Chapitre 17 : Le jeu change de règles !

Write by Les stories d'une K-mer

**Nolan**

J’ai beaucoup trainé au lit, (baillant) C’est samedi et je ne bosse pas. Depuis ma découverte sur Kenne la semaine dernière je ne dors plus. Déjà je n’ai rien reçu comme chèque ou virement bancaire de sa part, hum ! Elle me prend vraiment pour un con celle-là. (Sortant du lit) Je suis allé vider ma vessie, brosser les dents, enfiler un t-shirt avant de regagner le salon où le paternel était confortablement assis entre de lire un de ses bouquin. La cuisine communique un peu avec le salon, je veux dire il n’y a que la table à manger qui fait office de séparateur. Je me suis dirigé droit devant le frigo

Moi (murmurant) : Il n’y a plus de lait ?

Maman (sortant de nulle part) : Fezeu ?

Moi (sursautant) :

Maman (énervé) : Tu as quel âge ? heum ? Tu as quel âge Fezeu

Papa (depuis le salon) : Depuis le temps qu’on se connait tu ne te souviens plus de mon âge ?

Maman (tordant la bouche) : TU trouves le temps de blaguer (criant) parles à ton fils, parles lui, il a quel âge ?

Papa :

Maman (agitant les mains) : Tu as quel âge Nolan ? heum, Tu as quel âge ? (Cherchant je ne sais quoi avec ses yeux)

Moi (du bout des lèvres) : 28 ans

Maman : 20 combien ? Et tu fais quoi chez moi ? hein ? Tu fais quoi dans ma maison.

Moi : est ce que

Maman (atterrissant devant moi) : Est-ce que quoi ?(criant) Est-ce que quoi ? Depuis un bon moment on te voit sortir le matin et rentrer le soir claqué, où tu fais quoi oh, je ne sais pas. (Pliant les doigt), un mois, deux mois, trois mois et tu ne ramènes toujours rien ? Même les prostituées ne mettent pas autant de temps avant de se trouver un premier client. Sois-tu nous mens sur ta soi-disant occupation, soit (pause) Soit rien. Je refuse de croire que tu as de l’argent et que tu vives encore dans cette maison. 28 ans fezeu ? 28 ?. Même dresser ton lit le matin c’est un problème ? Tu t’es réveillé ce matin qu’est ce que tu as fait hein ? DIS mois (bousculant ma tête) Dis mois ce que tu as fait. A part vider mon frigo tu sais faire quoi d’autre ? Tu as passé l’aspirateur ? Non ? descendu les poubelles ? non . Faire la vaisselles ? Non. Mais c’est mon frigo que tu viens ouvrir au point de faire la remarque de (tordant la bouche) Il n’y a plus de lait, il n’y a plus de lait. (criant) Tu as déposé un lait làbas qui t’attendait ? Hein ? Tu as déposé un lait làbas ?

Moi (la tête bassée) :

Maman (poursuivant) : Il est temps de sortir de chez moi. Trop c’est trop. 28 ans, majeur, mais plus bébé qu’un nourrisson. Les aides sociales même pour toi ne sont plus disponibles, tu es un parasite tu m’entends, un parasite, qui a lieu de se faire tout petit pour être oublier, préfère tout faire pour être remarqué. (Inspirant profondément) Tu prends tes effets et tu fou le camp de ma maison Nolan.

Moi (ne bougeant pas)

Maman (criant) : Nolan prend tes choses et libère ma maison. TU reviendras quand tu sauras c’est quoi payer un loyer, et s’occuper d’une maison. A ton âge tes amis se battent avec les studios, toi tu squattes encore la chambre de tes petits frères ? Tu fou le camp j’ai dit

Moi : Je n’ai nulle part où aller, maman je vais aller où ?

Maman (hors d’elle) : Je m’en fou Fezeu, je m’en fou d’accord ? Tu dors souvent où quand tu découches ? (Ironique) Eh bien tu n’as qu’à y retourner. Même si c’est dans la rue, je m’en balance. Je te mettrai une pièce dans le verre si je te croise, mais en attendant tu fou le camp de ma maison

Moi : Maman donne moi encore jusqu’à la fin ce mois, j’attends un argent là

Papa (nous rejoignant) : Tes argents là arrivent seulement en esprits ? Depuis le temps que tu les attends ? (Plus calmement) tu prends qui pour tes marionnettes ?

Maman (ironique) : Si ça vient avec Jésus ce serait bien, mais tu vas aller attendre ça dehors

Moi : Mamm

Maman (criant de plus belle) : Maman, ta maman ? L’école tu as refusé de faire, formation tu refuses, c’est pour que je te nourrisse jusqu’à ma mort ?  Tu n’es pas mon seul enfant Fezeu, et si toi je n’ai pas pu te canaliser, je vais récupérer mes autres enfants. Il n’est pas question que tes ondes négatives affectent mes enfants tu me comprends ? Je ne vais pas mourir à cause de toi, non, non. Tu vas partir de chez moi, mon mari et moi allons nous occuper de nos enfants en préparant notre retraite. (Ironique) On va t’attendre ne t’inquiète pas, attendre que tu deviennes un homme et que tu assumes ton âge (me bousculant) mais en attendant libère ma maison.

