Chapitre 14
Write by R.D
«
Un couple musulman qui s’aime c’est comme l’œil et la main. Lorsque la
mains e blesse, l’œil se mets à pleurer et lorsque l’œil pleure la main
essuie ses larmes »
Mère Halima
Après avoir tout fait pour que Fatima change d’avis sur le voyage que
son mari doit faire, j’ai rempli mes devoirs à la maison avant de
demander la permission à mon homme pour sortir.
Pourquoi je
demande la permission ? Parce que c’est ce que la religion recommande.
Pour une femme mariée qui sort sans l’accord de son mari, les anges la
maudisse jusqu’à son retour.
Si je dois m’attarder là-dessus,
je dirais que ça soulève l’importance que le mari doit occuper dans la
vie de sa femme. De nos jours, lorsqu’on a des problèmes avec ce
dernier, peu sont ceux qui nous demandent de supporter bien au
contraire. On a des amis qui nous demandent de leurs tenir tête et nous
savons tous ici que cela reviens à verser de l’huile sur du feu.
Fort est de constater qu’au moindre pépin, la femme de cette génération
manque de respect à son mari. Quand il hausse le ton, elle le fait.
Quand il se fâche, elle se fâche. Comment un couple peut il avancer dans
ce cas ?
Je sais que c’est difficile, surtout lorsqu’on a
raison de demander pardon. Ça demande une grande preuve de maturité que
de se rabaisser. Mais ce qu’on ne sait pas, c’est que c’est dans ce
genre de détail que tout repose.
Un homme ne te blâmera jamais
longtemps, si à ses pieds tu viens lui dire pardonne moi. Un homme
n’aura jamais raison de toi si tu lui montre que c’est lui ton
supérieur.
Egalité de sexe ? Non je suis désolée mais cela ne
peut pas être le cas. Je suis peut être vieux jeu, mais nous savons tous
ici qu’un homme et une femme ne pourront jamais être égaux.
Savoir donner à l’homme sa place de chef dans la maison reviens à ne
s’attirer que des bienfaits de la part de son seigneur. Ça me rappel un
des hadiths du prophète qui disait : si je pouvais enjoindre à une
personne de se prosterner devant une autre personne, je dirais à la
femme de se prosterner devant son mari. Ça montre toute l’importance et
le respect que la femme doit avoir vis-à-vis de ce dernier.
Dans la religion on dit que le paradis de la femme se trouve sous les
pieds de son mari, alors mesdames, Finis les mauvais comportements.
Essayer de trouver un terrain d’entente car nous aussi, on sera
questionné sur nos obligations. Dès fois il suffit juste d’un petit
pardon pour que les choses redeviennent comme avant. Dans un couple,
l’orgueil n’a pas sa place. Cela est aussi valable pour les hommes.
Je sais que je ne suis pas bien placée pour donner toute ces leçons, et
même si je lui ai mentie concernant le motif de ma sortie, je l’ai fait
pour le bien de ma fille et les intentions n’en sont que sincère.
Je me suis donc rendue chez Abdel après avoir tout fait pour le joindre
en vain. Je sais que même s’il voyait mes appels, il ne décrochera pas
tout simplement parce que c’est lui qu’on appel « monsieur je m’en fou
de tous le monde »
Donc je suis arrivé chez lui en fin d’après midi et comme je m’en doutais bien, il était assis devant la télé.
Moi : salam !
Abdel : oui salam !
Moi (m’asseyant) : j’ai tenté de te joindre en vain.
Abdel : je n’avais pas envie de te parler.
Ah oui, je reconnais l’homme hautain avec lequel je sortais.
Moi : pourtant c’était important sinon je n’aurais pas fait le
déplacement. Ma fille est venue me voir ce matin. Donc comme ça, Abdel
voyage demain à la première heure ?
Abdel : écoute Hali, tu es
vraiment la dernière personne que j’ai envie de voir. Si tu pouvais
faire vite et sortir de chez moi, je serais très heureux.
