Chap 2

Write by Sandra Williams

Chap 2

Taes était un royaume immense et fortuné. Sa richesse était inestimable et son peuple vivait aisément. Ses terres étaient fertiles et ses forêts toujours vertes. Les royaumes voisins lui ont livré bataille durant des années mais sa victoire tenait toujours tête. Ses multiples victoires lui ont valu la croissance de son armée, de ses terres, de ses esclaves, de ses richesses et également de ses ennemis. Taes était le plus grand royaume de toute l’Afrique et quiconque se tenant à sa tête était reconnu comme un grand roi. David ZADIE, était le troisième roi de toute la lignée royale. Comme ses prédécesseurs, il assurait la perpétuation de la tradition en remportant plusieurs guerres ayant marquées les temps. Ses ennemis s’amplifiaient au jour le jour et chaque royaume représentait une menace pour ses terres.

David n’avait jamais cessé de penser que la disparition de sa fille était en fait un coup monté par l’un de ses incalculables ennemis. La douleur survit dans son cœur jusqu’au jour où le palais reçu l’appel d’une certaine Teesha qui se présentait comme étant la fameuse princesse disparue. Après des heures de discussion au téléphone, une date fut choisie pour que les retrouvailles s’opèrent. Ce qu’ils ignoraient c’était la suite des événements. Bien entendu ce ne sera pas Teesha qui se présentera à leur porte mais plutôt Lisette se faisant passer pour leur fille. Le roi en apprenant la réapparition de sa fille ne put supporter le choc. C’est donc en compagnie de Asa (fille adoptive du roi et de la reine) que la reine accueillera lisette.

Sa venue avait été très bien préparée du plus petit détail jusqu’à la plus grande. La reine ne savait pas vraiment où donner de la tête pour que la cérémonie de bienvenue soit parfaite. Après des heures de travail, tout était finalement prêt pour accueillir l’enfant prodigue. La princesse devrait être conduite au palais dans les heures à suivre.

A des kilomètres de Taes se trouvait le royaume de DANTE, un royaume dont la puissance n’était vantée partout sur le continent. C’était un grand royaume voisin à celui de Tares, faisant du roi Ambroise IMAWA l’un des plus grands rois d’Afrique après David. Taes et Dante avait signé un traité de paix depuis des siècles et donc aucun des deux ne devait violer la terre de l’autre. C’était sans compter sur le prince Éric, le second fils du roi Ambroise et de la reine Awa. Le couple royal avait deux enfants, Xavier le fils aîné du couple et Éric le benjamin. Les deux princes avaient grandi dans l’amour et l’harmonie familiale. Déjà en pleine adolescence, Xavier devenait de plus en plus, un homme fort aussi bien physiquement que mentalement. Sa dextérité et son sens accru du stratègme faisait de lui un bon aspirant au trône royal. Le prince était toujours comparé à son père quand ce dernier était encore plus jeune. Cependant, face à la gloire et au dévouement que lui vouait le peuple, son petit frère Éric qui lui par contre s’efforçait d’être à la hauteur de son grand frère s’éprenait d’une jalousie malsaine pour son frère. L’admiration de leur père face aux triomphes de son frère n’arrangeait par vraiment la situation. Éric s’enfonçait chaque jour davantage dans le piège du vice et l’envie. Encourager par sa mère la reine Awa, Éric décida un soir de mettre fin à la vie de son frère avant que le roi ne se décide à le nommer futur roi de Dante. La disparition de Xavier fut un grand choc pour tout le monde. Tous les rois et reines des royaumes voisins présentèrent leurs sincères condoléances à la famille éplorée. Éric s’était assuré sa place au trône. Son ambition grandissait au fur et à mesure. Son but s’était de s’emparer de Tares et pour y arriver, il avait sa petite idée bien faite.

Quelques heures avant l’arrivée de Lisette au palais royal, le prince Éric s’était retrouvé dans une de ses demeures pour une entrevue du genre intime avec Dame Marguerite, une de ses nombreuses maitresses. La demeure du jeune prince était construite sur le plus grand fleuve de Dante. C’était un palace qu’il a fait construit au nom de son frère et qui portait les initiales du disparu. On pouvait lire juste à l’entrée de la demeure (relier à la terre ferme par un pont de plus de deux kilomètres fait en bois massif) écrit sur un gigantesque panneau « EN MEMOIRE DE X.I ». Le palace comptait 15 chambres toutes construites en bois massifs. Il s’agissait là de tout une villa construit traditionnellement et décorées avec par les meilleurs experts en décoration de tout le royaume. La maison se trouvait à quinze mètres au-dessus de l’eau et la vue était très agréable. Au beau milieu des constructions se trouvaient un jaquousie faite de façon traditionnelle également tout en y ajoutant des touches modernes. C’était en tout, un paradis sur terre. Éric était tout sauf un homme dépourvu de classe. Sa personnalité était connue de tous et apprécier par tous. C’était le prince parfait et désiré de toutes filles et de toutes les princesses. Il ne semblait pas s’en plaindre néanmoins. Fière de ses attributions et de sa carrure royale, le prince profitait de chaque seconde de la vie en compagnie de son valet le jeune Christian qui lui avait juré allégeance.

