CHAPITRE 117: JE NE LUI AI RIEN FAIT.

Write by L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 117 :  JE NE LUI AI RIEN FAIT.


**LOYD MBAZOGHO**

Dans ses mouvements, j’ai pu apercevoir la naissance de ses seins et réaliser qu’elle n’avait pas de slip non plus sous son pantalon. Une idée folle m’a traversée l’esprit et lorsqu’elle est revenue vers moi pour sortir de la pièce, je lui ai barré la route en mettant ma main sur le passage. Elle s’est arrêtée et a levé les yeux sur mon visage. J’avais une forte envie de l’embrasser et je me suis légèrement rapproché d’elle en gardant un petit espace entre nous. Elle a continué à me fixer dans les yeux sans sourciller et le visage neutre.


Moi : Je t’en prie Lucrèce, ôte moi d’un doute.

Lucrèce : (Silence)

Moi : Tu n’as que 16 ans ?

Lucrèce : (Neutre) Oui.

Moi : (Me mordant la lèvre) Et, et tu es la fille d’Arsène ???


Nous sommes restés à nous jauger pendant plusieurs minutes sans qu’elle ne me réponde. Elle a éliminé la distance qu’il y avait entre nous en faisant un pas de plus, j’avais maintenant son corps contre le mien. Elle a levé ses talons pour avoir à peu près la même taille que moi, j’avais son souffle sur le visage et inversement. J’ai lâché la serviette et la brosse que j’avais pour poser ma main sur ses hanches. J’ai voulu l’embrasser mais elle a décalé son visage sur le côté et mes lèvres ont atterri sur sa joue. Elle a pris la parole.


Lucrèce : (Le visage toujours neutre) Oui, je suis la fille d’Arsène, sortie tout droit de ses reins. Ce qui fait immédiatement de moi la fille de Leslie Oyame Mbazogho (Me regardant à nouveau dans les yeux) ta grande sœur et je suis une mineure de 16 ans.


J’ai fermé les yeux et retiré ma main sur elle avant de reculer pour remettre de la distance entre nous. Lorsque j’ai ouvert les yeux elle me fixait toujours de la même façon mais avait reposé ses talons au sol. 


Lucrèce : (Après un moment) Tu devrais commencer à arrêter ce qui ne tourne pas rond dans ta tête et regarder les femmes de ton âge si tu ne veux pas avoir des problèmes. 

Moi : (Silence )

Lucrèce : Et c’est la dernière fois que tu poses ta main sur moi et que tu essaies de m’embrasser. La prochaine fois, tu t’expliqueras devant mes parents. J’espère avoir été assez claire pour toi.

Moi : Oui.

Lucrèce : Bien, libère mon chemin.


Je suis quitté devant la porte et elle est sortie. Je suis resté debout pendant plusieurs minutes avant de me baisser pour ramasser les choses qui étaient tombées et fermer la porte de la chambre. Je me suis passé la main sur le visage en soupirant fortement.


Moi : (Me parlant à haute voix) Loyd stp ressaisis toi, ressaisis toi.


J’ai encore soupiré avant de poser les choses sur le lit et me déshabiller. J’ai plié mes vêtements et les ai posés sur l’un des meubles dans la pièce. J’ai ramassé la brosse et la serviette puis je suis allé dans la douche. J’ai accroché la serviette à l’endroit fait pour et déposer la brosse sur le lavabo. Je suis passé sous la douche et j’ai ouvert de l’eau sur moi. C’est à ce moment que j’ai remarqué que je n’avais pas de savon. J’ai arrêté de l’eau et je me suis mis à le chercher dans la salle mais je n’ai rien trouvé, je suis donc sorti de la douche pour la chambre et fouillé dans les tiroirs qu’il y avait. J’ai eu la surprise de voir à nouveau Lucrèce debout dans la pièce. J’étais tout nu et mouillé, on est resté à se regarder avant que je ne prenne la parole.


