C’EST NOËL - Chapitre 11

Write by chrochro241

*** C’EST NOËL ! ***

Chapitre 11 (Fin) Remix

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--- NADIA ---

 

Je suis couchée avec Marco sur son lit défait. Nous sommes tous les deux en tenue d’Adam et Eve depuis que nous avons terminé de b**ser. Il caresse doucement le dos et les fesses pendant que je suis blottit contre lui.

 

Marco brise ce silence, en commençant à parler de nos ébats sexuels. Il me donne ses impressions sur la manière dont je lui ai fait une fellation avec la tête renversée sur le bord du pied du lit. Il m’avoue qu’on ne lui a jamais fait ça. Je souris un peu fier d’être la première à lui avoir fait cette petite cochonnerie qu’il semble visiblement l’avoir marqué.

 

Je m’étonne un peu d’avoir pu faire une telle chose. Je me sens salope et même pute. Mais étrangement je suis très fière de moi, de ma prestation. N’empêche que je suis un peu gênée quand je pense d’avoir avaler son sperme. J’espère qu’il ne pense pas que je suis une pute.

 

Notre discussion se poursuit sur le sexe, il me pose beaucoup de question sur mon passé et mes expériences passées. Je lui réponds mais j’évite catégoriquement d’être véridique car il vaut mieux ne pas lui dire la vérité sur ma vie privée. Sinon je vais passer à coup sûr pour une bordelle (salope) de première car je suis un peu ce genre de fille vu comment je me suis fait sauter plusieurs fois par le passé dans des situations et des positions dont j’en suis pas fière mais dont je garde un excellent souvenir des séances de sauteries et de cochonneries mémorables que j’ai vécu et qui ont fait de moi la femme sexuellement chaude au possible que je suis aujourd’hui. J’ai un passé sexuel très sombre, comme beaucoup de fille très courtisées qui ont malgré elle pas mal d’aventure et d’occasion de se faire sauter.

 

Je lui parle vaguement de ma vie sexuelle, lui disant simplement qu’elle n’a pas été riche en péripéties. Je lui dis aussi que je n’ai eu beaucoup d’aventure ni plusieurs copain car soit disant je suis une fille très réservée et exigeante sur le choix d’un copain ou d’un partenaire, alors qu’en réalité c’est tout le contraire.

 

Il m’écoute attentivement en hochant la tête. Je finis rapidement de lui parler de moi. Je lui demande de lui parler de lui. Et là j’apprends que c’est un mec plutôt calme qui a connu les filles intimement que très tard. Il me dit qu’il était très timide et avais une peur bizarre vis-à-vis des filles. Cette confidence me fait rire et lui aussi.

 

On se lance dans un jeu de questions-réponses. Notre jeu tourne dans le sens sexuel de la chose :

 

- Tu as un copain ? Demande Marco.

- Non ! Tu as une copine ? Dis-je en souriant.

- Non ! Quand fut ta dernière fois avec autre de faire avec moi ?

 

Je sais que ma dernière fois avec un autre c’était il y a un jour, avec Arnaud, un mec pervers qui avait eu le culot de me suivre pour filmer mes fesses à mon insu avant que je le surprenne en flagrant délit. Je ne le connaissais pas mais il était plutôt mignon avec ses beaux yeux châtain (marron clair). C’était probablement à cause de ses beau que j’avais consentie de coucher avec lui, même pas 1h après qu’on s’était rencontré dans une drôle de circonstance. Il avait réussi à m’avoir et me sauter du premier coup dans les toilettes publiques. C’était fou de ma part ! Mais pour revenir à la question de Marco je ne peux le dire que ma dernière fois avec autre remonte à cette semaine. Alors je mens…

 

- Il y a un mois ! Dis-je pour répondre, en souriant.

- Avec qui ?

- Mon ex ! Dis-je en souriant.

 

Je lui dis « mon ex » alors qu’en réalité c’était Arnaud,

 

- Son prénom ?

