4-Le retour à la réalité
Write by Lari93
Le retour à la réalité
Elle est partie.
Je regarde dans le lit et je vois son collier en diamant.
Elle a dû l’oublier.
Il est de grande valeur elle viendra surement le récupérer,
en tout cas je l’espère.
Je le range dans mon tiroir de lit.
Je ne sais rien d’autre d’elle à par son prénoms « Eva »
et qu’elle est marié, l’épouse d’un autre homme.
Une chose est sûre, je viens de passer la plus belle nuit
de toute ma vie.
Elle est mon âmes sœur, Je dois la retrouver.
EVA
J’ai récupéré ma voiture et je suis en chemin pour la
maison.
A mon arrivé, je gare au parking et remarque que la voiture
de Patrick y est
Stationnée.
Je regarde mon téléphone et je me rends compte que j’ai eu
plusieurs appellent manqués.
Avant de suivre l’inconnus du bar, j’ai enlevé mon
téléphone de mon sac et je l’ai rangé dans la boite à gant de ma voiture.
Il y avait des appels de Axel, de mes parents et surtout de
monsieur mon mari.
Aie, J’ai mal partout.
L’inconnu, ce Hicham Diallo, Dieu a été généreux avec lui.
Avec son engin, il ne m’a pas ménagé, en plus il sait y
faire (Sourire).
Il était insatiable et je dois reconnaitre que j’étais
moi-même aussi en manque.
Mais, putain qu’es qui m’a pris ?
Pourquoi, j’ai agi ainsi ?
Le comble c’est que j’ai aimé faire l’amour avec ce type.
Walaye, j’ai adoré.
Pour dire vrai, c’est un spécimen à faire craquer même les
plus saintes.
Grand, beau, musclée, de teint ébène, les cheveux
légèrement frisés comme les peuls avec un sourire éclatant.
Il est légèrement plus grand et plus jeune de quelques
années que Patrick.
Il doit avoir dans les 34-38 ans je pense.
Il faut reconnaitre que je n’ai jamais autant pris mon pied
même avec qui vous savez.
Seigneur (En me prenant la tête entre les mains) Eva, tu t’es
comporté comme une vraie petite salope, quelle image il aura de toi ?
Boufff je m’en fous, tout compte fait je ne le reverrais
plus jamais.
C’est la première et dernière fois que je mets les pieds
dans cet endroit.
J’espère ne jamais le croiser, la honte de ça ! comme
on le dit ici à Abidjan.
Bref, je descends de la voiture.
J’entre dans le séjour et je constate que monsieur mon mari
est assis dans le sofa.
Je passe en l’ignorant.
Patrick : (En venant vers moi) Eva s’il te plait, je
suis désolé je vais tout t’expliquer.
Je t’ai cherché partout.
Quand je suis arrivé au restaurant tu n’y étais plus.
J’ai essayé de te joindre mais ton téléphone sonnait dans
le vide.
Je suis allé chez tes parents mais tu n’y étais pas non
plus.
Pareil, chez axel.
Eva pardon, je t’en supplie laisse-moi t’expliquer (En se
mettant devant moi).
Moi : Ok ok. Mais ce n’est pas nécessaire. Puis-je
passer ?
Patrick : Eva s’il te plait dit moi tout, énerve-toi,
crie si tu veux mais pas le silence.
Je ne t’en prie pas le silence.
J’en peux plus trésor, je n’en peux plus du silence.
Moi : Patrick, de quoi veux-tu que je me
plaigne ?
Attend du fait que tu sois auprès de ton enfant ? ou
de la femme qui t’a rendu père ? (Rire) je suis épuisé, s’il te plait
laisse-moi passé.
Patrick : Je voulais qu’on en parle Eva.
Qu’on parle de nous mon cœur. Je ne suis plus avec cette
femme.
Tout ce qui nous lie en ce moment c’est l’enfant.
Et quand, il sera un peu plus grand, je compte le faire
venir ici pour qu’en s’en occupe tous les deux, toi et moi en attendant que
Dieu nous en donne les nôtres.
Moi :(Rire) Patrick, s’il te plait arrête.
