4

Write by Larissa92

Chapitre 4


- Serges tu arrêtes de crier sur moi tout de suite et tu sors de ce bureau. Non mais tu es malades ?

- C’est toi la folle. Se rebiffa Serges en haussant le ton.

- Tu ne vas pas venir faire un scandale sur mon lieu de service Serges. Tu ne m’as jamais vu a ton bureau. Je n’y suis jamais passée parce que je respecte cet endroit parce que je te respecte. Ne me fais pas perdre mon boulot s’il te plait.

Les choses qui allaient faire diminuer son estime aux yeux de Fadil alors que depuis un mois déjà il se comportait comme un humain. Celui-ci voulait tout gâcher alors qu’en 1 mois il l’avait appelé petite impolie juste 4 fois.

- Ca fait 2 semaines qu’on ne s’est pas vu Nicole 2 bonnes semaines.

- Déjà je t’ai demandé de baisser en tonalité Serges et ensuite je te le dis encore je travailleu. Ne me pousse pas a faire un choix car tu seras déçu.

- Tu me menaces de rompre. Constata son copain.

Elle leva les yeux au ciel souffla pour se calmer avant de reprendre d’un ton plus calme :

- Ecoutes on peut se voir chez toi ce soir si tu veux. Mais je ne pourrais pas rentrer tard je travaille demain.

- Demain c’est Samedi. Lui fit-il remarquer d’une voix plus posée.

- Serges s’il te plait.

- Ok fine. Je vais passer te chercher à la maison. Consentit-il finalement

- Non je vais venir par mes propres moyens.

Elle s’approcha de lui pour lui donner un rapide baiser mais il la retint contre lui et il s’éternisa. Il commençait a soulever son haut quand le téléphone se mit a sonner. Serges la serra plus contre lui elle se permit donc ces quelques instants mais la voix de Fadil s’éleva dans la pièce la faisant se raidir :

- J’ai besoin de toi dans mon bureau Nicole tu va t’envoyer en l’air plus tard.

Shit ! Elle avait oublié qu’il y avait une caméra dans son bureau. Elle repoussa Serges remis de l’ordre dans ses vêtements. Attrapa son bloc-notes et sortie après avoir envoyé un baiser dans les aires a son chéri.

Elle souffla un bon coup avant de frapper a la porte de Mr le despote. Sa voix profonde lui demanda d’entrer. Elle se composa un visage serein avant de pousser la porte.

- Ça va ? Demanda Fadil un sourire moqueur aux lèvres

- Oui merci. Répondît Nicole en ignorant son air moqueur.

- La politesse voudrait que tu dises : oui merci Fadil et toi ?

- Oui merci Fadil et toi ? Le singea doucement la jeune femme.

- Ta bouche la ne sort que du venin petite impolie. Lui dit-il en lui montrant le fauteuil en face de son bureau avec le même petit sourire moqueur qui avait plus l’air d’un rictus.

Elle prit place en se retenant de justesse de lui tirer la langue. 

- J’ai des procédures chirurgicales coup sur coup demain donc on passera toute la journée de demain a l’hôpital plutôt qu’ici.

- Ok. Dit-elle en prenant note sur son IPad plutôt que sur le bloc-notes on commence à quel heure ?

- 7h30. Nous irons de la plus simple a la plus difficile

- Comment qualifier une opération du cerveau de simple ? Il n’y a que vous les neurochirurgiens pour être aussi arrogant. Elle se mordit la langue des que ces mots franchirent ses lèvres. Décidément 

- Oh ? Fit-il en arquant le sourcil

- Oh euh je voulais juste dire cous êtes connus pour avoir « the god complex »

- Bien rattrapé. Bref je vais te laisser tranquille Dimanche comme ca au moins tu pourras venir avec une tête bien reposée Lundi.

- D’accord merci Fadil.

- Ah donc ta bouche peut être aimable sans qu’on ne te quémande la gentillesse ? J’ai qu’elle n’était aimable ta bouche que lorsqu’elle était collée a celle te ton copain.

