****KATHLEEN FISHER****

Après plus de deux heures avec Kim au bord de la plage, je décide enfin après avoir déposé Kim chez elle de rentrer chez moi.

À peine je rentre que je constate que mon mari se préparait à sortir et vu son accoutrement, on aurait vite deviné qu'il n'allait pas dans son lieu de travail ou encore à un interview, on aurait dit qu'il allait dans un bar.

Il sursaute quand il me voit rentrer à l'improviste.

Tom: Tu ne m'avais pas dit que tu allais rentrer aussi vite, c'etait prévu que tu rentres à 23h ou c'est moi qui ai mal entendu ?

Moi(mécontente): Et toi c'était prévu que tu surveille les enfants ! Tu mets de l'avant tes amis, ceux qui ne demande d'après que quand ils ont envie de prendre un pot, ceux qui ne se soucie même pas de toi. Ils n'ont jamais été là quand tu avais subit ton opération et n'ont jamais fait preuve de sincérité à ton égard.

Tom:Mais ce sont mes amis...

Moi(Tendrement): Ils ne sont pas tes amis mais sinon des croqueurs de diamant. Tu veux de l'affection venant de tous le monde et c'est ça qui te pousse à faire des choses sans prendre en compte les retombées. Nous avons des enfants! Tu ne passes qu'occasionnellement de temps avec eux tandis qu'ils ont besoin de la présence de leur père. 

Tom(Tendue): Si je me suis mariée avec toi c'est exactement pour que tu puisses t'occuper des enfants ! Tu ne sais à rien ici. Tout ceci, la maison, le mariage et autre n'étaient qu'illusion sur illusion.

Moi: L'éducation se fait à deux et n'est pas un devoir pour seulement la femme. Je travaille certes mais je me trouve un brin de temps pour qu'ils ne se sentent pas délaissés. Toi parcontre tu ne réalise même pas, tu préfères dépenser des sommes colossales pour des sotises. Ta vie ne se résume qu'à la bière, le cannabis et les voitures de valeur. Crois-tu que je ne mérite pas mieux ?

Tom(se levant): Je n'ai pas le temps pour écouter ces conneries, j'ai un rendez-vous avec des personnes hauts placés même si c'est dans un bar. 

Moi: Tu vas vraiment le regretter. Si prochainement tu te crées des problèmes, je n'interviendrai plus. Je m'en irai si possible.

Tom(s'en allant): La porte est grande ouverte, tu peux t'en aller quand tu veux. Les femmes sont pleines au dehors. Prenant en compte ma carrière de star télévisé, les femmes tomberont à mes pieds !

Je le suis en courant jusqu'à sa Bugatti avant de me placer devant la voiture pour l'empêcher de s'en aller...

Moi(essoufflé): Tu me jettes hors de notre maison, de notre foyer et de tout ce que nous avions construire ensemble c'est ça ?

Il prend son temps avant de m'écarté violemment de son véhicule. 

Tom: Tu n'es plus belle, il y a plusieurs filles plus stylée qui n'attendent que je confirme que tu es déjà à la porte pour qu'ils viennent se battre pour moi. Pauvre tâche!

Il démarre sa voiture et s'en alla, me voici pleurant à chaude larmes sans savoir à quelle saint me vouer.

Avec le peu de force qu'il me restait suite au bain de larme que j'avais versé, j'eus cette fois le courage de faire ma valise suivi de celui de mes enfants et des enfants de ma copine avant de prendre la route pour jusque là une destination inconnue.

****KIM PHILLIPS****

Depuis ma discussion avec Kathleen pendant laquelle je me suis rendue compte de combien j'étais amoureuse d'un inconnu, je commençais à ne plus m'en passer de faire des recherches sur lui.

Google étant d'une aide primordialr,me voici enquêtant sur la vie d'un homme qui me connaissait à peine. 

Il n'avait réaliser rien d'important et se faisait le plus discret que possible. En creusant plus, je vis une photo de lui en compagnie de Brett McAllister. J'eus ma petite idée pour la suite parceque je savais que Brett n'allait rien me refuser si ce n'était que pour que je sois en couple.

[SONNERIE]

C'etait la sonnerie de ma résidence qui me fait revenir en moi, je me lève malgré que je ne voulais me détacher de mon ordinateur pour aller ouvrir.

Moi(Étonné): Mais qu'est-ce tu fais ici? Et de surcroît à cette heure.

Elle ne me répond pas et bouge pour enfin laissé apparaître derrière elle une ribambelle d'enfant derrière elle chacun tenant une valise entre les mains, je ne comprenais rien, mais alors absolument rien.

Kathleen (triste):Je ne savais plus où aller, j'ai pensé que ça t'enchanterait si nous passions au moins la nuit ici avant d'aller nous trouver un appartement demain.

Des larmes imbibant plus tôt ses paupières ne dureront pas à couler, ça se voyait qu'elle était à bout.

