Avancer ?
Write by Lari93
Hicham Diallo
Hicham : C’est quoi le diagnostic du médecin ?
C’est quoi le problème ?
Tout va bien j’espère ?
Axel : Eva ? (Dit il avec insistance) Il attend parle vite.
Eva : Hummm Je suis enceinte (dis-je en murmurant).
Axel : Je ne pense pas que monsieur Diallo ai compris.
Eva : Axel ….., je suis enceinte (dis-je tête baisser) Hicham.
Axel : Bien. Je vous laisse vous êtes des adultes.
Cette fois, je n’ai pas à chercher un inconnu (dit il en sortant).
Je m’assois pour mieux appréhender la nouvelle.
Un autre enfant ?
Nous allons avoir un autre enfant.
Je mentirais si je dis que Nouvelle fait plaisir.
Avoir un autre enfant d’elle fessait partie de mes objectifs.
Je voulais la conquérir d’abord, l’épouser ensuite et enfin la mettre enceinte.
Mais je crois que c’est plutôt l’inverse qui se produit en ce moment.
Mais est-il vraiment de moi ?
Oui c’est le mien , je suis bête de penser autrement.
L’autre n’à jamais réussi à la mettre enceinte.
Je souris à cette pensée.
Je sens son regard sur moi .
Je la regarde à mon tour, puis elle baisse la tête.
Bon nous avons des choses à régler.
Je prend la parole.
Hicham : As-tu une idée du nombre de mois ?
Eva : Deux – trois mois, je crois.
Hicham : est-il de moi ? ( Juste pour voir sa tête)
Eva : (Elle est choquée) Bien sûr que oui !!
Tu es le seul avec qui j’ai eu des rapports sex…..
Hicham : Ok.
J’avais juste besoin d’être rassuré, vu que tu fais des choses incompréhensible .
Je ne veux pas croire des choses et être déçu.
Eva : Quoi ?
Hicham : Ne faut pas la victime s’il te plait.
Si Axel n’était pas là, tu ne m’aurais pas dit la vérité n’est pas ?( Elle reste quelques minutes silencieuse)
Eva :Humm je sais pas ,désolé.
Hicham : Donc encore une fois tu estime que je n’ai pas aussi le droit de savoir.
Eva, je ne sais pas comment réagir à tes décisions égoïste.
En vrai tu n’as pensé qu’à toi .
Eva : Je suis désolé.
C’est juste qu’en se moment…. (Silence)
Toi et moi , c’est …..(Silence)
Hicham : Ok ça va., mieux je ne t’entend plus.
En plus, il n’y a plus rien entre nous.
Le plus important pour moi c’est ta santé et mes enfants.
Tant que tu porteras mon enfant, je ne veux pas voir ton malade mental d’ex mari autour de toi.
Quand tu auras accouché tu sera libre de gérer ta vie comme tu l’entend.
Demain, je passerais te chercher pour qu’on y aille ensemble chez ton gynécologue.
Envoie moi juste l’heure (dis-je fermement et en sortant ).
Eva : Ok
Je sors de la chambre.
Il y a Sophie et Axel dans le couloir.
Hicham : Merci à vous (En m’adressant au deux).
Je vais rentrer chez moi, j’ai besoin de me poser.
Je pense pas qu’elle ai envie que je la ramener.
Axel : Te fâche pas Hicham pour son dîner avec cet idiot de Patrick.
Elle voulait juste le remercier pour ses efforts lors du divorce.
Mais c’est compris, je les ramène tout à l’heure.
On attend juste le bon de sortie.
Hicham : Ok , Demain je passerais chez elle.
Je pense qu’il n’ai pas au courant de mes bêtises à moi sinon j’aurais passé un mauvais quart d’heure.
Patrick est très protecteur avec Eva.
S’il m’était pas si amoureux avec Muriel, j’aurais pensé qu’il est secrètement amoureux d’Eva.
Mais son regard sur elle est plus celui d’un grand frère plus qu’autres choses.