Nicole se leva un sourire de circonstance aux lèvres. Gracia lui avait dit d’éviter de lui répondre le plus possible et elle essayait de le faire depuis plus d’un mois. C’était vrai que le fait que ses sarcasmes étaient plus sur le ton de la plaisanterie que sur un ton injurieux.

- On se voit demain Nicole tu peux rentrer.

- Vraiment ?! Fit-il extrêmement surprise

- Oui je n’ai plus besoin de toi pour l’instant.

- Vas y et profite de ton copain.

- Merci. Répondît Nicole cette fois-ci avec un grand sourire.

- Tu es très différente quand ton sourire est naturel.

Elle lui lança un dernier un regard et se dirigea vers la porte. Il lança :

- On dit merci petite impolie

- On dit merci quand c’est un compliment. Mais tu sous-entendais que mes sourires sont faux.

Elle sortit sans lui donner le temps de répondre. Les changements d’attitude de cet homme allaient la rendre chèvre.

Serges était parti quand elle retourna dans son bureau. Elle prit son sac et renta chez elle avant que Mr le despote ne change d’avis. Gracia était bizarre ces derniers temps trop pensive. Elles avaient une politique : tu parleras quand tu seras prête. Donc elles évitaient souvent de forcer l’autre a parler. Elle voulait savoir ce qui la dérangeait et comment l’aider mais bon elle allait ronger son frein en attendant qu’elle se sente prête a lui parler. Elle se gara a la maison et entra dans la maison en appelant le nom de sa sœur mais trouva a la place une note dur le frigo lui disant qu’elle était sortie. Apres une douche, elle s’apprêta en conséquence appela Serges pour l’avertir de sa venue avant de prendre la route. Elle le trouva dans son salon et sans autre formes de procès, elle se donna a lui la dans le salon sur le tapis a meme le sol comme d’habitude, c’était bon elle fut satisfaite et lui aussi.  Apres le repas, ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. En rentrant le matin, elle se dit qu’il allait peut être lui foutre la paix pendant au moins une semaine quand elle lui faisait l’amour comme ça, il pouvait chanter son nom pendant un mois avant de se calmer. Serges et elle étaient ensemble depuis près de 8 mois il connaissait son passé et l’acceptait. Le fait qu’il connaisse son passé était un plus a leur relation ce n’était pas elle qui lui en avait parlé mais des anciens amis qu’ils avaient en commun. Elle ne parlait jamais de son histoire jamais même pas avec sa famille. Elle n’était simplement pas prête.  Elle passa chez Fadil pour chercher des vêtements qu’elle laisserait a l’hôpital. C’était assez bizarre d’avoir des clefs de la maison d’un homme avec qui on n’entretenait pas de relations intime. Marielle était endormis dans le lit visiblement nue elle entra dans le dressing sur la pointe des pieds sortie des vêtements qu’elle mit dans un sac de sport avec précautions. Elle prit des vêtements pour au moins une semaine. Quand elle sortie du dressing, Marielle était assise dans le lit l’air hagarde.

- Bonjour. La salua Nicole

- Bonjour. Comment tu es entrée ? Il est quelle heure ?

- 6h. répondît la jeune femme en lui montrant le trousseau de clefs que Fadil lui avait remis.

- Oh. Tu as toutes ses clefs. Constata la jeune femme alors qu’un voile passait sur son visage.

- Je ne suis que son assistante Marielle. La rassura la jeune femme.

