Chapitre 11

Write by Sandy's Aby's

Jean-Marc NDONG


J'ai décidé d'emmener ma femme en ballade au lieu qu'elle soit enfermée parce qu’elle a peur de conduire étant enceinte.


Expliquez-moi un peu, les femmes, lorsqu' elle sont enceintes, et que c'est leur première grossesse, elles ont peur de tout ?


Au lieu que ça soit moi qui l'interdit de faire certaines choses à cause de son état, non c'est elle qui a peur plus que moi..


Elle a commandé un poisson braisé sans épices juste un peu de sel.


J'ai reçu l'appel de Natacha, j'étais dans l'obligation de faire semblant de parler à Karim, le maçon, pour que ma femme ne se doute de rien.


J'avais complètement oublié Natacha.


En tout cas je savais comment régler son cas plus tard.


Julia (mettant un bouché dans la bouche) : Humm bébé !


Ce poisson est excellent et frais !


Il faudra m'y emmener  le plus souvent.


Moi (sur un ton de reproche) : Mais c'est toi qui n'aimes pas sortir.


Soi-disant ta grossesse etc…


Comme si tu es la première femme au monde à être enceinte.


Julia (posant sa fourchette) : Je n'ai pas dit cela.


Moi (maîtrisant l'intonation de ma voix) : Tu n'as pas besoin de le dire, tes actes le prouvent.


Julia (essuyant sa bouche avec un mouchoir) : Du coup je n'ai plus faim murmura-t-elle en posant les couverts.


Je ne sais pas pourquoi tu t'emportes, c'est moi qui suis enceinte et qui a des hormones, c'est à moi de m'énerver pour un rien pas toi !


Moi (me levant) : Écoute, je crois que tu viens de tout gâcher.


Je n'ai pas envie de m’énerver et de t'énerver en retour.


[Prenant les clés de la voiture]


Patrice viendra te chercher et te ramener à la maison.


Julia (me regarda, stupéfaite) : Qu'est-ce que tu fais ?


Je tournais le talon sans la moindre attention.


Je me dirigeais vers la sortie quand un bruit sourd se fit entendre des cris excités jaillirent derrière moi.


Je me retournais et je vis ma femme, les genoux au sol, en train d’essayé de se relever.


Je revins sur mes pas pour l'aider à se relever.


Elle avait du mal à respirer.


Je ne sais pas ce qui s'est passé en quelques secondes mais j’ai pu voir de la stupeur sur les visages des personnes autour.


Julia (s'appuyant sur moi) : Je vais bien !


Je n'écoute pas tout ce qu'elle me dit.


Je soulève ma femme et je l'emmène directement à la voiture.


Un monsieur que je ne connais ni d'Adam ni d'Ève, me précéda et ouvrit la portière arrière.


J'installais ma femme mais elle ne voulut pas rester allongé car selon elle, elle n'avait rien.


Je n'extériorisais pas ma peur, étant un homme avant tout.


Mais il fallait que j'aie l'avis d'un médecin car elle venait de glisser et ce n'était pas sans risque.


Tout au fond j'avais la peur dans l'âme.


J'ai démarré direction la clinique chez son médecin traitant.


Arrivé à la clinique, malgré les protestations de ma femme.


 Nous avons rencontré son médecin qui l'a ausculté.


Nous étions dans le bureau du docteur, assis en face de lui.


Le Docteur (posant le dossier de ma femme sur la table): Il n'y a rien à signaler pour le moment à part les tuméfaction sur les genoux mais le bébé n'a rien pas la peine de se faire un sang froid, elle n'est pas tombée sur le ventre.


 Il faut juste éviter les chutes c'est tout ce que je vous demande.


Moi : Ok docteur ça ne se reproduira plus.


J'ai vraiment eu peur pour ma femme et notre enfant. Tout ça à cause de cette combine.


J'avais trouvé une stratégie pour aller retrouver Natacha mais au lieu de ça, j'ai mis ma femme en danger.


Je ne me serai jamais pardonné s'il lui était arrivé quelque chose à elle et au bébé aussi.


Je ne sais même pas ce qui m'a pris.


Je lui fit signe, nous remerciâmes le Docteur puis nous repartîmes pour la maison cette fois-ci.


