Chapitre 11: Sauvée !!!!

Write by Tunde William

   ** Marie Jeanne** 

Je suis dans une dimension hors norme. Je ne suis pas vivante ni morte non plus. Je suis dans un espace inqualifiable,un endroit paradisiaque avec mes parents. Ils portaient des vêtements blancs tandis que moi j'avais une cape noire. Chacun d'eux était entouré d'un halo exceptée moi bien sûr. Si je voulais devenir comme eux il fallait que je retourne sur terre expier tous mes péchés et accomplir ma mission. Je devais payer mon karma ou autrement je me ferai battre par Seth le dieu de la mort dans le royaume des morts avant de revenir et de continuer le cycle. Ce jour-là il avait plu et les premiers rayons solaires obliques venus tout droit du Sud Est de l'horizon donnait déjà des ombres couchées au arbres. Tandis que ceux lunaire venait directement de l'astre rond qui ne voulait pas aller se coucher vers l'autre extrémité Nort ouest de la terre. L'atmosphère était indescriptible . L'on observait le soleil qui voulant sortir à tout prix se pointait à l'horizon pendant qu'une lune ronde et capricieuse diffusait une lumière blafarde dans le ciel nuageux ne voulant pas libérer la place. Les gouttelettes issue d'une pluie récente était à l'origine d'un arc en ciel qui barrant le ciel en deux séparait les deux astres. C'était éblouissant et tellement merveilleux. Les gazouillis des oiseaux dans les buissons arrosés de goutte d'eau mêlés à de la rosée concordait avec les cris rauques des aigles qui tournait au dessus de nos têtes. Le cris des cigales ajoutés à cette cacophonie offrait une musique appétissante et relaxante aux tympans. Les notes mélodieux de cette musique vous berçait et vous hypnotisait en même temps. Elle te mettait dans une psychose sans nom car on perdait la notion du temps [...]. J'étais hypnotisée par cet spectacle assez spécial et grandiose que je n'ai même pas entendu la voie de ma mère qui me réclamait. Ce fut son coup de coude dans les côtes qui me ramena sur terre.

-( Ma mère) Ma fille, il est temps de rentrer chez toi.

-( Moi) [ Protestant] Non, Iya. Je suis tellement heureuse de vous avoir à mes côtes. Je suis bien ici et tu m'as beaucoup manqué tu sais????.

-( Maman) fion fion fion. [ S'énervant] Tu blagues avec qui????.

-(Mon père)[ Nous rejoignant] C'est quoi le problème Élise???? Arrêtes de me traumatiser la fille.

-( Maman) [ Tirant la tronche] Dis à ta fille , de repartir d'où elle vient.

-( Papa)[ Se moquant d'elle] Même ici??? Tu ne vas jamais changer !!! Tu t'enerves encore ici alors que tu n'es plus humaine...

-( Maman) Je ne sais pas ce que j'ai fait au créateur pour qu'il me donne un temperamment comme celui là.Moi même je suis fatiguée deh.

-( Papa) Continue seulement comme ça quand Seth va te retourner dans le séjour des morts tu comprendras. Bon ma fille me dit il ,une petite discussion s'impose.

-( Moi) [ D'une toute petite voix] Oui je sais.

-( Papa)[ M'attirant dans ses bras] Tu sais princesse ,je te comprends parfaitement mais tu dois accomplir ta mission, terminer d'écrire ton destin.

-( Moi) Oui ,je le sais mais je veux....

-( Papa) Avant de prendre une décision capitale regarde ceux qui ont besoin de toi. Je vis tout d'abord mon fils qui était avarchis. Il était très mal en point et pleurait silencieusement seul dans un coin sale. Puis je vis Claude Marcel qui tristurait nerveusement notre bracelet. De sa main validé il caressait une photo de moi avec tristesse. Ses yeux étaient embués de larmes. Il était assis près d'un hublot . Je pense qu'il doit être dans un avion. Puis je vis une petite fille jetée dans un égout. Sa mère l'a vendu à un couple qui l'ont évidée pour satisfaire la demande en organe d'un vieux blanc. La petite fille me ressemblait comme deux gouttes d'eau . Elle servait de garde à manger à un chien galeux. Je vis aussi un charmant médecin qui criait près de mon corps . Il disait qu'il ne voulait pas perdre sa clinique si je mourrais et me parlait de je ne sais quoi en me caressant la main. Puis je revis encore mon fils qui de faisait culbuter par la rondelle dans la prison. Il était stoïque mais j'entendais ses cris de peine et me suppliant de ne jamais le laisser seul. Mon cœur de mère n'a pas supporter cette scène de la vie de mon rayon de soleil.[...]. 