Moi : tu n’es pas obligé d’être si désagréable que ça, tu sais.
Abdel : donc sort !
Je suis bien tentée de rentrer chez moi parce que j’ai horreur qu’on me
manque autant de respect, mais je préfère prendre sur moi et penser au
bien de ma fille.
Moi : quand comptes tu faires, heu.. Je parle de notre accord..
Même pour sortir cette phrase de ma bouche, il m’a fallut un effort surhumain.
Abdel : ce soir !
Moi : pourquoi elle ?
Abdel : pardon ?
Moi : pourquoi choisir la femme de ton fils ?
Abdel : écoutes Halima, si tu dois t’en prendre à une personne, ce
n’est pas à moi. Si tu n’étais pas une pute et menteuse de la première
catégorie, elle n’écoperait pas à ta place. Je ne le ferais pas parce
que j’en aurais envie, crois moi. Je le ferais juste pour te faire du
mal. Pour que tu ressentes tout ce que j’ai ressentis quand tu te jouais
de moi. Pauvre con que j’étais, je pensais que tu m’aimais au lieu que
tu écartais à qui bon le voulait pour quelques liasses de billets.
Il l’a dit avec une telle rage que j’ai juste eu envie de prendre mes
jambes à mon cou. Je m’apprêtais à répondre lorsque les coups sur la
porte on retentit.
Ibrahim est rentré suivit de Fatima. Ils semblent étonner de me voir ici.
Moi : ah, bonjour mes enfants.
Ibrahim : bonjour. Comment allez-vous ?
Moi : je vais bien et toi ?
Ibrahim : ça va Dieu merci.
Abdel (s’adressant à Fatima) : comment vas-tu ma fille ?
Sa fille ? Il ose l’appeler sa fille ? Je n’en crois pas mes oreilles.
Fatima : Al hamdoulilah. On rend grâce à Dieu.
Après s’être installés, Fatima a pris la parole.
Fatima : c’est moi qui en aie eu l’idée. Je voulais demander votre accord pour qu’Ibrahim reste ici.
Ibrahim : c’est Karim qui ira à ma place. Je compte voyager un petit temps avec ma femme.
Fatima : je n’aimerais pas que cela entrave à votre boulot mais je tiens énormément à cela.
De là où je suis, je sais que si Abdel pouvait, ils nous auraient tous
envoyés six pieds sous terre tant il bouillonne de rage. Je suis bien
tentée de rigoler, mais je n’ai pas envie d’éveiller en lui des
soupçons.
Abdel : Ibrahim ne t’as t il pas dit que le boulot passe avant tout ?
Il l’a dit sur un ton tellement sec que la peur se dessine déjà sur le visage de Fatima.
Fatima (bégayant) : heu.. je..
Ibrahim : non parce que elle c’est ma femme et elle passe avant tout.
On est juste venu pour te prévenir. On s’apprête à y aller et on
aimerait des prières.
Abdel (ton dur) : bon vent !
Oh là, je ne m’attendais vraiment pas à ça. Dieu merci, merci mon Dieu.
Moi : que Dieu vous accompagne mes enfants et surtout profitez dis je sur un ton joviale.
Ibrahim : Amine.
Fatima : Amine néné.
Ibrahim : bon on va y aller.
Lorsqu’ils ont pris congé de nous, je me suis saisi de mon sac pour sortir à mon tour.
Abdel (menaçant) : où comptes-tu aller comme ça ? Tu penses que je ne
vois pas ton air satisfait ? Halima, gare à toi si tu te payes ma tête.
Moi (feignant l’indifférente) : mais de quoi parles-tu ?
Abdel : je t’ai déjà prévenue.
Je suis sorti immédiatement après cela. Je suis vraiment fière de ma
fille. Si Abdel penses qu’il ira à ses fins, il a mentit. Je ne
permettrais jamais qu’une chose pareille arrive. Pas de mon vivant en
tout cas.