J'abandonnais l'idée d'aller rejoindre Natacha et je dû garder mon téléphone éteint pour ne pas être dérangé.


                

                                                          ***


Une semaine plus tard


Désiré NGUIMBI


Je rentrais à peine du petit job que j'avais trouvé en attendant que mon oncle m'appelle.


J’ai récupéré Richie chez la voisine, il a pleuré car il ne voulait pas venir avec moi. 


À croire qu'il préfèrait Lizette à moi.


 J'ai dû lui dire qu'on allait juste se changer et dire au revoir à sa mère et j’ai aussi user de la force pour le ramener à la maison.


Lizette le gardait jusqu’à ce que l'un de nous aille le récupérer en arrivant.


J'avai voulu l'inscrire mais il était tard maintenant, il n'y a plus qu'a attendre l'année prochaine.


Sa mère et moi, d'un commun accord, avions décidé de lui trouver une nounou.


Dorénavant, nous le laissions chez la voisine quand nous sortions moyennant quelque sous à chaque fin de mois.


Lizette est une jeune douce et respectueuse.


Un peu comme Shirley au début mais bref.


Elle n'a pas d'enfant et est chrétienne, c'était la nounou parfaite pour Richie.


Richie (tirant mon pantalon) : Papa on part chez maman Lizette ?


Maman ??


Mon fils me cherche les problèmes avec sa mère.


Si jamais il le répète devant elle.


Je descend jusqu'à son niveau 


Moi : Tata, c'est tata lizette pas maman d'accord ?


Richie : Elle s'appelle aussi maman.


Parce que Donald (le fils de la sœur de Lizette) l'appel comme ça.


Moi (expliquant calmement) : Je sais bébé mais il l'appelle comme ça parce que c'est son fils, toi tu as ta maman !!


Richie : Ma maman est toujours fâchée.


Moi : Non chéri, maman n'est pas toujours fâchée. 

[Se relevant, le prenant par le bras] Maman est juste fatiguée.


Aller, vient manger.


Dorothée ép OVONO


Je viens de finir avec la cuisson, je dresse la table sans oublier l'assiette de mon mari même s'il ne viendra pas manger.


Sa chaise était toujours réservée, son assiette aussi car je ne perdrais pas espoir, je sais qu'il reviendra.


Depuis quelques jours, j'écoutais une prédication d'un femme de Dieu ointe, Precilla Shirer, envoyé par ma tante.


J’avais l'impression qu'elle se doutait de quelque chose, mais comment était-ce possible ?


 Puisque personne dans ma famille n'était jusque là au courant.


Il n'y a qu'Harmonie qui était maintenant au courant.


Qu'a cela ne tienne, j'apprends beaucoup de ces messages.


Et je me rendais compte que j'avais beaucoup gaffé en voulant essayé de tout arranger avec la force.


Je n'haissais pas mon mari mais j'avais du mal à supporter son infidélité avant tout nous étions chrétiens.


Mon portable se mit à sonner. Je cru que c'était Harmonie car le plus souvent c'est elle qui faisait sonner mon portable.


Je regardai sur l'écran et c'était un numéro de l'étranger je décrochais.


Moi : Léonel ?


Léonel : Maman ! 


Comment vas-tu ce matin ?


Moi (souriante) : Ça va bien mon chéri !


Léonel (avec insistance) : Tu en es sûr ?


Moi (curieuse) : Bien sûr !


Léonel (du but en blanc) : Maman j'ai appris que papa ne dort plus à la maison ?


Mon cœur manqua un battement.


Je me redressais comme si, le faire aurait changé quelque chose.


Moi (fermant les yeux pour éviter de m'emporter) : Léo, je veux que tu me fasses confiance.


Léonel (Avec insistance) : C'est vrai que papa a quitter la maison pour aller vivre avec une jeune fille du même âge que moi ?


Moi (gênée) : Qui te l'a dit ?


Léonel : …


Moi (répétant) : Qui te l'a dit ?


Léonel (laissant tomber) : Vanessa !


Moi (surprise) : La fille d’Hanna ?


Léonel : Oui maman, ma cousine.


Moi : Humm !