Moi : Qu’est-ce que tu fais là ?

Lucrèce : Je, j’ai cogné mais je n’ai obtenu aucune réponse de ta part alors je suis rentrée. (Avalant difficilement sa salive) Je, je suis venue te déposer ça (posant un gel de douche et un dentifrice sur le lit) Je les avais oublié la première fois.

Moi : Merci.

Lucrèce : (Montrant la porte du doigt) Je, je vais y aller.


Elle s’est retournée et est sortie de la pièce en la fermant derrière elle. Je suis resté statique avant de me reprendre, récupérer les choses qu’elle avait emmenées et retourné finir ma douche. Pendant que de l’eau coulait sur ma tête, j’ai posé mes deux mains sur l’un des murs pour prendre appui dessus et j’ai fermé les yeux complètement perdu. Les scènes de ce soir revenaient en boucle dans mon esprit. J’ai ouvert les yeux et je me suis complètement rincé avant de tout arrêter, m’essuyer, me brosser et sortir de la pièce. J’ai remis mon caleçon , éteint la lumière et je suis venu me mettre au lit en regardant le plafond. Les propos de Lucrèce sont repassés dans mon esprit '’Tu devrais commencer à arrêter ce qui ne tourne pas rond dans ta tête et regarder les femmes de ton âge si tu ne veux pas avoir des problèmes.’’  Je me suis mis à penser que certainement elle avait raison et qu'il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond dans ma tête. Des femmes autour de moi, il y en avait plusieurs, à l’église, à Dragage, au boulot et même à Sbg où je vivais désormais, elles ne manquaient pas. Plusieurs s’agitaient sur mon passage et y en a qui avaient même eu le courage de me faire ouvertement des avances. Je ne pouvais pas dire que je manquais de choix en matière de femme mais je ne comprends pas pourquoi avec tout ça c’est vers cette petite que je suis attirée tel un aimant au point d’espérer des choses que je ne devrais pas et poser des actes complètement déplacés. J’en suis réduit au fait de me faire traiter comme un enfant par une gamine de 16 ans. Comment en serait-il autrement si je me comporte à chaque fois comme un adolescent face à elle ? Comment pourrait-elle me respecter si moi-même je me rabaisse de la sorte ?


Moi : (Me parlant à nouveau)C’est la fille d’Arsène Loyd, c’est sa fille de 16 ans, rentre toi ça bien dans la tête. C’est la fille d’Arsène.


Je me suis répété ça plusieurs fois avant de sombrer dans les bras de Morphée(…) 


(Sonnerie du téléphone) 

Je regarde et c’est un appel de ya Leslie, je décroche.


«Moi : Allô ? »

 « Ya Leslie : Allô Loyd bonsoir, je te dérange ? »

« Moi : Bonsoir ya Leslie et non, tu ne me déranges pas. C’est pourquoi ? »

«Ya Leslie : Tu es où ? »

 « Moi : Au volant, dans la voiture au niveau de la place de l’indépendance . »

« Ya Leslie : Ah Dieu merci, tu es même dans la zone. Stp, tu peux rejoindre Lucrèce au port môle ? Elle est allée récupérer le poisson et normalement son père devait aller la chercher mais le pasteur nous a appelé en urgence à l’église , donc elle est bloquée »

« Moi : D’accord. Donc je la récupère et la dépose à la maison, c’est ça ? »

«Ya Leslie : Oui. »

 « Moi : Ok, j’y vais. »

« Ya Leslie : Vraiment merci beaucoup, tu me sauves la vie. »

«Moi : De rien »

 «Ya Leslie : Bon je vais te laisser, nous venons d’arriver à l’église »

 « Moi : Ok. On se tient informé. »

«Ya Leslie : D’accord. »

Clic !


J’ai poursuivi mon chemin et je me suis arrêté au port môle avant de lancer l’appel sur son numéro.