Tu es très drôle ce matin (En riant de plus en plus).
De grâces laisse-moi passer, je suis épuisé et j’ai besoin
de dormir.
Hier, j’ai passé une excellente soirée et je veux juste
dormir.
Patrick : (En s’agenouillant) Eva je t’en supplie.
Donne-moi une seconde chance.
Je te promets que plus personne ne te manquera de respect,
Même pas ma mère.
Moi :(En le regardant droit dans les yeux) j’apprécie
tes efforts monsieur mon mari, mais il est trop tard pour rattraper le passé.
En plus, ne compte pas sur moi pour priver une femme son
enfant.
Patrick, tu prétends ne rien avoir avec la mère de ton
enfant, Mais tu continues à coucher avec elle.
Ose me regarder droit dans les yeux et prétendre le
contraire (Il baisse la tête) ?
Humm, je m’en doutais.
Quand tu n’es pas dans cette demeure tu es chez elle, alors
ne me fait pas croire que rien ne vous lie.
Et ne t’inquiète pas je n’ai plus mal pour ça (Rire).
Maintenant, tu sais aussi pourquoi je te refuse mon corps.
Mon avocat va bientôt te contacter.
Je demande le divorce.
Moi aussi, j’avais cette annonce à te faire hier.
Je ne t’aime plus Patrick.
Je ne t’aime plus.
Tu peux tout garder si tu veux les maisons, les biens, actions
et autres titres.
Je ne vais pas te poursuivre pour adultère.
Je veux juste ma liberté. (Il me regardait surpris. Comme
si mes mots n’entraient pas dans sa tête.)
Patrick : Non Eva, Non. Je refuse, je refuse (En
criant).
Tu es en colère donc tu ne sais pas ce que tu dis mon cœur.
Moi je t’aime, il n’y a que toi qui compte.
Moi : Patrick tu voulais parler ? on va donc parler
(en allant m’assoir dans l’un des sièges du séjour).
Patrick : Eva je suis désolé (En prenant place en face
de moi). Je reconnais avoir merdé. J’aurais dû te défendre face aux attaques de
ma famille.
Je n’aurais jamais dû trahir ma promesse de mariage.
Je n’aurais pas dû te tromper.
Je regrette tout ça Eva.
Moi : Patrick imagine un instant que je te trompé avec
un autre homme.
Ensuite, que je permets à ma famille de te manquer
continuellement de respect, sans jamais avoir ne serais qu’une seule onde de
remords, ni même d’excuses.
Comment te sentirais tu ?
Patrick : Je serais certainement en colère comme tu l’ais
actuellement bébé.
Mais je me souviendrais de tout ce qui nous a unis et a
fait notre force dans ce mariage. Eva on vient de loin mon cœur.
Moi : (Rire) Patrick !! se souvenir de ce qui a
fait la force de notre mariage ???
hééé la bonne blague (Rire).
En parlant de souvenir, te souviens-tu du jour ou tu m’as
dit ceci : « Eva je suis avec la femme qui peut
me donner une descendance » ?
(Il ne dit rien)
Tu as perdu ta langue ?
Patrick : Je suis désolé Eva (la tête baissée et les mains
croisés). J’étais dans l’euphorie de sa grossesse.
Moi : (D’une voix plus douce) Regarde-moi s’il te
plait. (Il obéit) La douleur, je l’ai tellement accumulé qu’elle a failli
m’emporté avec elle.
Je fessais une dépression, mais tu étais tellement dans ta
bulle que tu n’as rien vu. Derrière, le masque de la femme parfaite que
j’affichais à l’extérieur, seul toi savais à quel point l’intérieur étais
pourri mais tu n’as absolument rien fait.
Rien du tout, Rien.
Toutes ces diners ou tu me trimballais comme un trophée tout
en sachant bien que lorsqu’on se retrouverais à deux, c’est le silence radio.
À la maison on était et nous sommes tout sauf un couple.
(Rire) Tes amis et mêmes des gens que je ne connaissais pas
venais en ta présence des fois me féliciter « Madame Gadji,
félicitation pour le bébé ».
