5. Une punition sensuelle
Write by Brenne-junella
-Tu viens de dire quoi ?
-Relâche-la stp
-Non avant ça
Elle soupir avant de reprendre
-Je ferai tout ce que tu veux
-Bien ! on va la relâcher oui, mais après que tu es fais ce que je veux...
-Elle me regarde de travers
-Tu te souviens de ma promesse de te faire mienne ? eh bien j’en meurs d’envie.
Elle semble dégoutée mais je n’en fais pas cas. Je crie le nom d’un de mes gars qui entre, je lui donne des ordres avant qu’il ne disparaisse avec la villageoise.
Tous est un coup monté, l'idée de la faire mienne était si grande alors j'ai manigancé ceci, je savais bien que Sephora se montrerai si faible.
*** Malaika ***
Je me sens impuissante, je déteste ce sentiment. Je me sens très mal pour Sephora, cette femme genreuse qui s’est sacrifiée pour m’aider, ce type est capable de lui faire du mal. Ai-je vraiment le choix ? Je vais devoir... je vais devoir, rien qu’à l’idée de le dire j’ai envie de vomir
-Mademoiselle suivez-moi svp m’interpelle une employée
À cet instant, je prends conscience que le gars qui m’escortait n’est plus là
Je constitue son ombre, on monte à l’étage et je remarque à quel point la maison est grande et surtout bien meublée, il doit vraiment avoir de l’argent ce qui le rend puissant.
Elle s’arrête devant une porte, tourne la poignée et y entre, je fais de même. La pièce est très grande et très bien meublée, des meubles, aux rideaux passant par les draps, tous est gris.
-C’est à qui cette chambre ?
-C’est celle de monsieur
Bien sûr ! Elle va ouvrir la porte
-Voici la sale de bain, vous y trouverez tout ce dont vous avez besoin pour votre toilette, monsieur veut que vous soyez prête dès son retour. Sur le lit ce trouve la tenue que vous devez porter
Je m’avance et regarde la tenue
-Allez lui dire que jamais je ne mettrai ça, il m’a pris pour une prostitué ou quoi ?
-Monsieur va me tuer, je ne peux pas, si vous ne le faites pas, j’aurai des ennuis
-Qu’il aille se faire foutre !
-Je ne fais que mon travail, je vais vous laisser vous habiller. Dit-elle avant de s’en aller
Je regarde une fois de plus ce bout de tissus et ces dessous qui ne doivent rien cacher et secoue nerveusement ma tête. Je vais voir la salle de bain
C’est juste MAGNIFIQUE ! Il y a une douche et une grande baignoire ici aussi tout est gris, il y’a de grands placards et un grand miroir. J’ouvre l’une des grandes portes et tout est bien rangé, je prends une serviette et quitte mes vêtements je vais dans la douche, le carrelage est nickel j’ai presque peur de le salir, il est en vitre et très spacieux
Je tourne l’un des deux robinets et me mets sous le jet d’eau. L’eau est chaude et ça me fait un grand bien, je prends le gel de douche et mousse chaque partie de mon corps.
Après un long moment sous l’eau je sors enfin de l’espace et vais me brosser les dents, je m’arrête sur mon reflet au miroir et me demande pourquoi je m’apprête avec tellement de soin ce n’est pas comme-ci je voulais vraiment coucher avec ce malade.
Je dois plutôt être toute salle pour qu’il soit dégouté et qu’il ne me touche pas. Des violents coups à la porte me font sursauter
-Tu vas sortir de là ou tu veux que je vienne t’y sortir de force.
C’est ce psychopathe, je ne réponds rien et rince ma bouche avant de me passer de la crème sur le corps, ça doit être la sienne. J’hésite à sortir, j’ai un peu peur en plus je n’ai que la serviette qui m’enveloppe
Je suis debout à réfléchir quand il donne encore de coups à la porte.
-Je vais compter jusqu’à 5 et si tu n’es pas sorti je défonce la porte. 1...2...3...