- Arnaud ! Dis-je en souriant.

- Tu as aimé un peu ou beaucoup ?

- Un peu ! Dis-je en souriant.

 

Je dis « un peu » pour mentir et lui caché la vérité.

 

- Pourquoi un peu ?

- Il ne faisait pas ça bien ! dis-je simplement.

 

Là encore je mens.

 

- Ta position préférée ?

- Levrette ! Dis-je en souriant.

- Je suis d’accord ! Tu es bonne à ça et le corps pour ça !

-  Lol ! T’exagère !

- Non, Nadia ! Je suis sincère !

- Ok ! Et toi, ta position préférée ?

- A cheval et à fond, hein ! Comme un jockey sur le dos d’un cheval lancé au galop sur la ligne droite avant l’arrivée pendant une course de cheveux sur l’hippodrome de Vincennes !

- Kiakiakia ! T’es fou !

- Normal ! C’est comme ça qu’on fait la vraie baise.  

- Krkrkrkrk (rires)

 

Je ris complétement dépassée par le sens de l’humour tordu de ce mec.

 

- Pour ou contre la masturbation ?

- Contre !

- Pourquoi ?

- Parce que c’est mieux de baiser. Il y a plus de gout !

- Tu parles en vrai connaisseuse de la chose.

- krkrkrkr

- Pour ou contre le port du préservatif pendant un rapport sexuel ?

- Pour et contre !

- Ah ça !

- Oui ! Ça protège mais ça diminue sensiblement le plaisir.

- Si tu le dis !

- Lieu où t’aimerais baiser une fille ?

- Sur une plage déserte !

- La nuit ou en plein jour ?

- En plein jour !

- Avec qui de préférence ? Et comment ?

- Toi, en levrette toute nue et mouillée par l’eau de la mer !

- Loool ! Tu délires !

- Je suis sérieux oh !

- krkrkrkr ! C’est ça !

- Si tu veux, on le fait ! Je suis déjà partant !

 

Je lui souris simplement pour répondre. Je remarque rapidement que la conversation l’excitait et moi aussi. J’avoue que son souhait de me prendre en levrette toute nue et en plein jour sur une plage déserte, m’émoustille. Je suis très excité par cette idée que j’aimerais beaucoup essayer. Mais ça je ne peux pas lui dire.

 

Puis il me confie qu’étant jeune il avait longtemps fantasmé sur l’idée d’avoir un rapport sexuel avec un partenaire plus âgé. Je lui avoue que moi aussi. Ça me plait de savoir qu’on a eu sexuellement un point en commun. Puis j’ajoute que je l’ai déjà pu réaliser ce fantasme. J’ai dit ça comme ça pour l’impressionner. Après tout c’est vrai aussi. Il me demande quand c’était. Je lui dis que je ne m’en souviens trop car c’était avant quand j’étais plus jeune.

 

- Et maintenant c’est quoi ton fantasme le plus fou ? dit Marco en souriant.

- Tu es pointu, toi ! Dis-je en souriant.

- Oui ! Lol !

- Krkrkrkrkr (rire)

- Alors ?

- Alors quoi ? dis-je en souriant.

- C’est quoi ton fantasme là ?

- Hum hum !

- Mais parle, lol !

 

Je souris et me pince les lèvres. Franchement je ne peux rien lui dire. C’est trop personnel, ça.

 

- Ah, papa ! Cherche pas à savoir ! dis-je en souriant.

- Lol ! Et pourquoi ? Je vous prie !

- Aka ! C’est privé oh !

- Aurais-je le plaisir de le savoir un jour ?

- Peut-être ! dis-je après avoir fait mine de réfléchir.

- Ok ! C’est déjà ça !

 

Marco me serre dans ses bras, je me laisse faire en appréciant son geste.

 

- Lol ! Sinon c’est quoi ton fantasme le plus fou ?

- Chais pas !

- Lol !