 «Lucrèce : Allô ? »

 «Moi : Allô, Lucrèce c’est Loyd. »

 « Lucrèce : Je sais que c’est toi, toi numéro est enregistré dans mon téléphone. Enfin, bref, tu es déjà au port ? Maman m’a dit que c’est toi qui venait »

«Moi : Oui. Je suis garé à la première agence de bateaux. »

 «Lucrece : Tu es trop loin. Rentre bien et tu prends la droite. C’est le 4e magasin après la première entrée. Je vais me mettre dehors pour que tu puisses me voir »

 «Moi : Ok. J’arrive. »

Clic !


Je démarre et suis les instructions qu’elle m’a donné et je la retrouve devant le magasin en question. Je gare et baisse la vitre.  


Moi : Tu as fini ? 

Lucrèce : Non, j’attends toujours. Ils m’ont dit que la commande est dans la chambre froide et on attend le responsable qui a la clé et a apparemment fait une course rapide.

Moi : Ils l’ont au moins appelé ?

Lucrèce : Oui, il a dit qu’il était en chemin.

Moi : Ok. On attend alors. Tu peux venir le faire dans la voiture pour t’éviter de rester debout.


Elle m’a regardé pendant un moment avant de s’exécuter et de monter à l’arrière. Nous avons attendu une vingtaine de minutes en silence avant qu’on ne voie un employé sortir en courant du magasin et revenir en courant.


Lui : (S’arrêtant devant ma voiture et brandissant un trousseau de clé) C’est là. Venez avec moi pour voir votre commande.


Nous sommes descendus tous les deux en laissant nos affaires dans la voiture, c’est un pick-up blanc. J’ai verrouillé les portières et nous l’avons suivi jusqu’à dans la fameuse chambre froide en question. Il nous a présenté plusieurs grosses glacières et Lucrèce a identifié les trois appartements à Leslie. Le gars a appelé d’autres personnes pour l’aider à soulever et nous avons marché à leur suite pour sortir mais les deux gars qui soulevaient la dernière glacière ont déplacé la petite cale qui maintenait la propre ouverte sans le faire exprès et cette dernière s’est bloquée avant qu’on ne sorte.


Lucrèce : (Devant moi, cognant contre la porte) Eh oh, svp, ouvrez nous car la porte s’est refermée ? 

(Silence)

Lucrèce : (Frappant à nouveau) Eh oh, vous m’écoutez ?

(Silence) 

Moi : Laisse moi faire.


Elle m’a cédé le passage et j’ai donné des coups beaucoup plus forts sur la porte en essayant de les appeler. La porte était assez épaisse et rembourrée pour que la fraîcheur ne sorte pas dans l’autre pièce et elle ne s’ouvrait que de l’extérieur.


Voix : (Faible de l’autre côté) Oui patron, excusez-moi. On va ouvrir mais on attend la deuxième clé.

Moi : Quelle deuxième clé ? Où est la clé que tu avais ?

Lui : C’est resté avec vous là-bas.

Moi : Hein ?

Lucrèce : (Me montrant un trousseau de clés posée sur une table) C’est là.

Moi : Mais comment il a fait pour rentrer ici avec ça ? (M’énervant et cognant contre la porte) Pourquoi tu as retiré la clé de la porte ? 

Lui : Monsieur je ne savais pas.

Moi : (Exaspéré) Maintenant comment on fait pour sortir d’ici ?

Lui : On attend le grand patron, c’est lui qui a ça.

Moi : Et il sera là dans combien de temps ?

Lui : Je ne sais pas, on l’a appelé au téléphone.

Moi : Et il est où ?

Lui : À Kango.

Moi : (Hurlant) Quoi ? Vous vous foutez de nous ? On va attendre une clé qui revient de Kango et pendant ce temps on meurt de froid dans cette pièce ? Vous êtes malade ?