Pourtant, ils ne m’ont jamais vu enceinte.
J’ai supporté.
Mais Ils ne s’arrêtaient pas à toi, ils le fessaient même
quand j’étais avec mes proches ou des collègues.
C’était plus dur à encaisser, c’était limite insultant et
humiliant à la fois.
Combien de fois ses murs ont vu mes larmes et entendu mes cris
quand tu dormais ailleurs.
Mais sache que je ne suis plus la gamine que tu as épousée.
J’ai grandi et appris.
Patrick : Pardon mon cœur (En se mettant à genou). Je
m’excusais par mes cadeaux. Je ne savais pas comment m’y prendre.
Moi : Tu t’entends parler ? je m’excuse par mes
cadeaux.
Patrick, je suis Eva Loba et tu sais bien que tout ceci ne
m’impressionne pas.
Je ne suis pas une de tes pétasses.
Parce je sais aussi qu’avant cette femme, il y en avait
d’autres.
Quand tu m’as connu, je travaillais et gagnais très bien ma
vie sans être en CDI.
Avec ma seule prime de stage de l’époque déduit de mes
charges et épargnes, je pouvais m’offrir au moins deux bijoux en or de chez AC
chaque mois.
Et Malgré, cela il me restait encore de l’argent.
Donc imagine un peu avec mon revenu actuel.
Qui pense tu impressionner avec ton argent ?
Patrick : S’il te plait Eva.
Moi : Tu ne m’as pas ramassé à la rue, ne l’oublie
jamais.
Et Attend une seconde, Et si on parlait maintenant de la
méchanceté gratuite de ta famille ?
Oh Oui !! ça aussi c’est un sujet ?
Je me suis demandé à plusieurs reprises ce que j’ai pu bien
faire à ta mère et tes sœurs ?
Bref, je pense qu’on en a assez fait pour aujourd’hui.
Je ne veux même pas entendre des explications sur elles.
Mais rassure-toi, Je vais bien depuis plusieurs mois.
Hier, tu m’as refait atterrir dans le ravin, mais j’ai
appris à en sortir.
Tu recevras dans les semaines à venir un courrier de mes
avocats.
Je ne compte pas changer d’avis.
Plus vite tu collabore, plus vite chacun aura la paix.
Comme je te l’ai dit tu peux tout garder si tu veux.
J’ai une très bonne situation financière pour prendre soins
de moi (Je me lève, l’abandonne et monte à notre chambre. Je referme derrière
moi afin qu’il ne puisse pas y entrer).
Enfin, j’ai vidé un peu mon sac.
Mieux, je me concentre sur ma personne.
Il pensait à quoi ?
La douleur me ramène rapidement à la réalité de mon
aventure de la veille.
Vous n’imaginiez pas à quel point, j’ai fait l’effort de
marcher normalement depuis mon entré dans cette maison, les initier
comprendrons (Rire).
Je me fais couler un bon bain, et m’introduit dans la
baignoire.
J’ai encore pleuré mais cette fois de soulagement, car j’ai
eu la force de briser mon silence.
J’ai fini par m’endormi dans mon bain mais avant de sombrer
dans les bras de Morphée mes dernières pensés était pour mon bel étalon d’un soir.
Patrick Gadji
Oui je sais, je mérite tout ce qui m’arrive en ce moment,
c’est bon ça va.
Je suis assis seul au salon et je ne peux éviter à mes
larmes de couler.
Patrick, tu es dans la merde jusqu’au cou.
Eva veut divorcer et je sais qu’elle est sérieuse.
Impossible, je refuse de la laisser faire.
C’est ma femme, ma femme à moi.
Mon épouse, la seul et unique madame Gadji.
Personne ne me la prendra.
Je ne dis bien personne.
Depuis la veille de son anniversaire ma mère et isabelle
ont veillés à ce que tout se passe mal et elles ont bien réussi.
Vous vous souvenez que maman avais demandé à me voir le
jour de l’anniversaire d’Eva.
Je vous raconte.
Feed-back
Moi : Bonjour Isabelle, s’il te plait dis à Maman que
je suis arrivé.
