Chapitre 19

Write by Hübsch

Ah les femmes,ces êtres que le seigneur a doté de toutes les merveilles pour nous plaire et de toutes les qualités pour nous faire fuir. La femme est un sujet à elle toute seule.On sait jamais comment les satisfaire. Je semble en vouloir à toutes les femmes du monde entier mais en réalité il n'y a qu'une seule qui me rende Si amer .je préfère ne pas mentionner son nom .Elle a été bien clair et on dit souvent que les désirs d'une femme sont des ordres. Mais pourquoi je n'arrête pas de penser à elle. Je ne sais pas combien de fois j'ai failli l'appeler pour pleurer comme un gamin. Ne lui ai je pas assez montré à Bahamas que je tenais à elle ? Pourquoi ne peux t'elle pas me donner le bénéfice du doute ? Elle est si méfiante et si catégorique. Je suis méconnaissable. L'alcool ayant été mon seul compagnon. Je me suis même laisser pousser une barbe. Sérieusement Ari il faut que tu te reprennes.Tu es dans un sale état. Il faut que tu lui prouve que tu peux vivre sans elle. Tu l'as déjà fait. Soudain une idée de génie me traversa l'esprit :la meilleure façon d'oublier une femme c'est de la remplacer par une autre. Pourquoi n'y avait je pas songé avant. Il faut que je me trouve une copine pour m'aider à l'oublier et pourquoi pas une ancienne conquête.  Julie bien sûr. Cette fois ce serait sans attache et juste pour avoir du plaisir. Qui d'autre pourrait me faire oublier Miranda que Julie. Oui je sais qu'elle n'est pas un ange mais c'est juste pour passer du bon temps et rien de plus. Ça ne devait faire de mal à personne et si c'était le cas je n'aurais qu'à trouver une autre et ça c'est vraiment dans mes cordes. En plus je compte être franche avec elle. Je passe à la douche, me rase soigneusement, met du parfum et sort de cette chambre qui risquait de m'étouffer si j'y restais encore une minute de plus  .je rentre dans cet bar chic et stylé de la place que seuls un nombre de personnes fréquentent. J'envoie un texto vite  fait à Julie lui disant directement ce que j'attends d'elle.je ne tournerai pas autour du pot et je veux à tout prix éviter les malentendus. je préfère qu'elle le sache .je m'assois au comptoir du bar et ingurgite des boissons l'une après les autres, whisky, tequila, rhum sans oublier les cocktails exotiques de tout genre. Je pensais qu'elle n'allait pas venir. Mais j'avais cru comprendre la dernière fois qu'on s'étaient vu qu'elle attendrait mon appel.j'etais à deux doigts de rentrer chez moi quand elle fit son entrée vêtu d'un manteau rouge. Elle savait comment attirer l'attention. Elle arriva à mon niveau et commanda un mojito. L'alcool nous aidera sûrement. 

_je croyais que tu ne viendrais pas. 

_j'ai failli ne pas venir. Un plan cul c'est pas vraiment mon truc. 

_Et qu'est-ce qui t'a fait changer d'avis ? 

_Tu m'a manqué. Elle se leva, me glissa quelque chose dans la main et ouvrit son manteau .Elle était presque nue en dessous. Elle ne portait que des  sous-vêtements de dentelle assortie à son manteau. Elle s'abaissa et me glissa à l'oreille :j'ai hâte que tu me les enlève et partit. Comment peut on refuser une invitation si tentante. J'arrive pas à croire qu'elle s'est promené en ville comme ça. Julie aimait le danger et avait de l'audace c'est ce qui la diffrrenciait de Miranda. Ce qu'elle m'avait glissé dans la main, c'était la carte magnétique d'une chambre dans l'établissement. Chambre 208. Je ne me fis pas prier. J'engloutis mon dernier verre de whisky et je monta la rejoindre.je n'eut pas trop de mal à trouver la chambre 

