Chapitre 16: Règlement de compte....

Write by Tunde William

  ** Irène d'Oliveira** 

Il n'y a pas plus pire expérience que celui de voir sa mort venir, de vivre ses derniers moments sur terre sous la torture. Je suis baillottée comme une vulgaire marchandise et j'ai la tête qui me faisait vraiment mal. Je suis dans une cave,celui de mon bourreau. Je me trouve dans la cave de celui qui ne tarderait pas à m'envoyer dans le royaume des morts.....

 *** Flashback *** 

-(Moi) S'il te plaît Salvador. Tu sais que je ne suis pas de cette nature. J'ai un peu de soucis financiers ces derniers jours donc j'aurai encore besoin d'un petit peu de temps pour solder la dette.

-(Lui)[ D'une voix sèche] Je te parle d'une somme de cent mille dollars. Cents milles putain  de balle. Et tu es incapable de me rembourser depuis à peu près deux mois. Si tu n'étais pas l'une de mes fidèles clients je t'aurai déjà fait la peau. [Condescendant] Tu sais aussi bien que moi ,ce qu'on fait de ceux qui nous doivent de l'argent. Je les envoie six pieds sous terre. Je ne rigole pas avec mon argent,ni avec la vie de ceux qui m'en doivent. Je te donne encore deux jours pour que tu puisses me dénicher mon putain de fric. Estime toi heureuse que je te laisse un sursis de quarante huit heures. Passé cet délai, tu regretteras de t'être frottée à moi. J'utiliserai les grands moyens pour récupérer mon fric car les bons comptes font les bons amis. On ne me doit pas de l'argent si on ne veut pas risquer de me le rembourser dans une mare de sang [...]. 

Il s'est levé gentiment de son siège ,a levé son verre en mon honneur et puis s'est faufilé dans les rangs des hommes qui se defoulaient sur la piste de mon cabaret. Il n'avait pas levé son verre en mon honneur, c'était le langage maffieux qui voulait dire :À bon entendeur ??? Salut!!! ou je t'ai à l'oeil...

    Retour au présent.... 

-(Salvador) [ Criant de rage] Te rends-tu compte du temps que tu me fais dépenser inutilement ??? Non seulement tu me fais perdre mon temps,mon argent mais aussi ma crédibilité vis-à-vis de mes autres partenaires. Te souviens-tu contrat que nous avons signé le mois passé??? Tu devrais me trouver un rein et en contrepartie j'oublie la dette,mais tu n'as pas réussi. Tu m'as fait passer pour un fief menteur devant un grand partenaire. Plus de trois cents milles dollars sont partis en fumée car tu ne m'as pas trouvé l'organe promis. Un client c'est de l'argent et l'argent tu me l'as aussi fait perdre. Tu es tombé de mon estime, alors je n'ai pas d'autre choix que de te liquider. Je suis désolé..

-(Un homme)[ Me donnant une claque sonore] Quand boloss le King parle ,on le regarde. On ne baisse pas la tête. 

-(Un autre homme) [ Me donnant un coup dans les côtes] On le soutient du regard car il n'est pas bête pour parler à un idiot qui baisse la tête.

-(Salvador)[ sortant de la cave] Les gars, faites moi  honneur et niquez la.Elle est à vous mais réserver moi le privilège de la buter au Mossad. Huit balles dans le corps et une seule dans la tête. Cette sale fille de pute ne mérite pas de vivre car elle me doit de l'argent ....

Il est sortit et je me suis retrouvée seule ,livrée à mes detraqueurs qui n'allaient sûrement pas le rater.

- Alors salope on dit quoi fit l'un d'eux en me donnant un coup de pied dans le ventre.  La vieille Irène qui a réussi à bâtir un empire de proxénétisme en plein cœur de Manhattan à mes pieds???? Oh mais qu'elle ironie du sort ajouta t'il en me tirant par le col de ma chemise. Il m'a traîné sur le sol pendant que son second était occupé à préparer la corde sur laquelle ils allaient m'accrocher. Ils m'ont accroché,les pieds pendants vers le sol et les mains,pendus en haut par le fil métallique qui m'écorchait la peau des poignets.

- Oh quelle honneur !!!! Dit le second en me donnant un coup de cravache dans les omoplates.

-(Moi)[ Hurlant de douleur sous le ruban adhésif collé sur ma bouche] .....

- Toutes nos excuses,sa Majesté la reine de la prostitution. Mes nos méthodes restent les meilleures , ça je vous l'assure dit le premier bourreau en m'assenant un coup de batte dans le dos.

J'ai failli m'evanouir quand j'ai vu d'où ils se procuraient les instruments de tortures. J'avais très peur et surtout faim et soif. J'avais aussi une forte envie de m'uriner et de me chier dessus. Ils ont pris mon corps comme un vulgaire ballon de foot et chacun tapait dedans comme il le voulait. La douleur ??? Je la ressentais jusqu'au tréfonds de mon âme mais c'était impossible de l'exterioriser par les cris. Je soupirai et me tortillais de douleur. Les larmes coulaient abondamment de mes yeux et celà renforçait la rage de mes tortionnaires car pour eux, être à la tête d'un réseau aussi puissant que le mien n'est pas donner à n'importe qu'elle mauviette. 