- Une très belle assistante de qui il parle tous les jours un peu plus…

- Marielle…

- J’essaie Nicky. J’essaie vraiment mais. C’est difficile quand chaque minute j’entend ton nom sortir de sa bouche. « Nicole fait du très bon boulot. Nicole va faire les courses ce dimanche ne te dérange pas »

Marielle la contactait depuis un mois. Depuis qu’elle avait prit son numéro ce Dimanche-là. Elles déjeunaient souvent ensemble avec Gracia et elle avait commencé ces petites remarques deux semaines plus tôt. Le pire était qu’elle ne voyait même pas Fadil comme un homme mais juste comme son despote de patron c’était pareil pour lui elle en était sure mais elle ne comprenait pas pourquoi Marielle doutait autant et ca commençait un peu a l’agacer de devoir la rassurer tout le temps. 

- Ecoutes Marielle je ne veux pas ton homme et lui aussi ne me veut pas. Il t’a demandé de l’épouser s’il l’a fait c’est bien parce qu’il t’aime non ? Elle baissa la tête

- Il ne m’a jamais dit qu’il m’aime. Je ne pense même pas qu’il m’aime. Je pense qu’il est avec moi parce que je suis le genre de femme qu’il voit comme une épouse parfaite. Confia Marielle d’une voix monotone.

Choquée, Nicole s’assit près d’elle et l’observa un moment avant de poser la question qui lui brulait les lèvres :

- Si tu sais tout ca pourquoi tu veux toujours l’épouser ?

- Parce que je l’aime Nicole c’est aussi simple que ça je l’aime.

- Tu penses te fermer dans un mariage ou tu vas passer ta vie a douter de toi. Et s’il tombe amoureux d’une autre alors qu’il est marié a toi ?  

Marielle se mit a pleurer et Nicole la prit dans ses bras. Si c’était ca l’amour, autant qu’elle ne tombe jamais amoureuse. Le seul couple qu’elle connaissait qui était heureux était celui de ses parents et même eux avait eut leurs parts de montagnes russes. Gracia était née hors mariage le fruit d’une liaison de son père et sa mère était venue l’abandonner devant la maison parce que même avec la naissance du bebe son père avait refusé de continuer avec elle. Donc a coups sur l’amour faisait souffrir Darco qu’elle était a présent sur de ne jamais avoir vraiment aimé avait réussi a lui faire faire des choses…bref.

- Je dois le quitter l’entendit-elle dire. Entre deux hoquets.

- Réfléchis bien Marielle. Ne prend pas de décisions hâtives. Lui conseilla Nicole.

- J’y réfléchis depuis 2 mois. Je n’ai juste jamais eu la force de le dire a haute voix tu vois ? Parce que le dire revenait a rendre ma décision réelle. Vas y tu vas être en retard et il va te traiter de petite impolie. Continua la jeune femme avec un petit sourire.

- Ça va aller ? Insista quand même Nicole

- Oui et s’il te plait ne lui dis rien.

Elle hocha la tête la serra encore dans ses bras avant de sortir le sac accroché a son épaule. Maintenant comment se comporter face a lui tout en sachant qu’il allait se faire plaquer dans quelques heures ? Elle le retrouva entrain de tourner en rond dans son bureau comme un lion en cage quand il était dans des humeurs comme ça, valait mieux le laisser au risque de se prendre sa frustration en plein visage donc sans un regard pour lui, elle alla vider un meuble qu’elle avait fait aménager la pour ses vêtements, en sortie ceux qui étaient sales pour les remplacer avec ceux qu’elle avait emmené. Elle s’assit ensuite sur le fauteuil noir en velours qu’occupait le bureau et le regarda. En observant ses épaules raides, elle se rendit compte que c’était le stress et pas de l’agacement. Elle le connaissait déjà assez constata la jeune femme pas vraiment contente a cette idée.

- Fadil. Il ne répondit pas. Fadil insista la jeune femme

- Quoi !? Fit-il en s’arrêtant devant elle agacé.

- Arrête de tourner en rond et assoies toi. Dit-elle d’un ton ferme. A sa grande surprise, il prit place sans broncher. Qu’est-ce qui t’arrive ? Demanda-t-elle. Pourquoi tu es en stress ?