Je leur dit au revoir et je sors de l’hôpital.
Arrivée au parking, je vois l’autre entrain de fumer son cigare à côté de ma voiture.
Sans vous mentir, j’ai la grosse tête.
Je marche avec assurance vers lui.
Je sais qu’il n’est pas bien de faire cela mais pour lui je vais le faire.
Il a commencé la guerre nous allons la terminer bonne fois pour toute.
Hicham : Tu peux décaler de ma voiture s’il te plait ? Et aller fumer tes saletés ailleurs.
Patrick : Je n’y irais nulle part. Tu fais le fier n’est-ce pas ? Oui tu as réussi à mettre encore enceinte
Sache que tu m’auras toujours que ton chemin.
Je m’hésiterais pas à t’écraser toi et tout ce qui se mettra sur mon chemin pour l’avoir pour moi.
Hicham : Je crois qu’on a assez jouer tout les deux .
Tu ne sais vraiment pas qui je suis .
Je crois qu’il est temps de remettre les pendule sur à l’heure.
Ne t’approche pas des miens, Eva y compris.
Patrick : Tu es drôle.
Eva porte peu être ton enfant mais c’est moi son époux.
Hicham : Pour combien de temps ?
Il n’y a qu’Eva pour croire que tu as fait des efforts pour Mettre fin à ce divorce.
Patrick : Elle ne sera jamais ta femme et fait attention à toi (En pointant sur moi ses doigts en forme de gâchette, avant de se diriger vers sa voiture).
Hicham : Tu risque de le regretter.
Patrick : Je viens de tout perdre quand elle a décidé de porté un autre enfant de toi.
Alors ,ne pense pas que tu puisse me faire plus mal que ça.
(Je me rends compte à quel point ce type est capable de votre sa propre vie en l’air. C’est un psychopathe. )
Hicham : Tu n’aime pas Eva, il n’y que toi et tes ambitions personnel qui compte.
Tu es bien placé pour savoir comment elle a souffert.
Tu devrais juste être heureux pour elle ( il ne me réponds pas et continue son chemin. )
Je reste un moment puis je me décide a rentrer chez moi .
A mon réveil, ce matin je me sentais hyper bien.
Faut dire que la veille,je me suis endormi sans difficulté.
Je vais être encore papa (je souris à cette idée).
Cette fois ci, j’aurais l’opportunité d’être présent.
Et je ne compte pas me défiler.
Peu importe la nature nos relations je serais présent pour mes enfants.
Je me rends ,chez le médecin de Eva .
Elle m’à communiqué son adresse et l’heure de son rendez-vous.
Pour une fois je suis assis à l’arrière du véhicule.
Koffi à mis ce matin son dispositif en place.
Deux membres de son équipe veille constamment sur Fared à distance bien sûr ,pour un début il ne faut pas traumatiser le petit.
Koffi et un de agent son dans mon véhicule. Il y aussi deux autres qui nous suivent discrètement.
Et une douzaine d’homme poster au alentours des mes résidences d’Abidjan et DAKAR .
Il faut dire que tout cette nouvelle organisation me dérange mais je n’ai pas le choix, il faut que je m’y habitue.
J’arrive et je trouve Eva assise dans le hall.
Je regarde ma Montre et je ne suis pas en retard.
J’ai 10 minutes d’avance.
Je lui dit un timide bonjour puis je prends place en face d’elle.
Elle me regarde comme si je lui avais dit un gros mots.
Je voyage dans quelques jours.
J’ai des impératif à régler avec l’entreprise familiale de Maxwell.
Cette famille est pénible , m’associée a eux q été une grande erreur.
J’y ai investi beaucoup d’argent, qu’ils ont dilapidé.
Sous prétexte qu’ils sont proche du pouvoir en Place et qu’ils peuvent tout se permettre.
Ils ne payaient pas les fournisseurs et les salariés.
Les engagements bancaires ont en parle pas.
Mais eux ,ils vivaient la belle vie de bourgeois dans Libreville.
