,
Elle ne pouvait pas me voir, le salon dans lequel ils était installée me
donnais dos.
Nous étions assis ,mon
groupe et moi dans un salon très discret. Et de ma position j’ai une bonne vue eux.
Je suis resté,
silencieux à passer mon temps à les observer.
J’ai pu facilement
identifier ses frères par leurs traits de ressemblance, ils étaient avec leurs
compagne surement, son cousin et sa fiancée, et sa meilleurs amie et son compagnon.
Comment je
sais ? Bertrand m’avait fourni des photos des personnes de son entourage (ses
parents et amis) lorsque je fessais des recherches sur son passé. Le dossier
est encore à au bureau de ma résidence.
Je suis toujours
bien informé.
Mais le mec qui la
colle depuis son entré dans ce club c’est le gros mystère. Bertrand aura de mes
nouvelles.
Elle est splendide Ma
Bella et tous les hommes avait les yeux sur elle, même ceux de ma table.
En plus Elle est
sexy ce soir. Je pense qu’ils ont décidé de finir la soirée d’anniversaire au
ici.
Mais quand elle s’est
mise à danser, seigneur !!! Cette fille à le diable au corps, ses fesses
bougeaient dans tous les sens surtout dans cette minuscule culotte en jeans
qu’allait portait.
A voir la tête de
ses frères, tu aurais dit qu’ils découvraient une nouvelle personne.
Hé bon !! Les
gars votre sœur fait pire que ça, je peux témoigner pensais je intérieurement
(en souriant).
Anderson : Hé
bro tu vois la sirène en culotte sur la piste. Doux jésus, il y a des filles
comme ça dans la ville !!
Moi : Oui il y
en a et tu vas bientôt travailler avec elle (en sirotant ma coupe de
champagne).
Anderson : Que
dis-tu ? avec les gros yeux.
Moi : Oui,
c’est Annabelle TANOH et tu vas bientôt travailler avec elle.
Anderson : Non
tu déconne !!! dit-il très surpris.
Moi : ai-je
l’air de blaguer ?
Anderson :
Dommage qu’elle soit en couple, mec c’est le jour et la nuit cette fille. Elle
ne donne pas cette impression de fêtarde sur son CV. On aurait dit une bonne
sœur. Les apparence son trompeuse.
Moi : Rire,
effectivement.
Anderson :
Dis-moi tu es sûre que pendant le voyage, tu n’as rien huummm, tu vois ?
Moi : Quoi ! on y était pour le
boulot.
Anderson : Parce
depuis tu as les yeux sur elle. Et toi rare sont les femmes qui retiennent ton
attention.
Bref, c’est un
terrain miner, le Ga à côté d’elle le montre bien.
Moi :(la mine
fermé) je suis revenu d’un voyage de trois jour ce matin avec quelqu’un.
Comment veux tu que je ne retienne pas son visage. En plus elle est avec elle
entouré comme tu l’as dit.
Anderson : Bon
laisse tomber, Mieux on se concentre sur ceux qu’on a en parlant des filles à
nos côtés.
Mes yeux ces traite
sont encore aller sur elle.
Lorsque la chanson
de rap passa était encore sur la piste avec les filles de son groupe. Et là je
n’avais qu’une envie aller la sortir de cette piste.
Tous les Ga assis
dans ce club bavaient devant ses terwerks.
Mais cet idiot
d’inconnu a pris les devants, en plus il a le culot de se coller à elle comme
pour essayer de la stopper. Mais au lieu de sortir de la piste il a continué à
danser autrement avec elle.
Comme pour nous
dire le spectacle est fini, vous avez bien baver mais c’est ma propriété
privée.
Ils ont même zouké.
Je bouillonnais de
colère, je fessais l’effort de ne rien laisser transparaitre.
J’entendais les
gars dire que ce mec avait de la chance d’avoir une si celle chérie.
Les filles étaient
rouges de jalousie vu qu’elles ne captivaient pas l’attention.
Je me demande
intérieurement si ce gars est aussi un sex-friends ?
Je ne supporte plus
de les regarder.
Oui je reconnais je
suis jaloux mais je ne suis pas amoureux.
Je décide de
prendre congé de mes amis. Je risque de perdre la pédale si je reste une
seconde de plus.
Je sors du club au
environ de 02 h suivi par LYAAH.