J’ouvre la porte, il est devant moi et glisse son regard sur ma tenue
-J’avais clairement dit que tu devais être prête dès mon arrivée
-Je ne suis pas l’une de tes employés, au faite, je ne compte pas porter cette tenue
-Tu n’as pas d’avis à donner, tu l’a mets c’est tout
-J’ai dit non !
Il pousse la porte et me saisit le bras tellement violemment que je suis surprise
-Je crois que tu joue un peu trop avec ma patience.
Il s’est rapidement rapproché de moi et je peux sentir l’alcool dans son haleine, on se fixe et je sens une légère tension entre nous, il rapproche son visage et se baisse un peu pour poser ses lèvres sur les miennes, je suis d’abord surprise puis je le repousse violemment
-Je crois bien que tu n’as pas comprise, tu fais ce que je te demande ou, je donne l’ordre pour qu’on s’occupe de Sephora
-Tu n’es qu’un malade, tu ne peux pas te payer une pute pour te vider
-À quoi bon si j’ai l’occasion de le faire avec toi. Dit-il en caressant mon visage.
Tu me dégoute
-Je m’en fous royalement, tu passe la tenue de toi-même ou tu veux de l’aide ?
Il va la chercher et me la tend, je la lui prends violement des mains et m’enferme pour la passer. Je me tiens devant le miroir et je me sens vraiment mal à l’aise dans ce bout de tissus, ce string me dérange et le haut est tellement transparent.
J’inspire un grand coup avant de sortir le rejoindre, il est assit sur le grand lit avec une bouteille à moitié vide, avec un peu de chance il est surement bourré et va s’en dormir sans me toucher.
Je reste debout loin de lui, il se lève et se rapproche de moi avec sa bouteille. Il balade ses yeux de pervers sur moi et je me sens toute nue sous son regard dégoutant.
-Tu ne veux pas en prendre un peu histoire d’être à l’aise ?
Ce n’est pas une si mauvaise idée, je lui arrache la bouteille et prendre une première gorgée, le whisky me brule la gorge, mais j’en prends une deuxième puis une troisième gorgée sous son regard amusé
-Tu es bandante tu sais.
-Fais-ce que tu as à faire qu’on en finisse.
-Non, je vais prendre tout mon temps, je vais te faire ravaler tes mots et te monter de quoi je suis capable.
Il va poser la bouteille sur la table basse et revient vers moi, je ne laisse rien paraitre mais j’ai peur et veux prendre mes jambes à mon coup et partir loin d’ici.
Une fois près de moi il me plaque contre la porte et se colle à moi, il rapproche son visage comme pour m’embrasser mais il pose ses lèvres dans le creux de mon oreille il introduit sa langue chaude ce qui me donne un léger frisson, il la tourne doucement, je ferme les yeux. Il se détache brusquement de moi puis me regarde
-J’ai faim, on descend manger. Lance t-il en se dirigeant vers la porte
Qu’est ce que je disais, un vrai sociopsycopathe ! Je marche derrière lui à une bonne distance, il me conduit à la salle à manger où se tient une grande table avec des chaises du même style autour, la table est dressé et je peux très bien voir qu’elle et appétissante.
L’employé de toute à l’aire se tient debout près du siège du malade, elle à la tête baissée et les bras derrière le dos. Je tire une chaise et m’installe le plus loin de lui.
À peine il siffle que la demoiselle se met à faire le service, elle le sert puis fait e même pour moi, j’ai un grand appétit et j’aurais honoré ce repas comme il se doit mais, là je n’ai pas faim.
Je jette un regard vers lui, il mange tranquillement avec des manières de personnes riches, avec tout cet argent, on ne pouvait pas lui donner une bonne éducation.
Nos regards se croissent, je ne détourne pas le mien, il me sourit avant de me faire signe du doigt de me rapprocher
-Je ne ressemble pas à l’une de tes chiennes.
Il se lève d’un bon et marche à grands pas jusqu’à moi, j’avoue que je ne suis pas très rassurée. Il empoigne mes tresses qu’il tire vers le bas, je grimace de douleurs
-Tu as une bien grande bouche ! lèves-toi on monte
-Je peux me lever toute seule.