Son rendez-vous l’attendait déjà bien au chaud dans sa suite personnelle au X.I. Une belle créature au corps de déesse était étendue sur le lit (sacrément vaste et couvert de drap en soie) nue, drapée exprès pour couvrir les parties les plus provoquantes de son corps. Marguerite adorait ses réunions purement sexuelles entre elle, une jeune petite esclave ayant eu la chance dont toutes les filles rêvaient et le prince le plus convoité aux quatre coins de l’Afrique. Ce qu’elle ignorait c’était que le prince aussi adorait ses petites galipettes avec son esclave préférée. Une belle créature qui lui était soumise comme une petite chienne avec qui il pouvait satisfaire toutes ses petits besoins aussi malsains soient-ils.

Marguerite vautrée dans le lit s’imaginait toutes les petites attentions dont elle bénéficiera quand le plan du prince réussira. Elle savait qu’elle serait aux premiers rangs pour l’applaudir et l’admirer. Elle savait aussi qu’elle obtiendrait la vie dont elle rêvait depuis toute petite et que plus jamais on ne la traiterait en servante. Tout ce luxe lui montait à la tête. Chaque petite partie de son corps s’extasiait à la seule idée que bientôt elle aura des terres, des maisons, des serviteurs et de l’argent à son nom.

Elle continuait de planer quand elle ressentit une main molle, chaude, excitante et raffinée lui caresser l’entre-jambe. Elle reconnait ses mains. Le prince était là. Torse nu, vêtit uniquement d’un pantalon noir qui dessinait parfaitement bien son corps, Éric pour plaire. Il avait tout d’un homme parfait. Un physique imposant, une intelligence sans faille, une taille dominatrice, un charme foudroyant et une sensualité à tuer toute une hotte de jeunes filles. Il était entré dans la pièce sans faire le moindre puisqu’il ne s’était pas chaussé. Sentant la main passée et repassée, Mag se redressa pour saluer son bourreau.

-          Bonjour mon prince ! dit-elle la voix presqu’étouffée.

-          Ne parle pas ! garde-toi des politesses. Couche toi, ressens mes caresses et raconte-moi tout, dit-il sans perdre le fil de la conversation.

Mag obéit et tête face à la toiture de la chambre, elle se concentra comme l’avait ordonné son maître. Elle se focalisa sur ce qu’elle avait à dire tout en ressentant chaque stimulation qu’engendrait la main d’Éric au niveau de son bassin. Elle serra fortement ses cuisses afin de mieux supporter ce délice que lui apportaient les caresses  Le prince s’agenouilla au pied du lit et contrôlait chaque geste que ferait sa main à chaque endroit précis. D’abord c’était son pouce, ensuite son majeure et après le majeure et l’index qui parcourait sa verge pour lui faire subir des sensations à la fois sauvages et mielleuses. Mag ne pouvait s’empêcher de gémir et de se retourner dans tous les sens. Le corps déjà soumis de la jeune femme répondait à chaque action entreprise par les mains ou même les doigts du prince.

-          Je t’écoute Mag, parle-moi !

-          La princesse descend aujourd’hui. Son vol atterrira dans les prochaines heures.

-          Dans combien d’heures exactement

-          Dans une heure trente. Le chauffeur de la cour devra l’attendre à l’aéroport et la ramené au palais à sa descente.

-          Qu’ont-ils prévu pour sa venue ?

-          Le roi devra s’entretenir avec elle afin de s’assurer si réellement il s’agissait de sa fille. La reine elle par contre à tout organisé pour son arrivé. Elle est excitée à l’idée de retrouver sa fille, marmonna-t-elle

-          Et Asa ?

-          La princesse aussi s’en réjouis. J’ai discuté avec elle et elle me semble heureuse de la nouvelle.

-          Et les membres de la cour ?

-          Les sages sont tous perplexes, aucun d’entre eux ne s’est encore prononcé. Ils attendent tous la décision du roi.

