C’EST NOËL - Chapitre 6

Write by chrochro241

*** C’EST NOËL ! ***

Chapitre 6

 

 

---- NADIA ----

 

 

Je viens de repousser sa main qu’il avait réussi à insérer entre mes cuisse, tout ça parce que je lui ai laissé faire pendant qu’il m’embrassait en me  caressant. C’était doux ! Je retire sa main hors de mes cuisses et remet ma jupe en place sur ces dernières. Ce n’est pas que je n’aime ce qu’il était en train de me faire et j’avoue qu’il me plait vu qu’il est pas mal. Mais je ne peux pas de me donner à cet homme aussi facilement. N’empêche qu’il réveille en moi des pulsions qui me donne envie de me laisser faire et savourer l’instant.

 

Je regarde un point fixe devant moi alors qu’il est assis près de moi et me regarde. Qui sait ce qu’il pense ? Cette proximité entre nous est telle que j’ai peur et du mal a respiré tandis que je sens son regard sur moi. Je le vois prendre ma flute de champagne et me la tendre. Je la prends et la porte à mes lèvres pour boire un peu. Il boit aussi un peu dans son verre et le pose alors que je tien le mien en main au-dessus de mes cuisses. 

 

Il fait tourner la tête vers lui en attrapant mon menton. Mon cœur s’emballe et tambourine dans ma poitrine quand il approche son visage du mien. Ses lèvres viennent lentement se poser sur la mienne et s’appuie doucement dessus. Ce contact de nos bouches est doux. Il me tient la joue avec sa main qui tenait mon menton et commence à m’embrasser tendrement. Je n’ai pas eu la force de le repousser pourtant j’ai levé ma main libre pour la poser sur son torse.

 

Il m’embrasse avec une douceur infinie qui réveille en moi des sentiments. C’est doux et savoureux ! Je réponds timidement à son baiser alors qu’il y met lentement plus d’ardeur. 

 

 

--- MARCO ---

 

Elle se décolle soudain de moi, en me repoussant fortement mais doucement. Elle halète et reprend son souffle. Elle me repousse lorsque je veux goutter à nouveau la saveur de ses lèvres exquises.

- Arrêtons ça ! Dit-elle en haletant en me regardant.

 

Je comprends qu’il faut calmer un peu le jeu et la rassurer au maximum puis trouver une autre approche pour l’atteindre. J’ai intérêt à la mettre en confiance avec moi sinon elle va mettre une barrière entre nous.

 

- D’accord ! Faisons une pause ! Dis-je pour répondre à requête.

- Une pause ? Dit-elle surprise et sceptique.

- Oui ! Dis-je très sérieusement.

- Que voulez-vous dire ?

- Que j’accepte qu’on arrête pour le moment ce qu’on faisait. Dis-je en souriant.

- …

- …

- Il n’y a pas de mal à flirter. C’est ce qui nous rend humain ! Dis-je en souriant.

- Vous flirter avec moi alors qu’sn ne se connait presque pas.

- C’est un fait tout à fait naturel ! Dis-je en souriant.

- Je ne sais rien de vous et vous ne savez même pas qui je suis.

- En parlant de vous, dites-moi votre prénom. Dis-je en souriant.

- C’est maintenant que mon prénom vous intéresse.

- Bien sûr ! Il est temps de faire connaissance, non ? Dis-je en caressant sa joue.

- …

- Votre prénom, s’il vous plait ! Dis-je en souriant.

- Nadia !

- Enchanté ! Je suis Marco ! Dis-je en souriant.

- Enchanté !  

- Vous êtes gabonaise ?

- Oui ! Et vous ?

- Idem !

- …

- …

- Puis-je vous embrasser ? Dis-je en souriant.

- Hein ? dit-elle surprise.

 

Elle est subitement très étonnée. Je souris et finis par rire sur un ton moqueur.

 

- Oh vous vous moquez de moi. Je ne vois pas ce qui est drôle.

- C’est votre réaction qui m’amuse. Dis-je en souriant.

- Ah bon ?

- Bien sûr ! Dis-je en souriant.

- Vous n’êtes pas sérieux ! S’offusque-t-elle !

- Ah oui ? Dis-je en souriant.

- Oui !