Isabelle : Bonjour mon cœur (En me faisant la bise),
elle est allée chercher son prophète à quelques mètres d’ici.
Elle sera là dans 10 Minutes maximum.
Moi : Son prophète ? Bon moi, je pars dit lui que
je reviendrais Demain.
Isabelle : (En se mettant
en face de moi pour m’empêcher de sortir) Ahhh Patrick, ce n’est que juste 10 minutes
pour attendre ta mère.
En plus, tu n’as même pas pris des nouvelles ou cherché à
voir Christ-Loris.
Moi : Bon (En m’asseyant, l’erreur) Amène moi
l’enfant.
Elle s’exécute et je passe le temps avec mon fils.
Maman arrive au bout de 45 minutes plus tard avec trois
types.
Le plus âgés, elle me l’a présenté comme son prophète et
les deux autres étaient les assistants de ce dernier du moins c’est ainsi que
je les ai qualifiés.
Moi : Ravi Messieurs de vous connaitre (après les
avoir salués).
Maman on doit discuter, j’ai déjà passé une heure ici.
Maman : Une heure que tu as passé avec ta femme et ton
enfant.
Moi : Maman s’il te plait. Tu connais ma femme.
Le prophète : Maman Gadji vous savez qu’on doit prier
pour bénir les lieux avant qu’on ne prenne place (Dit-il étant toujours débout
avec sa troupe).
Maman : Oui prophète Samuel, vous pouvez commencer.
Moi : Bon Maman, je vais partir et revenir demain pour
qu’on parle si tu veux.
Je risque d’être très en retard.
Maman : Patrick c’est juste la prière d’entré, il
finit et on parle.
Le prophète : Mon fils ça ne sera pas long, Soit Béni
(Mon fils ?? Mieux, je ne dis rien le mec doit avoir
45 ans maximum).
Je me calme et les laisse faire.
Déjà trente minutes pour prier, mais je prends mon mal en
patience.
Dès qu’il finit, maman me demande de la suivre dans la
chambre.
En y allant, je laisse sans m’en rendre compte mon
téléphone dans le divan.
Moi : Maman soit brève s’il te plait, je suis en
retard.
Maman : Ok (En refermant la porte de sa chambre à
clés).
Patrick, je veux que tu quittes cette femme.
Je suis ta mère et je sais ce qui est bien pour toi.
Elle ne peut rien t’apporter de bien.
Moi avec ton père nous avons eu trois enfants.
Ton oncle Ernest Gadji en a eu sept enfants, et ta tante Christine
Gadji en a six et j’en passe.
Même ta petite sœur Chantal a déjà un enfant et attend le
second.
Les Gadji sont féconds et toi tu te contentes de rester
avec une femme au ventre vide, sous prétexte qu’elle est intelligente, belle et
classe.
Regarde Isabelle comment elle t’aime.
Elle t’a donné un beau garçon en bonne santé et elle peut t’en
donner plusieurs encore.
Mais, tu ne lui accorde aucun intérêt.
Tu ne la respecte pas.
Alors que tu peux l’aider à s’améliorer, à devenir celle
que tu souhaites.
Patrick cette Eva t’a envouté et j’ai fait venir le
prophète Samuel pour te délivrer.
Moi : Attend (En riant nerveusement) Maman c’est donc divorcer
de ma femme ton sujet important ?
Tu m’as bassiné toute la semaine, des je veux te parler
(Grimace), je veux te parler (Grimace).
C’est pour me dire de DIVORCER (En hurlant).
Maman Ok, ouvre cette porte, je vais partir.
Maman : (En se mettant à pleurer, je me demande même
si ses larmes son réelle) Eva a détruit mon enfant ohhh !!!
Regardez comment il me parle ! Patrick tu ne sortiras
pas d’ici.
Cette sirène des eaux va libérez ta vie aujourd’hui même.
Si tu veux cette clé tu vas devoir me la prendre de force.
(Je connais ce stratagème. Demain elle risque de m’accuser
de l’avoir violenté après de toute la famille. Nous sommes en Afrique, Donc elle
sait que je ne le ferais pas. J’entends au même moment dans gens prier à haute
voix à l’extérieur. Quoi c’est une blague ? je ne crois pas.)
