Chapitre 12: LES MÉDAILLONS

Write by D'avila



______  YVES NELSON_____ 

De retour des toilettes je me dirigeait vers la chambre de johnette , je fus surpris de ne pas y trouver jahnette certainement quelle est allé voir sa mère je m’approchais du lit et johnette ouvrit les yeux.

Yves : bonjour ma princesse comment te sens tu ? tu m’as fait une de ces peurs !

Joh : bonjour NEL que fais-tu ici ? je te croyais en France ?

Yves : oui je suis renté il y a de cela 5 mois ?

Joh : 5 mois tu dis ?? et tu ne m’as pas fait signe de vie moi qui te croyait en France, tu ne m’as plus donné de nouvelle de toi !

Yves : tu as parfaitement raison une fois la bas c’était la bosse donc je n’ai contacté personne madame NELSON m’a même fait disputer pour sa mais, je me ferai pardonné.

Joh : alors comment as-tu su que j’étais ici ?

Yves : par jahnette 

Je lui racontais comment j’ai fait sa connaissance et tombé sur elle hier dans cet hôpital sans lui dire que son père est dans cet hôpital, ensuite elle me remercia d’être resté et me parla de l’altitude étrange de jahnette a la vue de son médaillon, mais qu’est ce qui s’est passé pour que jahnette réagisse ainsi ? je dois la trouver.



_____JAHNETTE BOUA____


Vous vous demandez pourquoi j’ai réagi de la sorte, eh bien figuré vous que lorsque j’ai comparé le médaillon de joh au mien cela donnait au recto jahnette /johnette et au verso mes bébés car les deux médaillons faisaient un cœur lorsqu’on les rapprochait, alors je couru vers la chambre de maman pour me donner un signe même si elle ne pouvait pas me parler.

Je me posais un milliard de question maman avait une autre fille ailleurs ? ou je n’étais pas la fille de mon père ? ça une seule personne pouvait me situer sur ce sujet et c’était ma mère madame BOUA ?

Lorsque je franchis le seuil de la porte je fus envahit par la force présence de l’Esprit de Dieu eh oui lorsque ta vie est une adoration tu peux sentir la présence de Dieu et cette présence n’était pas vaine car je vis ma mère plongé dans un moment d’adoration que je ne pus interrompt car je me retrouvais aussi à adorer le seigneur, car oui ma mère pouvait maintenant parler et c’était un miracle de Dieu.

Moi je crois au miracle de Dieu, en sa puissance lorsque nous finissons d’adorer notre seigneur, nous tombons l’un dans les bras de l’autre des larmes de joies coulaient sur le long de nos visages à cet instant plus rien ne comptait, même si j’avais besoin d’explication…………………


_____YVES NELSON___

 

Bring bring bring

Yves : allo papa !

Interlocuteur : allo yves ou es-tu ?

Yves : à l’hôpital papa

Inter : es-tu souffrant ?

Yves : non papa 

Inter : donc tu te ramené à l’entreprise NELSON tout à l’heure 

Yves : mais papa je ne peux ?

Inter : je n’ai pas demandé si tu peux ou pas je dis que je veux te voir ici nous avons des investisseurs qui viennent et nous devons obtenir ce projet de construction de l’hôpital mère et enfant tu as 2h pour être ici.

Yves : quoi ! 2h ?

Tin tin tin 

Dans la tête de yves « monsieur NELSON toujours aussi exigent je dois me dépêcher d’aller donner une bonne présentation et décrocher ce projet pour remplir les comptes en banques de la famille NELSON tout compte faire si je dois continuer à financier mon orphelinat je dois assez bosser »

Moi : joh je te laisse mais je reviens ce soir, dit à jahnette quand elle sera de retour que je serai là ce soir et stp jahnette ne doit en aucun cas savoir qui je suis !

Joh : toujours en train de cacher ton identité, c’est compris NEL.

Je luis fis un bisou sur le front puis sorti de la chambre johnette est une fille formidable bien vrai qu’elle dort sur les billets de banque et seule héritière comme moi elle est toujours restée une personne humble, je me souviens comme papa l’appréciait et voulait forcement qu’on se marient, d’ailleurs il n’arrête pas de me fatiguer avec cela mais johnette est une sœur pour moi et j’ai déjà trouvé ma future épouse.

___JOHNETTE JONHSON__


Dans la tête de joh « Après le coup de fil de son père NEL a du parti d’urgence en posant un doux baiser sur mon front, et cela ne m’a fait aucune sensation car oui à mes 19ans j’ai commencé a nourri des sentiments pour YVES NELSON que j’appelle affectueusement NEL qui est mon meilleur ami mais lui me voyait comme une petite sœur alors je me suis résigné à l’oublier même si son père m’aimait énormément et voulait nous fiancer pour qu’on se marient à mes 22ans. 

Aujourd’hui je vois NEL comme un ami même si souvent j’ai un petit faible pour lui et j’ai remarqué qu’il avait les étincelles dans les yeux dans il parlait de jahnette, ce soir je lui arracherai quelque mot sur cette histoire entre lui et jahnette. »

Le claquement de la porte me fit remarquer la présence d’un homme en blouse certainement un médecin…

Monsieur : bonjour mlle jonhson

Moi : bonjour monsieur 

Monsieur : appelez-moi Eymard 

Moi : ok Eymard

Ey : je suis venu vous parler de votre père 

Moi : mon père ? qu’est ce qu’il a mon père et je ne l’ai pas encore vu à mon chevet ?

Ey : soyez calme mlle

Moi : vous commencez à me faire perdre patience mr Eymard, je connais ce truc des médecins j’espères ne pas recevoir une mauvaise nouvelle !

Ey : oh non, votre père a eu un tout petit accident dans la nuit d’hier en venant vous voir mais ce n’est rien de grave il va bien.

Moi : vous êtes sur Eymard ? (Moi essayant de descendre du lit et une fois debout je fus prise par un violent vertige et Eymard a quelque centimètre de moi me rattrapait dans ses bras je sentis son souffle puis l’odeur de son parfum me fit voyager en quelque secondes)

Ey : attention mlle jonhson vous ne devez pas sortir toute seule du lit 

Moi : mais je dois voir mon père !

Ey : pour l’instant vous devez vous reposer, je vous promets de vous y emmener le voir ce soir.

Moi : ok merci Eymard fis je avec un magnifique sourire aux lèvres sans m’en rendre compte. 


____JONATHAN JONHSON___

Je suis couché la sur ce lit d’hôpital Dieu merci j’ai rien j’eu de grave j’ai juste saigné du bras mais je suis heureux que ma fille s’en ai sorti et ceux  grâce à Dieu et cette jeune fille dit a fait une grande preuve d’amour, si je perdais ma petite fille je ne pensais pas pouvoir me remettre je me souvins quand je l’ai tenue pour la première fois dans mes bras je ressentis une immense joie comme si c’était mon sang que je tenais dans les bras, sans savoir ce que j’allais faire ni comment m’en occuper je lui donnait mon nom et elle devient ma princesse, mon rayon de soleil, je l’aime comme une partie sortie de moi, quel est ce lien si fort entre nous souvent je me poses ces questions ?



Ce chapitre est juste un avant goût demain on aura un autre plus long n'oubliez pas de commenter et kiffer bisous.





  
 
Une autre sœur