Lui : (Silence) 

Moi : Dépêchez vous de nous faire sortir d’ici et si jamais il nous arrive quoique ce soit, vous allez comprendre.

Lui : Oui monsieur.


J’étais tellement énervé que j’ai shouté cette porte à plusieurs reprises avant de me retourner pour regarder Lucrèce. Elle avait une robe portefeuille en polyester qui était courtes manches et lui arrivait aux genoux. Elle ne pourrait pas faire long feu dans cette pièce vêtue de la sorte. J’ai retiré la veste que j’avais étant donné que je sortais du boulot et je la lui ai donné.


Lucrèce : (Prenant) Merci.

Moi : Viens près de la porte, c’est moins frais ici. 


Elle s’est exécutée et nous nous sommes retrouvés près de la porte tous les deux. Au bout d’une heure, je n’en pouvais déjà plus et je commençais à trembler car ma chemise et mon pantalon ne pouvaient me protéger du froid.


Moi : (Frappant à nouveau contre la porte) Mais merde, vous allez ouvrir cette putain de porte ?

(Silence)

Moi : (Frappant) Oh, vous nous avez oublié ?

(Silence)

Lucrèce : (Tremblante) Tu, tu crois qu’on va mourir ici tous les deux ?

Moi : Jamais de la vie on ne meurt ici, tu comprends ? On va tous les deux sortir de cette salle.

Lucrèce : D’accord. J’ai envie de m’asseoir.

Moi : Attend.


Je me suis dirigé vers les glacières et j’ai tiré une jusqu’à la porte pour qu’elle s’asseye dessus. Après quelques minutes à tourner pour une troisième fois dans la salle à la recherche d’une quelconque issue de secours, je suis venu m’asseoir à ses côtés.


Lucrèce : J’ai froid Loyd.

Moi : Je sais mais stp, fais un effort jusqu’à ce qu’on sorte d’ici. (Prenant ses mains et frottant les miennes dessus) Ça devrait te réchauffer un peu.

Lucrèce : Je peux me rapprocher de toi ? On devrait créer de la chaleur si on se touche non ?

Moi : C’est vrai. Viens.


Elle s’est rapprochée de moi et l’ai prise dans mes bras en frottant et soufflant de temps en temps sur une partie de son corps. Puis elle s’est mise à toucher la ceinture de mon pantalon comme si elle voulait me la retirer.


Moi : Qu’est-ce que tu fais ?

Lucrèce : Je veux la retirer.

Moi : Pourquoi ?

Lucrèce : Pour sortir ton sexe.

Moi : (Surpris) Tu veux faire quoi avec mon sexe ?

Lucrèce : Une femme peut faire quoi avec le sexe d’un homme ?

Moi : (Silence) 


Elle s’est levée et a retiré son string sous mes yeux éberlués.


Lucrèce : Merde Loyd bouge toi et sors ton sexe j’ai froid.


Je me suis exécuté en desserrant ma ceinture, enlevant le bouton de mon pantalon, ouvrant la braguette et sortant mon sexe par l’ouverture sur le côté intégrée sur mon caleçon. Avec la fraîcheur, il était tout moue. 


Lucrèce : Fais passer ton pied de l’autre côté et tu avances vers moi (je me suis exécuté) décale un peu ton buste vers l’arrière .


Je l’ai fait et elle a essayé de toucher mon sexe seulement sa main était trop froide du coup il a rétréci d’avantage.


Moi : Ta main est glacée, ça ne va pas le faire.


Elle prit ses deux mains et s’est mises à les lécher avant de souffler dessus puis les a mises contre son sexe en serrant ses jambes.


Lucrèce : Caresse moi les jambes.

Moi : Hein ?

Lucrèce : (Exaspéré) Merde Loyd tu es puceau ?

Moi : Non.

Lucrèce : Alors pourquoi tu me poses des questions comme quelqu’un qui n’a jamais couché avec une femme ?

