Chapitre 10: La poutre

Write by Lynadi

Le stage de restauration - 6c : La poutre

Première semaine : Samedi début d'après-midi

En cherchant dans son sac des vêtements pour se changer, Christine se rend compte que les Bretons lui ont piqués tous ses sous-vêtements. Elle se dit que cette petite blague n'est pas bien grave mais ça l'embête de savoir qu'elle ne pourra pas en mettre si le besoin s'en fait sentir. Elle se dit que ça aurait sans doute été mieux d'en remettre avant l'arrivée des nouveaux stagiaires lundi. Pour le moment, elle décide de passer une petite robe avant de rejoindre Sébastien et Willem dans la grange pour le repas. Quand elle se penche pour s'asseoir en face de Sébastien, elle voit qu'il en profite pour se rincer l'œil dans son décolleté.

Pendant le repas, Christine n'ose pas dire à Willem ce qui vient de se passer dans la caravane, surtout à cause de la présence de Sébastien. Elle trouve donc d'autres choses à dire :

- Vous vous en êtes sorti avec la poutre.

- Non, on manquait de matos pour réparer la poulie. J'ai dû aller récupérer une masse au camping. On attaque ça en début d'après-midi. Toi, tu vas faire quoi ?

- Moi, notre sortie de ce matin m'a donné bien chaud donc je pense que je vais aller prendre une douche au camping.

Sébastien intervient :

- Vous savez que vous pouvez profiter de la piscine du camping si vous voulez. Le dimanche matin, en général, c'est tranquille.

Christine note l'idée.

Après le repas, elle laisse les gars s'occuper de la poutre dans la grange et descend au camping. Avant d'atteindre les douches, juste en face de la porte d'entrée du bâtiment, elle est interpellée par un jeune homme :

- Excuse-moi. Je m'appelle Romain, je galère un peu à monter ma tente tout seul. Tu pourrais me donner un coup de main ?

- Heu, oui. Moi, c'est Christine.

- Voilà, il faudrait tendre la toile ici pendant que je plante les sardines de l'autre côté.

Christine se penche et maintient la toile tendue. Romain peste :

- Ah, qu'est-ce que j'ai encore fait du maillet...

- Il est derrière moi, je crois.

Le jeune fait le tour et, quand il se penche pour ramasser le maillet, tombe en arrêt devant le spectacle de la croupe nue de Christine que la robe, trop courte, ne peut pas dissimuler dans cette position.

Devenant tout rouge, il retourne de l'autre côté de la tente et plante la sardine :

- Voilà, ça... ça devrait aller pour ce côté... Tu pourras faire pareil à droite, s'il-te-plaît ?

Christine se décale et se penche à nouveau. Romain regrette de ne pas avoir laissé de sardines derrière elle pour avoir l'opportunité de voir à nouveau ses fesses.

- C'est bon. Je te remercie.

Quand Christine se relève, une bretelle de sa petite robe a glissé de son épaule.

- Je peux vous mettre les sardines de ce côté, si vous voulez ?

- Volontiers. Voici le maillet. Mais on se tutoie, OK ?

Christine saisit la sardine et le maillet et s'accroupi pour fixer la tente au sol. Dans les mouvements qu'elle fait, la bretelle glisse davantage et la robe dévoile un sein. Christine se relève sans se rendre compte de sa tenue.

Quand elle voit le visage ébahi de Romain, elle comprend qu'il y a un problème à sa tenue mais se garde de regarder ce qu'il en est :

- Quoi ? Ce n'est pas comme ça qu'il fallait faire ?

- Ah ? Heu... Oh, si. C'est bien. Très très bien...

- Alors pourquoi tu fais cette tête ?

Romain hésite et finit par dire :

- C'est votre robe... votre sein...

- Oh , merde ! Je suis confuse...

- Ne le soyez pas. C'est un accident. Rien de méchant.

- Merci de me l'avoir dit.

