Chapitre 19 : Se retrouver

Write by dude

      La fête fut elle mes parents étaient fières et moi je n’en revenais toujours pas. Je n’en revenais pas je vous avoue à un moment j’ai cru qu’il se défilerait  mais il était bien là, il était venu me chercher chez devant tous mes parents.  Je lisais la surprise totale sur le visage de mes cousines qui ne se doutaient pas une seule seconde que je pouvais avoir un fiancé aussi beau. Nous sommes rentrés à notre appartement c’était vraiment un nouveau départ en tout et pour tout pour moi. Je n’étais pas habituée à tant d’amour j’avais oublié ce que c’était de se sentir libre à l’intérieur, plus de douleur, plus de peine voilée, plus de peur et j’en passer c’était vraiment agréable. Bien évidement ce soir là en rentrant nous fîmes l’amour avec passion, dévotion, je me sentais retrouver ma place. Il fit de moi sa femme, j’étais sienne et je ne voulais pour rien au monde être ailleurs. Je me sentais guérir de l’intérieur, je me sentais aimer et je ressentais qu’il m’avait cherché pendant un moment.   

      Dès notre arrivée chez nous, il se mit à m’embrasser c’était fougueux, torride, il me prit dans ses bras en direction de la chambre puis me déposa doucement sur le lit. Lentement il ouvrit la fermeture éclaire de ma robe libérant ainsi ma  poitrine partiellement puis, il dégrafa mon soutien gorge qui se retrouva assez vite au sol. Mes seins étaient maintenant à sa merci se mettant à genoux en face de moi, il happa un sein en caressant l’autre je sentis mes tétons se durcir encor plus. Il les titillait avec sa langue chaude en les mordillant légèrement  ce qui avait le don de me faire pousser des petit cris cela avait le doit de l’exciter encore plus. Je brulais de désir chaque caresse chaque baiser chaque suçon chaque soupir amplifiaient le désir qui grandissait entre nous. La chaleur qui envieillissait mon bas ventre prenait de place à grande vitesse. Il me caressait et je le lui rendais assez bien. Je pris son membre entre mes mains à travers son pentalon, je le sentais durcir de plus belle et lui, me prodiguait des caresse intimes avec ses doigts ce qui me faisais mouiller abondamment et pousser des gémissements, nous étions affamés l’un de l’autre.

-          «  Je vais te faire mienne, mais…. A une seule condition… » me dit-il en me  regardant avec passion.

 

-          « Desch… Tu le sais que je veux que tu me fasses tienne, mais je ne dirai que si tu me dis d’abord que tu me sentir … » répondis-je avec un sourire provocateur

 

-          « Madame c’était mon idée à la base, et je peux continuer cette douce torture jusqu’a ce que tu cède.» dit-il en rendant la pénétration de ses doigts plus vite. Je m’étais  alors mise à remuer des reins en poussant des petits gémissements étouffés par ma main. Il était content de lui à voir le souriez qu’il  affichait dans le coin.

 

-          «  Tu vois, j’aime te voir dans cet état et je peux tenir toute la soirée vu collent tu m’allumais à Port-gentil tu ne pensais tout de même pas que je n’allais pas me venger »

 

-          « hmmm… Cheri on ne fait pas ca à l’autre…hmmm »

 

-          « Alors dis la phrase magique »

 

-          « Non… » répondis-je en me rapidement de son étreinte il fut surpris un court instant. Je m’étais mise à 4 pates en allant dans sa direction avec un regard malicieux il s’assit sur le coté du lit. Arrivée devant lui, je lui retirais lentement son pantalon, puis me mis à passer ma bouche chaude sur son membre à travers son boxeur, à chaque baiser il je pouvais sentir sa tension monter.

 

-          « Madame Binga il ne faut pas me tuer pardon je ne t’ai pas encore touché »

 

-          « Tu ne mourras pas mon amour et si l’envie t’en venait je saurais quoi faire… crois moi. » En retirant son boxeur je lui parlais avec sensualité.

 

-          « Hmm Duda tu va me rendre fou, cet regard là ne présage rien de bon pour moi. » je le regardais fixement dans les yeux en tenant sa queue toute nu entre mes mains et là ….

Je m’étais mise à  la couvrir de baiser tout en gémissant coquinement de lents baiser pour le faire languir. Et bien évidement ca fonctionnait il était pris d’impatience mais en même temps le contacte de mes lèvres avec sa queue l’électrisait.