Elle m’a poussé ainsi, sans effort de ma part jusqu’au pied de la porte.

Maman (ouvrant la porte) : Tes affaires tu les récupères en bas, ça va passer par la fenêtre.

Clap ! Elle a claqué la porte. Je l’ai entendu murmurer à son mari, puis renifler comme si elle pleurait (levant les épaules). Ce n’est pas la première fois qu’elle me mets dehors. Demain sa tension aura baissé et je reviendrais dormir, et ainsi de suite jusqu’à ce que Solange de paye et que je foute le camp. Ce n’est pas les 400euro à peine que j’ai chaque moi que je peux me prendre un appartement, en plus où ? (Secouant la tête) elle a l’ai d’oublier que nous sommes à Paris, région peut être, mais ça reste Paris.

Je suis restée plus d’une heure, devant la porte, assis à même le sol. (Soufflant). J’ai fini par me lever de là en allant jeté un coup d’œil au courrier prendre ce qu’il y avait. En faisant le tour de l’immeuble pour aller au petit jardin, j’ai trouvé mes effets couchés sur le sol. (Devenant fou) Non, non, NON ! elle n’a pas fait ça, elle n’a pas fait ça (criant) Elle n’a pas fait ça !

Maman (montrant sa tête par la fenêtre) : Si je l’ai fait, je l’ai bien fait même, tu apprendras que ma patience a des limites.

Je l’ai fixé vert de colère, j’avais envie de tout lui rebalancer sur le visage. (Serrant la mâchoire) Elle a sa chance qu’elle est en hauteur, j’allais oublier l’instant d’un moment que c’est ma mère.

Je me suis courbé et ai ramassé un par un, mes vêtements, en les rangeant dans le sac qu’elle a bien voulu balancé par la fenêtre. J’ai regardé le courrier et il y avait un en mon nom, je l’ai rangé, je reste bah (levant les épaules) j’ai balancé de la même façon que les habits ont été balancé. Je suis allé prendre le metro en me rendant chez Rony.

Rony (devant la porte) : ça va où ça ?

Moi (regard de chien battu) : Gar pardon, je n’ai nulle part où aller. Juste quelque jour, le temps qu’un argent là arrive

Rony : C’est toujours comme ça vous les camerounais, un argent là, un argent là, qu’on ne voit jamais. C’est comme ça que Kakachi a fait, il a passé deux mois ici, alors qu’au début c’était pour trois jours.

Moi (abattu) : Gar, si tu veux tu cut sur ma paie, dès que mon argent là arrive

Rony (me faisant passer) : La semaine pro ma coco (ma copine) va venir, donc si d’ici là tu n’as pas de solution tu vas seulement aller te chercher ailleurs, (fermant) J’ai dit LA SEMAINE PRO ! on se connait.

Moi(posant le sac) : Merci type, je te revaudrais ça

Il ne m’a plus calculé et est allé se mettre sur son lit. Je me suis souvenu d’un coup de Mya. J’ai essayé d’appeler, mais en vain, ligne coupée. (Soufflant). J’ai posé mon téléphone en allant chercher un couteau dans le coin cuisine pour l’ouvir.

Ronny (depuis le lit) : Il n’ya rien à manger ici

J’ai marqué une pause, (secouant la tête), je suis ci djotteur que ça ? J’ai pris le couteau, ouvert le courrier, en tombant nez à nez sur le faire part et invitation pour le mariage de Solange (m’énervant). Elle a eu le temps de m’envoyer ça et pas mon argent ?  J’ai filé vers mon sac récupérer mon portefeuille, enfilé un pantalon, un t-shirt convenable, me parfumer un peu, avant de me rendre à l’adresse marquée sur l’enveloppe.

**Solange**

J’ai fait exprès d’envoyer l’invitation à Nolan avec l’adresse de la maison. Je le connais trop. N’ayant pas envoyé son argent avec, il va être furieux puis se pointé ici. Là je lui donnerais son argent, du moins une partie. Mais au moins il saurait où je vis si jamais quelque chose m’arrive. Gilles et Aymar ont été clair, aucun membre de ma famille ne doit savoir où je vis, AUCUN. Du moins pas cette maison.