Christine rajuste sa bretelle :

- Si vous n'avez plus besoin de moi, je vous laisse terminer. Je vais prendre une douche.

- Je pense que ça ira. Merci pour votre aide.

Christine entre dans les douches, désertes à cette heure et va au fond, prêt des lavabos. Elle se rend compte que Romain, debout derrière sa tente, l'observe. Par jeu, elle s'amuse à retirer sa robe avant d'entrer dans la cabine.

Une fois nue, elle jette un coup d'œil à Romain et voit qu'il est statufié, obnubilé par sa nudité. Il ne se cache même pas de la regarder alors que Christine voit bien qu'il l'observe. Elle ouvre la porte de la cabine et se rend alors compte qu'elle a choisi par erreur la cabine dont le verrou est cassé. Alors qu'elle s'apprête à changer de cabine, elle entend des bruits de pas dans les graviers. On vient. N'ayant pas le choix, elle entre dans la cabine au verrou défectueux.

Elle repousse bien la porte et s'assure qu'elle ne s'entrebâille pas trop en mettant sa robe en bouchon derrière. Christine commence à se laver sous le jet d'eau tiède. Après la tension de la semaine et de la matinée, riches en nouvelles expériences, elle se rend compte que la douche lui fait un bien fou, surtout que ça faisait longtemps qu'elle n'avait plus pris de douches seule.

Face à la porte, elle y jette des coups d'œil régulièrement pour être certaine que personne ne l'observe. Quand elle y repense, c'était le premier jour ici qu'elle avait pris sa douche dans cette cabine. C'était là que Sébastien l'avait espionnée et s'était sans doute branlé en la regardant se masturber. Elle sent des picotements à son bas ventre. Le souvenir de tout cela lui donne envie de jouir. Sa main glisse sur son bas-ventre et ses doigts commencent à taquiner le clitoris.

Essayant d'être efficace et rapide, elle se concentre sur son plaisir en fermant les yeux pour se remémorer les moments intenses de cette première semaine, depuis l'exhibition involontaire de sa croupe, les douches avec Willem, les nuits dans le camping-car, jusqu'à cette matinée déjà bien remplie. Elle sent l'orgasme arriver. Les doigts s'agitent sur sa fente et une décharge de plaisir lui parcourt l'échine, lui faisant échapper quelques gémissements.

Quand elle rouvre les yeux, elle voit que la porte est un peu plus entrebâillée qu'elle ne l'était. Quelqu'un l'aurait poussée ? Elle s'approche de la porte et l'ouvre pour pouvoir y passer la tête. Elle découvre alors Romain, occupé à laver un tee-shirt dans un des lavabos, lui tournant le dos. L'a-t-il vue se masturber ? Christine repousse la porte et commence à se sécher. Cette fois-ci aucun doute : la porte s'est rouverte un peu plus et elle voit que Romain l'observe en regardant dans le miroir devant lui.

Christine fait mine de ne pas avoir vu et continue à se sécher sans marquer la moindre pudeur. Cette fois-là, elle ne faisait pas d'exhibitionnisme et Romain jouait les voyeurs à son insu. Une fois séchée, elle regarde sa robe par terre :

- Oh, quelle conne !

Elle se rend compte que les éclaboussures de la douche l'ont trempée comme une serpillière. Elle la ramasse et l'observe. Complètement trempée. Elle l'essore mais cela ne permet que de supprimer l'eau en trop et ne peut pas permettre de la sécher. Dépitée, elle l'enfile. La petite robe lui colle à la peau de manière très désagréable. En outre, elle laisse voir parfaitement ses jolies formes.

- Je ne peux pas sortir comme ça... Romain doit déjà se faire de moi l'idée d'une grosse chaudasse. S'il me voit ainsi, je vais vraiment passer pour une pute...

Par l'entrebâillement de la porte, elle surveille Romain. Dès qu'il retourne à sa tente, elle sort et quitte le camping avec un pas soutenu. Dès qu'elle arrive à la ferme, elle fonce à la caravane pour se changer et passer un short et un petit débardeur blanc.