J’ai intérêt à finaliser les documents de cession avec Aichatou qui est déjà sur place.
J’étais plongée dans mes mails quand je l’entend me parler.
Assistance Docteur : Madame Gadji, le Docteur vous attend.
Le simple fait d’entendre Gadji, je suis sur les nerfs.
Elle se lève, et je fait comme elle.
Nous arrivons en silence dans le bureau du Docteur.
Médecin : Ma perle comment vas-tu ? (Qu’est qui ce passe ici ?)
Bonjour monsieur essayer vous.
Alors Eva , Dit moi.
Eva : Sophie ne t’à donc rien dit ?
Médecin : Non juste de t’intégré dans mes rendez-vous.
Eva : Tiens . ( Elle lui tend le dossier médical d’hier. Qu’il regarde).
Médecin : Ok.
On va donc vérifié par échographie que le fœtus est bien loger.
L’analyse de sens est clair tu es belle et bien enceinte encore une fois.
J’espère que c’est le même idiot ?
(Mais c’est quoi toute ses familiarité ? Déjà que qu’elle ne m’à pas présenter, je décide de me racler bruyamment la gorge pour leur dire que je suis là.)
Eva : Marcel je te présente Hicham Diallo, le père de bébé Hicham du nouveau bébé.
Hicham Marcel Loba, Docteur Marcel Donvidé,mon gynécologue depuis des années et mon cousin.
(il doit avoir le même âge que Ariel , )
Hicham Diallo : Enchanté Monsieur ( En le présentant mes mains , qu’il regarde comme s’il était surpris).
Marcel Donvidé : Bonjour Hicham ravi de vous connaître.
Frère si tu me permets, tu effectue un travail considérable (je risque d’éclaté de rire),en me serrant la main.
Nous avons souffert pour avoir des enfants et chaque 5 ans tu nous en donne un . Félicitations mon beau .
Eva : Marcel ???
Marcel Donvidé : Désolé cousine , mais on a trop galérer avant mon petit et aujourd’hui il y a un deuxième en route.
Et j’ ai pas encore fini ,mon beau.
(Je ris)
Monsieur Diallo bienvenue dans la famille.
Il ne vous reste qu’ a faire les choses biens quand elle sera Divorcé.
Hicham Diallo : Merci Marcel.
Marcel Loba : Madame ne me regarde pas comme ça. Tu vas te préparer, je vais vérifier tout ça.
(Elle s’exécute et il commence à l’examiner, puis à faire l’échographie.
Ce n’est pas ma première fois chez un gynécologue.
J’accompagnait souvent Aichatou chez son médecin.
Mais ici l’enfant dans la poché sur l’écran c’est le mien.
Je souris.
Je suis heureux et ça se voit).
Marcel Donvidé : Comme vous pouvez le voir il y a bien un bébé loger dans l’utérus.
Et tu es as 11 SA donc tu entamé le troisième mois.
Je vais te prescrire le nécessaire.
Tu as des analyses et des vaccins à faire , c’est la routine générale.
Mais tu devras te ménager au travail et au quotidien (En me regardant).
Pas de stress, pression au travail ,et de discussions inutiles.
le bébé besoin de beaucoup d’amour.
Il entend et ressent tout, Faites donc attention.
Après quelques que blagues, il finit par nous libérer.
Je dois avouer qu’il est très sympathique.
Une fous hors de la clinique,je récupère l’ordonnance et la remet à koffi.
Hicham Diallo : Allez prendre tout ceci à la pharmacie et envoyez les au bureau de madame.
Koffi : Ok Madame.
Hicham Diallo : Pour tes examens je souhaite les prendre en charge , s’il te plait transmet moi les factures ( Elle me lance un juron et monte dans sa voiture . Je lui fait signe de descendre la vitre. Elle s’exécute.)
Eva ne refait plus jamais ça surtout en public , je ne suis pas ton égal.
Aussi tu porte mon enfant et comme ton cousin l’à si bien dit calme tes nerfs (dis-je fermement. Indépendante ou pas j’exige le respect qui m’ai du).