Fatima
C’est bien la première fois que je
vois mon beau père d’aussi mauvais poil. Depuis que je suis dans cette
maison, il a toujours été gentil avec moi et allait même jusqu’à me
conseiller.
Là j’avais limite l’impression qu’il me disait que
le boulot de mon mari compte plus que moi. Si ce n’étais Ibrahim qui
était venu à mon secours, je ne sais vraiment pas comment j’allais
répondre face à cela.
Cela m’a coûté un gros effort pour
effacer de ma tête cette conversation. Ibrahim a passé son temps à me
dire que ce n’était rien et de ne pas trop prendre cela en compte.
Même si je commence à changer, ça n’enlève en rien ma nature de fille
peureuse et de surcroit très sensible. Il suffit juste qu’un ainé me
cris dessus pour que je me sente hyper mal.
Pourtant Ibrahim ne
voulait pas qu’on lui en parle. Il a dit qu’on pouvait partir comme ça
mais comme moi je tiens à toujours bien faire les choses, je lui ai
rappelé que ce serait vraiment malpoli d’y aller sans le prévenir.
Après une longue conversation, il a finit par accepter à la seule
condition que ce soit moi qui le lui dise comme j’y tenais tant et
franchement si je savais que j’aurais droit à ça, on allait sortir
sagement sans embêter quelqu’un.
Comme je ne sais pas conduire,
c’est Ibrahim qui est au volant. Je me contente juste de lui indiquer
le chemin qu’il doit emprunter et c’est arrivé à destination qu’il
saura.
J’ai parlée d’un hôtel hier n’est ce pas ? Eh bien ce
n’est pas le cas. Je nous ai loué une maison dans un des quartiers les
plus huppés de la Guinée cette fois ci avec l’aide de Boubah.
Lorsque j’ai demandée à Karim, il m’a dit qu’il me mettra en contact
avec lui. Donc quand il m’a appelé, il m’a dit que tout est réglé. J’ai
été obligée de faire un tour vite fait pour regarder et je peux vous
dire que je n’ai jamais rien vu d’aussi beau.
La maison est
super bien équipée. Il ya plus de cinq chambres, piscine, terrasse,
salle de bain énorme, enfin la totale quoi. J’ai dû aussi faire appel à
mon coach Mounas pour qu’elle me donne des directives.
C’est
même elle qui m’a indiquée l’endroit où je devais aller pour acheter
toutes ses cochonneries. J’ai craqué sur une nuisette que je n’ai pas pu
m’empêcher d’acheter.
Comme je l’ai déjà une fois dis ici,
c’est facile d’écouter les conseils mais le plus difficile c’est de les
appliquer. Je veux le meilleur pour mon homme et moi donc je ferais tout
ce qui est en mon pouvoir pour le rendre heureux.
Ibrahim : on en a encore pour longtemps ?
Moi (ton taquin) : ne t’as t on jamais dit que dans la vie il faut
savoir faire preuve de patience ? Le meilleur reste à venir chéri.
Il a pris ma main qu’il a posée sur la bosse de son pantalon.
Ibrahim : tu sens ça, eh bien la patience a atteint son summum.
Moi (rigolant) : je suis innocente cette fois ci vu que je ne t’ai même
pas touché. Alors comment expliques-tu le fait que tu sois entrain de
bander ?
Ibrahim : eh bien madame, c’est simple comme bonjour. Le
mini moi que voici réagit à chaque fois que j’imagine votre corps
recouvert de miel ou de chocolat. Je compte lécher chaque partie de
votre délicieux corps en prenant tout mon temps. Te faire gémir comme
jamais en te faisant voyager dans un pays ou seul le plaisir comptera.
Si je dis que ces mots n’ont pas d’effets sur moi, j’aurais mentie.
Mounas m’avait expliqué comment on devait sucer leurs choses là, et si
je m’y mettais tout de suite ?