Quand elle ressort, elle tombe sur Willem :

- Alors, cette douche ?

- Heu, ça m'a fait du bien. Et vous la poutre.

- On a réparer la poulie mais Sébastien a dû partir en ville pour l'après-midi. Du coup je me disais que ce serait sympa si on essayait de monter la poutre tous les deux pour lui faire la surprise à son retour.

- Oui, c'est une bonne idée.

- Par contre, vaudrait mieux que tu mettes des vieilles fringues pour pas salir celles-là.

Il fait glisser les bretelles des épaules pour que le débardeur tombe et dégage la merveilleuse poitrine de Christine.

- Arrête, je vais me changer dans ma caravane...

- Attends. Laisse-moi t'aider.

Sans lui demander son avis, il lui abaisse le short jusqu'aux chevilles.

- Will, arrête, je te dis.

- Bouge pas, je vais te chercher des fringues de travail.

Willem la laisse dehors, à moitié nue. Christine repense à la situation de Willem et à sa promesse de le soulager. Quand il ressort avec un vieux débardeur, elle lui tourne le dos et soulève le débardeur pour révéler sa croupe :

- Et si on s'occupait tout de suite de ce dont on a parlé dans la voiture ?

Willem sourit et vient caresser la croupe de sa copine :

- C'est gentil, mais je pense qu'on en profitera mieux si on s'occupe d'abord de la poutre.

Christine est surprise de le voir si raisonnable et est presque vexée :

- Tu m'as pris quoi pour le bas ?

- J'ai rien trouvé. Tu resteras comme ça, non ?

- Déconne pas. Dans le sac tu trouveras sur le côté une vieille culotte trouée, c'est tout ce qu'il me reste. Je soupçonne les Bretons de m'avoir piqué tous mes sous-vêtements.

En retournant dans la caravane, Willem rigole en comprenant ce que ça signifie :

- Super, c'est moi qui vais en profiter !

- Sébastien et les deux nouveaux aussi...

Christine retire le débardeur propre pour enfiler le vieux. Willem ressort avec la vieille culotte et regarde sa copine l'enfiler :

- Bon, on s'occupe de cette poutre ? Je suis pressée d'en finir pour pouvoir m'occuper de toi.

Une fois arrivés dans la grange, Willem explique à Christine ce qu'il y a à faire :

- Voilà, c'est simple. J'ai déjà accroché la corde à la poutre et je l'ai passé dans la poulie. On va donc tirer sur la corde pour lever la poutre et quand elle sera là-haut, l'un de nous montera pour la guider sur le plancher.

- Ce sera toi. Moi, je ne me colle pas dans ce paradis des araignées. Mais on va être assez costaud tous les deux pour lever ça ?

- Elle n'est pas si lourde que ça et la poulie permet de réduire la charge.

Pour tester, Christine attrape la corde et essaye de tirer seule.

Elle est surprise de voir qu'elle y arrive, même si ce n'est pas de tout repos. Mais quand la poutre s'élève, elle se met à tourner cognant dans la table où ils prennent les repas. Willem intervient :

- Attend, Chris. Je vais la guider pour qu'elle ne tourne pas puisque tu arrives à la lever toute seule.

Willem va à la poutre et la maintient pendant que Christine la hisse. Mais soudain, alors que la poutre a presque atteint le niveau du plancher, la corde glisse de la poulie et se coince contre l'accroche métallique de la poulie. Impossible de tirer plus. Willem monte aussitôt et tente de décoincer la corde, sans succès. Christine demande :

- Je fais quoi, je lâche ?

- Surtout pas ! La poutre tomberait d'un coup et je ne te raconte pas les dégâts. Garde en traction autant que possible. Je vais voir si je trouve un gros tournevis pour faire levier et décoincer cette merde. Willem sort de la grange pour chercher son outil, laissant Christine tirant sur la corde.