Je dégage le passage puis elle accède à ma maison en pleurant toujours...

Je la fais asseoir, lui donne un peu d'eau mais avant je transporte les valises pour aller les disposés chacune dans une chambre. Il y en avait des chambres libres pouvant couvrir une dizaine de personne. Je profite pour en même temps coucher les enfants du plus petit jusqu'au grand avant de revenir me poser à ses côtés.

Entre-temps, elle avait sécher ses larmes et paraissait plus sereine.

Moi: Même si j'ai ma petite idée de ce qui ne va pas, j'aimerais que tu m'expliques tout ceci dans les moindres détails et de son fond à son comble.

Kathleen (éclatant en sanglots): Je l'aime pourtant mais tout ce que je reçois en retour ce sont des infidélités à multiple reprise et des violence verbales, je n'en peux plus!

Moi: Calme toi et raconte moi tout ! Tu es une femme forte qui ne laisse pas piétiner !

Elle tire un mouchoir de son sac puis essuie son visage avant de commencer par me raconter des choses ignobles qu'elle n'avait jamais daigné nous raconté plus tôt.

J'étais rouge de colère au point de grincer de colère. Cette fois je ne vais pas attendre que Britney donne l'ordre parceque je vais frapper fort!

Moi(me levant): Va te coucher, j'ai la situation en main et cette fois-ci, je te promets qu'il ne l'oubliera sûrement jamais !

Avant qu'elle ne me supplie comme à son habitude, j'avais déjà traversé le pas de la porte en espérant rencontrer Tom surplace, il sonnait déjà 11h du soir.

Avant de partir, je prends mon flacon de somnifères que j'asperge sur mes deux seins, je ferai fort!!!

****TOM FISHER****

J'arrive surplace quand mes amis m'entoure et m'inonde d'éloges, je souris juste devant cette suite de fille prête à passer de bon moments avec moi juste pour une photo. 

Durant tout le moment que nous passions ensemble avec mes amis et en compagnie de ces filles, je ne faisais que cherché du regard cette femme qui me tourmentait tant. Son indisponibilité et sa façon de m'ignorer me rendais accro au point où je ne faisais que pensé à elle.

Ma femme, c'etait juste une erreur. Elle fut ma première fois, une seule fois suffisait largement pour qu'elle me colle une grossesse.

Tous le collège savaient que je l'avais engrosser parceque j'étais une star du lycée. D'aucuns ce sont indignées pour au final m'obliger à me marier de force avec elle. Il n'était question ni d'amour, ni d'amitié, ce n'était rien que du sexe.

Passé une dizaine d'années en sa compagnie et en prenant en compte le fait qu'elle était môle et faible, je m'étais lancé dans cette vie de soulard avec mes amis juste pour la forcé afin qu'elle s'en aille mais à chaque fois elle ne prenait pas en compte mes insultes, le fait que je ne m'occupe d'elle et surtout le fait que je la négligeais et s'efforçait à rester. Dire qu'elle n'était pas une bonne femme serait mentir. En plus qu'elle ait un travail très prenant, elle avait toujours du temps pour sa famille. Mes parents l'aime bien mais moi je n'y suis plus.

Finalement je n'ai pas pu jouer la comédie que j'avais l'habitude de jouer et en ce jour, je me suis déversé sur elle, j'ai mal mais ce mal ne serait que passager.

Une voix fine racle la gorge derrière moi, je me tourne et c'était elle.

(KIM SE FAIT PASSER POUR MAÏA)

Maïa (sensuellement): À quoi tu penses là?

Moi: À rien, je viens juste de me libérer d'un poids si lourd qu'il était.

Je la sens tendu mais je n'en fais  pas cas...

Maïa : Et qu'elle est ce poids ? Tu peux être plus explicite ?

Moi: Normalement je ne dis souvent rien sur ma famille mais à vrai dire, je crois que tu auras enfin ta place dans mon petit chez moi. Je suis au bord du divorce.

La voilà plus gêné et tendu...

Maïa(étonné): Jusque là ? Mais pourquoi divorcer après tant de moment passé ensemble ?

Moi: Des moments passés avec mes amis tu veux dire ? Je ne l'ai jamais aimé et elle le sait, j'ai juste été forcée de l'épouser.

Elle serre les dents mais moi je n'avais qu'une seule idée en tête, la fait passer dans mon lit...

Moi(souriant): Alors tu es venue spécialement pour moi?

Maïa(Ouvrant un bouton de sa chemise): On peut dire sa. Je crois que je suis prête à passer du bon temps avec toi! C'est un ordre!

Me voilà courant presque pour rejoindre ma suite personnelle dans le bar, ce n'était réserver que pour des coups d'un soir mais cette fois-ci je crois que j'en suis accro.