 

Je cesse de sourire et prends un air plus sérieux en la regardant. On se regarde et se fixe un instant. J’aime ce moment où je me plonge dans son regard. Elle détourne les yeux soudainement. Je rapproche lentement mon visage du sien. Elle me regarde venir et recule la tête sans me quitter des yeux. Elle n’agit pas assez vite pour éviter le contact de nos bouches.

 

A peine nos lèvres se touchent, elle recule davantage la tête en se penchant en arrière. Je sens sa bouche se décoller de la mienne. Je me penche aussitôt en avant vers elle alors qu’elle se penche en arrière en reculant la tête. Elle s’arrête soudain dans son élan tandis qu’elle réalise qu’elle est sur le point de s’allonger en partie sur de mon canapé cuir sur lequel nous sommes installés. Je capture ses lèvres sans lui laisser une chance de m’éviter. Nos bouches se retrouvent collées à nouveau. Elle reçoit mon baiser sans pouvoir faire autrement dans sa mauvaise posture, semble-t-il.

 

Elle me laisse l’embrasser après un petit recul de sa tête alors que nos lèvres se sont soudées. Elle résiste un peu à mon intervention musclé avant de céder sous la pression que j’exerce sur elle. Car tout en l’embrassant franchement, j’ai un peu usé de ma force physique et du poids de mon corps pour la contraindre à s’allonger littéralement de dos sur mon canapé. Sa tête s’est posée sur l’accoudoir du canapé. C’est ainsi que je me retrouve presque sur elle pendant que nous nous embrassons à pleine bouche et avec la langue.

 

---- NADIA ----

 

Marco est maintenant sur moi allongée de dos sur son canapé. J’avais essayé de résister à ses avances mais il m’a prise au dépourvue. Je n’ai plus d’échappatoire et ne peut le repousser car je suis dominé. La seule solution que j’ai trouvée sur le coup est de céder. Je me laisse faire alors qu’il m’embrasse avec fougue. J’ai répondu tôt à son baiser qui a eu le don de réveiller en moi le désir d’être embrassé par lui.

 

Nous nous embrassons en soupirant bruyamment nous dévorant mutuellement la bouche. Je décolle ma bouche de la sienne pour reprendre mon souffle. Je détourne pour éviter qu’il m’embrasse alors que j’ai le souffle court. Il en profite pour m’embrasser dans le cou. Le contact de sa bouche embrassant mon cou me donne des délicieux frissons.

 

Sa main droite caresse ma jambe au niveau de la cuisse à travers ma jupe courte moulante, près du corps. Je me tortille sous lui en soupirant bruyamment. Je ne peux m’empêcher de gémir quand il mordille et suce ma peau. Je ne suis plus que frissons, soupirs bruyant et gémissements. Il joue presque avec mes pauvre nerfs. Ma respiration devenue bruyante et saccadée. J’halète alors qu’il continue sur sa lancée.

 

Je bougeais les jambes lentement en me tortillant sous Marco. J’avais dans la foulée ouvert un peu les jambes pour avoir un certain confort avec l’homme chaud sur moi. Ma jupe courte noire, ayant un tissu extensible comme celui des collants et legging, me permettait cette ouverture de mes jambes. 

 

Marco se redresse et quitte sur moi, me laissant essoufflée dans un état second. Il reste assis à l’autre bout du canapé et me regarde avant de se lever. Nos regards se  croisent et lit le désir sur son visage. J’vais les pieds tendu hors du canapé, du côté de Marco. Il s’en saisit et les caresse doucement en me regardant. Puis il baisse les yeux vers mes pieds où il dépose un bisou mouillé sur chacun pied. Je suis émue de le voir faire ce geste tendre, digne d’un amoureux.

 

Puis par des petits bisous il remonte le long de mes mollets pour atteindre mes genoux. C’est comme une douce caresse à mes yeux. Je me tortille un peu, en souriant et appréciant ce geste affectueux de sa part.

 

Je le regarde soulève un peu mes jambes avant de forcer à les plier. Il retrousse lentement ma jupe moulante, la remontant doucement de chaque côté vers le haut de mes cuisses qui se retrouvent exposé nues au trois- regard plein de désir de Marco. Je joins les cuisses alors qu’elles sont maintenant dévoilées à Marco qui les regarde puis les caresse lentement et doucement. Je frissonne de plaisir sous les caresses douces qu’il applique sur mes cuisses jointes. Il glisse une main entre elles en direction de mon entrejambes. Instinctivement, je me pince les lèvres en serrant les cuisses.