 

-          « Chérie c’est bon tu as gagné… hmmmmm »

 

-          « Non pas encore… » Je savais qu’il ne tenait plus c’était donc le moment parfait. D’un coup je mis son engin dans ma bouche en faisant des vas et viens aider d’une main qui assurait le massage pendant que l’autre prodiguait des caresses plus bas à ses testicules… Deschannel planait j’aimais cette image alors je m’appliquais encore plus.

 

-          « Grrrrr… Duda je te veux maintenant, je veux te sentir tu me fais perdre la tête, tu as gagné chérie tu as gagné Ohh !!!»

 

-          En esquissant un sourire de vainqueur «  Maintenant je veux que tu me fasses tienne mon amour ».

Il ne se fit pas prier non plus d’un trait je me retrouvais sur le lit Deschannel au dessus de moi « maintenant tu es à moi seul Madame BINGA retiens-le » la pénétration, du premier coup fut douloureux mais lentement, il se mit à faire de lent vas et viens.

 

-          «  Aie bb, Mon amour tu m’as manqué tellement enfin je te retrouve…. » cette phrase était sortie spontanément sans filtre, j’avais les yeux pleins de larmes. Mais je continuais.

 

-          « Je t’aime Deschannel et je veux me sentir tienne maintenant et pour le reste de ma vie….. Aimes moi…. » Il  me répondit par un baiser profond en allant de plus en plus vite, je répondais par des coups de reins que seules les fils du Sud connaissent. Nos corps communiquaient parfaitement ensemble.

 

 

-          «  Duda je t’aiiiiime……». Il avait jouis et moi aussi  c’était magique, c’était bon et on l’avait partagé ensemble du début à la fin. Nous fîmes l’amour 3 fois passionnément ce soir là, à partir de ce moment nous étions comme unis et cette fois pour de bon. J’avais mon homme.

Evidement, le matin nous étions épuisés, vous connaissez la raison non ? Pardon donc ne demandez pas. Vers 10h je me suis donnée la force de quitter le lit pour nous faire quelque chose à manger.  Heureusement que j’avais supervisé les courses avant sinon ca allait être la galère.  Je m’étais lancée dans la préparation de notre premier petit déjeuner officiel « laul » œufs au plat, pamplemousses roses épluchés  tasse de lait du miel et hop !! Je m’étais la table ne sachant pas qu’il avait un géant derrière moi qui observait la scène. C’est quand j’ai senti sa main prendre ma taille que je me suis rendue compte qu’il s’était  réveillé.

-          «  Bonjour mon homme »

 

-          «  je n’aime pas sentir le lit vide à mon réveil je veux pouvoir te serer dans mes bras de géant toi qui est si petite. » me souffla-t-il à l’oreille en couvrant ma nuque de baisers.

 

-          « Si tu continues comme ca c’est autre chose que tu vas manger pour ton petit déjeuner Mr »

 

 

-          «  hmmmm je veux bien reprendre ou nous nous sommes arrêtés ce matin à 5h »

 

-          «  ahh Binga tu n’as même pas honte, c’est maintenant la maladie tu aimes trop ca »

 

-          « je n’ai même pas un peu honte, mes propres choses ? Et puis c’est ta faute aussi qu’elle idée de venir me faire à manger en nuisette transparente ? Je vais faire comment ? j’ai déjà trop supporté »

 

-          J’ai éclaté de rire je n’en pouvais plus avec ses bêtises et le pire c’était le sérieux qu’il affichait  faussement «  krkrkrkrkrkr et tu es même sérieux hein ! pardon assoies toi la c’est prêt après on parle de ton affaire là impoli »

 

-          «  mdr (mort de rire)  d’accord d’accord reprenant des forces aujourd’hui  c’est ton pied mon pied »

 

-          «  j’ai dit quoi ? je suis là non !! » nous avons passé un bon moment rigolade baisers, caresses, regards tendre je faisais le plein parce qu’il devait bientôt repartir.

La câble n’ayant pas pu être placé plus tôt nous avons passé la journée après notre douche à regarder des films sur son ordinateur. C’était agréable il veillait sur moi comme sur un bébé.

 

Mamie passa nous rendre une petite visite en début d’après midi. Vraiment celle là nous surveille peut importe l’endroit. Elle était toujours présente quand il le fallait, sa présence était une source de bénédiction elle portait beaucoup d’amour en elle je ressentais beaucoup de sentiment possible.

