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Write by Nobody


Bon soufflez inh les gens,je ne vais quand même pas vous laisser dans le déni comme ça,je ne vais quand même pas laisser notre  histoire en suspens comme ça sans que vous ne sachiez ce qui s'est vraiment passé il y a six ans dans la maison de la sangsue,sans que vous ne sachiez comment notre Sarah  a fini. Au début je pensais a laisser ça comme ça j'avoue et de vous demander d'imaginer vous même mais je sais que certaines vont me tuer mdrr alors je ne veux même pas prendre ce risque la. Alors bonne lecture, il ne reste a priori que quatre chapitres avant de dire bye bye a l'histoire de Sarah et de la sangsue. Des bisous.


Flashback


Cela se fera selon le point de vue d'Alaric, jusqu'à la fin


6 ans avant dans la maison de la sangsue


- Alors Sarah fais un choix,je tire sur Alaric ou sur Zacharias,tic tac tic tac


Cet homme,il n'avait même pas une once d'humanité en lui. Il était sans coeur et ce depuis la disparition tragique de la seule femme qu'il ai jamais aimé.


- Sarah écoute moi,ne choisis pas ne choisis surtout pas. Il ne va rien faire,fais moi confiance.


- Sarah l'heure passe,fais ton choix.


Alaric regarda Sarah et il su qu'elle allait faire comme il avait dit. Bien,c'était très bien même. Il ne voulait pas que Sarah ai la mort de son frère sur la conscience. Et de toutes les façons,lui non plus ne voulait pas qu'il meurt,après tout c'était son frère. Malgré toutes les misères qu'il lui avait fait subir,malgré toutes les actes atroces qu'il avait vécu par sa faute, il refusait de le voir mourir. Zac n'avait rien demander dans l'histoire. La seule chose qu'on puisse lui reprocher c'est d'avoir aimé plus que nécessaire cet homme qui se passait pour son père.


- Je ne choisis personne répondit Sarah avec un sanglot transparent dans la voix 


- Tu es sûre de toi ?


Voyant qu'elle ne répondait pas il poursuivit


- D'accord c'est toi qui l'aurait voulu


Puis sans crier gare il tira.


Et la personne sur qui il tira fut Alaric a la grande surprise de tout le monde et d'Alaric en premier.


Alaric sur le coup de la douleur s'effondra a terre en faisant un effort surhumain pour ne pas hurler de douleur.


Il entendit plus qu'il ne le vit,Sarah se débattre et essayer de venir vers lui mais des gardes l'avaient sûrement retenu.


- Alors Sarah je répète, quel est ton choix ?


- Écoute..moi Sarah fais moi..confiance,ne choisis personne


- Mais il va te tuer répondit-elle cette fois en pleurant


- Ne t'en..fais pas,il ne me fera rien okay ?


- Je ne choisis personne monsieur répondit-elle après une grande inspiration


- Sarah non choisis moi, ça n'en vaut pas la peine fit Zacharias


Alaric était content de voir son frère prêt a se sacrifier pour lui. Mais il ne voulait pas qu'il meurt


- Sarah je t'ai dis choisis personne


- Je ne choisis personne


Il commençait a faiblir et priait que tout cela s'arrête dans les plus brefs délai. Il était la de sa pensée quand il sentit une nouvelle déchirure. Cette fois-ci il ne put se contenir et émit un long hurlement a l'instar d'un animal blessé.


Là ça en devenait trop pour lui,il n'allait pas résisté longtemps il en avait bien peur mais il était décidé a tenir Zac en vie jusqu'au bout.


- Alaric sanglota Sarah qui avait apparemment toujours du mal a se détacher.


- Je..suis là..Sarah,tout va bien.


Aussitôt après qu'il ai dit ça il se rendit compte de l'absurdité de sa phrase. Bien sûr que cela n'allait pas,pas du tout.


Mais petit a petit alors que Sarah hurlait sur la sangsue il se sentit partir,lentement mais sûrement.


Bientôt il baissa les bras, et se laissa emporter par le noir qui voulait l'envelopper depuis un bon bout de temps.


*Quelques heures,ou jours,ou semaines plus tard*


Alaric émergea lentement de son sommeil. Il ne savait pas où il se trouvait, ni quel jour on pouvait bien être. Il était couché sur un lit blanc dans des draps blancs,les murs étaient blancs.


L'odeur caractéristique des hôpitaux vint lui titiller le nez. Il ne fallait pas être devin pour savoir qu'il se trouvait a l'hôpital. Du comment il s'était trouvé sur ce lit il n'en savait absolument rien bien que le souvenir,certes flou,des événements passés étaient encore présent dans sa tête.


Il se rappelait s'être fait tiré deux fois dessus par son père,enfin celui qu'il avait pris pour père pendant 26ans, après ça c'était le néant, le flou complet.


S'il se retrouvait a l'hôpital et surtout en vie,c'est sûrement parce qu'ils avaient réussi a vaincre la sangsue,non ?


Il regarda autour de lui et vit les perfusions qui étaient reliés a son bras. Il continua son inspection puis ses yeux se posèrent sur ses jambes où se trouvaient d'immense bandages. Il se rappelait avoir reçu les balles a ces endroits la.


