Avancé
Write by Yayira Bénédicte
Hélène
Assandy
Je suis bien vivante et bien portante, je ne suis pas devenu
prostituer comme certain le souhaitais, mon mari est dans les affaires. Je suis
une femme d’affaire aujourd’hui, je suis rentré à Abidjan il y’a deux semaines,
et je me fais discrète pour le moment, mais en je lui réserve une belle
surprise à ma chère sœur. Le chauffeur se gare dans la cours de la villa que
nous avons loué, j’ai vécu le meilleur de ma vie ses derniers mois, grâce à moi
mon mari arrive à faire fructifier ses affaires comme jamais au par avant. Je
descends après que le chauffeur m’ai ouvert la portière, mes talon claque sur
le sol alors que je m’avance vers la demeure. Je trouve mon mari assis entrain
de boire un verre
-
Alors ? demande-t-il dès que je franchis
le seuil de la maison
-
Laisse-moi me désaltérer d’abord dis-je en que
la servante m’apportait une coupe de champagne. Elle commence à connaitre mes
habitudes, c’est bien.
Je prends une gorgée, j’enlève ensuite mes escarpins et je croise
les jambes.
-
Alors j’ai pu parler avec l’ex de ma sœur,
c'est-à-dire le père de son fils et j’ai bon espoir qu’il va me rappeler
-
J’espère que tu as été convaincante, nous
devons avoir les enfants le plus tôt possible, parce qu’avec eux c’est facile
de passer pour la petite famille parfaite et de faire rentrer la cam
-
Je sais, et je sais qu’il va me rappeler, les
avocats sont déjà prêts, le détective que j’ai engagé depuis une semaine
maintenant fait de bon boulot alors ne t’inquiète pas, lui prendre les enfants
serai un jeu d’enfant.
-
Tu es sûre ? ne sous-estime jamais ton
ennemie. Me dit-il
-
Elle n’a aucun statut matrimonial
contrairement à moi, en plus je suis leur mère biologique, et le juge verra en
moi une mère battante qui est allé se battre pour l’avenir de ses enfants et qui
vient les chercher après avoir réussi, je serais une héroïne, comparer à cette
catin, il suffit juste de prouver qu’en plus d’être une pute, elle s’occupe mal
des enfants, n’a pas leur temps etc… t’inquiète pas je gère.
-
Ok, si tu le dis, on a une cargaison qui doit
arriver ce soir par le port, ils ont été dissimulés comme convenue dans les
tubes de crèmes éclaircissante que tu as commandés en Thaïlande
-
D’accord, j’irai les chercher, les gars sont
déjà prêts ?
-
Oui, ils seront au quai dès 19, j’ai déjà tout
gérer avec la douane portuaire.
-
Ça marche.
-
Vient faire un coucou à papa. Dit-il en
ouvrant sa braguette. Je posais mon verre et j’allais le prendre dans ma
bouche.
Je le pompe en pensant à la crise que va faire ma sœur quand je
lui prendrais les enfants, et annoncé au monde entier, surtout à ses fans quel
putain elle est, ça sera tellement jouissif de la voir mordre la poussière,
j’attends ce moment avec impatiente. Vivement que ce petit con de Diarassouba
me conctact rapidement !
-
Et si on se faisait une partouse ce
soir ? demanda mon mari
-
Ça serait une excellente idée, je gère la
cargaison et toi tu appel les gars, pas plus d’une dizaine de personne chéri,
nous devons rencontrer certaine personne demain et on doit être en forme
-
D’accord ma reine. Dit-il avant de m’embrasser
goulument !
Mon mari c’est un ange, il avait peur que je le qui en apprenant
dans quoi il trempait vraiment mais c’était mal me connaitre, au contraire je
nous ai fais avoir beaucoup plus de client.