-(Moi) Je vous reverrai ???? 

-( Mes parents en chœur) Bien sûr que oui chérie.

Ma mère me retira un morceau de chair pétrifié du cerveau et me fit un tendre baiser sur la tempe. Mon père quant à lui me tirait précipitamment car on me perdait m'a t'il dit. Il me fit un baiser sur le front et je me retrouvai dans ma chambre d'hôpital. Les médecins s'étaient entourés de mon enveloppe charnelle à cause des bip incessants d'une machine. J'ai touché mon front et je me suis retrouvée dans le lit juste à temps avant qu'ils ne charge le défibrillateur cardiaque à 360 .

J'ai ouvert les yeux et puis j'ai toussé tout doucement. Mon crâne le faisait un mal de chien . Celà était dû au tumeur que m'a enlevé ma mère du cerveau.

-( Le charmant médecin) [ les mains suspendus , tenant les électrochoc] Madame vous m'entendez???

-( Moi) [ Sourire crispé] Oui docteur. Ça va j'ai surtout mal au crâne . Il me faut un Doliprane et cela ira à merveille.

-( Lui) Ne faites surtout aucun mouvement . Il me retira un truc sur du nez ou de la bouche je n'en sais plus trop et m'examina attentivement ne croyant pas ces yeux.

-( Lui) Incroyable Madame vous êtes une rescapée. Celà révèle d'un miracle.

-( Moi) [Fatiguée] Je rends grâce à Dieu. Tout était parfait mais j'avais le cœur dérangé . Mon fils n'était pas là et celà me rendait triste et déprimée. Il dû me faire une piqûre et je sombrai dans un sommeil de plomb.....

   **Claude Marcel d'Oliveira** 

-( Mon pilote) Mr d'Oliveira nous traversons actuellement le bassin du Congo.

-( Moi) Parfait, nous ferons un escale au Bénin avant de rejoindre les states.

-(Le pilote) C'est entendu.[...]  Je suis allé régler une affaire urgente en Angola. Et du coups j'avais envie de juger l'évolution de la situation de Marie et si possible l'expédier en Europe. Ainsi elle bénéficierait des meilleurs soins médicaux. Une fois à l'aéroport international du cardinal Bernardin Ganti ,je me suis dirigé vers l'hôpital. Je savais qu'elle était tirée d'affaires car le bracelet ne brillait plus et je ressentais sa tristesse à travers les pierres. Mais grande fut ma surprise quand je vis Marie Jeanne habillée d'une robe de chambre qui ne cachait rien de sa forme. Elle était adossée au chevet de son lit , les cheveux relâchés en mode Afro elle discutait gaiement avec un homme. C'était son docteur . Le goujat lui tenait la main sensuellement et lui caressait les bras.Il était bien habillé d'une chemise mate, d'un pantalon bleu nuit en lin et des mocassins aux pieds. Le plus énervant il avait mit le même parfum que moi Zeus de Lucca Bossi. Je notaire également qu'une tablette de chocolat et un bouquet de fleurs étaient posés que la table du chevet.

-( Lui) [ Embarrassé] Bonsoir Mr d'Oliveira. Quelle belle surprise ???

-( Moi) [ À cran] Bien évidemment, vous trouvez en charmante compagnie avec mon épouse est une très belle surprise.

-( Lui) [ Étonné] Mais Mr ???

-( Moi) [ Sèchement] Pas de Mr qui tienne. Ne rodez plus près de mon épouse comme ça. On vous connaît vous les béninois vous n'êtes que des rapaces.

-( Lui) [ Honteux] Au revoir Marie. À très bientôt.

-( Elle) Au revoir Diego. Quand je serai validé après ma rééducation j'honorerai ta demande de déjeuner. Promis 

-( Lui) Ok. J'ai confiance. ( À moi) Au-revoir Mr d'Oliveira. À demain pour la paperasse.


--( Moi) Hum.

Il sortit de la pièce . Enfin bon débarras.

-( Marie Jeanne) Claude Marcel d'Oliveira !!!! Je peux savoir à quoi tu joue ????? 

-( Moi) [ Intérieurement] Euh très bonne question !!!!  Oui à quoi est ce que je joue même ???? Hein les amis!!!! Je joue à quoi??????.



Forgive me......