- Mes opérations ont été annulées parce que ton idiot d’ami a appelé pour dire que je n’étais pas dans mon état normal et qu’il valait mieux que je reste hors du bloc opératoire. Dit-il d’une voix pleine de colère.

- Pourquoi Rafeeq ferait une chose pareille ? Demanda Nicole suspicieuse. Il se referait a Rafeeq comme étant son ami depuis qu’il savait qu’ils s’entendaient bien.

- Parce qu’il pense que tout le monde fait le deuil comme lui. Dit-il d’un ton sec

- Oh. La mort de votre papa. Commenta Nicole

- J’ai besoin de travailler. J’ai besoin d’être en salle d’Opération mais ce petit con m’a enlevé ca.

- Je pense qu’il voulait juste que tu…

- Je m’en fou de ce qu’il pense. Hurla presque le jeune homme.

- Fadil ne me crie pas dessus. On n’est pas entrain de travailler et ma réponse ne va te plaire vu les circonstances. Dit-elle calmement.

- Ah oui j’avais presque oublié que ta langue est venimeuse. Fit-il en se levant pour se remettre a tourner comme un lion en cage.

Elle se leva aussi dans le but de rentrer mais son visage tourmenté lui rappela le sien un an plus tôt. Elle reposa son sac sur la table sortie le Beats Pill.

- Tu aimes quel genre de music ? Lui demanda-t-elle en manipulant son téléphone.

- Pourquoi ?

- Réponds simplement à la question s’il te plait. Et ne fait pas de commentaire sur le s’il te plait. Ajouta-t-elle comme il ouvrait la bouche.

- J’aime bien le jazz. Dit-il après un moment de silence

- Vieux et ringard en plus. Commenta Nicole.

- Je n’ai pas le droit de te lancer des piques mais toi oui ?

- Bref je vais mettre une de mes chansons favorite et on va danser. Dit-elle en entrant dans son Apple music.


Fadil la regarda comme s’il s’agissait d’un fantôme. Danser avec cette folle et en plus dans son bureau ? Elle devait être folle.

- Il est hors de question que je danse avec toi tu es folle ? 

- Quoi ? Beurk s’offusqua la jeune fille. On ne va pas danser ensemble genre ensemble. Je vais danser de mon côté et toi du tient. Ca va te mettre de meilleur humeur tu verras.

- Tu es complètement folle. Dit-il en la regardant pianoter sur son téléphone.

D’un il ne savait pas danser mais alors la pas du tout mais de deux ils étaient dans un hôpital  

- Si tu m’insultes encore ici Fadil tu vas voire la folie la et ca va te dépasser à calmer. Fais moi confiance ajouta Nicole avec un sourire qu’il ne sut qualifier.

Sans plus lui accorder un regard, elle lança une chanson Nigériane qu’il entendait souvent en passant devant les bars et se mit a danser dessus il la regarda faire une minute sans bouger mais elle finit par le tirer pour le mettre en face d’elle. Souleva ensuite ses bras et les bougea pour l’encourager a faire des mouvements.

- Je ne sais pas danser Nicole. Dit-il en souriant elle avait réussi à le dérider.

- Danser c’est bouger Fadil donc bouge. Tu verras comment ca va te détendre.

Finalement il se retrouva entrain de danser dans son bureau avec la petite impolie. Ils dansèrent environs sur quatre autres chansons. Il devait avouer qu’il était plus détendu. Ils s’arrêtèrent au cinquième parce que la petite impolie qui lui avait dit que danser c’est bouger n’arrêtait pas de se moquer de lui depuis cinq bonne minutes.

- Reviens danser Fafa s’il te plait. Dit-elle en riant a gorge déployé maintenant

- Mouff qui tu appelles Fafa ? je ressemble à une fille ?

- Tant que tu m’appelleras petite impolie je continuerai a t’appeler comme ca Fafa. Décréta la jeune fille qui peinait a calmer ses rires.

