QUAND L’AMOUR DECIDE DE S’Y MELE

CHAP 5

MILA

J’étais toujours assise sur le plancher tellement froids de ce appartement continuant par pleurer, et pourtant on m’avait prévenu à propos de cet homme mais j’étais tellement aveuglé par l’amour que je portais pour lui que j’ai rien vu venir, je lui faisais tellement confiance, comment tu peux prétendre aimer une personne et la traité de la sorte ? Il ne m’a même pas lancé un regard en sortant de cet appartement, j’ai envie de me lever et partir mais il y avait comme une force qui me maintenait au sol, et je n’arrivais pas à bouger, je n’arrive même pas à me mettre en colère contre lui, même si tout ce que je voulais en ce moment c’était le détesté de toutes mes forces

J’essayais tant bien que mal de me convaincre qu’il était juste sous le choc et qu’il allait revenir a de nouveau sentiment, faut croire que Dieu entendit mes prières, j’entends la clé tourner dans la serrure, je me lève d’un bon lorsque je le vois entrer dans l’appartement, je ressens un grand sentiment de soulagement

Moi me lovant dans ses bras : je savais que tu allais revenir et que t’étais juste sous le choc, on va traverser tout ensemble, je t’aime tellement…

J’essaie de lui donner un baiser mais il ne me laisse pas l’occasion

Hilanne : je dois partir pour le Portugal, je ne sais pas dans combien de temps je vais revenir

Moi un peu surprise : mais t étais pas censé repartir d aussi tôt

Hilanne : je trouve que ce voyage arrive au meilleur moment, j’ai besoin d’un moment pour moi et me retrouver

Moi surprise : donc si je comprends bien t essaie de fuir tes responsabilité c’est ça ?

Hilanne : des responsabilités que je n’ai pas choisie, des responsabilités qu’on m’a imposées

Je m’approche de lui avec le plus grand calme possible et je lui flaque une gifle avec autant de force que je pouvais

Moi avec tout le mépris que je pouvais ressentir : sale fils de pute, t’es qu’un sale gosse pourrie gâter, tu penses que moi j’ai choisie tomber enceinte ? Et de surcroît d’un gamin comme toi

Hilanne : bah tout est claire alors, je vais m’en aller tu n’auras pas à supporter ce sale fils de pute

Il prend une valise et mets tous ce qu’il peut dedans et se dirige vers la porte

Hilanne : au revoir

Moi désespérer : si tu franchis cette porte, oublis que tu m’as déjà croisé de ta vie, et oublie que t’as un enfant quelque part, si tu franchis cette porte, ne reviens plus

Hilanne : comme tu veux…

Il part et me laisse planter là au milieu de l’appartement ne sachant plus quoi faire, j’ai tellement pleurer que plus aucune larme ne sors, je vais dans la salle bain et je prends un bain, je me change et fais mon sac j’ai plus l’intention de rester encore une seconde plus dans ce maudit appartement, lorsque je finie je lance un dernier regard dans l’appartement, ces murs qui ont abrité mes rire, nos projets, ces murs entres lesquels j’ai passé les meilleurs moments de ma vie, cet endroits ou cet homme m’a fait me sentir la femme la plus belle et la plus importante au monde, aujourd’hui je me vois dire au revoir à cet endroit, parce que la personne qui m’a donner autant de bonheur a un moment donné vient de me poignarder en plein cœur ici, je remue la tête pour chasser les larmes qui brouillent ma vision et je ferme la porte à double tour

Lorsque j’arrive à la réception, je me dirige vers le réceptionniste

Moi : bonjour !

Le réceptionniste : bonjour madame, que puis-je faire pour vous ?

Moi : c est juste pour vous remettre ma clé

Le réceptionniste un peu surpris : vous voulez me remettre votre clé

Moi : oui j’en aurais plus besoin

Je lui dépose la clé et lui tourne le dos avant qu’il n ai l’idée de me poser d’autre questions

JADE

Sa fait déjà un moment que je suis à la recherche d’un travail et j’en trouve pas, je suis désespéré on va bientôt être à court d’argent et si je ne trouve pas vite du travail je ne sais pas comment ça va aller pour nous, je n’ose même pas imaginer

Ce matin je dois me rendre à un entretiens de travail pour travail donc je m’y rends avec tout l’optimisme possible, bientôt notre situation va changer

J’étais surprise lorsque j’arrive laba et on me dit qu’on peut plus me recevoir et le poste était déjà pour quelqu’un d autre