Il me lâche et se recule, je me lève et marche vers la chambre, autant qu’on en finisse une fois. Une fois dans la chambre il me demande de m’allonger sur le lit, je pousse un long soupir avant de le faire
Il me rejoint et se met sur moi, je sens tout son poids sur moi, il me regarde dans les yeux, je sens son souffle se mêler au mien. Je peux admirer ses grands yeux ainsi que chacun de ses traits. Ce mec a tout pour séduire une femme, quel gâchis, une belle gueule pour un esprit malade.
*** Corbeau ***
Cette fille me met dans un état que je n’arrive pas contrôler, je ne sais pas si c’est l’alcool mais je la trouve belle, naturelle, sans artifices juste une femme belle à l’état naturelle.
Je la regarde et lis dans ses yeux ... rein, son regard n’exprime rien. Elle doit elle aussi cacher des blessures, ce regard je le connais. Je pose mes lèvres sur les siennes, elle ne bouge pas et me laisse faire.
Je laisse glisser ma main sur sa cuisse dénudé, sa peau est chaude et lisse. Je remonte doucement la robe jusqu’à son ventre et le lui caresse, je laisse ses lèvres pour son cou, je lui donne de légers baiser dans le cou, elle fixe le plafond et joue à la morte. Cela m’amuse, mais me pousse à relever le défi
Je me redresse un moment et passe sa robe par-dessus sa tête, elle est devant moi avec ces dessous en dentelles très sexy, pour moi il n’y a pas plus sexy qu’une femme un dessous en dentelles.
Elle a de belles formes, des seins bien fermes ni trop gros ni trop petit juste parfait, un ventre plat et une chute de rein superbe, elle est vraiment un appel au sexe. Je me recouche sur elle entre ses jambes, je titille son oreille en y glissant ma langue chaude, elle et toujours de marbre.
Je passe mes mains sous son dos et dégrafe son soutient, je le retire et l’envoie dans les airs. La vue de ses tétons fait grimper mon érection, je laisse mes doigts remonter le long de son ventre jusqu'à son sein droit, je roule son téton entre mon pouce et mon index
Je délaisse son téton pour effleurer son cou puis le contour de ses lèvres
Couches-toi sur le ventre !
Elle obtempère sans broncher, j’en suis un peu surpris. Elle m’offre une belle vue de son postérieur bien rebondi, j’ai envie de lui donner une belle claque. A la place, je lui retire son string, je le fais doucement je me redresse pour le faire passer par ses pieds et je pose des baiser depuis ses mollets jusqu’au bas de son dos, elle a les yeux fermés signe qu’elle n’est pas si insensible.
Je la retourne sur le dos et elle refixe le plafond, j’écarte légèrement ses jambes et frôle celles-ci de mes doigts, une fois à son entre jambe, je pose mon index sur son bouton d’amour, j’appuie et d’un mouvement rotatif je le caresse tout en observant sa réaction, elle peine à garder ses yeux ouverts, elle se bats avec elle-même pour ne pas gémir
J’entre un doigt en elle, c’est humide et chaud, elle est bien étroite. Mon doigt s’enfonce plus profond en adoptant de réguliers va-et-vient j’ajoute un autre doigt et elle a les yeux fermés et les poings serrés.
-Tu comptes résister encore longtemps ? je suis Corbeau et j’honore toujours une promesse. Chuchote-je en rajoutant un troisième doigt
Elle commence à mouiller signe que son corps, lui ressent un grand plaisir, je pousse la torture plus loin et enfouis ma tête entre ses cuisse, je sors ma langue et la fait glisser sur son clitoris, elle a un frisson puis la chair de poule sur tout son corps. Elle a perdu son assurance, elle est juste belle ainsi offerte
Je lèche son clito pendant que mes doigts s’active en elle, elle tire sur les draps et essaye de refermer ses jambes mais avec ma main libre je la stoppe, je promène ma main sur sa poitrine et pince de temps en temps ses tétons à tour de rôle.