Éric se releva d’un posément et se tenait gracieusement à hauteur de sa soumise. Il contempla le corps affamé de sexe de sa victime et esquissa un sourire sournois. Il s’éloigna d’elle pour prendre un glaçon dans le sceau posé sur la table de nuit non loin du lit. Il contenait une grande bouteille de champagne déjà ouvert. Il revint à hauteur de mag puis ôta son pantalon et dévoila ses longues jambes intensément travaillées. Elles étaient douces, musclées, robustes et sexy. Il se pencha élégamment sur elle avec le glaçon à la bouche. Mag était allongée comme une muse attendant que son artiste sculpte son corps. Éric posa délicatement la pierre de glace sur son nombril. Mag frissonna comme un chat effrayé. Éric adorait la voir subir son gourou. Ses titillements étaient synonymes pour lui de victoire et de soumission de sa part.

-          Je t’écoute toujours mon esclave préférée, parle à ton maître !

-          J’ai opéré quelques recherches avant son arrivée grâce aux informations que m’ont données la princesse Asa. Romkyath est son nom de baptême, elle a grandi auprès de Kira la nounou disparut dans la même période de son enlèvement. Elles se sont recueillies à Fares dans une ville du pays et y ont passé ces vingt dernières années. Elle est détentrice d’un Master en gestion d’entreprise et d’une licence en droit.

Éric déplaça l’objet de sa sentence vers le bout de l’un de ses seins. La cible parfaite pour la faire se tordre de plaisir. Mag continuait de donner des détails sur ses enquêtes quand elle fut envahie par une autre sensation cette fois plus intense qui l’emporta au plus profonds de l’extase. La jeune femme se tortilla de plaisir et supplia d’une voix docile son maître. Celui-ci n’en fit rien.

-          Parle-moi de ce qu’elle aime…

-          Elle joue de deux instruments de musique, le piano et la guitare. Son passe-temps préféré se sont les livres. Sa couleur préférée est le bleu marine et sa préférence en matière d’homme c’est les hommes virils et humbles.

-          Une véritable passionnée ! dit-il d’une voix grave et fière.

La partie de contemplation finit, il souleva sa muse par ses bras forts musclés et la posa au sol. C’était l’heure des choses sérieuses. Il la retourna et s’offrir un beau spectacle de ses fesses. Il saisit son huile d’olive préférée qu’il appliqua d’une main professionnelle sur chacune des deux boules qui dansait sous la pression de ses mains. Une petite tapette sur elle au moment où sa muse s’y attendait le moins attisait encore plus leur désir mutuel. Mag souffrait de plaisir. Son corps s’était totalement abandonné à Éric qui en faisait un terrain à explorer. Il glissa ses mains autour de sa hanche et la saisit par la taille comme pour lui dire ‘’que son corps lui appartenait’’. Mag s’attrapa les cheveux et d’un geste rapide les attacha pour faire plus d’espace. Éric se mit à califourchon sur elle et déposa des baisers piquant et fiévreux de son cou jusqu’à ses fesses. Il s’agenouilla ensuite devant ses cuisses bien outre ouvertes puis se glissa en elle comme le maitre des lieux. Il lui attrapa les cheveux pour l’amener à se redresser afin de faciliter le passage vers le paradis. Mag obéit sans qu’il ne place un mot. Pendant que la jeune femme sentait son engin bien endurcit, chaud et fort imposant explorer chaque coin de son corps, Éric lui donnait des instructions.

Il lui fit la liste de tout ce qu’elle avait à faire pour que leur plan ne souffre d’aucune faille. Mag enregistrait chaque détail malgré tout le plaisir dont elle était victime.

A Taes, on attendait plus que la princesse. Tout le monde était en place pour accueillir la princesse. Comme convenu le véhicule envoyé la chercher à l’aéroport venait de se garer. Lisette sortit de la voiture et devant elle s’ouvrit les grandes portes de la demeure royale. Le palais s’étendait sur des hectares. C’était beau, magnifique, indescriptible et avant tout luxueux. En la voyant, la reine fut éprise d’une sensation étrange. Peut-être un trop plein de bonheur. Tous s’avancèrent pour accueillir la nouvelle princesse. Lisette contemplait la demeure de l’extérieur. Cependant, au fur et à mesure que la famille royale s’avançait son cœur, lui, battait comme s’il ne tenait plus en place. Mag avait déjà regagné le palais et se tenait aux côtés d’Asa. Sa mission était très claire. Elle devait devenir la dame de compagnie de la princesse, s’attirer ses bonnes grâce et jouer le rôle de la parfaite espionne du prince assoiffé de pouvoir.

 

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