- Mais tu sais quoi ?

- J’écoute !

- J'ai envie de te prendre par le trou du cul !

- Woooo ! Cirai-je en me redressant.

 

Marco me regarde et sourit.

 

- Ah ! Tu blagues, hein ! dis-je en souriant.

- Non ! Je suis sérieux !

- Quoi ! m’exclamai-je surprise, en serrant les fesses.

- Je t’assure ! Tu me fais trop bander avec ton gros cul, là. dit-il en souriant.

- Mon petit trou du cul est fait pour chier ! Pas pour satisfaire la libido d’un mec pervers.

- Je peux te garantir qu’il est tout à fait pour ces deux choses. Surtout la deuxième !

- T’es fou, toi ! Je jure ! dis-je dépassée.

- Normal ! Tu m’excites comme un fou.

- Humm !

 

Je me sens flattée par ce qui vient de dire. Je me pince les lèvres en lui souriant. Je me mords la lèvre inférieure en voyant qu’il bande à nouveau. Son érection me confirme un peu ce qu’il dit. Il pose la main sur mes fesses en me regardant avec un sourire.

 

- Quoi ? dis-je en souriant.

- Rien ! dit-il en souriant.

- Menteur ! Façon tu bandes là, hummm ! dis-je en souriant.

- Loool !

- Mais oui ! Tu me touches le bodje en souriant là, c’est parce que tu penses à truc. dis-je en souriant.

- En effet, je pense à truc bien kiffant ! dit-il en souriant.

- Si c’est me sauter encore, ce n’est pas la peine hein ! dis-je en souriant.

- Lol ! Tu aimes ça ! dit-il en souriant.

- Pardon ! Moi, je suis fatiguée ! J’ai même faim et soif !

- Puisque tu as faim et soif, viens là ! On va boire et manger l’amour. dit-il en souriant.

- Barré (Non, merci) ! dis-je en souriant.

 

Je souris en le repoussant doucement alors qu’il me tire déjà vers lui en me souriant. Il me tire à nouveau. Je le repousse sans succès et me débats pour me dégager de lui. Je le tourne vite pour quitter le lit mais son bras me bloque par la taille. Je pousse un cri de surprise en riant.

 

- Aaah, laisse-moi ! dis-je en criant en riant.

- Pas sans avoir fini avec toi ! dit Marco dans un murmure à mon oreille.

- Aka ! M’exclamais-je, amusée.

 

Je me débats pour sortir du lit mais c’est peine perdue car son bras m’élançant par la taille me bloque sur place. Il resserre son étreinte sur moi et se colle d’un coup étroitement contre mon dos. Je le sens bandé contre mes fesses, cela ne me gêne pas du tout. Bien au contraire ça m’émoustille et me pousse à me débattre plus fort.

 

- Reste tranquilleuh ! dit Marco dans un murmure à mon oreille.

- Na ! Laisse-moi plutôt ! Dis-je en riant.

- Je ne peux pas te laisser. C’est plus fort que moi !

 

Il me fait des bisous dans le cou, je me tortille en poussant des petits rires.

 

- Allez bébé ! Calme-toi ! dit Marco dans un murmure à mon oreille.

- Je veux pas ! Dis-je en souriant.

 

En continuant de me débattre, je pousse ma croupe en arrière pour repousser Marco. Tout à coup il cogne son bassin contre mes fesses. Le coup est si violent que son bassin dur percute mes fesses de plein fouet. Je m’immobilise et pousse un cri surprise sous le choc. Mon corps est secoué par le choc de la collision de nos corps.

 

Marco s’immobile, le bassin et la bite dure collés et serrés à mes fesses.

 

- Ayiii ! Tu me fais mal ! Dis-je en souriant.

- Quel mal là ? Tu aimes ça ! dit Marco dans un murmure à mon oreille.

- krkrkrkr

- Tu ris, hein ! dit Marco dans un murmure à mon oreille.