Assandy Éloïse Natasha
Trois semaine déjà que Alexandre à rompu avec moi, on se voit au
boulot souvent mais rien, il est toujours aussi professionnel, il passe
toujours voir les enfants à la maison, ils se font même des programme de sortis
quand il n’est pas en voyage mais sans moi. Ma mère m’a demandé si y’avait un
problème, je lui ai dit qu’on est juste en petit froid et que ça allait passer
mais au fond je crois qu’il est passé à autre chose, c’est vrai qu’il est
devenu très susceptible et qu’il ne rit plus avec personne mais il est toujours
aussi frais. Plus frais qu’avant même je dirais, et il a très souvent des
lunettes de soleil qui lui donne un certain genre alors que moi je ne suis plus
que l’ombre de moi-même, Ana m’encourage à me reprendre en main mais j’y arrive
pas. Pour les rares fois ou on a eu à se croiser dans les locaux de la radio ou
dans les couloirs il m’a dépassé sans même un bonjour. Lors de la réunion de
mensuel il m’a royalement ignoré.
Je n’en peux plus de continuer comme ça, j’ai donc postulé dans
une autre radio et hier j’ai eu un entretien d’embauche. Ils sont prêts à
m’embaucher donc ce matin j’ai déposé ma lettre de démission, comme ça il
n’aura plus à supporter ma tête qui l’énerve tant ! il m’a fait un
virement à la fin du mois passé pour les enfants comme si de rien était, je lui
ai envoyé un message pour lui dire merci mais il n’a pas daigné répondre. Un
soir j’ai pris mon courage à deux mains je suis allé à son appart puisque
j’avais les doubles des clés. Il était surpris de me voir mais il n’a rien dit,
il a juste prit ses clés et est sortis. Je suis resté pendant trois jours mais
rien y fit quand il rentre et qu’il me trouve il repart. J’ai fins par rentrer
chez moi et je ne suis plus retourné là-bas.
Je ne sais plus comment lui demander pardon, les appels, les
messages, tout ! J’ai même failli demander à maman de lui parler pour moi
mais je me suis ressaisi. Chose bizarre c’est que sa mère continue de m’appeler
de tems en temps comme si de rien était, je suppose alors qu’il ne lui a pas dit
qu’on est plus ensemble, sa sœur aussi continu de me regarder de haut. Ana,
Méliane et Annissa me disent de ne pas perdre espoir et qu’il reviendra à de
meilleur sentiment, mais est-ce qu’elles voient le regard inexpressif et vide
de chaleur qu’il me lance quand on se croise ? Est-ce qu’elles voient
comment il m’ignore de façon grotesque lorsqu’il vient chez moi voir mes
enfants ? Est-ce qu’elles voient le regard qu’il me lance si par m’égard
je lui effleure la main peut-être en lui passant ou en lui prenant Mila ?
Non elles ne savent pas tout ça
Je ne veux pas faire la victime car je sais que c’est moi qui ai
déconné mais j’ai essayé comme j’ai pu de me faire pardonner mais il ne veut
rien comprendre. J’ai arrêté de me plaindre à Ana, elle prépare son mariage et
je ne veux pas qu’elle soit triste pour moi. Annissa et Méliane ne sont pas
vraiment mes amies, on se connait à peine et c’est à cause de lui que je l’ai
ai connu je ne veux donc pas en faire trop ou les embêter avec mes problèmes.
-
Nana je te parle ! dit Laeti en tapant
sur la table pour me sortir de mes penser
-
Désolé, tu disais ?
-
Le boss te demande, sa secrétaire vient
d’appeler
-
Quel boss ? demandais-je stressé
-
Combien de boss tu as ? monsieur Adéléké
bien sur. Dit-elle alors que mon cœur battait plu que de raison
Je sas qu’il veut me voir à cause de ma lettre de démission mais
mon cœur bat tellement, depuis cette histoire lui et moi on ne sait plus
retrouver seul à seul dans son bureau alors j’appréhende un peu même si je sais
que c’est pour des raisons strictement professionnel qu’il me demande
-
Prenez place mademoiselle Assandy. Dit-il le
visage fermé
-
Merci monsieur. Dis-je en m’assaillant
-
J’ai reçu votre lettre de démission et je suis
dans le regret de vous annoncé que cela ne sera pas possible. Au cas où vous
n’avez pas lu votre contrat je vous demande d’allé le lire. Vous ne pouvez
démissionner que pour cas grave, et je ne vois aucun cas grave énuméré dans
cette lettre
-
Pour ma santé mentale monsieur. Dis-je
-
Votre santé mentale on s’en fiche, ce qu’on attend
de vous c’est de faire du bon boulot et jusqu’alors vous n’avez pas donné de
raison de douter de votre compétence. Dit-il
-
Mais là je suis à bout et je ne peux plus
travailler ici, ma santé mentale vous emporte peu mais pour moi elle est plus
qu’importante. Dis-je en le fixant, c’est même quoi ? j’ai tué qui pour
qu’il veuille me traiter comme de la merde
-
Alors je suppose que vous êtes prête à ne pas
travailler pendant deux ans ? parce que le contrat stipule que si vous
rompez le contrat vous n’allez travailler pour aucun média pendant deux ans.