 

 

--- MARCO -----

 

J’insère ma main entre ses genoux et la glisse à l’intérieur de ses grosses cuisses dodues. Elles sont si douces à toucher et agréable à caresser. En glissant ma main plus loin, je sens les cuisses serrer mais cela n’empêche pas d’aller encore plus loin. J’aime cette douce Marco qui se dégage intensément à l’intérieur de ses cuisses jointes. J’ai l’impression que je vais me bruler les doigts en touchant son entrejambe. Mais j’aimerais bien me bruler en touchant. Ça veut le peine !

 

Ma main se glisse sous sa jupe retroussée sur le haut des cuisses. Je sens de plus belle la Marco qui se dégage dans cette zone très intime. J’effleure le tissu en soie du sous-vêtement agréablement chaud et humide. Je le touche ensuite plus franchement et suis ému par la Marco et la moiteur que je ressens tout prêt. Elle provient d’une seconde zone cachée tout près où se trouve une douce caverne aussi humide que chaude et profonde. Je désire la découvrir dans toute sa splendeur, la pénétrer respectueusement, la fouiller patiemment, l’explorer passionnément jusqu’au fin fond de son fondement.

 

J’avance doucement mes doigts, je sens les cuisses de Nadia se resserrer sur ma main, bloquant l’avancée de cette dernière. Je lève les yeux vers le visage de Nadia qui me  regarde ne pinçant les lèvres.

 

 - Stop ! Route barrée ! On ne passe pas ! Dit-elle en souriant.

- Pourquoi route barrée ? Je vous prie ! Dis-je en souriant en caressant sa cuisse avec ma main libre.

- C’est zone interdite sans approbation ! Dit-elle sur ton narquois.

- Laisse-moi passer, ma belle ! Dis-je en souriant.

- Tu cherches même quoi en là-bas, où tu vas ? Dit-elle avec un sourire espiègle.

- La caverne d’Alibaba ! Dis-je en souriant.

 

Elle rit puis me regarde droit dans les yeux, la mine amusée, avec un sourire. Je la regarde et la supplie du regard. Elle me sourire de plus belle et se pince les lèvres en me regardant dans les yeux.

 

- Donc tu veux aller dans la caverne d’Alibaba ? Dit-elle en souriant.

- Oui, ma belle ! Il parait qu’il y a un trésor caché. Dis-je en souriant.

- Hummmm ! Tu es trop pointu (curieux) !

- Rassure-toi ! Je suis un bon et gentil explorateur.

- …

- Tu ne regretteras pas en me laissant passer librement. Tu vas aimer !

- …

 

Elle ne dit rien, se contentant de me regarder en se pinçant les lèvres. Je soutiens mon regard et plonge mes yeux dans les siens. On se mesure du regard et cela dure un instant avant qu’elle ouvre la bouche.

 

- Bon… Si tu veux passer, tu dois prononcer la formule magique. Dit-elle en souriant.

 

Je fronce les sourcils, sans rien y comprendre.

 

- Quelle formule magique ? Demandai-je dans la confusion !

- Celle qui permet d’ouvrir le passage du chemin vers la caverne d’Alibaba, voyons ! Dit-elle sur un ton narquois.

 

Je suis confus et réfléchis à ce qu’elle vient de dire. Elle parle d’une formule magique en ouvrant le passage…

 

- Hum ! ça me dit rien ! Dis-je !

- Dommage ! Tu ne passeras sans prononcer le mot de passe.

- Le mot de passe ?!

- …

- …

- …

- Ah oui, je crois comprendre. Dis-je après avoir bien réfléchis.

- Alors prononce la formule magique si tu l’as trouvé !

- Sésame, ouvre-toi ! Dis-je en souriant.

- Ah ! Bravo ! Dit-elle agréablement surprise.

 

Elle me sourit.

 

- Alors ? dis-je impatient.

- Retire d’abord ta main ! Et le passage s’ouvrira à toi.