Pour les présentations, bien que difficile, j’ai pu convaincre mes parents. Gilles et moi sommes allé les voir, puis Gilles moi, Aymar (en tant que son couin et partenaire d’affaire), et un des leur (en tant que son parent). C’est d’ailleurs eux qui ont pris la liste de la « dote », parce ça je n’appelle pas ça dote. Une liste de trois choses : pagnes, argent et Iphone X (demandé par mon petit frère). (Soufflant) Je sais que mes parents m’en veulent pour le genre de vie que j’ai choisi, mais les rendre actifs dans ce mariage c’est une manière pour moi de demander, UNE FOIS DE Plus les excuses.  

Maman est ensuite venue me rendre visite, un appartement modeste au deuxième arrondissement, aménagé pour l’occasion. Elle est venue, une fois, puis avec ma sœur, puis son mari. Toutes ces fois-là, Gilles était là, et Aymar, une fois seulement. Le jeu est tellement bien joué que moi-même j’y croirais. Maman y croit, du moins si je m’en tiens à ses dire. (Soufflant). C’est dure de ne pas pouvoir hurler au secours, c’est dur, mais si c’est pour revoir ce sourire sur leur visage, et leur donner, surtout à mes cadets ce que je n’ai pas pu avoir, je vais aller jusqu’au bout de mon calvaire, je l’ai choisi, je l’assume.

Revenons en à Nolan. Je lui ai envoyé le courrier avec l’adresse de l’appartement du 16ième. C’est celui où je suis en permanence. Normalement il doit l’avoir reçu hier vendredi, ou aujourd’hui (ah levant les épaules) en tout cas je l’attends pour ce week-end.

[Dring Dring]

J’étais paisiblement assise dans le fauteuil entrain se zappé la télé. Aymar et son cheri prenaient le petit déjeuné en amoureux. Je n’ai pas bougé d’un poil. On ne reçoit presque jamais de visite, donc si ça sonne, en plsu un week-end, ça ne peut être que Nolan. (Sourire)

Aymar (de la salle à manger) : Solange tu attends de la visite

Moi (m’empêchant de rire) : Tsuiip on en a en prison

Aymar (à Gilles) : bébé ?

Gilles : je n’ai invité personne à ma connaissance !

J’ai entendu des pas dans la maison

Aymar : Laisse je vais le faire

[Silence]

Aymar (depuis l’interphone) : Solange c’est pour toi, un certain Nolan

Gilles (s’énervant) : Comment il connait ici ? (venant vers moi) Je t’ai pourtant dis que

Moi (l’interrompant) : Que quoi Gilles ? Tu m’as vu sortir d’ici ? Tu m’as vu lui parler depuis ? Que quoi ? (le bousculant en passant)

Gilles (m’attrapant par le bras) : Tu te calme Solange, tu te calme ! Dépêche-toi de le virer d’ici.

Moi (m’en allant) : Comme si je savais ce qu’il voulait. Tsuuipp

Au lieu d’aller répondre à l’interphone, j’ai plutôt donner l’order au gardien de le faire entre, jusque devant la porte, que j’ai ouvert bien grandement en me plaçant devant

Moi (feignant d’être surprise) : Tu veux quoi Fezeu

Nolan (faisant e bruit) : Kenne don tu vis ? Mon argent est où ? (Faisant le boucan) Mon argent est où Solange (essayant d’entrer)

Moi (le retenant) : baisse d’un ton tu veux ? Tu as vu dans que genre te quartiers tu es ? Ici on ne crie pas n’importe comment. Ici (montant des mains) C’est le luxe Nolan, donc tes comportements rétrogrades là, tu laisse ça dans tes maisons désuètes. D’accord ? Tu baisses d’un ton et tu articules, ok ?

Nolan (Noir de colère) : Mon argent Solange (durciçant le ton) MES 5000 mil euros

Moi (le toisant) :

Nolan : j’ai dit mon argent, ce sont les seuls mots que je peux articuler pour le moment

Moi (levant les yeux) :

Giles (de l’intérieur) : Solange !

Nolan m’a bousculé et s’est précipité rejoindre Gilles et Aymar au salon. Je me suis vraiment retenue pour ne pas rire. Le salaud quoi, pfff. Il pense vraiment être fou, il y a plus fou que toi. Tsuip. J’ai trainé le pas avant de les rejoindre au salon, feignant d’être en colère

Moi (fausse colère) : Déjà tu viens chez les gens sans qu’on ne t’invite, ensuite tu te permets d’entrer ? Tu t’es cru où ? C’est la cour du roi Péto ici ? Tu sors de ma maison Nolan (criant) Tu sors de (appuyant sur les mots) MA MAISON j’ai dit, espèce de crapule

Aymar (se levant) : Du calme Solange ? Qu’est ce qu’il y a ? (Regardant gilles) tu calmes ta femme s’il te plait ? (à Nolan, de manière très calme) Qu’est ce qu’il y a monsieur

Nolan (remonté) : Il y a que cette Catin me doit de l’argent qu’elle n’a pas remboursé depuis bientôt 6mois. Et j’apprends qu’elle se marie ? Elle ose me faire parvenir le billet de mariage sans mon argent ? (Criant) Tu croyais te foutre de moi n’est-ce pas ?