Une petite douleur commençait à se réveiller au niveau de sa tête et petit a petit telle une tumeur,la douleur s'amplifia jusqu'à en devenir insupportable.


Il ne savait pas quoi faire pour se débarrasser de ces douleurs. Il ne pouvait pas bouger,il ne pouvait rien faire que d'attendre qu'un corps médical daigne se présenter dans la pièce. Mais en attendant cela il ne pouvait espèrer que cette migraine disparaisse comme elle était apparu.


Quelques instants plus tard, une infirmière fit son apparition. Elle fit les grands yeux sûrement surprise de le voir réveillé.


Il ne comprit pas son geste puisque celle-ci courut vers la sortie sans un mot. Avait-elle vu un fantôme ?


Mais en la voyant revenir avec un médecin il comprit qu'elle était partie chercher son supérieur.


- Monsieur en voilà une surprise ! s'exclama le médecin en se dirigeant vers lui


Il l'osculta pendant un bon moment puis prit des notes sur une fiche. Il fit plusieurs analyses puis prit enfin la parole en libérant l'infirmière.

- Bonjour monsieur, comment vous sentez vous? demanda le médecin

- Ce n'est pas la grande forme comme vous pouvez le voir docteur. Vous pouvez m'expliquer ce qui s'est passé ?

- Bien sûr. Alors après que l'on vous ai agressé on vous a amené ici alors que vous étiez totalement dans les pommes. Vos deux jambes avaient reçus une balle chacune et comment vous dire la chance que vous aviez eu. Dix centimètres de plus monsieur et je ne suis pas sûr que vous auriez pu recouvrir votre mobilité. Vous aviez une bonne étoile ça croyez moi. Enfin,nous avons pratiqué une opération tout de suite, une opération qui sans l'aide de vos amis auraient mal tourné. C'est que vous aviez perdu trop,je veux dire énormément de sang. Il vous fallait une transfusion d'urgence.

A partir du moment où il avait prononcé le mot ami Alaric fut soulagé. Cela voulait dire que tout le monde était sain et sauf,c'était un ouf de soulagement.

Tout ce qu'il voulait présentement c'était de revoir Sarah. Il voulait la voir saine et sauve, il voulait la serrer dans ses bras et ne plus jamais la lâcher. Oui c'était ce dont il mourrait d'envie.

- Quoi ? Comment ça ? demanda Alaric en ayant surement mal entendu

- Vous êtes restés dans le coma pendant un mois et demi. J'avoue que nous n'avions pas pu établir la raison de ça, après tout l'opération s'était bien passée. Après nous sommes arrivés a la conclusion que c'était une réaction de votre organisme,indépendamment de la volonté de quiconque.

- Je suis resté dans le coma pendant un mois et demi ? Vous vous foutez de moi ? J'ai l'impression que j'ai fermé les yeux y'a quelques heures.

- Le fait est que vous êtes vraiment resté endormi pendant plus d'un mois.

- Et je peux savoir si des gens sont venus me rendre visite ?

- Ah ça! Y'a des jeunes gens qui ont même voulu prendre une chambre ici pour rester prêt de vous. Pas un seul jour sans qu'il ne vienne vous rendre visite. D'ailleurs y'en a deux présentement dans la salle d'attente,ils ne savent pas encore que vous êtes réveillés.

- Cela vous dérangerait-il de les faire entrer s'il vous plait ?

- Non bien sûr que non mais vous devez vous reposer monsieur. Et ne vous en faites pas,vous êtes hors de danger. Une infirmière passera plus tard pour renouveler vos pansements.

- D'accord merci beaucoup docteur.

- Je vous en prie dit-il en se retirant

Avec toutes ses nouvelles il avait même oublier de parler de sa migraine atroce au docteur mais en se rappelant que dans quelques instants il reverrait Sarah,un sourire s'épanouissa sur ses lèvres. Il en oublia instantanément sa migraine.

- Sacré veinard fit Jack en rentrant dans la pièce

Alaric éclata de rire mais tout de suite après il regretta ce geste,il venait encore une fois de réveiller sa migraine

- Je me suis offert des vacances pourquoi tu rages mon frère répondit-il alors que Jack venait lui faire un semblant d'accolade

- Salaud rétorqua-t-il en éclatant de rire

- Putain Alaric tu as mauvaise mine, toujours aussi moche a ce que je constate dit Jérémy resté un peu en retrait

- Oh non pas lui répondit Alaric sur le ton de la plaisanterie

- Crève Alaric fit-il en lui faisant également une accolade

Alaric regarda vers la porte en attendant de voir Sarah entrer mais pendant un long moment personne ne franchit la porte. Il fronça immédiatement les sourcils puis lança un regard incompris aux deux autres.

- Quoi ? demanda Jérémy


- Comment ça quoi ? Elle est où l'autre grosse ?


- Qui ça ?


- Jack ne m'énerve pas,je parle de Sarah, ta soeur elle est où ? Pourquoi n'est-elle pas venu me voir ?


Sans rien comprendre il vit Jack sortir de la chambre en trombe. Il regarda Jérémy dont le regard avait totalement' changé.


Non cela ne pouvait pas être ce a quoi il pensait !


- Non ? Jérémy non ?


- Si Alaric ! Sarah est bien morte


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