 

Je m’exécute, tout excité. Dès que je retire ma main, elle ne fait rien. Elle garde les jambes repliées et les cuisses relevée et fermées sans les ouvrir aussitôt. Je la regarde avec un air interrogateur. Je la vois se pincer se les lèvres nerveusement. Elle semble gênée, chose que je comprends. Je la regarde tendrement et lui sourit pour l’encourager. Elle me regarde et se mord la lèvre inférieure puis pose ses mains sur chaque côté de ses cuisses avant de tirer lentement le bas de sa jupe. Cette dernière est déjà retroussée mais elle la tire sur les côtés, la retroussant encore plus haut. Elle me dévoile largement ses cuisses et je profite du spectacle en silence, le cœur battant.

 

Elle retrousse sa jupe jusqu’au raz des fesses, dévoilant et exposant ses jambes mi longue entièrement dénudées. La vue vaut le détour ! C’est un plaisir de les regarder !

 

Nadia arrête tout mouvement et me fixe. Je le regarde en face, l’air de lui demander la suite. Elle détourne les yeux des miens et ouvre timidement les cuisses. Elle le fait lentement pour les ouvrir d’abord légèrement puis un peu plus jusqu’à ce que ce soit ensuite plus largement ouvert à moi. Je baisse les yeux en voyant ses cuisses s’ouvrir devant moi pour laisser apparaitre le sous-vêtement habillant l’entrejambe que j’avais eu le plaisir de toucher précédemment sans le voir.

 

Je regarde avec admiration son entrejambe dévoilé et orné du tissu noir d’un string en dentelle. Ce dernier est un dessous particulièrement sexy et affriolant. Sa couleur sombre contraste énormément avec la couleur du teint clair de Nadia. C’est beau de la voir porter çà ! En me rinçant l’œil sur le magnifique cache sexe de Nadia, mon sang ne fit qu’un tour et je bande dur de chez dur en rien de temps.

 

Devant mon regard lubrique et admirateur, Nadia ferme les cuisses.

 

- Ouvre-les !

- …

- Laisse voir ton beau pays bas ! S’il te plait, ma belle ! Dis-je ne la suppliant du regard.

- …

 

Elle se mince les lèvres et se mord les lèvres inférieur sans faire autre chose. Je comprends qu’elle refuse mais j’ai envie de revoir ce que j’ai vu. Je pose mes mains sur ses genoux en l’air et les écartes, ouvrant les cuisses dans le mouvement. Je sens une résistance, indiquant que Nadia veut fermer ses cuisses. Je les ouvre lentement de force en regardant Nadia en face. Elle glisse lentement sa main droite, puis celle de gauche, entre ses cuisses que j’ouvre de force avec succès. J’ai la désagréable surprise de la voir croiser ses mains sur son entrejambe, me cachant la vision de son dessous sexy habillant son sexe que je convoite.

 

 

--- NADIA ---

 

Je suis profondément troublé après que Marco a ouvert mes cuisses malgré mon envie de la garder fermée car c’est si gênant d’avoir les cuisses écartées sous ses yeux. J’ai pu voir combien il kiffait ce que voyait. Je sais que la vision de mon entrejambe l’a beaucoup plu et qu’il aimerait que je garde la position de « la femme qui accouche » pour se rincer l’œil mais je n’aime pas ça du tout du coup j’ai fermé les cuisses. Mais Marco les a ouverts de force. J’ai voulu me rebeller et résister mais l’envie de me dévoiler fut plus forte que la honte qui m’habite saintement que je lui laisse voir mon précieux habillé de mon dessus noir en dentelle. J’ai tellement honte que je cache mon précieux avec mes mains et referme les cuisses dessus.

 

Il les écarte sans vergogne. Le petit string que j’ai enfilé laisse passer un peu d’air sur mon sexe et je frissonne.je pose une main dessus.

Marco me regarde et les ouvre sans vergogne. Puis il regarde mes mains posées sur mon sexe que je sens palpiter d’envie. Mon minou ne peut pas se retenir en pareille situation. Je vois la main droite de Marco se poser sur la mienne avant de la saisir et la retirer sans que j’oppose de résistance. Il veut faire de même avec ma main gauche, restant posée sur mon sexe, mais je résiste cette fois-ci. Voyant que je ne veux pas qu’il ôte ma main de mon sexe, il fait pression et se met à bouger ma main de telle sorte que je caresse mon sexe comme si je me masturbais. La paume de ma main et mes doigts caressent à travers mon string dentelle mes lèvres intimes qui sont bien charnues et gonflées.


Je ne devrais pas me laisser manipuler, mais mes gestes deviennent incontrôlables sous la manœuvre de Marco. Sa manœuvre a le don de m’exciter car me toucher et caresser le sexe devant l’homme m’émoustille.