Elle voulait se
faire sauter encore, Mais pour une fois je pris le temps de lui parler avec
politesse.
Moi : LYAAH je
ne rentre pas avec toi ce soir. Retourne avec le autres stp.
LYAAH : Pourquoi
bb ? je sais que c’est sans engagements ? (En me caressant le torse)
et j’ai envie de réchauffé tes drap (avec la bouche en cœur).
Moi : Merci
(dis-je froidement) mais j’ai besoin d’être seul.
Mon regard, l’a fit
résigner et elle se retourna au club.
Arrive chez moi un
quart d’heure plus tard, malgré tout la colère, je n’y arrivai pas à la
détester.
Demain, Cette
Annabelle aura de mes nouvelles.
Annabelle Tanoh Deux semaines déjà que j’ai fêté mon
anniversaire c’était formidable. Je me suis super bien amusé. Le dimanche dernier Andrew, nous avais convié
Olivia, serge, Daniel et moi à l’ile bouley. C’était cool. Faut dire que j’ai apprécié la compagnie de Daniel. Je sais qu’il ait amoureux de moi. Quand il me fessait sa déclaration, il y a un
an je n’étais pas disposée à l’écouter et j’ai tout de suite refusé. Et je
l’évitais comme la peste. Andrew m’avait demandé lui accorder une chance,
et de mieux le connaitre avant de décider. Venant de ça part j’avoue que j’étais très
surprise. Mais aujourd’hui je suis plus mature, et Il faut
reconnaitre qu’il est d’agréable compagnie. Mais mes sentiments sont toujours les mêmes envers
lui. Peut-être qu’on sera juste de bons amis. Je n’oserais jamais faire du sex-friends avec
un proche de ma famille. A ma reprise, monsieur FANNY, madame DIANE,
Isaac, ma secrétaire, mon équipe et des collègues d’autres services qui m’ont
souhaité joyeux anniversaire. Cela m’a fait plaisir. Faut dire que j’étais l’une des rares
responsables à participer aux anniversaires surprise des membres du personnel. J’estime que nous passons plus de temps au
bureau qu’avec nos propres parents et de ce fait nous devrions prioriser
l’aspect humain dans nos relations. Beaucoup d’entre eux me manqueront quand je
serais muté à la holding. J’avais également reçu le même jour ma
proposition d’embauche, et Je devais un remplaçant avant à mon départ selon les
détails que j’ai reçu par la RH GROUPE par mail. J’avais déjà une personne en tête. J’ai aussi envoyé mon rapport de mission par
mail et je n’avais reçu aucune réponse de la part de monsieur DASILVIERA. On ne s’est pas revu depuis notre retour de
voyage. Faut dire que durant ces deux semaines, il ne
venait pas à nos bureaux, peut-être qu’il était dans d’autre filiales de son
groupe (pensais-je). Il aurait pu quand même m’appeler. Ou il a dû surement décider de ne plus être en
contact avec moi (pensais-je). Ce matin je suis arrivé très tôt au bureau car
j’avais encore des dossiers à finaliser. Il est 09h00, lorsque ma secrétaire
m’annonçait que j’étais convoqué par le PDG. Monsieur à enfin décider d’apparaitre. Madame Diane me fit signe d’entrer. Il est
assis à son bureau les yeux rives dans des dossiers. Moi : Bonjour monsieur. Vous m’avez
demandé ? Charles : …………………………….. (Silence) Moi : Monsieur ? Il leva les yeux sur moi et me fit signe de la
main pour me présenter le siège en face de lui. Je pris place, il est si détestable lorsqu’il est
ainsi. Mais je n’ai pu m’empêcher de l’observer. Il est si beau dans son costume sur mesure et
sa chemise blanche en plus il sent extrêmement bon. Le son de sa voix me fit
sorti de ma rêverie. Charles : j’ai reçu pas votre rapport de
mission. Pouvez-vous me donnez le rapport des évolutions actuelle ? Moi …………………. (Silence) Charles : Mademoiselle Tanoh ? Moi : Monsieur ……… Humm mm en
fait je vous prie de m’excuser je n’ai pas rédigé de situation actualisée.