Après quelques minutes d'attente, Christine entend des bruits de pas revenir :

- C'est bon ? Tu as trouvé ?

- Oh putain, oui qu'on a trouvé !

Christine reste médusée. Il s'agit de Dylan et Kevin, les deux jeunes avec lesquels elle s'est amusée ce matin :

- Qu'est-ce que vous faites ici ?

- Bah, quand tu es repartie, tu nous as aussitôt manqué. Alors on s'est dit que ce serait bien de savoir où tu crèches. On vous a suivi et on a patiemment attendu. Ton copain vient de partir vers le camping apparemment.

- Heu, vous me donnez un coup de main ? La corde est coincée et...

Dylan s'approche et commence à lui caresser les seins à travers le débardeur. Christine tente de lui échapper :

- Hey, arrêtez !

Comme elle se débat, Dylan lui attrape le décolleté pour l'empêcher de bouger, mais en se reculant, le débardeur se déchire, libérant la poitrine de la jeune fille.

Dylan sourit :

- Oups, je suis désolé. Mais c'est ta faute aussi, à bouger sans arrêt.

Kevin s'approche :

- Ce matin, c'est toi qui menait le jeu, mais on s'est dit que ça pourrait aussi être amusant que nous décidions nous même, qu'est-ce que tu en penses ?

- Aidez-moi, ou sortez d'ici !

- Ne te fâche pas. On ne te veut que du bien. Et c'est une super opportunité que tu sois coincée comme ça. On va pouvoir explorer plus en détail ce qu'on a juste survoler ce matin.

Se positionnant derrière elle, Dylan s'accroupit et abaisse la culotte.

- Quel spectacle incroyable ! Qu'en penses-tu Kevin ?

Kevin est concentré sur un tout autre spectacle, il a continué à déchirer un peu plus le vieux débardeur de Christine pour que ses seins soient parfaitement dégagés. Christine, voyant qu'elle n'est pas du tout en mesure de les repousser ni de dicter ses conditions, tente de négocier un peu :

- Bon. OK, les gars, je vous laisse me tripoter. Après vous m'aider avec cette putain de corde.

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Kevin rigole :

- Ahah, Oui, on va te tripoter, c'est certain. Après moi je trouve ça aussi bien que tu sois entravée, non ?

- Si j'ai les mains libres, je pourrais être plus efficace pour vous donner du plaisir.

- Oui, mais tu pourrais aussi nous empêcher de nous amuser.

Christine ne reconnait plus le Kevin timide de ce matin. Il s'agenouille devant elle et se met à lui lécher la moule.

Le bougre se débrouille plutôt bien. Il se rend compte, par hasard, que Christine frémit quand sa langue s'attarde sur le haut de sa fente, sans prendre conscience qu'il s'agit du clitoris. Le matin, Kevin avait éjaculé sur ses seins. Christine se dit qu'il souhaiterait peut-être jouir en elle, comme Dylan. Se forçant à sourire, elle lui dit :

- Kevin, si tu veux tu peux me faire l'amour cette fois-ci.

Kevin en répond pas mais semble conquis par cette perspective. Pourtant Dylan, passant devant, se met à peloter un sein de Christine et interrompt ses espoirs que ça puisse se terminer rapidement :

- Attends Kévin. Cette fois, c'est pas à elle de décider. Tu fais ce que tu veux. Si tu veux l'enculer, te gêne pas. Moi, ce que je veux c'est la faire d'abord mouiller jusqu'à ce qu'elle nous implore de la baiser.

- Ouais, Ok, ça me va.

- On va la caresser, la lécher. Je veux voir sa chatte dégouliner de mouille.

- Ouais, t'as raison. Elle a eu notre sperme, ce n'est qu'un juste retour.

Dylan commence à caresser la moule de Christine.

Christine pourrait simuler pour faire accélérer les choses et les implorer rapidement de la baiser mais puisque la mouille fait partie des conditions, elle ne peut pas tricher là-dessus. Elle décide donc de ses laisser faire et essayer de trouver autant de plaisir que possible aux caresses et attouchement parfois un peu maladroits des deux garçons.