Moi surprise : mais je devais passer faire un entretiens ce matins qu’es ce qui s’est passé je ne comprends pas

La secrétaire : il y a plein de changement qui sont entrain de se passer dans l’entreprise ces derniers temps, une autre entreprise vient de payer la nôtre donc un nouveau PDG c’est un peu compliquer

J’étais un peu sous le choc qu’ai-je fais pour attirer autant la poisse ces dernier temps mon Dieu, je préfère partir sans faire de scandale je préfère utiliser cette énergie pour chercher un autre emploi, lorsque je voulais partir une affiche retient mon attention, lorsque je la prends je reconnais direct l’entreprise

Moi : c’est l’entreprise qui a racheté votre boite ?

La secrétaire : oui oui

Moi : merci beaucoup

J’étais tellement de en colère j’aurai du m en douter, pourquoi n’y avait-je pas pensé plutôt, je sors de l’immeuble et j’arrête un taxi, je lui donne l’adresse où il doit me déposer, j’arrive laba après une trentaine de minute, je ne pensais plus revenir à cet endroit, elle me rappelle tellement de mauvais souvenir mais ma colère était tellement grande que j’entre dans le bâtiment, je monte à son étage

Moi : bonjour, votre bosse est là ?

La secrétaire : oui mais il est un peu occupé

Moi en colère : je m’en fou qu’il soit en colère il va me recevoir qu’il le veule ou pas

J’entre en trombe dans le bureau sans attendre qu’on m’annonce, si j’attendais sa je suis sûr que ce salop n’allait jamais me recevoir vu tout ce qu’il est entrain de trafiquer contre moi

J’ouvre violement la porte lorsqu’ il me voit il sourit ce qui accroit encore plus ma colère, il se prend pour qui ce con

Moi hurlant : non mais Gianni tu te prends pour qui au fait ? Tu penses pouvoir décider de la vie de tout le monde comme sa sans…

Gianni me coupant : tu la fermes, t’es sur un lieu de travail ici, si tu ne l’as pas encore remarqué

La secrétaire : je suis désolée monsieur je n’ai pas pu l’arrêter 

Gianni : ne t’inquiète pas cette petite dépasse un animal sauvage, tu peux disposer

Les deux personnes avec qui il travaillait aussi se retirent et ferment la porte derrière eux, lorsque nous nous retrouvons seule dans son bureau, il bondit vers moi comme un lion vers sa proie, ce qui me fait franchement peur, au fur et a mesuré qu’il s’avance vers moi je reculais jusqu’ a ce que le mur derrière moi ne m’arrête

Gianni donnant un coup dans le mur : vas y parle-moi encore sur ce ton et je te défonce la mâchoire

Moi : ….

Gianni : mais vas y parle non ? Faut bien que quelqu’un t éduques toi

Moi :….

Il me laisse tétaniser la et retourne s’assoir derrière son immense bureau et me regarde, j’étais toujours collé au mur toujours choqué de voir autant de violence

Gianni : tu vas me dire ce qui t amène ici, j’ai à faire moi

Moi m avançant et lui lançant l’affiche : qu’es ce que c est que ça ?

Gianni : toi tu vois quoi ?

Moi : à chaque fois qu’on m’appelle pour un entretiens à mon arrivée l’entreprise a mystérieusement un nouveau PDG qui fait des remaniements et on n’a plus besoin de mes services, ça te dis rien ?

Gianni : j’ai le droit de payer toutes les boites que je voudrai et j’ai en aucun cas besoin de ta bénédiction, si c’est tout tu peux disposer

Moi en colère : t’es vraiment qu’un salop sans cœur qui se nourrit de la souffrance des gens

Gianni souriant : le salop sans cœur t informe qu’à la fin de la semaine si t’as pas un travail il te retire son petit frère

La colère monte tellement en moi que je sens que je ne contrôle plus mon corps, je renverse par terre tous les documents sur son bureau, je monte et je commence par jeter tous ce qu’il reste sur le bureau, il se lève me prend sors du bureau, je lui donne des coups de toutes mes forces, je le griffe autant que je peux mais ça ne l’arrête pas, il ouvre l’ascenseur et met dedans, avant que l’ascenseur ne se ferme il me lance

Gianni : tu n’as que 36h pour trouver un emploi, si tu veux garder ton neveu

N oubliez pas d aimer et de laisser vos commentaires, bisou a vois