Elle finit par arrêter la music et revint prendre place à côté de lui. Elle avait vraiment réussi a le dérider pendant quelque minutes mais maintenant que le calme revenait…

- Tu veux faire quoi d’autres maintenant ? Demanda la jeune fille le tirant de ses pensées.

- Tu es vraiment décidé a me tenir compagnie hein ?

- Bah oui tout pour que cette mine dépité quitte ton visage Fafa. Ou alors tu rentres retrouver Marielle.

- Je n’ai pas spécialement envie de conduire. Dit-il

- Je te dépose dans ce cas.

 Elle se leva attrapant son sac au passage en lui demandant de prendre le sac de sport contenant son linge sale. Il la suivit sans broncher s’étonnant lui-même de son comportement. La conversation fut facile jusqu’à la maison ils parlait de tout et de rien mais surtout du basket. Elle adorait Stephen Curry et lui Lebron James. A la maison, il l’invita a entrer quelques minutes mais elle déclina. Il ne trouva aucune trace de Marielle mais a la place, une note l’attendait sur le lit. Apres lecture, tout ce qu’il sentie fut du soulagement il en eu un peu honte sur le coup mais le soulagement qu’il ressentait l’emporta. Apres 1h a passer a tourner en rond dans la maison, il attrapa les clefs de sa voiture et sortie en claquant presque la porte derrière lui. Il se rendit compte qu’il était devant la maison de la petite impolie que lorsqu’il coupa le contact. Sa présence tout a l’heure lui avait tellement fait du bien qu’il voulait renouveler l’expérience. Il sonna a sa porte elle ouvrit une minute plus tard et resta interdite quelques secondes.

- Tu m’invites a entrer ou pas petite impolie ? Demanda-t-il en regardant l’énorme chemise en carreau qu’elle avait porté et les grosses chaussettes épaisses qui les accompagnaient. Il faisait assez froid ce matin 

Elle se poussa pour lui ouvrir le chemin. Son intérieur était vraiment charmant décoré de rose clair et de gris son canapé plein de coussin roses et gris a fourrure avec un plaid noir aussi en fourrure jeté sur le tapis rose. Le tapis au sol avait de longs poils épais. Il enleva ses chaussure et s’enfonça dans le canapé sans qu’elle l’y invite. Elle revint s’asseoir sur le tapis repris son pot de glace au chocolat et a la vanille et se remis a regarder la télé Pretty Woman. Il regarda les photos disposées sur l’étagère au-dessus de l’écran plat. Il connaissait son père et sa mère ils s’étaient déjà rencontrées a certaines soirées.

- Je ne savais pas que tu aimais les films a l’eau de rose petite impolie. Dit-il finalement pour briser le silence qui n’était bizarrement pas gênant.  

- Qu’est-ce qu’il y a Fafa ? Marielle a rompu c’est ça ?

- Elle te l’a dit ? Demanda-t-il surpris.

- Oui ce matin. Comment tu te sens ?

- Bien bizarrement. Répondît-il spontanément.

- Donc elle avait raison tu ne l’aimais pas vraiment. Constata Nicole en mangeant lentement sa glace.

- Elle avait raison oui. Dit-il en prenant place près d’elle sur le tapis. Passe-moi la télécommande que j’arrête ce calvaire. On peut regarder un film sur Netflix un film d’action.

Elle lui passa la télécommande sans broncher. Il chercha et ils finirent par tomber d’accord sur Jason Bournes. Ils le regardaient en silence depuis quelques minutes assis cote a cote quand Nicole lui demanda :

- Fafa on est amis ? Sans décoller son regard de l’écran

- Oui ma petite impolie on est amis. Dit-il en se rendant compte qu’il avait oublié que c’était l’anniversaire de la mort de son père. 

Un jour ou depuis 5 ans maintenant, il broyait du noire et rien que les opérations qu’il pratiquait coup sur coup l’aidaient a oublier que son père était mort sans lui avoir pardonner les choix de vie qu’il avait choisi.




Ce Que Le Cœur Veut