- Non, oh ! Dis-je vite en paniquant tout en souriant.

 

Puis il me refait le même coup de bassin. Je pousse un cri, cette fois-ci un cri de joie. Il remet ça en me culbutant très fort, sans me pénétrer. Je crie en encaissant chaque coup de son bassin sur mes fesses. Il y va très fort et très vite, à fond, comme s’il me prenait fort et pour m’enfoncer sa bite bine profond. Je regrette que ce ne soit le cas mais j’apprécie tout même cette brutalité avec laquelle il me donne des coups de bassins aux fesses.

 

Marco me cogne bien fort et cela m’amuse. Je me laisse pilonner comme ça. Je mouille en sentant sa bite dur qui bouge par va et vient entre mes cuisses légèrement ouvertes. C’est le sourire aux lèvres, la joie au cœur, que je pousse des cris sous le choc des coups de bassins brutaux qui me secouent le corps. Cette situation m’émoustillent et m’amusent…

 

FIN…

*** Epilogue ***

 

--- MARCO ----

 

Je donne des coups de bassin sur la croupe de Nadia. Je cogne brutalement mon le bas de mon corps contre le sien, et elle pousse des cris sous le choc de mes coups de bassins qui secouent son corps que j’ai serré contre moi.

 

Pendant un moment, je ne n’ai cessé de la cogner sur le cul, en position couché sur le côté gauche, de profil. Je le faisais dans le but de la brutaliser avec joie, désir et plaisir. Tout en lui flanquant de violent coup de bassin contre ses fesses rebondi pour simuler l’acte sexuel, je remarque que cette situation délirante semble beaucoup l’amuser, à en croire les sons de cris qu’elle pousse avec une certaine joie que je perçois.  

 

Après lui avoir encore flanqué quelques coups de bassins, je m’arrête et m’immobile. Je la tourne de force pour la coucher à plat ventre tout en montant sur elle comme le cop qui monte sur le dos de la poule. Je me colle étroitement à elle, mon buste contre son dos, et mon bassin plaqué contre la courbe de ses fesses rebondies.

 

J’enfouis mon visage sur le côté droite de son cou pour y déposer des bisous. Elle se tortille sous moi en poussant des petits rires étouffés. Elle rit comme une enfant joyeuse qu’on est en train de chatouiller. Je l’embrasse dans cette posture, elle ferme les yeux et répond positivement à mon baiser.  Le contact de nos lèvres se dévorant mutuellement provoque des petits bruits doux de succions, et cela met du piquant à la chose.

 

Je me redresse en prenant appui sur mes mains, et je dépose des petits baisers sur ses épaules puis le long de son dos en descendant plus bas sur la courbe naissante de ses belles fesses. Je l’entends pousse des petits soupirs d’aise me signalant qu’elle apprécie.

 

Je me reste ensuite positionné à 4 pattes, au-dessus de Nadia sagement couchée à plat ventre et ne bougeant pas d’un poil. Je me balade mon regard sur son dos, ses omoplates, ses reins, son cul bombé qui me fascine, et les grandes lèvres charnues de sa fente visible sous les fesses mais assez discrète entre les cuisses serrées.

 

J’étais en train de regarder la fente de Nadia par derrière quand je vois un mouvement de ses fesses qui se resserrent subitement, sous mes yeux, me tire de ma contemplation et mon admiration pour ce beau sexe de femme.

 

Nadia redresse son buste et prend appui sur ses coudes avant de tourner la tête vers moi et me regarder par-dessus son épaule droit.

 

- Il y a un souci, monsieur ? demande Nadia avec un regard interrogateur.

- Aucun souci, madame ! dis-je souriant.

- Alors vous attendez quoi pour continuer ce que vous faisiez ? dit Nadia.