J’attends les factures, Ok !
Eva : Ok ( dit elle en démarrant sa voiture).
Je sais qu’elle en encore plus en colère, mais il le fallait.
Je rentre chez moi.
J’ai pris le temps d’informer ma famille de la bonne nouvelle.
Ils sont tous heureux pour moi.
Sauf que mon père à exigé que je me renseigne auprès de la famille Loba afin de connaître la démarche à suivre pour reconnaître une grossesse selon leur coutume .
Vu qu’on n’est pas marié, il veut que j’assume mes actes.
Moi j’avais déjà prévue faire le nécessaire afin qu’a mon retour de Libreville, il puisse m’accompagné faire le nécessaire chez le père d’Eva.
J’espère vraiment que nous Allons réussir à résoudre nous différents avant la naissance du bébé.
Eva Loba
Je me regarde dans le miroir et j’admire mon ventre.
Il y a un autre trésor en moi.
Je mets à lui parler en tout en carressant mon ventre.
Fared : Maman tu parle seul ?( je sursaute ,je ne l’ai pas entendu entré)
Eva : Non mon cœur.
Viens près de moi (il se rapproche et Je m’à geunouille.)Tu vois trésor, je ne parle pas seul.
Je parle à ton petit frère ou ta petite sœur qui est juste là (en pointant du doigt mon ventre).
Fared : Pour de vrai ?
Eva : Oui ,n’est ce pas ce que tu voulais ?
Fared : Youpiiiii !!!!! Je serais un grand frère.
(Il se met à courir dans toute la pièce)
Eva : Tu es content ?
Fared : Ouiiiii je vais être grand frère.
Je vais bien m’occupé de lui maman.
Il déborde de joie.
Eva : Mon cœur pour l’instant c’est un secret entre toi et moi.
Ne le dit à personne.
Je voyage pour le travail.
A mon retour on dira tout les deux la bonne nouvelle à papi et mamie, ok
Fared : Ok maman.
Je ne pouvais pas lui cacher cette nouvelle encore longtemps.
Il reste à informer les autres de ma famille.
Je le ferais à mon retour de voyage.
Hicham ??
je ne l’ai plus revu depuis notre rendez-vous chez le docteur il y a trois jours.
Il a repris ses histoires .
Mais, il ne m’intéresse pas.
Papa ne vas pas tolérer une autre grossesse dans ses conditions.
Mais le plus important c’est mon voyage.
Mes valises sont prête, direction l’aéroport.
J'ai pas eu le temps d’échanger avec Axel ,mais il transmis le numéro de Maxwell en cas de besoin sur Libreville.
Quelques jours plus tard
Je me réveille et il est 10h30.
J’ai comme l’impression d’être vidé de mon énergie.
Mes journées se résume à séances de travail conférences et dîner ou cocktail d’échanges.
Il faut dire que je me fais un bon carnet d’adresse et j’apprend beaucoup.
Mais en dehors de tout ça je me retrouve dans un environnement à 70% masculin et je me fais draguer subtilement à tout moment, même par des hommes mariés.
Ce matin je vais mettre mon alliance, j’ai besoin de paix.
Aujourd’hui, il y a un atelier à la terrasse de notre hôtel.
J’enfile une culotte ,un polo et des sandales à talons.
Même dans cette culotte ample mon postérieur est visible.
Tout compte fait même en boubou c’est visible.
J’attache mes cheveux en queue de cheval et met mes lunettes de soleil.
J’espère pouvoir aller en excursion dans la ville, juste après l’atelier ,J’ai besoin d’air.
J’échange tantôt avec des banquiers comme moi ou des chefs d’entreprises.
Moi qui pensais m’ennuyé, je suis bien servi en terme de formation et mon carnet d adresse et plus fourni.
J’ai même eu des propositions d’emploi formelle.
Il est 16h, l’atelier est terminé.
Je suis dans le hall lorsque j’aperçois maxwell de loin.
