CELEBRATION 1
Write by Lari93
Charles-Emmanuel DASLIVIERA
Ce soir je suis très heureux, quand je regarde
le chemin parcourus il y a 05 ans de cela, depuis ma prise de fonction à la
tête de l’entreprise familial et son niveau actuel je ne peux que me réjouir.
Je suis Charles-Emmanuel DASLIVIERA fils
unique du grand homme d’affaire Thomas DASLIVIERA et du célèbre avocat Helena
DASLIVIERIA des cabinets DAS-LAW AND FIRM.
J’ai depuis peu repris la tête des affaires de
mon père et j’ai qua triplés les rendements du groupe.
Je suis homme strict, rigoureux et
travailleur.
C’est ce qui m’a valu le respect et la
confiance de mon père et de l’ensemble de mes collaborateurs.
Je n’ai jamais bénéficié de passe-droit de la
part de mon père, j’ai commencé au plus bas de l’échelle et est été traiter
comme tous les employés de son groupe.
Aujourd’hui j’ai réussi à racheter pour mon
groupe une des plus grandes chaines d’hôtellerie du pays. Et pour tout vous
avouer ça n’a pas été de gaîté de cœur.
Suite à ce succès mon meilleur ami et collaborateur
Anderson BOKA à souhaiter que l’on se rendre dans l’un des prestigieux
Night-club de la capital.
A vrai dire je ne suis pas très emballée car
je suis plutôt casanier, mais ce soir je me laisse entrainer par Anderson sinon
je risque de ne pas avoir la paix.
Je gare ma range rover vélar au parking vip du
club ou m’attend depuis peu Anderson. Il avait ramené toute une troupe (Ses
cousins Landry et Guy deux Gas très sympathique respectivement avocat et médecin,
accompagné de deux jeunes filles demoiselles, Jessica un de ces biscuits comme
il aime bien les surnommer et lyaah une de ces filles avec qui j’ai eu des plan
cul et qui espérait me mettre la corde au cou).
Moi : Bonsoir broo (c’est ainsi qu’j’appelais
Anderson), que fait elle ici désignant lyaah du regard.
Lui : je l’ai aperçu ce matin en achetant
des viennoiseries chez P, alors je l’ai invité à se joindre à nous. Et en plus
de cela tu ne peux pas terminer la soirée seul si tu vois ce que je veux dire
(Riant).
Moi : (sacré Andy pensais-je
intérieurement) ok on entre ?
Lui : suivez-moi.
A peine entré dans le club que lyaah viens se
blottir à mon bras comme pour marquer son territoire. Pour qui se prend -elle à
la fin ?
J’essaie
de garder mon calme et la laisse faire, elle me servira de passe-temps ce soir
comme me l’a suggéré Anderson.
Les filles de club ce n’est pas mon truc.
Désole, pas que je n’ai pas de respect pour la
femme, mais pour l’instant je n’ai pas de temps à consacrer à une relation
amoureuse et la plupart des filles que je rencontre sont des arrivistes et ne
sont intéressés que par mon statut social.
Du coup j’enchaine les relations sans
lendemain et je veille à ce qu’elles le sachent dès le départ.
Un homme d’un certain âge la cinquante je
pense viens à notre rencontre, et salut chaleureusement Anderson avant de nous
inviter à le suivre dans le carré verry verry VIP selon ses termes.
(Sacré Anderson, il aime claquer ses sous dans
les fesses pensais je)
Ce qui me fit esquisser un léger sourire (je
pense l’homme âgé doit être le fameux Monsieur D proprio du club).
Des bouteilles de champagne haut de gamme
était déjà chambré et n’attendais que nous pour les déguster.
Nous
nous installons confortablement nous avions une vue sur l’ensemble des clubs
via la grande baie vitrée
Je remarque aussi qu’en face de nous se tenais
un tout petit podium avec une barre de dance, cela devait pour cette stripteaseuse
un peu particulière dont ne cessai de parler Anderson.
Intérieurement je trouvais les danseuses
africaines pas vraiment à la hauteur (je ne suis pas aussi un accro du
striptease mais pour avoir fréquenté plusieurs clubs en occident et en Afrique
j’ai pu constater que ce n’était pas le même spectacle) et je ne m’attends pas
à être époustouflé.
Nous démarrons la soirée avec les premières bouteilles dans une ambiance bonne enfants tout en célébrant ma réussite dans les affaires.