 

Je ris un peu avant de pencher ma tête vers dos et sors ma langue pour lécher d’un coup le long du creux de son dos qui vient de se dessiner sur son dos lorsqu’elle a redressé son buste pour me regarder. Son corps se crispe un peu et je sens Nadia frissonner sous le coup de ma langue mouillé parcourant la longueur du creux de son dos.

 

Je fais des bisous sur ses omoplates en remontant vers son cou, en m’allongeant légèrement sur elle. Je sens mon gland se frotter entre pendant ce temps. Je décolle ma bouche de la douce peau que je bisoutais, puis je redresse mon buste et pose ma main droite sur épaules droite de Nadia gardant son buste redressé en appui sur ses coudes.

 

Je bouge le bassin, le reculant et l’avançant, pour frotter ma bite par aller-retour entre les fesses de Nadia. Cette dernière pousse un léger soupir et demeure immobile en gardant sa position pendant que je continue mon mouvement de bassin me permettant poursuivre avec désire et plaisir des frottements de mon sexe tendu dans le doux milieu des fesses de ma partenaire.

 

Mon gland va et vient longuement et doucement sur l’anus de Nadia. Celle-ci serre subitement les fesses et son petit trou cul.  

 

- J’espère que tu ne penses pas une secondes à me prendre par là.

- Tait toi et laisse-moi te travailler !

- Humm !

 

Je pose mes mains à plat sur ses fesses et commence à frotter ma bite plus vite entre ces deux dernières que j’écarte pour faciliter les frottements de mon gland sur le petit trou fripé du cul, ainsi que les va et vient de ma bite le long de la raie des fesses.

 

Nadia se tourne légèrement sur le côté en me regardant faire. Je sens son anus se contracte et se refermer plusieurs fois.

 

- Humm… arrête ça, maintenant. Tu vas trop loin, là ! dit-elle !

 

Je ne dis rien et ne m’arrête pas ! Je pose ma main droite derrière son épaule et fait une pression forte qui pousse le buste de Nadia, l’obligeant à se remettre tranquillement comme elle était plus tôt.  Nous ne sommes plus au moment de toute discussion, c’est le temps de l’action.

 

Je pousse des légers soupirs car c’est bon de sentir ma bite dur se frotter où elle est en ce moment. La sensation du frottement de mon gland sur l’anus est enivrante ! Le contact est doux lorsque ma bite qui va et vient au milieu de cette magnifique paire de fesses dodues et rebondies comme je les aiment.

 

Nadia lève son pied droit, son mollet droit vient se colle sur mes fesses que je serre en bougeant le bassin. Je me branle dans le doux creux du cul que je tiens, et ressens les contractions de l’anus qui serre, se détend, puis se resserre pendant que le penche un peu en avant en accélérant mes mouvements de bassin pour augmenter l’intensité de mes frottements de ma bite sur le petit trou qui semble vivant.

 

Nadia croise, le buste contre le lit, les bras sur le drap en gardant l’appui sur ses coudes.

 

- Mmmmmhhh…

 

Je pousse un soupir profond et baisse la tête sans bouger.

 

- Aaassssh… Mmmmhhh… ! Lâche-t-elle, entre deux soupirs.

 

Elle remue un peu le bassin et resserrer ses fesses pendant je continue sur ma branlette sur son doux derrière. Je m’arrête car je veux maintenant la sauter proprement. Je redresse mon buste et recule le bassin pour glisser mon gland sous l’anus puis me présente sur l’entrée de la fente que je sens tout de suite mouillée sous mon gland.

 

Les mains à plat sur le postérieur de Nadia, je lui écarte les fesses pour mieux voir la fente où je m’apprête à entrer. Je me couche sur littéralement sur le dos de Nadia et la pénètre dans le même mouvement. Je l’entends pousser un léger soupir quand ma bite s’insinue en elle dans coulissement fluide. Je me sens bien en elle et c’est un véritable plaisir que j’éprouve.