 

Sans le vouloir, je me laisse porter par ce massage intime indésirable mais excitant que je me procure à l’aide de ma main caressant mon minou à travers mon string, sous l’action de la main de Marco qui control tout. Je ferme les yeux et bascule la tête en arrière sous l’émotion due à mon excitation grandissante. Je sens mon corps qui vibre de désir, traversé par des frissons, et qu’une Marco étrange nait dans mon ventre.

 

Ma main télécommandée se glisse vers mon pubis. Alors qu’elle remonte, Marco appuie sur un doigt qui se trouve au-dessus de mon clitoris. Je sursaute en recevant une décharge électrique. Je bouge le bassin en gémissant durant cette sensation de brin de plaisir que ce geste me procure.

Des doigts inquisiteurs frôlent les coutures de mon string, je frissonne lorsque qu’un doigt s’insinue entre ma peau et le tissu de mon string qui est un peu repoussé pour dégager l’entrée de ma caverne. Le doigt inconnu s’enfonce d’un coup dans ma chatte déjà humide.

 

J’ouvre les yeux que j’avais fermés et regarde Marco devant moi avec la main retourné qui va et vient face à ma fente. Son regard est plongé sur mon entrejambe alors que son attention est sur le geste que fait son doigt courbé en moi. Il me doigte en touchant la paroi supérieur de mon antre avec douceur et lenteur, jusqu’à un moment où je veux plus. 

 

Instinctivement, j’ondule le bassin alors que le doigt bouge en moi si agréablement du coin de mon string, en entrant et sortant continuellement de mes lèvres gonflées par le désir. Je regarde Marco me doigter et j’y prends gout en voyant qu’il le fait très bien. Ses gestes ne sont pas brusques. Il prend son temps et semble se concentrer sur mon ressenti.

 

Un mouvement circulaire est fait par le doigt sur un point soudain très sensible de ma paroi supérieure, mon excitation monte d'un cran. Je me tortille en me mordant les lèvres quand je ressens la chaleur s’intensifier dans mon ventre. J’ondule plus vite mes reins, suivant à contre sens les mouvements circulaire du doigt qui commence à me rendre folle.

 

Je vais de soupirs en soupirs, de me gémissements en remuant le bassin. La jouissance monte brusquement et atteint son paroxysme avec la pression intense dans mon ventre se libère soudain et se déchaine, en créant des secousses qui agitent mon bas ventre. Je me crispe alors que mes parois se contractent déjà fortement. Je ferme les yeux et serre mes poings, juste avant que j’explose dans un profond râle de plaisir en fermant les cuisses d´un coup sec.

 

Je vois des petites particules, on dirait des étincelles, devant mes yeux. Des doigts de Marco s’agite à nouveau dans ma fente. Elle est déjà mouillée par tout le plaisir que j’ai eu. La mouille qui s’y trouve rend fluide les mouvements du doigt. Je tressaille et écarte les jambes sous l’effet du gout que cela me procure. Le string repousser légèrement sur le côté entrave un peu les mouvements du doigt, mais laisse assez d’espace pour qu’un deuxième doigt suive le même chemin que le premier. Je me fais limer d’un geste rapide et dure un bon moment. Je tremble de plaisir, mon ventre se contracte et je jouis de nouveau. J’ai l’impression de me vider. Je ne me souviens pas de la dernière fois que j’ai éprouvée un tel plaisir en me faisant doigter par un homme.

 

Je vois Marco baisse rapidement son short bien déformé par la bosse signalant l’érection de sexe. Ce dernier jaillit tout tendu. J’étais allongé légèrement sur le dos et profil quand Marco me fait tourner sur le côté droit. Mais bien avant cela il a fait descendre mon string sur mes cuisses. Il joint mes cuisses et me fait remonté ma jambe gauche vers mon ventre en les gardant fermées. Il se place dessus de moi, je sens son gland se coller sur les lèvres de ma fente. Il me pénètre en un seul geste en une seconde avant que je sens son bassin dur contre mes fesses. Je réalise qu’il s’est enfoncé en moi d’un coup jusqu’à la garde.