Moi : (Silence)

Lucrèce : Ça fait des lustres que tu baves sur moi comme un chien et maintenant que l’occasion t’es donnée de me coucher tu me poses des questions inutiles ? Je te demande de me caresser afin de me stimuler pour que je puisse produire plus de chaleur, c’est si dur que ça ?

Moi : Non.

Lucrèce : Bah alors ?


Je suis resté en train de la regarder avant de poser mes mains sur ses cuisses. J’ai commencé timidement à lui caresser les cuisses puis je suis lentement remonté vers ses fesses que j’ai appuyé avec la même timidité avant de sérieusement les empoigner et les malaxer. Mon sexe a commencé à frémir. Elle l’a saisi et s’est mise à me branler et me sucer comme si sa vie en dépendait sous mes grognements. Je me suis dressé de tout mon long puis elle s’est redressée et s’est empalée sur ma verge en gémissant contre mon oreille. Une fois bien au fond, elle a commencé à monter et descendre sur moi pendant que je malaxais ses fesses.


Lucrèce : (Gémissant) Ô Loyd, Loyd Oui, ô oui Loyd. J’ai toujours voulu avoir ta queue entre mes jambes, j’ai toujours voulu que tu me baises. Je t’aime Loyd, je t’aime.

Moi : Je t’aime aussi Lucrèce, comme un fou.

Lucrèce : Alors baise moi Loyd, fais de moi ta chose.


Je l’ai embrassé avant de la soulever par les fesses et me lever avec elle. Je l’ai culbuté debout avant de venir la poser sur la table où était le trousseau de clés. Nous avons commencé à transpirer tous les deux et je lui ai retiré sa robe pour appuyer sur seins qui dandinaient devant mon visage au rythme de mes assauts en elle. Elle s’est mise à gémir de plus en plus fort en criant mon prénom. Je me suis retiré et je l’ai retourné avant de la cambrer sur la table en soulevant une de ses jambes puis je les à nouveau pénétrée en saisissant fermement ses hanches.


Lucrèce : Ô mon père oh, Loyd tu vas me tuer. 

Moi : (Allant et venant rapidement en elle) C’est ce que tu voulais n’est-ce pas ?

Lucrèce : (Gémissant) Oui. Je , je vais jouir Loyd.

Moi : Joui mon bébé, joui.

Lucrèce : (Poussant un son de gorge) Orrrrhhhh ahn.


C’est à ce moment que la porte s’est ouverte sur Arsène et ya Leslie qui me regardaient avec des grands yeux.


Ya Leslie : (Surprise) Loyd ?

Moi : (Me figeant) Je, je, ce n’est pas ce que vous croyez. On voulait juste créer de la chaleur.

Arsène : (Fonçant sur moi les yeux rouges de colère) Espèce de petit connard, je vais te tuer de mes propres mains aujourd’hui.


Il m’a saisi par le cole de la chemise avant de me mettre un violent coup de poing au visage qui m’a envoyé au sol. Il est revenu vers moi et j’ai tenté de reculer mais il m’a attrapé par le cou et m’a mis debout puis m’a donné un autre cou au visage qui m’a enlevé deux dents. Les gens ont essayé de me séparer de lui mais impossible, il était déchaîné. Puis il s’est mis à m’étrangler, j’avais du mal à respirer et je bougeais dans tous les sens.


Voix : Loyd ?

Moi : (Silence)

Voix : (Me bousculant fortement) Loyd réveille toi. 


J’ai ouvert les yeux et je suis tombé sur le visage d’Arsène qui se tenait devant moi et de ya Leslie derrière lui sur son fauteuil roulant j’ai bondi du lit et je me suis retrouvé assis par terre.


Moi : (En panique) Je ne lui ai rien fait, je vous jure que je ne lui ai rien fait.

Arsène : (Me regardant intrigué) Tout va bien Loyd ?

Ya Leslie : Tu n’as rien fait à qui ?

Moi : (Silence) 


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