 

Je redresse mon buste et prend appui sur mes coudes. Je tends un peu les jambes puis je soulève doucement mon bassin et lever légèrement les genoux en prenant appui mes orteils. Je me retrouve presque à 4 pattes au-dessus de Nadia. Je me suis positionné un peu comme le fait Nadia en levrette, sauf que je n’ai pas les jambes plié et les genoux posé sur le lit, bien au contre j’ai les jambes un peu tendues et un peu fléchies. Du coup je suis aussi positionné à 4 pattes que couché à plat ventre avec  le buste baissé, le dos cambré, le bassin levé, les fesses en l’air, la bite dans la chatte de Nadia littéralement allongée sous moi à plat ventre.

 

Je bouge simplement les reins, en abaissant et soulevant le bassin dans un geste lent, pour faire des va et vient. Ainsi c’est avec lenteur et douceur que je fais aller et venir ma bite dans la chatte accueillante de Nadia. Je bouge les reins en maintenant le rythme pendant un moment sans arrêt. Mon bassin qui descend touche à peine la courbe des fesses de Nadia avant de remonter.

 

- Hummm… Mmmmmhhh…

 

Nadia soupire de contentement et ondule légèrement le bassin, pendant de la lime en douceur par derrière. J’accélère le rythme mais peu de temps après avoir entamé ce rythme rapide, je sens déjà mes jambes faiblir de fatigue et un mal de dos me tirailler. Si j’étais sportif dans l’âme, j’aurais tenu plus longtemps sur cette position où je fais davantage un exercice physique et sportif que culbuter et pilonner Nadia à plat ventre.

 

Je pose donc sur le lit mes genoux que j’avais levés depuis un moment et colle mon bassin sur la croupe de ma partenaire avant de redresser mon buste et tendre les bras pour mettre mes mains à plat sur le lit. Je la lime par un geste lent, en reculant et avançant le bassin vers les fesses.

 

Je la bourre plus violemment, tapant fort mon bassin contre ses fesses. Son corps est secoué par mes cous de reins.

 

- FIOUK… FIOUK… FIOUK… FIOUK… FIOUK… FIOUK…

 

J’entends ce bruit étouffé de mes va et vient dans son orifice trempé où le plonge et ressort constamment en la pilonnant.

 

- Mmmmmmmmhhh !

 

Je l’entends soupirer profondément et les vois fermé les yeux, elle semble loin dans un état second qui le conduite lentement mais surement vers le plaisir. J’attrape ses cheveux par la nuque et tire pour relever sa tête pendant que je continue de taper fort mon bassin contre ses fesses que j’écrase avec mon poids à chaque coup de butoir.

 

Nadia, les yeux fermés, geint de plaisir et de douleur mais surtout de plaisir. Elle émet des paroles à peine audibles sous les coups de reins que je lui inflige sans pitié et qui pousse son corps vers le haut du lit. Son derrière est maintenant couvert une fine sueur quand je ralentis en sentant ma semence venir.

 

Je stoppe net mes mouvements et me redresse pour mettre à genoux. Je saisis les hanches de Nadia et les soulève en les tirant de force. La croupe de Nadia se lève, je vois ses jambes se plier et ses genoux se poser sur le lit avant de voir Nadia maintenant en levrette, le buste plaqué contre le lit.

 

Je la prends sans management, lui donnant des coups de butoir brusques qui pousse son corps en avant. Bientôt sa tête cogne deux sur le haut du lit, l’obligeant à se redresser et poser ses mains à plat sur la partie haute du lit. J’arrête et la tire en arrière par les hanches. Elle recule volontiers pour venir coller ses fesses sur mon bassin. Son corps tremble, je sens qu’elle est fatiguée physiquement.

 

Alors qu’elle penche en avant pour coller son buste et sa tête sur le lit, je me saisis de ses coudes pour la stopper dans son élan et tirer son buste en arrière. Elle se redresse sous la contrainte de sa posture qui ne lui laisse pas d’autre choix que de se soumettre à la position que je veux lui imposer.