Je lui fait de grands signes, il le remarque et viens directement vers moi.
Maxwell : Bienvenue à Libreville la plus belle (il me fait la bise).
Eva : Arrête me flatter , en plus je n’ai encore rien vu de Libreville.
Maxwell : Libreville ce n’est pas Abidjan, mais je suis sur que tu vas aimer.
L’ambiance de qualité c’est nous.
(Je me mets à rire. Ah les gabonnais !!! Comme on le dit chez nous Abidjan « qui va se negliger ? »)
Il me prends par la mains et nous sortons de l hôtel.
Après quelques minutes, en voiture il gare devant un restaurant en bord de mer.
Tout ce que j’aime .
Un endroit pas très sophistiqué et c est sur que la nourriture est géniale.
Maxwell : Tu sais Eva quand Axel m’à décrit tes goût, j’ai dit mince cette belle créature est comme moi .
J’aime les endroits simple ou tout est bon et naturel.
Ici je t’invite à la découverte du terroir gabonais.
Eva : J’ai hâte dis-je avec enthousiasme.
( sur la carte on peut lire :
Mambo (crabes farcis)
Missénénés (couteaux de mer)
Moinmbo mwa kudu (bouillon de tortue)
Oyaba (paquet d’atanga)
Okana (les asperges sauvages)
Evoura tcha ndimba (les chenilles dans le chocolat indigène)
Nkondo (bouillon de carpe de l’Ogooué)
Mambe (paquet de poisson à l’odika)
Franchement il y a du choix.)
Tu sais quoi Maxwell choisi pour moi .
Maxwell : Ok.
Il nous commande cinq plats différents.
J’avoue que je me sui régaler .
En plus , il est de bonne compagnie.
J’ai rigolé durant tout le repas.
J’ai même goûter le Tutu le vin de palme local.
Et ceux malgré mon état.
Tout compte fait quelques gouttes ne nous feront pas de mal.
Après le repas nous avons décider de marcher le long du bord de mer . Il y avait un beau coucher de soleil.
Eva : Maxwell , si permet j’aimerais savoir pourquoi tu es encore seul ?
Maxwell : Je n’ai juste pas encore trouver une femme seul qui serait aussi intéressé par moi.
Eva : Ahh tu blagues.
Il y a de belle femmes ici à Libreville, la preuve ( je lui montre mes filles sur la plage)
Maxwell : Je te vois venir , tu es entrain de me freindzoner (on rigole).
Mais bon en vérité j’ étais fiancé et comme je viens d’une famille de renom elle s’attendais à une vie de luxe.
Sauf que ma famille a dilapidé son patrimoine.
Je sais vivre dignement avec mes propres moyens.
Alors, elle a vite déchanté.
Eva : Tu trouveras la bonne , j’en suis sûr.
Tu es une belle personne.
Maxwell : Ah oui je le sais (il rit). Mais venant de toi je fond.
Et toi comment tu as rencontré le boss Diallo ?
Je me suis toujours demandé à quoi ressemble sa vie sociale ?
Désolé mais c’est un béton en terme de business et de relation humaine.
On a l’impression que dans sa vie ,il n y a que le travail.
Eva : Notre histoire est un.peu compliquée un jour peut-être je te dirais tout.
Mais c’est un homme bien et un père dévoué.
Maxwell : Ok super. Bon il faut que je te ramène.
Eva : Ok . Demain c est notre dernier jour d’atelier.
Mais j ai encore 10 jours de missions sur Libreville.
Des vacances gratuites.
Maxwell : Super , nous aurons l’occasion de visiter peut-être Port-Gentil.
Il me ramène et je monte toute fatiguée à ma chambre.
J’ouvre la porte allumé la lumière.
Je le vois assis dans fauteuil me faisant face, le regard dur.
J’éteins la lumière avec un petit cri.
Je ralume ou pas ?
Es ce un mirage ?
Es ce le petit vin de palme qui me tourne la tête ?
Comment il est entre ici ?
Je rallume ou pas ?