Léonel : Quand il a quitté la maison, te l'a-t-il dit ?


Moi : Il n'a pas jugé utile de m'en informer.


Comment l'a-t-elle su ?


Léonel : Maman, la jeune fille et papa ont aménagé près de là où Vanessa est logée.


Au début, elle pensait que c'était une nièce à papa, mais après elle a vu que non car ils s'embrassaient sur la bouche.


Moi (n'en pouvant plus) : Léo, épargne moi des détails s'il te plaît !


Léonel (furieux) : Il faut avoir un moral d'acier pour supporter ça maman !


 J'ai envie de rentrer remettre papa à sa place.


Moi (révulsée) : Je t'interdit de redire des idioties pareilles.


Il reste ton père, peu importe ce qu'il a fait ou pas fait et tu lui dois [Haussant le ton] du RESPECT TU M'ENTENDS ???

Je ne t'encouragerai jamais a manquer de respect à ton père.


Léonel : Désolé maman, je suis désolé.


Je ne savais juste pas ce que tu vivais car tu t'es toujours comporté comme si vous étiez ensemble.


Moi (me calmant) : Tout va s'arranger !


Il me suffit de me lever dans la prière et de combattre mon vrai ennemi qui est le diable et non mon mari, ni encore cette fille qui se laisse utiliser par le diable pour détruire ce que Dieu à unis.


Bref je n'ai pas su jouer mon rôle durant toute ses années mais il n'est pas trop tard.


J'ai ma part de responsabilité aussi.


Bref.


J'espère que tu te portes bien.


Léonel : Ça va maman. juste la nouvelle qui m'a bouleversé mais si tu dis que tout rentrera dans l'ordre, eh bien je te fais confiance.


J'ai envie de descendre ces vacances si c'est possible.


Moi : Ne penses-tu pas que ce serai préférable d'attendre la fin de tes études ?


Léonel : Maman il me reste encore deux ans et demie.


Moi : Humm.


On verra ça avec ton père.


Léonel : Ok maman. Tu peux me redonner le numéro de papa, car son numéro ne passe pas depuis ces derniers temps.


Moi (soupirant) : Je ne l'ai pas Léo.


Léonel : Maman !


Moi : …


Léonel : Ok maman on en reparlera, je dois aller en cours.


Moi : Ok Léo, bon cours bisou et surtout pas un mot de notre discussion à ton père si tu réussis à joindre.


Léonel : Ok man, bisou.


Je raccrochais vraiment mal en point, donc comme ça Vanessa, ma nièce savait pour mon mari et moi.


Eh OVONO !


Qu'en est-il de mes parents ?


Les larmes que je refoulaient depuis un moment se mirent à couler sans retenue.


Seigneur je sais que ce n'est qu'une saison, je n’était pas juste préparée à cette situation mais dorénavant je fléchirai les genoux.


Helena MAGUISSET 


Il rosait dehors et je m'apprêtais car mon futur mari allait rentrer d'un moment à l'autre.


J'aimerai toujours être belle pour lui, la concurrence est rude dehors.


J' étais en train de me pomponner dans le salon, assise en face de mon miroir.


Mon salon était vaste et simplement décoré pas d'extravagance.


 Je m'appliquais quand ma belle mère fit son entrée dans le salon.


Elle ne pris même pas la peine de laissé ses chaussures remplies de boue à l'extérieur comme si elle nettoyait ici.


Le genre de belle mère pointue, une harpie, mieux je ne la gère pas pour pas qu'on se disputent.


Elle s'installa avec respect sur les coussins de cuir et soupira.


Donc, je me reconcentre sur mon visage.


Ma Florence : Je dis hein madame, tu ne m'as pas vu rentrer dans le salon ?


Off 


Que toi-même tu as dit bonjour ?


Moi (le regard hypocrite) : …


Ma Florence : Ok.


C'est mon fils qui te donne ce courage, comme il te couche, tu te dis que tu as le droit de me manquer de respect.


Moi (avec une retenue de bon ton) : Ton fils n'est pas là, belle mère.


Ma Florence : Je sais, il est en chemin voici pourquoi je suis la, chez Lui fit-elle en Insistant sur le lui.