S'écartant, Dylan observe et commente :

- Ce matin, elle m'a supplié de la prendre quand elle a vu ma queue. Je voudrais voir si ça lui fait le même effet maintenant.

Il commence à se déshabiller.

Les deux garçons regardent Christine. Quand le sexe du garçon apparaît, elle ne peut en détacher son regard, comme fascinée. Les deux gars rigolent en voyant la tête qu'elle fait. Dylan demande :

- Alors ? Elle te fait mouiller ma queue ?

Que ce soit vrai ou non, Christine sait ce qu'elle doit répondre. Dans un murmure, elle répond :

- Oui...

- Yes ! Je le savais ! Et tu veux que je te baise comme ce matin ?

- Oui...

- D'abord, voyons voir comment ça t'excite.

Dylan s'agenouille devant elle et ausculte la fente de la jeune fille :

- Holala, c'est une vraie fontaine ici. Va falloir fermer sinon tu vas juter sur tout le sol de la grange.

Peu délicat, Dylan lui pince les lèvres.

Christine se fâche :

- Doucement ! Je ne suis pas un animal, quand même !

- Non, faut pas que tu te fâches... ça va tout gâcher. Il faut que tu restes excitée.

- Dans ce cas, arrête de me faire mal et fait ce qu'il faut pour que je mouille.

- Ok, ma belle. Tu vas adorer.

Dylan fait signe à Kevin de l'accompagner derrière Christine, désirant manifestement s'occuper de sa croupe.

Dylan dit à son copain :

- Vas-y, Kevin. Suce-lui la moule.

- Tu veux pas toi ?

- Non, brouter les minous, c'est pas mon truc...

Kevin, sans le moindre scrupule, s'agenouille derrière Christine et commence à lui lécher la moule trempée de cyprine. La jeune fille apprécie aussitôt ce délicat contact et se cambre pour lui faciliter les choses. Encouragé, Kevin lui glisse un doigt dans la fente et se met à lui lécher l'anus.

Christine se met à feuler en sentant la langue s'immiscer dans son petit trou. Kevin se recule :

- Putain, t'as vu ? Elle aime ça, dans le cul.

Il sort alors son doigt bien lubrifié de la moule de la jeune fille et l'insère doucement dans l'anus. Christine gémit et se met à onduler pour aller au-devant du doigt. Dylan s'approche :

- Wahou ! Fais voir...

Sans attendre que Kevin retire son doigt, il enfonce le sien à côté de celui de son copain.

Christine gémit encore plus fort. Kevin s'exclame :

- Putain, regarde. Y'a sa mouille qui goutte par terre tellement elle jute !

Dylan rigole :

- Elle est mûre. A toi l'honneur.

Kevin libère son érection et, tenant Christine par la taille, il la pénètre, enfonçant sa queue en elle avec une facilité déconcertante.

Christine gémit de plus belle :

- Oooooh ouiiii ! Mais doucement quand même, ne me... Oooooh... Ne me faites pas lâcher la corde...

Kevin commence à aller et venir en elle.

Après une ou deux minutes seulement, Dylan semble s'impatienter :

- Bon, tu éjacules ou tu me laisses la place ?

- Doucement, y'a pas le feu. Et si j'éjacule, tu vas pas passer derrière moi, si ?

- Non, j'emprunterai l'autre voie...

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Kevin, ne voulant pas précipiter les choses, se retire lentement de Christine pour laisser la place à Dylan. La jeune fille aurait préféré qu'il termine car la perspective de la sodomie l'avait fait mouiller encore davantage. Dylan vient se positionner derrière elle et, pliant les genoux il vient positionner son gland contre la fente encore entrouverte et dégoulinante de mouille. En se redressant, il s'y enfonce lentement.

- Oh putain, c'est encore meilleur que ce matin !

