Chapitre 2: Première rencontre.

Write by Ladiva225

Zone 4, Abidjan.....

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Zhenia Vao.


Mes cris de plaisir avaient envahis la chambre, la température était soudainement monté d'un cran ces grognements m'accompagnent tandis que de fines gouttes de sueur humidifie son front et sa poitrine. Les mains posées sur mes seins qu'il malaxe durement, je le chevauche comme jamais je ne l'avais fais avec lui auparavant. J'exquisse des jeux de reins incroyable dont je ne m'en croyais même pas capable et mon chéri adore ça puisque ces mains abandonne mes seins pour me flanquer plusieurs fessées ce qui ne me déplaît pas pour autant.


- vas y mon bébé, vas y plus vite.


Je m'applique encore plus pour lui faire perdre la tête ce type là ne doit jurer que par moi. Jusqu'à la fin de cette année je dois accomplir mon objectif : celui de finir devant monsieur le maire !


Et pour cela j'emploie toutes les armes qu'il faut. Après neuf mois de relation je suis fixée ! C'est le bon ! Je le sais je le sens je suis tombé sur la perle rare y en a marre de collectionner les aventures par ci par là a 35 ans normalement une femme pense plus à se poser surtout qu'à cette âge l'on craint de finir vielle fille parce que proche de la quarantaine. Ma mère doit cesser de pleurer en se demandant si un jour je lui donnerais des petits enfants. Pour moi il est important de faire des enfants au sein d'un foyer et non en dehors.... Loin de là je ne juge pas les mères célibataires chacune de nous à sa vie. Mais moi particulièrement j'ai été habité par cette peur là de faire plusieurs enfants de pères différents à l'époque je n'étais tellement pas sérieuse dans mes relations que je préférais éviter toutes grossesses et résultat à l'âge de 35 ans je n'ai toujours pas d'enfants et ne regrette pas vraiment mon choix vu la vie que je menais auparavant.


Je suis emportée une seconde fois par un tourbillon d'extase indescriptible je sens mon sexe se contracter autour de mon partenaire qui lui aussi tremble de tous ces membres nous venons d'être frappés par un orgasme violent au point où je hurle de toutes mes forces, mes ongles s'enfoncent dans le dos du pauvre. C'est à ce moment là que quelqu'un frappe durement le portail, mais nous n'avons cure à l'heure qu'il est nous planons impossible de prêter attention au vacarme dehors.


C'est toute essoufflée que je retombe sur le lit folle de joie, c'est toujours un bonheur pour moi de satisfaire mon homme. Il se couche à mes côtés et m'embrasse fougueusement j'y répondit avec toute la passion qui puisse exister je suis complètement folle de lui !


- je t'aime Zhenia. Dit-il en me caressant mes longues brésiliennes blondes.


- moi aussi mon cœur.


- ça te dis un troisième round ?


- tu es insatiable toi !


- ahahah jamais quant il s'agit de toi femme de ma vie.


Oh j'adore lorsqu'il m'appelle ainsi.


- ok je suis partante mon chéri.


Cette fois c'est lui qui prends le dessus il me pénètre profondément, je ferme les yeux pour mieux savourer mon plaisir. Il commence des vas et viens lents et je sens mon corps se réveiller de nouveau et s'embraser sous ces multiples caresses.


- BOUM BOUM BOUM !!!! OUVREZ SINON JE VAIS CASSER CE PORTAIL.


Ce cris réussit à nous déconcentrer, Achille se retire de moi et m'annonce qu'il va voir qui s'est. Il enfile rapidement un peignoir et sort de la chambre tout en me demandant de l'attendre. Pff c'est quoi le problème ? Les gens ne savent t-ils pas que nous sommes dans un quartier résidentiel et que l'on ne peut se comporter comme bon lui semble ? Bref j'espère bien que cette personne disparaîtra pour nous laisser baiser tranquillement. Seulement qu'au bout d'une dizaine de minutes je n'avais aucune nouvelles de mon partenaire je décide donc de sortir le rejoindre.