40 Min plus tard ,Nous étions tous là à échanger lorsqu’ elle
fit son entré dans la pièce. Je dois avouer que je ne m’y attendais pas,
elle est à tomber (pensais-je). Elle marchait avec une délicatesse vers le
podium vêtu d’un déguisement ultra sexy d’infirmière. Son corps était simplement parfait, elle avait
ce qu’il faut et là où il le faut. Des jambes semblables à celle d’une gazelle,
teint naturelle marron éclatant, son popotin ouhhh Merde lui donne une allure
de guitare (seigneur que m’arrive t’il). * Elle n’était pas très grande car malgré ses
hauts talons elle devait être dans la tranche de 1 m 80. Malgré l’extravagance
de son maquillage on pouvait entrevoir les traits fins de son visage. Elle est divine sans, je suis très observateur. Mon dieu qu’elle belle pensais-je
intérieurement. Que fait elle ici, je l’aurais croisé dans la
rue je l’aurais épousé sur le champ. Je pris le soin de bien m’installer dans le
divan pour savourer la beauté du spectacle qu’elle nous offrait, oh oui elle
était douée. Elle savait bouger son corps comme jamais,
réveillant plusieurs sensations en moi, dieu merci la pièce est sombre sinon
les autres auraient remarqué la bosse qui se dessinait sur mon jeans en ce
moment bon sauf notre très chère LYAAH. Elle faisait corps avec cette barre, c’est une
professionnelle elle a dû travailler en Europe et même là-bas jamais j’avais ressenti
ça, et comment vous le dire j’adorais ce que je voyais et je la désirais. Comment es possible qu’on me présente du
gâteau et qu’on m’interdise d’y toucher. Monsieur D, nous l’avait signifié lorsqu’ il
nous installait dans cette salle « c’est du spectacle on ne touche pas à la
marchandise ». Il veut le bon produit pour lui seul ? Cette règle ne s’appliquera pas à moi parole
de Charles-Emmanuel DASLIVIERA. Tout compte fait c’est une stripteaseuse il
suffit juste d’y mettre le prix. Je regardais les mecs autour de moi ils
étaient figés au spectacle, faut dire malgré qu’elle ne soit pas encore nu le
simple fait de la voir se trémousser en lingerie sexy avait le don de capter
son public. Vous auriez dû voir la tête des filles qui
était à nos côtés, elle avait une mine d’enterrement, mixer à de la rage mais elle
n’osait dire mot surtout LYAAH. La Go nous a envouté. TRISHA La musique était comme j’aime. Olivier avait
le don de savoir à partir de ma tenue le genre de musique qui me conviendrai
lors de la prestation. A mon entré dans le carre VIP j’ai pu
constater que ces hommes (tous jeunes la
trentaine en moyenne) était accompagné de très belle jeunes filles surement
leur fiancés. J’étais désolé pour les filles du club elles
ne profiteront pas de leurs générosités ce soir. Dans carrée VVIP je suis seule, On ne me jette
pas de billet car je déteste cela. Dans les autres salles c’est sur les filles qu’ils
le font je suis plus en retrait. C’est la règle. Contrairement au Canada, Ici les hommes payent
une somme forfaitaire pour mes prestations et pour vous dire vrai c’est très
très suffisant, car de ce que je perçois monsieur D y avait déjà déduit sa
quote-part. A Mes début les clients avait la possibilité
de le faire ; mais ils en profitaient pour me tripoter, mettent des
billets dans ma lingerie et toucher mon corps. Mon apparition a soudainement plongé la pièce
dans un silence. Je marchais lentement avec sensualité vers le
podium avec tous ces regards braqués sur moi. Oui je sais, Moi TRISHA je suis une DIVA (Une
femme ce n’est pas seulement la plastique ou l’intellect, c’est surtout le
mental et la bonne utilisation de son pouvoir de femme) je maitrise mon corps,
je sais l’utiliser. Me tenant face à eux, une main sur la barre et
l’autre à la taille je gratifiais mon public d’un léger sourire lorsqu’olivier
lança le second départ de ma playlist de ce soir. J’ai commencé à me déhancher tout doucement le
temps de me laisser imprégner et transporter par la musique (rituel quotidien). J’enchainais les figures avec sensualité et
élégance. J’enlevais peu à peu mon costume d’infirmière
pour laisser entrevoir la lingerie sexy qui se trouve en dessous. Les hommes me regardaient avec admiration et
je sentais du désir dans leur yeux, mais ces dames leurs regards était plus
noir que celui des filles du club, ce qui me fit sourire sur le coup c’est jouissif. Tout en continuant de danser je senti son
regard intense sur moi et lorsque nos yeux se sont croisés malgré la pénombre
j’avais l’impression qu’il me déshabillait. Je me sentais nu comme un ver à ses yeux. À partir
de cet instant mes yeux avaient du mal à le quitter même si j’essayais de le
dissimiler. Il avait l’air d’être de très grande taille,
métisse, et en plus beau comme un DIEU. En cet instant, TRISHA n’avait qu’une envie
danser rien que pour lui-même si sa fiancer ne cessai de s’accrocher à lui. Il m’a imprégné et jamais cela ne m’était arrivé.
Je luis fis dos, présentant mes fesses dans sa
direction en commençais à twerker tout doucement de haut en bas, puis
rapidement au rythme en diable de la musique puis me retournant face à lui
jambe écarter, poitrine en avant semblable à une invitation au sexe (pensais-je
en souriant). Je suis resté à peine quelque seconde dans
cette position. Sentant la fin du
morceau arrivé ainsi que celle de la playlist, je croisais les jambes avec
délicatesse, tout en redressant me avec sensualité, pour les gratifier d’une
salutation de fin. Vous auriez dû voir sa tête, comme s’il
découvrait la vie (Rire), hoo Gaa faut pas baver ici (Mdrrr). C’était la première fois pour moi depuis que
je fais ceci que TRISHA porte son attention sur quelqu’un. J’ai reçu un tonnerre d’applaudissement de la
part des mecs sauf de mon bel inconnu, il devait être encore sous le choc je
crois. Quant aux filles elles me mitraillaient du
regard surtout celle au bras de mon bel étalon (Merde pensais-je comme s’il
était déjà à moi). Je leur gratifiai de quelques sourires avant
de m’éclipser discrètement. Une fois dehors Monsieur D se tenait derrière la porte me tenant comme à
son habitude un peignoir avec un sourire de satisfaction. A peine entrer dans ma loge, je commande mon
taxi, j’enfile rapidement mon jogging, puis le sweat à capuche en plus des
baskets assorti et mon sac à dos. Je sors rapidement de ma loge tout en la
refermant à clés. Il était 00h30 et Annabelle avait besoin de
dormir elle devait se rendre demain à la messe avec ses parents. Je dis rapidement au revoir à monsieur D, tout
lui rappelant de ne pas oublier d’effectuer le versement de mon dû sur mon
compte avant de sortir du club, Ou Mon taxi m’attendait déjà.