 

Je le sens bien profondément. Mes doigts se resserrent contre le tissu du fauteuil. Mon corps tremble d’un orgasme violent venu du tréfonds de mon corps. Marco commence à se mouvoir puis me lime à coups de reins. Moi qui aime la baise, je suis servie ! La sensation est forte ! Le plaisir de me faire sauter est intense. Les coups s’accélèrent. Ses boules tapent contre ma fesse en contrebas. J’ai vite le sexe en feu car chauffe et ça pique mais je ne veux pas m’arrêter pour j’émets des sons plaintes. Le sexe dur se retire brusquement de ma chatte. Je souffle et baisse la tête pour essayer de retrouver mes esprits un peu embrouillés.

 

Mais Marco s’éloigne à peine de moi. Il me fait avancer vers le bord du canapé pour laisser assez d’espace dans dos. Il s’allonge de profil derrière moi, se collant étroitement contre mon dos et mes fesses. Il fourre son sexe délicatement et recommence à me limer, mais beaucoup plus lentement cette fois-ci. Je bouge les hanches et vais à la rencontre de son sexe qui s’enfonce simultanément plus profondément en moi. Je me laisse faire alors qu’il me besogne en douceur. La sensation de son sexe bougeant doucement en moi est jouissif. Je soupir d’aise. Peu après, mon ventre se contracte et je jouis de nouveau. J’ai l’impression de me vider. J’ai l’impression qu’au fil des jouissances, mon corps s’affaiblit. Marco s’immobile en restant enfoncé en moi pendant que je pars vers d’autres cieux et revienne lentement sur terre.

 

Un instant après, il recommence à se mouvoir de nouveau. Son mouvement au départ est lent. Cela me donne le gout. Je gémis et m’appuie sur mes bras pendant qu’il me donne tant de plaisir par des coups de butoirs tantôt rapides, tantôt lents. Je subis ses assauts en geignant. La pénétration stimule tout mon être et devient tellement envoûtante que j’en oublie tout autour moi. Mes pensées sont concentrées autour de cette bite bougeant en moi, remplissant mon sexe chaud et mouillé. 

Marco se retire et redresse puis me fait coucher à plat ventre, les jambes tendues et jointes. Rapidement il s’allonge sur moi, sa queue dure s’insinue entre mes fesses. Son gland parcoure ma raie quand il le guide en dessous pour pénétrer dans bon trou. Rapidement il est entièrement dans ma chatte. Quelques va et vient après, il se retire en le laissant une sensation de vide en moi. Il replonge dans mon antre brulant, et me pilonne ensuite sur le champ. Il y va à fond et se bouge en moi rapidement jusqu’à un moment où il se retire brusquement. Il jouit abondamment sur mes fesses en poussant des petits grognements.

 

Il quitte le canapé et me laisse affaiblie. Je me tourne légèrement de profil en souriant. Je le vois remonter son short et s’éloigner en disant qu’il revient et va chercher de quoi me nettoyer. Je me remets à plat ventre et reste couchée, les jambes tendues et légèrement ouvertes. Je sens une sensation de mouille intensive dans mon sexe encore tremblant de plaisir. Je suis complètement lessivée. Toutes ces sensations me plongent dans un état de léthargie.

 

Marco revient du papier Q. il m’essuie les fesses qu’il a souillé avec son sperme.


- Tout va bien ? demande Marco.

 

Je ne peux qu’hocher simplement la tête. Il m’essuie les fesses puis me donne une petite tape aux fesses. Je ne sens plus rien sur mon cul. Je me redresse et vois mes fesses visiblement propres. Je m’assoie sur le canapé, les fesses nues au bord, le sexe ouvert et dégoulinant dans le vide. J’ai un peu le vertige. Je ne vois pas Marco dans salon. Qui sait, il est surement allé aux toilettes. Après tout c’est normal après avoir baisé et jouit!

 

Je regarde mes jambes entièrement dénudées et vois mon string pendre entre mes cuisses ouvertes. C’est fou comment je me fais sauter ces derniers temps. Une fois de plus je viens encore de me faire défoncer la foufoune par une dure et chaude. J’en ai honte ! Mais je m’en fiche un peu aussi ! J’ai pris mon pied et c’était doux ! Donc pas de regrets !

 

Je prends ma flute de champagne et la boit pour me changer les idées.  Je la vide et me ressers du champagne et boit la moitié de mon verre d’un coup. Tant de sport me donne vraiment soif.

 

 

A  SUIVRE !

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