Dylan se met à accélérer la cadence assez vite, ne souhaitant de toute évidence pas ménager la jeune fille. Pourtant, Christine crie de plaisir à chaque assaut et l'orgasme commence à arriver.

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A côté, Kevin se masturbe à toute vitesse en voyant les seins se balancer au rythme de coup de reins de Dylan. Christine est submergée par l'orgasme, mais elle se concentre pour ne surtout pas lâcher la corde. Elle entend alors Dylan pousser un râle profond et, se retirant d'elle, laisser son sperme gicler dans son dos et sur ses fesses.

Kevin, voyant la croupe pleine de sperme de Christine ne semble plus vraiment avoir envie de la baiser à nouveau, malgré l'offre de son copain :

- Vas-y. A toi de jouer. Tu as le choix, je n'ai pas joui en elle.

- Oui mais elle en a partout...

- Tu veux que j'essuie ?

Mais avant qu'il ne réponde, Kevin sent sa sève monter. S'approchant des fesses cambrées de Christine, il se met à éjaculer à son tour, ajoutant sa semence à celle de Dylan.

Christine sent le sperme encore chaud qui coule le long de ses cuisses. Les gars se rhabillent et Kevin essaye de tirer sur la corde pour aider la jeune fille. Ils entendent alors la voix de Willem :

- Chris, tu tiens le coup ?

Les deux jeunes se faufilent rapidement par la porte de derrière. Quand Willem entre dans la grange, il est stupéfait du spectacle qu'il trouve

- Chris ! Qu'est-ce qui s'est passé ?

- Décoince la corde, vite !

Précipitamment, Willem monte et, à l'aide d'un gros tournevis, parvient à débloquer la corde. En un ultime effort, Christine tire sur la corde pour permettre à la poutre d'arriver au niveau du plancher. Willem la guide alors pour qu'elle se pose à l'étage et Christine peut enfin lâcher la corde. Elle a mal partout et se masse le cou pour se soulager.

Willem descend, stupéfait :

- Putain, mais qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi tu es à poil ?

- Les deux gars de ce matin, Kevin et Dylan, ils sont repassés. Ils nous ont suivi. Ils en voulaient plus...

- Ils t'ont violée ?

- Disons qu'ils ont eu plus que ce qu'ils espéraient. Ils ont profité que j'étais coincée avec cette putain de corde pour me mettre à poil et me tripoter.

- Mais c'est du sperme, tout ça, sur ton cul ?

- Oui... Ils m'ont baisée. Ils m'ont fait jouir aussi...

Christine remarque que Willem bande :

- Salaud, ça te fait bander de savoir que j'ai été abusée comme ça ?

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- Désolé... C'est parce que tu es nue !

En fait, Christine n'est pas fâchée. Elle pense même que Willem regrette surtout de ne pas avoir été présent. Ramassant par terre le débardeur déchiré, elle lui demande :

- Dis donc. Si tu avais été là, tu aurais laissé faire ?

- Non, bien sûr !

- Moi je pense que tu te serais planqué dans un coin et que tu te serais branlé en les regardant faire...

Willem, un peu honteux, hoche un peu la tête :

- C'est possible... Tu commences à bien me connaître, Chris. Mais s'ils t'avaient fait le moindre mal, je serais intervenu, crois-moi !

- Je sais. Tu es juste un gros pervers.

Christine enfile son débardeur complètement déchiré.

Willem sourit :

- Heu, c'est très sexy, mais je pense qu'il serait sage que tu te changes avant que Sébastien ne revienne.

- Tu crois que ça ne lui plairait pas ?

- Si c'est certain... Mais je pense que ce serait mieux que tu passes quelque chose de propre et que tu te mettes un coup de gant sur les fesses.

- Oui effectivement, c'est judicieux.

- Vas-y, je prépare un café en attendant.

- Pas de refus...

Christine retourne à la caravane pour se laver les fesses et pour enfiler un débardeur et un mini-short.

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