C'était au bout du couloir à l'abri des regards indiscrets. J'ouvre la porte et elle était allongée sur le lit. C'était une parfaite combinaison de couleur. Du rouge sur le blanc. J'ai hâte d'envoyer ces dessous s'envoler à travers la chambre. Et ses seins suppliaient qu'on les caresse. J'avais de la rage à évacuer et le sexe allait être une bonne thérapie. J'étais habillé léger alors je me suis d'abord débarassé de mes chaussures et de mon tricot. Elle me regardait depuis le lit et on pouvait voir qu'elle était impatiente. Je m'approchai et lui enfonça deux doigts dans son antre . ce qui lui vola un gémissement. Elle se cambrait ,gémissais et en demandait encore plus.je m'y prenait alors avec deux, trois doigts à la fois. Je me débarrasse du reste de mes vêtements et alla m'attaquer à ses tétons. Je degraffai son soutien gorge d'un geste brusque et l'envoya par dessus le lit.Ses seins n'étaient pas aussi parfait que ceux de Miranda mais ils me suppliaient et j'aimais ça. Je léchais, suçait, aspirait et caressait jusqu'à ce qu'elle ne halète. Elle commença par me lécher le doigt et à le suçoter comme une fellation. Cela m'exitait encore plus et vu l'expression sur son visage c'était l'effet escompté. Elle ne m'aura pas si facilement.C'est une coquine cette Julie. Je redescendit alors au niveau de sa chatte que je me mis  à lécher avec minutie. Je m'attelais à ma tâche, elle n'en pouvais plus, elle criait mon nom et me suppliait de la pénétrer. Je la fis taire par un baiser et accentua ma caresse ,elle eût ainsi un premier orgasme. Elle se leva et attrapa mon pénis de toutes ses mains. Elle entreprit d'abord de me caresser avec sa main puis le mis dans la bouche. Avec un mouvement de va et vient, elle suça, elle lécha et ça faisait du bien. Je repris le dessus. C'était le moment de passer au plat de résistance. Julie voulait que je la prenne dans une position que je ne connaissais pas. Elle était positionné au sol comme si elle voulait faire des acrobaties et avait le cul en air. Je me positionne alors derrière elle en position debout et j'enfilai un préservatif. Je la pénétra de toutes mes forces. Elle ne demandais que ça .je lui empoigna les fesses et les lui tapota de temps à autre. Elle criait mon nom "ouais Ari, plus fort ! ".je ne me fis pas prier. Je n'étais pas le genre de personne à aimer la violence mais j'eus un coup de pouce. Il me suffisait de penser à un autre gars entrain de toucher le corps de Miranda, entrain de lui faire des choses comme ceux que je veux être le seul à lui faire avec un sourire narquois sur le visage. Et elle entrain de jouir et de crier le nom d'un autre que moi. Je baisit Julie avec toute la rage que j'avais en moi et elle a adoré .Après deux autres rounds elle s'était endormie et je m'eclipsa de la chambre tel un voleur pour rentrer chez moi .Arrivé chez moi tout perplexe je me sers un autre verre de whisky et me mis à repenser à cette soirée. J'ai appelé Julie pour pouvoir m'aider à oublier Miranda mais toute la soirée je n'ai fait que les comparer dans ma tête .Julie réveillait juste en moi les désirs primates de l'homme que j'étais, elle ne me faisait pas de l'effet. Miranda c'est tout le contraire, même la façon dont elle crie mon nom me fait sauter de joie. J'aurais pu passer la nuit là bas mais j'ai réalisé que Julie n'était pas Miranda et la seule que je veux me réveiller le matin et voir dans mon lit c'était Miranda. Je fondis en larmes. J'ai fait une grosse bourde. Je ne pourrais plus  vivre sans Miranda et aucune femme ne pourrais la remplacer dans ma vie.je fais quoi alors de cette histoire de viol ? Je suis perdu. Que vais-je faire maintenant ? Elle ne veut plus me voirJ'appelle alors la seule personne à qui je m'en remet dans ces situations................. 


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