Moi : gare-toi quelque part à l’abri des regards stp.
Ibrahim (surpris) : ne me dit pas que c’est ce à quoi je pense.
J’ai passé ma main au niveau de sa ceinture que j’ai retirée. Après
avoir baissé la braguette de son pantalon, j’ai sortie son membre déjà
dure et gonfler que j’ai tenue dans ma main.
Moi : si je m’y prends mal, indique-moi.
Il a retiré le foulard que j’avais sur la tête pour la balancer sur les sièges arrière.
Ibrahim : tu es nettement plus sexy comme ça.
J’ai d’abord commencée par poser le bout de ma langue sur sa verge.
J’ai par la suite laissé glisser ma langue sur le long avant de revenir
jusqu’au bout. Par la suite, j’ai entrepris mettre tout le bout dans ma
bouche en tournoyant ma langue dessus.
Si je n’avais pas promis me surpasser, croyez moi que je serais sortie par la fenêtre.
J’ai commencée par faire des mouvements du haut en bas. Comme il n’a
pas totalement retirée sa culotte, je n’ai pas la possibilité de sucer
ses deux boulles comme Mounas me l’avais dictée.
J’ai alors
continuée mes vas et viens malgré qu’au début je me sentais mal, là ça
commence à aller. J’aurais pu dire que ça ne lui plaisais pas s’il ne
poussait pas ces grognements.
A un moment, je m’y suis mal prise et je l’ai carrément mordu.
Ibrahim : Aïe ! Attention ma belle. Tu peux tout mettre sauf les dents.
J’ai trop honte mais je suis obligée de continuer parce que j’ai envie de lui faire plaisir comme il me fait plaisir.
Moi : pardonne-moi.
Ibrahim : si tu veux vite expulser la purée, attèle toi sur le bout. Le reste ne procure pas autant de plaisir que ça.
Il a passé ses mains dans mes cheveux en baisant ma bouche avec ses vas
et viens. A un moment je commençais vraiment à avoir mal à la mâchoire,
tellement il a une grosse queue. Oh oui ! Mon homme est bien doté par
la nature.
Je caressais en même temps ces deux boulles pour
augmenter son plaisir et au bout d’un moment, il a expulsé comme il le
dit si bien sa purée. Moins un, mon visage devait être inondé de ça.
C’est rentré dans ma bouche malgré moi et le goût salé m’a limite donné
envie de vomir.
Ibrahim : t’as un mouchoir ?
Après l’avoir aidé à se nettoyer, il m’a embrassée longuement.
Ibrahim : je t’aime ma belle.
Il m’aime ? C’est bien la première fois qu’il me le dit depuis tout ce
temps. Moi qui rêvait d’entendre ça, je ne sais même pas quoi répondre
tant mon cœur danse la bamboula.
Moi : je t’aime aussi.
Il a redémarré le moteur et je me contentais juste de lui indiquer le
chemin à prendre jusqu’à ce que je lui demande de garer devant la maison
en question.
Ibrahim : a moins que je ne commence à avoir des
problèmes d’yeux, j’ai comme l’impression que ce n’est pas devant un
hôtel qu’on a garé.
Moi : vous voyez très bien Monsieur Bah. Descendez !
Nous avons sortis nos valises qui ont été soulevés par le gardien. Une fois à l’intérieur, il m’a attiré directement vers lui.
Ibrahim : qui t’as aidé à organiser tout ça ?
Moi : c’est mon petit secret à moi. Tu aimes ?
Ibrahim : si j’aime ?
Il m’a soulevé directement en me demandant où se trouvait la chambre.
Une fois lui avoir indiquée, il m’a allongé dans le lit et a commencer à
m’embrasser.
Cette fois ci j’ai retourné les positions de telles sortes que ce soit moi qui sois sur lui.
Moi : aujourd’hui, c’est moi qui mène la danse…………………….