Chap 23
Write by Mona Lys
Chap 23 : La première fois
***Jour d’enterrement***
***Sara***
Nous sommes là debout atour du trou à regarder le cercueil descendre et plus ça descend plus mon cœur se serre. Je savais que ce jour allait arriver mais c’est vraiment difficile de s’en faire. Mon petit papa va vraiment me manquer mais je sais qu’il veillera toujours sur moi et je ferai tout mon possible pour que de là où il est, il soit fière de moi.
Après que le cercueil soit totalement descendu nous nous dirigeons tous vers nos véhicules pour rentrer. Moi avec Brice qui a vraiment été attentionné dans cette période, maman est entourée d’Alex et de sa mère, Nick est avec Floriane qui est restée accroché à son bras durant le temps qu’a duré les funérailles. Je ne m’occupe pas d’elle parce que je préfère me concentrer sur le dernier hommage de mon père mais ça ne veut pas dire que j’ai oublié qu’elle est dans mon collimateur. D’ailleurs la voici qui vient vers moi.
Floriane : Salut Sara, je suis vraiment encore désolée pour ton père. Si tu le veux tu peux prendre Ella avec toi pour t’occuper un peu l’esprit et éviter d’être trop pensive.
Moi (sec) : Non merci, je préfère rester avec ma famille.
Floriane (touchée) : Ok
Elle se retourne la mine découragée et va vers Nick qui l’attend adossé sur sa voiture. Ça me fait un peu mal de la traiter comme ça, tout en elle reflète la douceur et l’innocence mais je refuse de croire que Brice soit coupable.
***Floriane***
Nous sommes rentrés des funérailles et Nick a toujours la mine triste, je n’aime pas le voir comme ça mais c’est normal qu’il soit ainsi. Je sais ce qu’on ressent lorsqu’on perd son parent c’est pourquoi je le laisse ruminer sa douleur. Je m’assois à côté de lui et sans mot dire le prends dans mes bras mettent sa tête sur ma poitrine.
Nick : J’adore ton odeur tu sais !
Moi (par-dessus sa tête) : Oui et ça me plait. Alors le moral ?
Nick : Je pense que ça peut aller, surtout parce que tu es là avec moi. Promets-moi que tu ne me laisseras pas, que tu n’iras nulle part.
Moi : Je te le promets ! Et puis de toutes les façons je n’ai nulle part où aller donc y a pas moyen que je quitte cette maison.
Il se met à rire et moi aussi, je suis contente d’avoir réussi à le fait rire.
Moi (le serrant toujours) : Tu sais j’aime beaucoup quand tu souris !
Nick : Ah bon ?
Moi : Oui, maiiiis (relevant son menton) ce que j’aime par-dessus tout, (le fixant) ce sont tes lèvres.
Il me regarde l’air heureux par ce que je viens de dire et tout doucement nos lèvres se rencontrent et se savourent mutuellement. Ses lèvres sont tellement douces que je ne m’en lasse jamais. Il se retourne complètement vers moi puis me maintient la tête pour approfondir le baiser ensuite commencent les caresses. Plus il me caresse plus une envie étrange grandit en moi, je sens mon entre-jambe battre et une légère douleur au bas-ventre. Arrivé un moment je ne me maitrise plus, je lui retire son tee-shirt et je me mets aussi à le caresser comme si je voulais coller mes mains à son corps pour toujours le ressentir.
Moi (l’embrassant) : Bébé fais-moi l’amour !
Il s’arrête net et me regarde étrangement.
Nick : Euh qu’est-ce que tu as dit ?
Moi (le fixant) : Fais-moi l’amour Nick ! Je le veux !
Nick : Tu en es sûr ? Je veux dire tu es sûr que c’est ce que tu veux là maintenant ?
Moi : Je pense n’avoir jamais été aussi sérieuse.
Nick : Mais je croyais que…
Moi (mon doigt sur sa bouche) : Chuuut ! Je t’aime et je veux être à toi, et à personne d’autre donc stp arrête de trop réfléchir et fais-moi l’amour !
Je le vois complètement dépassé et confus entre l’envie de me faire l’amour et le doute. Je décide donc de prendre les rênes et me remets à l’embrasser tout en le caressant, il répond à mes caresses puis sa main passe de mes seins à mes fesses et vice versa. Je sens le désir monter encore plus et je laisse échapper un gémissement, bon là je pense que je suis vraiment prête à franchir l’étape.
***Nick***
Je n’arrive pas à croire que Floriane et moi sommes couchés sur mon lit tous les deux complètement nus moi sur elle et que je vais la posséder dans quelques secondes. Son corps est tellement magnifique que je pourrai prendre des heures à le contempler si je n’avais pas cette folle envie de la faire mienne. Elle me regarde les yeux pleins d’envie et moi je ne sais pas trop comment m’y prendre parce qu’avec moi ça a toujours été chaud bouillant et pas le temps pour les préliminaires mais Floriane est tellement douce que je n’ai même pas le courage ni l’envie de la secouer comme je le fais aux autres. Je la caresse donc passionnément et mes baisers se font de plus intense, je la prépare donc à me recevoir en introduisant en elle un doigt puis deux, je la vois prendre son souffle à chaque fois comme quelqu’un qui se prépare à avoir mal mais elle se lâche ensuite et gémi sous l’effet de mes vas et viens effectués avec mes doigts. Je remplace mes doigts par ma bouche et lui donne assez de plaisirs qu’elle ne cache pas d’ailleurs.
Floriane (serrant ses lèvres) : Nick j’ai envie de faire pipi.
Moi : Vas-y lâche-toi !
Floriane (serrant les poings) : Nick, je ne vais pas tarder à faire pipi !
Elle s’agrippe au drap du lit et sert ses lèvres comme pour éviter de gémir trop fort puis là l’explosion la fait crier. Je la laisse se reprendre et je reviens sur elle.
Moi : Tu viens de connaitre ton premier orgasme.
Floriane (se reprenant) : J’ai cru que j’allais faire pipi.
Je la laisse se reprendre puis décide enfin de la posséder mais je lui fais la conversation d’abord pour la détendre en frottant mon engin contre son entrée et apparemment elle a l’air d’aimer.
Moi (la fixant) : Tu sais ce que mon père m’a dit avant de mourir ?
Floriane : Non, quoi ?
Moi : Que je devais t’épouser parce que tu étais une bonne fille.
Floriane (surprise) : Ah bon ? Et tu penses aarrgh…
Je viens d’entrer en elle et là je ne bouge plus pour la laisser se reprendre de la douleur, ensuite je fais de léger vas et viens pour mieux m’installer en elle et une fois fait je lui fais l’amour d’une manière tellement douce et romantique que j’en suis le premier surpris. Mais une chose est sûr, j’adore lui faire ça ainsi et ça me prouve encore à quel point elle est différente.