Elle mouille abondamment, elle est proche de l’explosion. Je veux voir ce moment alors je laisse son abricot et me tiens sur mes genoux sans retirer mes doigts, j’accélère, en peu de temps ses muscles se contracte autour de mes doigts
Elle se pince les lèvres, je me tiens sur mes jambes et retire rapidement mes vêtements, je sors la boîte de préservatifs de ma poche. J’enfile un et revient me placer entre ses cuisses, avec mes mains je l’écarte légèrement
Je dirige mon sexe vers sa grotte chaude, je passe sans difficulté, une fois en elle je grogne tellement je m’y sens bien, elle est parfaite, chaude et étroite. Je commence des vas et vients lent pour qu’elle s’habitue à mon sexe
Très vite, je ne me contrôle plus, je commence des mouvements très rapide et brute, je la regarde de temps et temps et je vois bien qu’elle prend tout aussi du plaisir par son visage qui se déforme par le plaisir. Je me penche sur son oreille
-Tu aime ça n’est ce pas ?
Elle ne répond pas, je me retire d’elle et la retourne je la positionne en levrette pour ainsi m’introduire plus profondément. Je la saisis par la taille et la chevauche sans ménagement.
-Hum !
J’ai bien entendu un petit gémissement, je ne rêve pas. J’ai un sourire aux lèvres, je viens de lui faire ravaler ses mots.
Je prends un réel plaisir pendant un quart d’heure, elle est si bonne qu’il me faut une grande maitrise pour ne pas jouir trop vite, mais je ne peux pas me retenir encore longtemps
J’explose en grognant, je tombe sur elle repu. Il y’ a longtemps que j’ai ressentis un tel plaisir.
*** Malaika***
Ce n’est pas vrai ! Je n’ai pas aimé ce qui vient de se passer, non ! Cet homme m’a violé et il faut être folle pour ressentir autant de plaisir lors d’un viol.
Il est couché près de moi, je lui tourne le dos et n’ose pas le regarder dan les yeux, je viens de perdre ma dignité. Mais je le reconnais, il m’a fait connaitre des sensations que jamais aucun homme n’a réussi
Dès qu’il a posé ses mains sur moi il m’a fallu un grand effort pour ne pas hurler de plaisir, le plus difficile à été quand il m’a rempli de son membre. Rien qu’y repenser, me procure une chaleur dans le bas du ventre
Sa respiration est lente, il doit être en dormi. J’essaye de sortir du lit mais quand je tente de me lever il me tire par le bras, m’obligeant à me recoucher puis il se rapproche de moi
Je sens son sexe contre mes fesse, je ne l’ai pas vu mais à le sentir comme ça, il doit vraiment être au dessus de la moyenne normale. Il me retourne m’obligeant à le regarder, je veux baisser les yeux mais il est hors de question que je me montre faible
-Tu fais moins la fière !
-Tu te crois meilleur ? j’ai connu plus endurant
Il se met à rire, c’est bien la première fois que je l’entends il a un rire rauque, ce rire tire ses traits et lui donne un certain charme
-La femme a toujours la bouche ! tu as gémis, j’ai bien vue que tu te retenais ma belle. Je suis sûr que je t’ai emmené où jamais aucun ne t’emmèneras.
-N’importe quoi.
Si tu réponds encore, je te pénètre encore et cette fois sans protection. Relique t-il
On s’affronte du regard, j’ai envie de lui répliquer mais non, je préfère ravaler mes mots, je me retourne et m’éloigne de lui mais il se rapproche. Je me sens fatiguée alors je ferme juste mes yeux et me laisse aller dans les bras de Morphée
****
Je suis endormie et surement en plein rêve quand je ressens une sensation étrange mais agréable, c’est si bon. Je pousse de légers gémissements, je ne saurais dire si je rêve ou si je le vis réellement
Je décide d’ouvrir mes yeux et la je me sens secouée, ce n’est pas vrai il a remis ça
-Je ne pouvais pas commencer la journée sans prendre encore mon pied.