-          «  Maman ca va ? tu étais belle hier hein ! j’étais fière mes petits bébés vous grandissez »

 

-          « Oui mamie, merci »

 

 

-          « Ton mari ne te fatigue pas trop ? vous êtes encore jeunes il faut en profiter hein je veux les arrières petits fils pour m’occuper »

 

-          «  Rho hier toi-même tu as entendu quand les hommes là parlaient non ? Je finis d’abord avec la licence et ton petit fils m’a déjà menacé ici là de ne pas saboter ses plans donc j’ai intérêt à bosser. Maman attends encore un peu pardon »

 

-          «  Je ne veux pas mourir sans les avoirs vu oh toi-même là-bas »

 

-          «  Aka parles d’abord à ton petit fils, et puis il ne sera pas là tout le temps tu verras tes arrières petits enfants les problèmes ce n’est pas sur moi oh » Desch nous avait rejoint il s’était mis derrière moi me prenant dans ses bras.

 

-          «  Mr ta grand-mère veux des arrières petits enfants pour s’occuper, il faut lui dire toi-même comment tu m’as menacé ici avec l’affaire du school d’abord »

 

-          Desch : « Maman, c’est elle qui ne veut pas hein ! sinon moi je fais ca là tout de suite ! »

 

-          Duda : «  ohhhh les adouma vont me tuer avec le vampire !!!! maman il m’a menacé ici en me disant qu’il ne veut pas les problèmes avec les fang »

 

-          Mamie riant à chaude larmes la pauvre elle avait mal aux cotes à force de rire «  hahahaha les enfants là, pardon je rentre chez moi vous me faites rire. Je suis trop vieille, je voulais m’assurer que vous alliez bien tous les deux maintenant que je suis rassurée je vais rentrer dans mon  PK9  en attendant que vous passiez me voir aussi chez moi. Oui hein !! j’ai  aussi une maison »

 

-          Duda «  Excuses nous oh !!! toi qui a une maison dans Libreville. Un jour aussi on va construire pour nous. »


 Elle resta encore un petit moment il y avait une bonne ambiance, mais le regard insistant de ma montagne me faisait comprendre qu'il avait des idées qui lui venaient. Avec son esprit mal tourné là il pensait encore à quoi? pauvre de moi. Je sentais qu'une fois que la vieille serait partie  il allait me tomber dessus on dirait  quelqu'un à qui on refuse la nourriture.

Dans la tête de Deschannel….

J’étais le plus heureux des hommes après une nuit pareille qui ne le serait pas je vous le demande, ce petit bout de femme avait  pris mon cœur en captivité. La voir sourire était un pur délice,  je la regarde mais j’ai une chanson qui passe boucle dans ma tête «  ho le gouuuuut toi-même tu sais que là-bas c’est doooooux, tu bloques, tu tournes y a mal le gouuuut aujourd’hui aujourd’hui on te dit  on te dit que toi et moi ce soir y aura le gooooout » c’est un petit chanteur gabonais là J-rio qui fait souvent des chansons comme celle là drôle mais qui résume notre état. Et pour cause, la nuit dernière y avait mal le gouuut Duda m’a donné du plaisir dans tout les sens du terme j’étais agréablement surpris, elle  avait changé depuis nos derniers rapports il y a 3 ans, aujourd’hui elle était plus à l’aise avec son corps avec moi, elle avait fait des choses qu’avant elle ne se permettait jamais avec moi, elle était coincée mais ca ? C’était avant aujourd’hui c’est une femme qui est à l’aise avec sa sexualité. J’en ai eu un gros aperçu, surtout quand elle s’est mise à mettre mon membre  dans sa bouche aie aie aie mieux je me calme ma grand-mère est encore là si je m’évade trop  dans les souvenirs je vais rapidement avoir une érection  que j’aurais du mal à gérer devant la vieille là. Je priais intérieurement pour que maman rentre chez elle. Je l’aime ma grand-mère mais là, il faut me comprendre j’ai envie de ma femme. Je ne sais même pas encore  comment je vais faire quand je serai loin d’elle hmmm va falloir gérer l’affaire là avec délicatesse. Je ne veux pas de tensions inutiles comme la première fois, surtout quand je sais ce à quoi j’aurai droit en rentrant mieux je me donne à fond. Cette femme, je me sens redevenir accro et  quand je pense qu’elle est à moi hmmmmm.

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