Moi : Ok maman ouvre, je vais divorcer. Mais ouvre s’il
te plait.
Maman : Patrick, Tu fais tout ceci pour aller la
rejoindre mais ça ne machera pas.
Moi : (Je regarde et je suis en retard de 45 min à
rendez-vous avec Eva, il faut que je trouve une solution pour sortir d’ici sans
créer d’incident familiale) Non, maman je n’irais pas tu peux me faire
confiance.
Sortons prier avec les autres.
Le prophète va enlever l’esprit d’Eva de ma tête.
Maman : Patrick si tu n’étais pas mon fils, je
t’aurais cru.
On va rester tous les deux ici et prier, les autres savent
ce qu’ls doivent faire dehors.
Moi : (Merde, en me rendant compte que je n’ai pas
aussi mon téléphone) Maman, Eva t’a fait quoi au juste pour que tu la déteste
autant ?
Elle ne t’a jamais manqué de respect, au contraire malgré les
injures et calomnies, elle est restée silencieuse et elle est la même avec toi
qu’au début de notre mariage.
Maman : Elle ne t’a pas rendu père, voilà son péché.
Moi : Tu es aussi une femme maman et tu as des filles.
Et elles n’ont pas encore toutes accouché.
Maman : Pardon, ne mets pas la mauvaise bouche sur mes
enfants.
Moi : Maman laisse-moi sortir s’il te plait.
Maman : Non Patrick.
J’ai essayé de la convaincre pendant de longues minutes
mais rien.
Déjà une heure de retard, Eva c’est sûr allait s’en aller.
J’enlève ma veste et me mets à charger la porte pour la
défoncer sous le regard surpris et les cris de ma mère me demandant d’arrêter.
Franchement, je m’en fous il faut que je sorte d’ici.
D’ailleurs, c’est moi qui paye tout ici.
Les autres de l’autres coté ont intensifié leurs prières.
Quinze minutes plus tard la porte cède et je suis dehors en
sueur.
Telle une furie, je fonce dans le séjour récupérer mon
téléphone.
Je constate qu’il est entre les mains d’isabelle.
Moi : Donne-moi mon téléphone (En criant, elle
exécute). Tu as fait quoi avec ? (En parcourant l’historique. Elle part se
cacher derrière ma mère).
Le prophète : Mon fils, nous devons vous délivrer de
l’emprise de cette femme.
Moi : Ferme ta gueule toi, et Je ne suis pas ton fils (vu
ma tête, ils savaient tous qu’il ne fallait pas me chercher)
Je sors et vois des appels du restaurant GINO RESSORT.
Je lance l’appel en attendant qu’il décroche, je sors de
l’appartement en courant.
Une fois dans la voiture la dame décroche.
La gérante : Monsieur Gadji nous avons essayé de vous
joindre à plusieurs reprises.
Moi : Désolé, j’ai eu un contretemps. Est-elle là ?
La gérante : Non.
Moi : Merde.
La gérante : La Dame
est arrivée à l’heure, nous l’avons installé et servi un apéritif. Elle vous a
attendu plus d’une heure et elle vient de partir à l’instant.
Moi : Merci
Je fonce donc chez nous rien, Eva n’y est pas.
Je décide d’aller chez ses parents rien.
Le regard de son père sur moi en disait long.
Je sais qu’il ne m’a jamais apprécié mais avec mes bêtises
de ces dernières années, je sais qu’il attend juste une occasion pour me
cracher son venin.
Je me rends chez Axel et elle
n’y est toujours pas.
L’idiot
en profite pour me menacer.
Il a
du bol que je sois préoccupé sinon j’allais lui faire sa fête aucun respect
pour les ainées.
Je retourne
chez nous, En espérant la voir revenir.
J’ai
fini par m’endormir au salon.
C’est
finalement, le lendemain à 10h30 que votre copine est rentrée.
La
suite nous la connaissons tous.
En
tous cas moi Patrick Gadji personne ne me prendra mon Eva.