Je veux rétorquer quand il s’enfonce d’un coup sec et profond, je suis tellement surprise que je laisse échapper un bruit, je ne reconnais pas ma voix je suis dans un mélange de sensations.
Il me secoue un moment avant de se retirer quand j’ouvre les yeux je le vois éjaculer par terre, là je prends conscience qu’il m’a pénétré sans protection. Je vois rouge et me redresse d’un bon
-Mais tu es malade ! comment peux-tu le faire sans préservatif ? et si tu me refilais une maladie ?
-C’est plutôt moi qui devrais m’inquiéter
-Tu n’es vraiment qu’un...
-Pas d’injures, sinon je vais te faire très mal. M’interrompt-il
Il a le visage neutre, je n’ajoute rien et retourne m’asseoir sur le lit. Je le vois se diriger vers la salle de bain, j’entends l’eau couler j’en profite pour chercher mes vêtements
Mais je ne mets la main que sur les dessous, alors je le passe et me couvre du drap. Quand il revient il est tout nu et je peux ainsi voir son corps bien tracé et surtout ses tatouages il en a sur une grande partie du corps mais ce qui me trouble c’est son membre. Je suis vraiment submergé par ça
Si tu as fini de mater, tu peux aller prendre ta douche
Je me lève et vais me laver, je prends tout mon temps après une bonne douche réparatrice, je sors mais je me retrouve seule dans cette chambre. Je n’ai pas de vêtement à mettre, alors je commence à fouiller les placards
Je suis surprise de voir des vêtements pour femme sur les cintres, soit j’ai à faire à un transgenre, soit ces vêtements ont appartenus à une femme. Mais, serait-il marié ? Où est cette femme ?
Pour l’heure je choisis une belle robe droite ni trop courte ni trop longue qui me sied bien, je retourne dans la douche pour me coiffer, je relève mes tresses dans une belle queue de cheval. Je me mets à chercher avec un peu de chance je pourrais trouver une trousse de maquillage
Je tire les tiroirs et y trouve ce que je cherche, je me mets un peu de gloss et dessine mes sourcils. J’entends du bruit et retourne dans a chambre
C’est l’employée de hier qui se tient debout
-Bonjour mademoiselle, monsieur vous entend pour le petit déjeuner
-C’est lui qui t’envoi ?
-Oui
-Dis lui que je veux voir Sephora
Elle me regarde en arquant les sourcils puis quitte la pièce, je m’assois sur le lit a attendre.
La porte s’ouvre en fracas sur ce malade, il me regarde méchamment et s’avance vers moi, je me tiens debout une fois a quelques centimètres de moi alors qu’il est sur le point de dire un mot il regarde ma robe
-Où as-tu pris cette robe ?
-Dans le placard
-Retire-la
-Quoi
-RETIRE-LA ! hurle t-il
Il a réussi à me faire sursauter, je vais dans la salle de bain la retirer en poussant un long juron. Je reviens enroulé dans une serviette, il me regarde et pousse un soupir
-Pourquoi ne peux-tu pas te montrer coopérante ? est-ce trop te demander de te plier aux règles ?
-Je ne suis pas l’une de tes employés.
-Tu te rends compte que tu me défies, une nouvelle fois ?
-Si tu en as marre tu peux toujours me laisser partir, après tout tu as eu ce que tu voulais
-Et qu’est ce que je voulais ?
-Coucher avec moi, c’était plus un viol d’ailleurs
Il rigole et j’apprécie ce rire
-Un viol où tu as aimé, gémis et jouis !
-Où est Sephora
-Sephora a déjà été relâché (se dirigeant vers la sortie) je te fais monter une robe, tu l’as met et tu descends sans faire d’histoires
Il s’en va. Ce gars est bizarre, je me souviens que Sephora m’ait dit qu’il est ainsi à cause de son père, je veux bien connaitre son histoire pour peut-être le comprendre