Dit-il en me fixant aussi
-
Pardon ? cela n’a jamais été mentionné
dans mon contrat
-
Je crois que vous avez une copie du contrat
alors aller le lire et lisez le attentivement, vous pouvez à présent disposer.
Dit-il en reportant son attention sur son ordi
-
Alexandre… commençais-je
-
Monsieur Adéléké ou monsieur tout cour. Dit-il
sans le vé la tête
Je restais un moment sans rien dire avant de m’en aller, ça veut
dire que je ne peux pas partir, je dois rester là à supporter sa tête de
monsieur chien méchant.
Alexandre
Oluwafemi Adéléké
Je pu enfin souffler que lorsqu’elle sortit de mon bureau. C’est
tellement difficile de faire l’indifférent vis-à-vis d’elle alors que mon cœur
dit autre chose. Je me concentre sur mon travail, enfin j’essai. Je dois aller
au Nigéria pour quelque temps, la femme de mon frère à accouché, il fut que je
rentre m’occuper de certaine urgence à l’entreprise qui ne peuvent pas attendre
qu’il revienne de son congé de paternité. J’étais sensé y allé avec Éloïse pour
la présenter à ma famille mais voici où nous en somme. J’ai toujours de bonne
relation avec les enfants que je passe voir autant que je peux, pas par rapport
à elle mais je les aime beaucoup alors je veux bien rester dans leur vie. Je
n’ai pas encore parlé de la situation à avec ma mère, elle ne sait pas qu’on
est plus ensemble et je préfère le lui dire quand on se verra parce que je sais
qu’elle aime bien Éloïse.
J’étais surpris quand j’ai vu sa lettre de démission sur mon
bureau ce matin, je ne savais pas qu’elle comptait quitter la radio.
Heureusement que le contrat à prévu cela, elle ne peut pas rompre le contrat
avant au moins 5 ans sans une raison bien valable donc elle devoir encore
supporter ma tête longtemps.
Je sors de mon bureau à 12h pour allé déjeuner dans un resto non
loin du domaine avec ma sœur.
-
Tu es en froid avec ta chérie ? me
demande-t-elle alors qu’Éloïse entre avec Oscar
-
C’est
quoi ton problème à toi là dedans ? lui demandais-je
-
Rien, juste pour savoir, comme vous vous
regardez comme chien et chat alors que d’habitude c’est des regards enamouré en
n’en point finir surtout quand vous pensez que personne ne vous regarde
-
Ça ne me dit toujours pas là où se situe ton
problème à toi
-
Mon problème c’est que tu es devenue
grincheux, beaucoup plus qu’avant, donc si elle te vidait bien les couilles,
alors retourne vers elle
-
Mind your
language young girl. Dis-je sur un ton ferme
-
Tu vois c’est ce que je dis, on ne peut plus
blaguer avec toi. Dit-elle en commençant
à manger son plat
Je la vit se crisper quand Frederick est rentré au bras de
Coralie, une animatrice de la télé national avec qui nous avons des projets.
Elle les lorgna avant de reposer son attention sur son assiette, les deux se
dirigeaient vers notre table
-
Bonjour Alexandre, mademoiselle fit Frederick
-
Bonjour monsieur et mademoiselle Adéléké. Fit
la Coralie
-
Bonjour Frederick, Coralie, je vous aie
demandé de m’appeler Alexandre
-
Effectivement Alexandre
-
Voilà qui est bien mieux, je constate que vous
connaissez ma sœur
-
Tout à fait répond Coralie
-
Vous vous joignez à nous ? demandais-je
-
Non non on à beaucoup de chose à discuter en
privée, sans vous vexez Alexandre. Dit Coralie
-
Non bien sur que non. Dis-je alors que
Frederick et ma sœur se regardaient comme bizarrement.