Durant le trajet, je ne faisais que complimenté ces nombreux fentes et coubes pendant qu'elle les mettaient plus en valeur.

Nous voici dans la chambre et le temps pour moi de me déshabiller, je vis déjà ses seins nu, de quoi réveiller mon excitation à son comble.

Je saute directement sur ses seins que je suçais en les malaxant et au moment où la chance était le plus de mon côté, me voici enfoncé dans un trou noir, je venais de dormir.

°°°°LE LENDEMAIN °°°°

Ne serait-ce les coups donnés à la porte de ma suite, je serai sûrement entrain de dormir.

Un maux de tête attroce m'envahit...

Je cherche du regard celle avec qui j'avais passé la nuit mais je ne vois personne. On frappe toujours à la porte pendant ce temps.

Je ne vois ni elle, ni mes vêtements et encore moins mes serviettes. Me voici surpris.

La porte s'ouvre finalement pendant que j'étais toujours nue comme un bébé, la gêne se lisait sur mon visage.

__ Désolé monsieur, il y a des journalistes qui vous demande, apparemment vous n'êtes pas aller faire votre émission aujourd'hui. Il est déjà 3h du soir.(me dit le gestionnaire du bar en étant gêné).

Moi(me cachant): Fait chié ! Dis-leur que je ne suis pas là, dis-leur que je suis déjà partie et que je suis à la maison et en passant trouve moi des vêtements propre.

__ Désolé monsieur mais cela ne peut marcher, ils sont justement derrière la porte. Ils sont très fâché. La vidéo qu'ils font sur vous passe en direct sur la chaîne de télévision.

Au même moment, un journaliste entre son caméra en main. Me voyant nu, il y avait de quoi se faire du fric. Il me prend en entier avant de ressortir. Je ne l'avais pas reconnu.

Sur son dos se lisait l'insigne de la maison de télé en concurrence avec le mien.

Moi(criant): Ce n'est pas un journaliste de ma chaîne de télévision, je suis foutue, c'est un paparazzi de la chaîne de télé adverse!

J'allume directement la télévision et me voici en direct tout nu.

Surplace je reçois un message de mise à pied de ma chaîne de télévision, de quoi pourri encore plus ma journée.

En un clin d'œil, je venais de perdre des années de travail et ceci à cause d'une histoire de fesse !

Je vais faire la peau à cette pétasse !!!

****BRITNEY MCALLISTER****

C'etait lundi et donc le jour de la proclamation du divorce, je m'avance vers le tribunal en espérant que Brett craque comme toujours.

Plus d'une heure d'attente après, nous voilà devant le juge.

__Nous sommes ici en ce jour pour proclamer le divorce de jusqu'alors madame et monsieur McAllister. Un divorce à l'amiable.

Nous acquiescons tous les deux sans mot dire, jusque là je croyais qu'il allait craqué mais rien ne se fait.

Nos principaux avocats présentent chacun nos accords avant qu'on ne nous autorise à signer.

Moi: Je te laisse la maison !

Brett: Ok!

Moi: Et les enfants ! Je n'ai pas le temps pour les gardés la semaine, je les récupérerai dans les weekends !

Brett(serein): Encore mieux !

De quoi m'énervé encore plus...

Je signe en premier puis je balance le stylo vers l'autre côté en espérant qu'il ne signe pas.

Brett: Jusqu'à tout à l'heure je croyais que tout allait rentré dans l'ordre mais comme tu veux le divorce à tout prix[Voix grave] QU'IL EN SOIT AINSI !

Il se saisit du stylo et signe le divorce sous mon regard impuissant et en même temps éberluée, je n'arrive pas à y croire !

__À compter de ce jour, il n'existera plus de monsieur et madame McAllister mais plutôt monsieur et madame Amara et McAllister, l'audience est levé.

__Felicitation mademoiselle Amara (me tendant les mains).

__Felicitation Brett,vous êtes libre de tout engagement (disait l'avocate de Brett).

Je ne le salue pas puis me lève pendant que des larmes s'échappaient abondement de mon visage. Je l'attends au dehors.

Il ressort plus tard en compagnie de son avocate avec qui il parlait comme s'ils se connaissaient depuis longtemps, je fixe longuement la personne avant de constater que c'était ma rivale d'antan. 

Je grince de colère pendant qu'elle l'enlaçait dans ses bras et le comble c'est qu'il le laissait faire.

Moi(troublé): Tu ne perds rien pour attendre. Nous venons de divorcer il y a à peine cinq minutes.

Brett: Tu t'embrouilles toute seule, je n'ai plus rien à vous dire madame Britney Amara 

Bras dessus, bras dessous avec son avocate ou dirai-je son ex copine, ils s'en allaient sous mon regard impuissant et pendant que mes larmes se faisaient de plus en plus fort. Je venais de mettre un terme à plus d'une dizaine d'années de mariage sans toutefois m'en rendre compte.

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