Et je vous prie de m’accorder jusqu’à la fin de la journée pour le transmettre. Charles : Vous pensez que je n’ai rien d’autre à faire a
par vous attendre. Ce rapport était important pour justifier la
sortie de fonds pour le démarrage des travaux. Bon sang ! Moi : Désolé monsieur, mais j’ai attendu votre
retour sur le rapport de départ. Charles : Humm mm (en se levant de son
siège) vous avez jusqu’à 16H pour me transmettre le document dit-il sévèrement
avec un regard rempli de colère. Je vous attendrais. Je ne pense pas ce soit uniquement le rapport
de mission qui l’es mis dans cet état. Moi : ok monsieur. Merci. Je m’apprêtais à quitter son bureau lorsqu’il
m’interrompit. Charles : Qui est-il ? Il était de dos, face à la bais vitré et avais
le regard sur le paysage extérieur, il avait une vue panoramique sur le
plateau, le centre des affaires de la capitale du pays. Moi : De qui parlez-vous ? Charles : La personne avec qui tu te
trémoussais au club et avec qui tu passé tes récents Week end. Moi : Vous me surveiller ? Charles : j’y étais pour la soirée au
club. (En se retournant pour me faire face). Moi : Humm juste un ami et pote à mon frère,
et je ne vous dois aucune explication. Charles : il est ton sex-friend ? Tu
couches avec lui aussi ? A cet instant, je perds totalement mes moyens,
l’homme qui se tenais en face de moi n’était plus le patron mais tout
simplement Charles Emmanuel. Moi : Mais tu es malade ? Tu me prends
qui ? Je ne te permets pas de m’insulter de la sorte. Tu sais quoi on arrête tout. Et tu peux me
virer si tu veux. Mais plus jamais tu me manqueras de respect. (En tournant les
talons pour sortir de son bureau). Il vint m’en empêcher de sortir en refermant
la porte de son bureau à clés. Dieu merci le bureau donne sur un sasse le
séparant du bureau de madame DIANE qui se trouve à bonne distance. Elle ne pouvait donc pas nous entendre. Charles : Tu te calme tout de suite
Bella. (Son ton et l’expression de son visage me rappelait automatique à l’ordre,
j’avais l’impression d’entendre le général). Désolé si mes mots te choquent mais j’ai
besoin de savoir. Et Je ne te manquerais jamais de respect. S’il
te plait, j’ai besoin de savoir (dit il calmement). Moi : j’ai dit qu’il n’est qu’un ami. Charles : Rappelle-toi de notre accord
aucun autre homme. Et d’ailleurs je n’ai pas apprécié de voir
vous colle serre au club et tourner autour de toi comme ce weekend. Moi : Humm. Pourriez-vous m’ouvrir s’il
vous plait ? De plus, je ne vous dois aucune explication
sur les personnes que je fréquente. D’ailleurs il n’y a plus de contrat. Charles : Aurais-tu apprécié de me voir
dans cette posture avec une femme ? Moi : Qu’es qui m’aurais déranger ? Je
te rappelle qu’on n’est pas un couple !!! Et si jamais ça devenait sérieux avec une
autre personne j’arrêterais tout et il en est de même pour toi. Aussi retient bien, je ne sortirais jamais
avec deux hommes à la fois, même pas pour du sexe. Maintenant puis-je disposer j’ai un rapport à
Terminer. Mes paroles l’avaient laissé sans voix et j’en
étais fier. Il se prend pour qui ? on ne me parle pas
de la sorte, mais si vous avez tout l’argent du monde. Mais il avait ce ton autoritaire qui me fait trop
peur. Il m’ouvrit la porte, et je sorti de son bureau
sans lui jeter un regard. Le reste de ma journée se déroulera bien Isaac
m’avait rapporté mon déjeuner au bureau vu que j’ai dû y rester pour terminer
mon rapport. On a juste eu le temps de papoter quelques
instants avant qu’il ne retourne à son poste. Il est 16h30, mon rapport terminer après
plusieurs lecture je l’envoi par mail au PDG, imprime deux exemplaire physique avant de me rendre
une fois de plus à son bureau. Vous m’imaginer même pas à quel point sa m’irrite
de revoir sa tronche. Moi : Bonsoir madame DIANE, Monsieur
DASILVIERA est-il là ? Je dois lui remettre mon rapport de mission. Madame DIANE : Ma fille il n’est pas là.