Ma sœur les suivis du regard jusqu’à ce qu’il s’installe, elle
avait l’air énervé
-
Alors tu es avec Frederick ? lui
demandais-je
-
Quoi ? moi avec ce type ? nooon
jamais ! fit-elle comme si elle était vexée
-
C’est au vieux singe que tu vas apprendre à
faire la grimace Nanya ? anyway c’est ta vie sentimental et ça me regarde
pas, je dirais juste que c’est un chic type et un gros bosseur alors ne fait
pas ta gamine
-
Tu es quel genre de grand frère toi là
même ? quelqu’un d’autre aurait menacé Fred de ne pas me faire souffrir et
toi c’est moi que tu menace. Dit-elle
-
Parce que je te connais petite sœur. Dis-je en
souriant alors qu’elle suivait leur fait et geste
-
Pourquoi tu souris ? me demande-t-elle en
reportant sur moi son attention
-
Je ne t’ai jamais vu jalouse. Dis-je alors que
ça m’amusait vraiment
-
Moque toi bien de moi, voilà ta copine qu’il
son entrain de draguer là-bas et elle sourit comme une conne
-
Je t’ai dis de faire attention à ton langage.
Dis-je en redevenant sérieux
Y’avait effectivement un homme qui était entrain de lui faire la
conversation alors qu’elle souriait, je ne sais pas trop ce qu’il disait pour
la faire sourire autant mais se ne sont pas mes oignons pensais-je avant de
reporter mon attention sur mon assiette.
Ella Ifunanya Adéléké
Cette fille là m’énerve à un point ! J’ai juste envie de lui
roulé dessus, c’est même quel projet qui ne fini pas depuis ? C’est
évident qu’elle lui fait du rendre dedans mais lui il fait celui qui ne voit
pas ou qui ne veut pas voir je ne sais pas. Du boulot je suis rentré chez moi,
j’avais faim mais je ne savais pas ce que j’allais manger. J’allais d’abord me
doucher en réfléchissant à ce que j’allais manger, peut-être me faire une
omelette. A peine je finissais de me doucher qu’on sonnait, je me doutais bien
que c’était Fred, j’attachais négligemment
mon peignoir pour aller ouvrir
-
Bonsoir, je peux entrer ? demanda-t-il
-
Non dis-je en me calant dans l’embrasure de la
porte
-
Donc je repars avec ma bouffe ? dit-il en
me montrant le sachet qu’il avait derrière lui
-
Le chantage t’a même fait quoi ?
demandais-je en me poussant pour qu’il entre
-
Chantage moi ? je ne vois pas de quoi tu
parles
-
Wep c’est ça ! dis-je en allant dans ma
chambre alors qu’il allait dans la cuisine
On se posa ensuite devant les plats de nouilles chinoises qu’il
avait ramenées, je sais que c’est pour me faire plaisir parce que lui n’aime
pas vraiment la cuisine chinoise. Ça manière d’attraper les bâtons était trop
drôle
-
Pourquoi tu ris ?
-
On peut plus rire tranquillement ? dis-je
en riant de plus belle
-
Je ne suis pas chinois mais africain alors il
n’y a rien de mal dans le fait que je ne sache ^pas utiliser ses machin
-
Mdr, mon frère est africain aussi mais il
utilise superbement bien ses machins comme tu les appels. Dis-je en lui tirant
la langue
-
En tout cas moi ça ne me dérange pas !
Je fis ensuite la vaisselle avant de venir m’asseoir sur ses
jambes
-
C’est quoi le projet avec cette Carole là qui
fini pas ?
-
Le nom cette fille souffre dans ta main, si ce
n’est pas Carole c’est Corine, ou Caroline ou je ne sais quoi encore pourtant
je te rappel toujours que c’est Coralie
-
Et moi je te rappelle toujours que je m’en
fiche. Dis-je en l’embrassant
-
On a bientôt fini avec le projet. Dit-il en
pressant mes seins
-
J’ai mes menstrues. Dis-je alors que mon téton
était déjà dans sa bouche
-
Je sais. dit-il en continuant à mordillé le
bout
Il resta jusqu’à tard avant de rentrer chez lui. Je ne suis pas
jalouse loin de là, je n’aime juste pas qu’on joue avec ce qui est à moi.