[Posant sa main sur l'accoudoir]


Je ne sais même pas ce que tu fais encore ici accroché à mon fils comme une bouée de sauvetage, harponnée…


C'en était trop je décidais de me lever et allais m'enfermer dans la chambre pour éviter que mon chéri nous trouve en pleine dispute.


Me connaissant, je lui aurai donné deux mots.


Cette femme aime me provoquer.


Au lieu de s'occuper de son foyer, elle c'est mon foyer qui est trop sucré pour qu'elle vienne surveiller.


Ne fait pas ci ne fait pas ça, mon fils ne mange pas ci, pas ça, C'est trop cuit pour mon fils, tchiup,


 mari le !


Jusqu’à notre intimité elle s'y mêle.


Agmambiè, il faut venir coucher avec lui !


Une belle mère comme la mienne, les maux de tête.


Kou kou kou


Madame vient jusqu'à cogner à la porte de ma chambre non mais c'est quoi son problème ?


Elle (de l'autre côté de la porte) : Oh madame !


Tu as une invité dans le salon et pas n'importe laquelle, et tu l'abandonnes ?


Mais tu te prends même pour qui ?


Armand (qui venait d'arriver) : Maman que fais-tu ?


Je me levais du lit pour ouvrir la porte.


Elle (les mains aux hanches) : Mon fils ta concubine n'a pas de respect pour moi, ta mère.


Je me demande ce que tu fous encore avec elle !


Elle est là à se pavaner en mini culotte partout dans la maison.


Armand (soupirant) : Maman !


C'est chez elle ici !


Elle (répliquant vivement): Ce n'est pas chez elle, je suis désolée.


 Elle n'est pas ta femme, vous n'êtes pas marier…


Armand (l'interrompant agacé) : Nous sommes fiancé c'est déjà ça, ou bien je l'épouse demain et l'affaire sera réglée !


Sa mère le fixa mécontente puis tourna le talon.


Armand (s'adressant à elle) : Où vas-tu maman ?


Elle (sans la moindre attention) : Je rentre chez moi pardon.


Armand : Mais tu n'avais pas quelque chose d'important à me dire ?


Elle (tournant la tête vers moi, me toisant)  : …


Pour moi quoi, bon débarras.


Moi (posant mes main à plat sur sa poitrine) : Bonjour mon bébé !


Armand (m'embrassant) : Bonjour cœur.


Désolé que tu ais à subir cela.


Moi : Humm je suis habituée.


Ta mère est devenu experte en ça.


Armand (souriant) : J'espère que tu ne feras pas pareil avec notre fils.


Moi : Oh non ! 


Je serai une mère cool.


Armand : En tout cas !


Tu as fait quoi depuis ce matin ?


Moi : J'étais sortie retrouver Graziella pour un business.


Lui : Wow c'est cool ça !


Moi (souriante) :  …


Graziella OKOME MBA


Je suis rentrée il y'a quelques heures d'un rendez-vous avec Helena.


J'aime son professionnalisme, elle assure grave.


Après m'être changée, je rejoignais Nouna dans le salon.


Moi m'allongeant sur le canapé) : On a enfin trouvé une salle pour nos rencontres.


Nouna (contente) : wow enfin !


Moi : j'ai dû jouer ma dernière carte pour qu'il accepte de louer pour nous cet endroit, Pamphile.


J'ai mouillé le maillot.


Nouna : Ah oui j'avais sentit ça, lorsque j'étais entrer, la dernière fois, que les gémissements et cris.


Moi (éclatant de rire) : C'est ce que tu dis un peu !


Le gars est trop bad au lit tchouo !


Ça demande beaucoup plus d'efforts car il faut faire semblant, c'est comme si je tournais un film.


Nouna : Kia kia kia, tu es graves !


 Moi : Ah oui !


[Pensive] 


Sam est toujours fâché contre moi, il est vraiment rancunier.


Il me répond à peine.


Il faut que je trouve un moyen de le faire changer d'avis.


Nouna (ouvrant grand les yeux) : Vraiment !


Il est devenu froid.


Moi (agitant ma main pour me rafraîchir) : Il me dit dernièrement que je dois être le genre de go qui mène une vie de débauche. 