Il a reçu un appel urgent et il est parti. Mais il a laissé cette note avec cette adresse,
il a dit qu’il t’y attendrait car il tient urgemment à son rapport. Moi : (boudeuse) oooorh moi qui voulais
vite rentrer. Ok bisou maman j’y vais rapidement. Madame DIANE est une dame très sympathique
elle est la première personne à m’avoir accepté dans cette entreprise et intégré
dans le prestigieux club de ses enfants du bureau. En plus j’avais le même âge que son ainé. Et pour vous rassurer les familiarités c’est
toujours en l’absence de son supérieur. Madame DIANE : A demain ma fille, soit
sage (Rire). A quoi elle fessait allusion celle-là
encore ? J’arrangeais vite mes affaires, je prends mon
véhicule en direction de bietry en zone 4 un secteur que je maitrise bien. Apres quelque bouchons, j’arrivais à 17h40
devant le portail d’une somptueuse villa. Je reconnu l’un des gardes de Charles Emmanuel
à l’entrée qui actionna le portail électrique. J’entre et gare mon véhicule au parc auto de
ce magnifique domaine où de nombreux véhicules toutes luxueuse y était déjà
stationné. La villa est toute neuve et moderne, le jardin
avant est magnifique. Le garde m’accompagna jusqu’à l’entrée de la résidence
j’ai eu le temps d’admirer le travail abattu par le paysagiste on aurait dit
une miniature du jardin de Versailles tant il y a eu une diversité de fleurs. Je suis accueilli par une dame la cinquantaine
environ. Elle a une mine très accueillante. Elle se présente avec un large sourire comme
la gouvernante de la MAISON. La gouvernante : Bonjour mademoiselle,
bienvenu à la résidence DASILVIERA, suivez-moi monsieur vous attend à son
bureau. Je n’arrive pas à crois, qu’il m’ait entrainé jusqu’à
ce chez lui après son affront de ce matin. Je suis cette dame sans rien dire, mais j’ai
quand même eu le temps d’admirer l’endroit. Du luxe du sol au plafond, rien avoir avec mon
petit appartement, tableau de créateur, meuble de grand designer, bref une
décoration à couper le souffle. Elle me fait attendre quelque instant à la
porte du bureau avant de me donner l’autorisation d’y entré. Il est assis dans l’un des divans du bureau,
un verre de whisky à la main. Son bureau est très grand et beau, il y avait une
énorme baie vitre qui donnais une magnifique vue sur son jardin arrière, sa grande
piscine, mais aussi sur la lagune Ebrié. Je ne demande s’il ne reçoit pas souvent la
visite des crocodiles parait-il qu’il en avait plein dans notre belle lagune Ebrié.
Charles : Prenez place miss TANOH. Je m’exécute, il est resté longtemps silencieux
et ça me stressais. Charles : j’ai lu ton rapport par mail,
le regard sur son verre. Il est excellent, je l’ai déjà envoyé à mes
services il y a de cela 30 min. Donc il n’est plus nécessaire qu’on en parle. Tu peux rentrer si tu le souhaite. A moins que
tu es autre chose à me dire ? Attend il est sérieux là. Il aurait pu m’appeler ou informer sa
secrétaire ça m’aurait évité ce trajet. Non il la fait exprès juste pour m’en merder,
j’en suis sure. Moi : Non je crois que je vais rentrer
monsieur bonne soirée à vous. Charles : (se levant et avançant vers
moi) j’espérais que tu t’excuserais volontairement pour ton manque de respect
et tes mots blessant à mon égard ce matin. Je suppose que tu es sur ta décision de rompre
notre accord. Si c’est le cas je souhaiterais t’avoir toute cette nuit pour se
dire adieux. Je n’eus même pas le temps de répondre qu’il
me souleva me mit sur l’une de ses épaules comme on porte le sac de riz et se
dirigea vers je ne sais quelles pièces de sa maison. Je me débattais dans tous les sens et criais
mais j’avais l’impression d’être une feuille pour lui il me tenait fermement et
que personne ne viendrait m’aider. Moi : Fait moi descendre je veux rentrer.