Moi (Bondissant sur lui) : Catin toi-même.

Gilles (m’attrapant) : Tu te calme Solange

Moi (me débattant) : Tu oses te pointer CHEZ MOI, devant MON MARI et MON BEAU FRERE, me traiter de catin ? Catin toi-même incapable. Tu sors de CHEZ MOI j’ai dit

Gilles (me saisissant fermement) : Tu te calme Solange, Tu te clame j’ai dit (ce que je fis). (Souriant à Nolan) Elle vous doit combien Monsieur ?

Nolan (esquissant un sourire) : 8 mil euro monsieur

Moi : Quoi. Depuis quand c’est passé de 5 à 8

Gilles (me secouant) : Je t’ai demandé de te calmer Solange !

Moi (me dégageant) : Lâches moi ! (Ce qu’il fit)

Gilles (me regardant) : Ma femme vous ferra un chèque, de 8mil euro (s’approchant de moi) Chérie tu va lui faire un chèque de 8 mil euro (dans le creux de mon oreille) Dépêche-toi de lui donner ce qu’il veut mais qu’il fiche le camp assez rapidement (esquissant un sourire).

Je suis allé récupérer le chéquier, sur lequel j’ai écris 8mil euro avec beaucoup de poids dans le cœur. Le salaud se permet de m’escroquer. Tsuiip. En revenant j’ai surpris le regard baladeur de D’Aymar sur Nolan. J’ai dû repenser à l’argent que j’étais sur le point de dépenser pour garder la mine fermée. Si non le rire que j’allais sortir non ?

Moi (hautaine) : Tiens ça ! (Ce qu’il fait) Et ne remets plus jamais les pieds ici Espèce de

Gilles (énervée) : ça suffit Solange ! (À Aymar) Tu raccompagne le monsieur s’il te plait ?

Aymar (à Nolan) : Après vous Monsieur !

Ils sont sorti de la pièce, Gilles m’a fait tout un sermon sur le fait que personne n’avait le droit de connaitre la maison. Je lui ai juré par tous les dieux que ce n’est pas moi qui ai envoyé l’invitation avec l’adresse de l’appartement. J’ai même dû forcée des larmes, (rire), je sais qu’il a un faible pour moi, et que ça l’affecte (rire).

[Pendant ce temps]

** Aymar**

Je l’ai laissé passer devant, le temps pour moi d’admirer son bâti (passant la langue sur les lèvres) beau popotin, bras musclé, hum ! Nous sommes allés jusqu’au portail.

Moi (lui tendant la main) : Rappeler moi votre prénom s’il vous plait ?

Lui (la saisissant avec fermeté) : Nolan, Nolan Fezeu

Moi (la secouant) : Aymar, Aymar Belinga (souriant) Le beau frère de Solange, et (appuyant sur les mots) ASSOCIE de son mari

Nolan : ahn ! (Sortant) enchanté

Moi (large sourire) : Pareillement.

Je l’ai regardé partir, ou devrais-je dire je l’ai admiré, jusqu’à ce qu’il disparaisse de mon champ de vision. J’ai retrouvé les autres au salon, dans une tension nulle autre pareille.

Moi (soupirant d’aise en prenant place) :

Gilles (me regardant) : Tu en as mis du temps dit donc

Moi (m’ajustant) : Je le veux, lui

Eux :

Moi : Quoi ?

Solange (plié de rire) : Il est bien trop hétéro pour toi

Moi (la dévisageant) : Et toi bien trop catin pour Gilles (reportant mon attention su Gilles) Je le veux

Gilles : Non !

Moi (D’un ton sec): Dans ce cas tue le, Solange avec. Il connait ici, autant mieux que ça continue, ou alors il meurt, et Solange avec.

Solange (se levant) : Tu me mets en dehors de vous histoire de pédes !

Moi (me mettant à sa hauteur) : Eh ben sache que ta vie est entre les mains de pédés, (la faisant assoir) à qui tu dois du respect (fixant Gilles) Tu as quand même gardé cette dévergondée malgré mon opposition, tu lui as fait signer les contrat (rire nerveux) et tu vas même l’épouser. Elle a changé les règles, à sa guise et toi, (appuyant sur les mots) TU l’as laissé faire, alors n’oses même pas me dire que je n’ai pas le droit MOI aussi d’imposer mes règles. Je suis un pédé qui ne s’assume pas comme toi. Et ce Nolan je le veux. La donne change Gilles, tu b*ises ailleurs je fais pareil (m’approchant de lui) et le jour où on se retrouve on se remémore nos bons moments, (durcissant le ton) c’est ça la nouvelle règle !

Le bonheur à tout pr...