- Ne l'abimons pas trop au risque de contrarier boloss. Il viendra achever le travail lui même. 

Pour m'abimer,ils venaient de le faire. Tout mes efforts intempestifs dans les salles de gyms,mes heures interminables de yogas et de karmasautras,mes régimes alimentaires particuliers venaient d'être piétiner. Ils ont abaissé la chaîne qui reliait le fil et je suis tombée lourdement sur le sol. Ils sont sortis et ont fermé la porte derrière eux. Je suis complètement amorchée et celà c'est de la faute de Vicky. Si elle n'avait pas fait enlever Jean Claude ,je ne serai sûrement pas ici à recevoir des énormes patates . J'aurai encore la chance de serrer mon fils dans mes bras . Si jamais je sors vivante d'ici ,je jure sur ce qui m'est de plus cher qu'elle me paiera. Et ce sera aux pris le plus fort de sa vie. Je suis prête à accepter n'importe quel nouveau marché pour sortir d'ici afin de faire mordre la poussière à cette fouineuse de Vicky. Oui n'importe lequel même si celà coûterait la vie à mon fils, Vicky goûtera aux fruits rouges de ma colère légitime.....

  **Marie Jeanne HOUNTON** 

J'étais tranquillement couchée sur mon lit d'hôpital quand des hommes portant des blouses blanches sont rentrés dans la pièce. Je savais que ce n'était pas des médecins puisqu'ils sentaient une autre odeur mais je ne pouvais rien faire. J'avais eu une journée éprouvante à cause de ma rééducation et pour celà Diego m'avait injecté un sédatif. Je ne pouvais donc pas m'enfuir car je ne sais pas encore bien marcher . J'ai voulu faire retentir la cloche mais mes membres étaient supérieurs étaient un peu ankylosés. Ils ont voulu me faire injecter le poison mais ils se sont ravisés à la dernière minute. Ils avaient encore besoin de moi selon les consignes donnés. Ils m'ont baillotté et m'ont jeté dans un van. Nous sommes allés passés deux jours sur la plage à l'abri des regards dans une sorte de cabane Discret. Ils parlaient tout le temps avec une personne à l'extérieur qui les informait. C'est grâce à cette personne qu'ils ont du le jour où mon fils allait sorti de prison. C'était Vicky ,qui était derrière tout ça. Irène n'oserait jamais garder Jean Claude vivant à cause de son secret. Pas contre , Vicky oui. Elle ,elle ne veut que ma tête car j'étais une menace pour le couple qu'elle forme avec mon Amour,mon Claude Marcel. Elle a mis la pression à cet dernier pour qu'il puisse lui, à son tour faire la pression sur les avocats pour qu'on puisse hâter la sortie de mon fils. C'était elle ,l'investigatrice de cet enlèvement. Quand ils sont allés prendre Jean Claude,mon cœur s'est fracturé dans ma poitrine. Encore une fois je n'ai pas su le protéger .Il avait maigris et avait la peau collée aux ossements. Mon fils,jadis bien bâti était à présent une loque humaine traînant sur lui des cicatrices encore visibles. Quand ils ont voulu le violer ,je me suis opposée et j'ai pris sa place. C'était ma manière à moi de le protéger. Je n'allais jamais accepté qu'ils fassent du mal à mon fils devant mes yeux[...]. Mes bourreaux étaient entraîn de faire des plans sur comment ils allaient me prendre. Ils proposaient même de passer dix minutes chacun . J'aurai deux verges en moi simultanément. Un dans mon intimité et  le deuxième dans ma boîte à caca. Le troisième ,je l'aurai dans la bouche et ce serait lui qui filmerait la scène. Mais avant ça,j'ai déconnecté mon esprit de mon corps et je me suis permis de rêver de bonnes choses concernant l'avenir de mon fils quand je ne serai plus de ce monde.

  ** Jean Claude Hounton**

-( Maman) Sois fort et soit courageux. S'il te plaît , détourne le regard et ne nous regarde pas. 

-(Moi) Non maman,ne fait pas ça.

Le premier mit un doigt en elle et ma mère poussa un cri de douleur.

- Putain , elle est serrée. Parfaite comme je les aimes dit il en avançant sa chose vers l'orifice de ma mère pendant que le deuxième tenait fortement les mains de maman. Le troisième quant à lui me forçait à regarder la scène en tenant fermement ma tête pressée sur le sol . J'ai fermé les yeux très fort de peur de voir ma mère se fait violer quand une voix se fait retentir dans la pièce.

- Haut les mains. Messieurs.

Merci seigneur pour ce miracle dis je en ouvrant les yeux pour en rencontrer ceux de ma mère révulsés. Elle convulsait . 

- Maman dis je quand j'entendus un coup de feu.






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