 

J’écarte ses bras qui se tendent puis je les tire fort vers moi, en arrière, tout en reprenant mes coups de bassins sur ses fesses que je tape avec plaisir avec mon bassin. Elle pousse un cri de surprise qui me fait sourire et m’émoustille.

 

Son dos fin de plie fortement et ses reins se creusent sensiblement, la faisant cabrer au maximum. J’admire sa merveilleuse croupe ; mes yeux fixent surtout son cul que je fouette à grand coup de bassin pour enfoncer ma bite profondément, et le plus loin possible. La vision de notre emboitement est grandiose !

 

Elle pousse un long gémissement et se tortille face à moi en contractant son sexe autour du mien. Je réalise qu’elle décolle sur un orgasme et va directement au 7ème ciel. La contraction de son sexe autour du mien  crée une nouvelle sensation exquise du frottement de ma bite dans son ventre secouée de spasme. Le gout me monte à la tête et me fait frémir puis gémir de plaisir.

 

J’entre dans un état second d’excitation. Je sens subitement ma semence monter en flèche. Je n’ai pas la force de m’arrêter ni me contrôler pour freiner cette montée fulgurante du flux en provenance de ma grosse paire de couilles qui ballotent entre mes cuisses sous l’action de mes reins toujours en mouvement d’emboitement à un rythme effréné.

 

Sentant que je vais éjaculer d’une seconde à l’autre, je donne un ultime coup de reins et lâche brusquement les bras de Nadia que je maintenais tirés en arrière. Le corps de Nadia est poussé d’un coup en avant par mon ultime coup de reins et atterrit sur le buste qui se pose sur le lit. Mon corps suit le sien et je m’affale sur son dos alors qu’elle a toujours les jambes pliés et les genoux en appui sur le lit si bien que sa croupe reste bien tendue en l’air avec mon bassin collé dessus, et ma bite enfoncé jusqu’à la garde dans le con détrempé de ma partenaire physiquement épuisée par le sport que faisions vivement.

 

Nadia se redresse tant bien que mal sous moi, je redresse mon buste sur son dos plié et cabré. Dans un geste désespéré pour la baiser encore un peu plus avant mon éjaculation imminente, je pose aussitôt mes mains sur ses frêles épaules pour prendre appui dessous par une forte pression avant que je monte et descends le bassin très rapidement sur la croupe en l’air. Je tape aussi vite et aussi fort que je peux sur les fesses pour pilonner Nadia et défoncer sa chatte.

 

Mon incitative désespéré court d’abord le souffle court de Nadia avant qu’elle pousse un cri de surprise et de supplice. Elle reste immobile et subit tous mes assauts désespérées en geignant et haletant bruyamment.

 

Je sens mon sperme monté et arrivé dans mon gland que je retire vite de la chatte en serrant le ventre de toute ma force. Lâché par moi, le corps transpirant de Nadia s’effondre aussitôt sur le lit. Nadia halète en s’affalant sur le côté droit du corps et reste couché de profil. C’est à ce moment-là que mon ventre se crispe et je lâche malgré moi toute la pression du flux de sperme qui jaillit mon trou de sortie d’urine. Je ferme les yeux et gémis la bouche ouvert en me vidant en trois giclement puissant de semence qui me vident le corps de mes forces et me font trembler de plaisir.

 

Quand je finis d’éjaculer puissamment dans un râle profond qui meurt au fond de ma gorge, je reste un instant  à genoux à fixer le plafond sans le voir car j’ai les yeux fermés par l’émotion.

 

Quand j’ouvre les yeux doucement en haletant, je descends lentement mon regard et je trouve devant moi le corps nue d’une Nadia allongée, les yeux clos. Elle est visiblement épuisée, et surtout souillé par mon sperme sur son ventre, ses gros seins et une petite partie de son visage.

 

 

*** FIN DE L’HISTOIRE ****

PS : Merci d’avoir lu ! A bientôt !

C’est NOËL !