Si il pouvais savoir.


Moi je gagne ma vie grâce à ça.


Nouna : Il te veux pour lui tout seul.


Moi (le regard vide) : Il m'aura.


Quand il va totalement me prendre en charge.


Et que sa femme ne soit plus un obstacle.


Natacha MIKALA


Moi (le téléphone à l'oreille) : Je dis hein Monsieur NDONG ! C'est aujourd'hui que tu te souvient que j'existe ?


Ça fait une semaine, jour pour jour que je tente de te joindre en vain, tu ne décroches pas, tu ne fais même pas signe de vie, tu t'en fou de moi et aujourd'hui tu viens avec une voix d'agneau pour me demander si je vais bien ?


Tu es normal ?


Jean-Marc : Bébé, je m'excuse vraiment pour le silence j'ai eu une situation bizarre le jour où je voulais venir te rejoindre.


Moi (énervée) : Tu sais aussi dans quelle situation bizarre tu m'as mise ? 


Moi, j'ai le droit de souffrir et toi tu es tranquille avec ta femme ?


Je suis quoi, ta roue de secours ?


Jean-Marc (calme) : Bébé, tu ne me demandes même pas par quoi je suis passé cette semaine, tu m'agresses directement alors que j'essaie de venir expliquer mon comportement.


Je pouvais ne pas le faire mais comme je tient énormément à toi je me suis dit qu’il fallait que je t'informe de ce qui s'est passé.


Tu es ma future femme.


Natacha (un peu plus calme) : Vas-y je t'écoute.


Jean-Marc : Je veux tout d'abord m'excuser pour le silence j’avais la tête pleine et ma femme à fait une chute, imagine dans son état,  faire une chute…


Moi (prise de compassion) : Oh désolée bébé ! Tu aurais pu m'informer.


Jean-Marc : Yeah désolé ! 


J'ai eu une de ses frayeurs, elle a été hospitalisé et je me devais de rester à son chevet.


Je passais la nuit à son chevet même le boulot, je n'y allais pas.


Moi : Mais elle a au moins sa mère ici non !


Jean-Marc : Je n'ai pas voulu l'en informer car c'est à cause de moi qu'elle a eu à faire cette chute.


Moi : Et pourquoi donc ?


Jean-Marc : Parce que je m'apprêtais à venir te rejoindre comme prévue pour te faire aménager mais elle a voulu venir avec moi de force alors elle a fait une chute.


Moi : Humm ! 


Ok désolée encore.


Donc on fait comment ?


Jean-Marc : On va programmer car en ce moment j'ai dû emmener ma femme à la villa pour qu'elle se repose avec sa mère et la mienne. 


On tr…


Moi (l'interrompant) : Mais franchement, donc pendant que j'attends car je devais aménager toi tu emmènes madame…


Jean-Marc : Je ne pouvais quand-même pas les loger à l'hôtel ?


Chez moi, il n'y a pas assez de chambres.


Moi : Tu es relou toi !


Ecoute, je n'ai pas envie de craquer, mieux je raccroche.


Jean-Marc : Non bébé ! 


Pourquoi tu aimes être désagréable comme ça ?


Moi (furieuse) : NDONG, mais tu me prends d'abord pour qui ?


J'ai horreur de tes agissements …


Jean-Marc : Désolé mon amour pardon.


J'ai envie de te voir je suis devant chez toi, sors s'il te plaît.


Vient te fâcher devant moi s'il te plaît mon amour, je te donnerai même la permission de me porter main pour te défouler car je le mérite 


Mais ne me laisse pas comme ça.


Moi (faisant la moue) : Je n'ai pas envie de te voir, laisse moi tranquille.


Jean-Marc : Je ne peux pas MIKALA , tu ne réalises pas combien de fois je souffre quand je ne te voix pas.


J'ai des sentiments pour toi, des sentiments sincères.


Cette semaine a été difficile pour moi et je sais que pour toi aussi, car tu m'aimes.


Ça ne sert à rien alors de se faire encore plus de mal…


Moi (revenue à de bon sentiments) : Donne moi cinq minutes pour me préparer.


Jean-Marc : D'accord mon amour merci vraiment.

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