À l’aide, il n’y a personne ici ? Aidez-moi s’il vous plait ? Charles Emmanuel : Arrête de crier si tu
continues je risque de te fesser ma Bella. Et personne ne viendra pas sauf si
je le demande donc arrête. J’ai quand même continué jusqu’à qu’on arrive
dans cette immense chambre qu’il referma. Il me déposer délicatement sur le lit et m’emprisonna
de tout son corps. Il sentait très bon. J’ai du mal à sortir de son emprise, je
capitule il est trop fort pour je n’y arriverais jamais par la force. Charles : Tu es à moi ma Bella. Même si
tu rends fou (dit-il en m’embrassant dans le cou et ensuite sur toute les
parties de mon corps qui lui étais facile d’accès.et mon dieu je me surpris à
adorer ce qu’il me fessait. Moi : Vous êtes
en train d’abuser de moi. Je ne vous ai pas dit OUIII. Ma propre voix me trahissait.
Charles : Non je ne le crois pas
mademoiselle TANOH. Car ton corps dit le contraire (dit-il lorsque je sentis sa
main déplacer mon string et parcourir mon intimité, il avait raison je
mouillais déjà et c’était tellement bon que je ne peux m’empêcher de gémir). Il m’avait eu ce vaurien pensais-je. Il enleva ma chemise, puis mon soutien-gorge. Il prit
chaque bout de mes seins en bouche tout en continuant son exploration dans mon
intimité. Humm Charles me tenait, juste avec ça il me fessait déjà jouir. Charles : Tu veux toujours partir ?
Tu veux que j’arrête ? Suis-je toujours un violeur miss TANOH, Moi : Arrêter de parler s’il te plait. Et
fais-moi l’amour. Dis-je en prenant le dessus sur lui et en l’embrassant. Nous avons fait l’amour passionnément et
intensément a plusieurs reprises jusqu’à épuisement avant de s’endormir dans le
bras l’un de l’autre. Oui je le reconnais je suis à lui et je n’ai pas
envie d’arrêté notre contrat. Mais je devais faire très attention pour ne
pas tomber amoureuse de lui. Car j’en suis sure Charles Emmanuel me jetterait
lorsqu’ il aura une nouvelle conquête. Il était 22h lorsque mon ventre me réveilla,
Charles est endormi. Je prends une chemise dans son dressing, mon
dieu cet homme à plus d’habits que moi et elles sont toutes de grandes marques. Je sorti de la chambre à la recherche de la
cuisine que je mis du temps à trouver, cette maison est très grande. La cuisine est aussi à l’image de cette grande
maison. Je la parcoure de long en large afin de voir ce que je pouvais utiliser
pour me faire à manger. Mon choix se porte sur des spaghettis à la
bolognaise. La sauce est déjà prête alors ça ne me prendra pas trop de temps. Je
n’aime pas trop les sauces en conserve mais je n’ai pas trop le choix. A bout de 15 minutes mon plat est prêt je commence
à le déguster dans la salle à manger de la cuisine, lorsque je vis Charles
entrer torse nu avec juste son jeans, mon dieu qu’il est trop craquant (pensais
je). Cet homme que toutes les filles de la capitale
désir étais là en face de moi et rien qu’à moi. Il vient vers moi, il me
souleva de mon siège pris ma place et me reposa sur ses genoux. Cette position
nous donnait l’air d’être un couple d’amoureux. Charles : j’ai faim. Moi : (riant) fait pas le bébé prends toi
un couvert je te sers. Charles : non je n’ai pas envie de me
lever et j’aime que tu sois sur moi comme tout à l’heure. Et je veux que ce
soit toi qui me nourris ce soir. Moi : coquin va ! En lui présentant
en bouche une fourchette plein de spaghetti. Charles : humm, c’est très bon. Moi : c’est juste du bricolage. Charles : je n’imagine même pas quand tu
le fait sérieusement. J’espère que j’aurais l’occasion d’en déguster. Moi : Tes nombreuses conquêtes ne savais
pas cuisiner ? Charles : Ne crois pas tout ce qui se dit
sur moi Bella. Mais les femmes qui ont jusque-là partagé ma
vie ne savaient pas éplucher une pomme , du moins elles ne l’ont jamais fait en
ma présence. Moi : vu qu’on doit continuer notre
accord faudrait qu’on fasse chacun notre bilan de santé. Charles : (riant) Tu doutes temps que ça
de moi Bella (rire). Ok pas de problème. C’est important. Nous avons mangé en bavardant, puis fait la
vaisselle ensemble avant de remonter dans sa très grande et très
luxueuse chambre. Nous avons encore fait l’amour avant de nous rendormir l’un dans les bras
de l’autre.