Ce dernier chuchote mais je peux bien entendre ce qu'il dit il est en train de supplier quelqu'un que je ne vois guerre.


- pardon pas ici... Rentre je vais venir te retrouver et on aura tout le temps d'en discuter.


- tu es malade toi ! Tu penses que je vais m'en aller aussi facilement ? Aujourd'hui là c'est aujourd'hui. Cette voleuse va me sentir passer.


C'est une voix de femme que je ne reconnais pas donc ce n'est aucunement un parent à moi ni une connaissance. Que fait-elle ici et pourquoi mon bébé semble la supplier.


-  Dorothée je vais t'offrir tout ce que tu souhaites, te souviens tu de la dernière audi qui est sorti là qu'on avait vu sur la revue là ?


- je m'en bas les ovaires achète même une navette spatiale si sa te chante, je ne bouge pas d'un poil tu m'as assez humiliée comme ça. Trop c'est trop.


C'est alors que je décide d'intervenir.


- Achille ?


Ce dernier se retourne le regard apeuré.


- Zh... Zhenia... Que fais tu ici ? Je... Je t'ai pourtant dis de m'attendre à l'intérieur. Pourquoi semble t-il aussi paniqué ? En même temps mon sixième sens me fait comprendre que quelque chose clochait.


- eh donc elle est là attends je vais passer l'écraser.


Achille et cette dame entre dans une lutte effrénée là je suis confuse et j'avoue ne rien comprendre de tout ce qui se passe sur le coup je reste figée me posant mille et une question et c'est dans cette grisaille que je la vois sortir de nul part c'était une très belle femme metissée potelée aux rondeurs à en faire perdre la tête à plus d'un. Je n'en revenais toujours pas mais que se passe t-il ?


- Achille laisse moi orh !!! Lâche moi sinon ça va chauffer hein.


- Dorothée arrête et rentre à la maison. Fit-il en lui barrant la route.


Dorothée ? Il semble très bien la connaître alors....


Cette Dorothée lui donne un coup entre ces jambes ce dernier se tord de douleur, folle de rage elle bondit sur moi je me retrouve au sol, je ne suis pas au bout de mes peines puisque elle m'écrase de son poids en osant s'asseoir sur moi, impossible de me défendre !  Une pluie de coups  de gifles et de griffes inonde mon si beau visage mais ne s'arrête pas là en me déchirant ma robe de nuit exposant ma nudité a tous j'entendais plusieurs personnes murmurer mais personne n'intervenait .


- espèce de voleuse de mari on t'a dit que j'ai souffert pour construire mon foyer cadeau ? Toi une moins que rien comme ça tu vas venir tout faire foirer hein. Lance t-elle en criant.


J'étais vraiment en train de passer un sale quart d'heure quand je suis finalement délivrée par Achille de cette grosse vache je peux enfin respirer j'avais tout le corps endoloris.


Je me relève difficilement histoire de m'enfuir dans ma chambre pour cacher mon corps à la vue de tous ces gens présents c'est alors que je tombe sur cette scène Achille en train de tabasser copieusement cette boule de graisse. Ah oui elle en a pris pour son grade elle pleurait et le suppliait de la délivrer mais il semblait hors de contrôle. Des coups de pieds dans le ventre, gifles et poings sur le visage. Il lui déchira à son tour son haut son soutient gorge qui avait déjà du mal à supporter sa forte poitrine craqua à son tour et la suite vous la connaissez : seins dehors !! c'est à ce moment là que certaines personnes décident de s'interposer alors qu'une femme la couvrit d'un pagne, profitant du fait qu'ils soient préoccupés par Achille et Dorothée je m'en fuis a l'intérieur et m'enferme à double tour et me laisse glisser le long de la porte en éclatant en sanglots je n'ai pas besoin d'un film pour comprendre que je venais à nouveau de me faire avoir, tous mes espoirs à cet instant précis moururent. Achille était déjà un homme mariée et cette femme enragé là dehors n'est toute autre que sa femme alors pendant neuf longs mois j'ai couché, fréquenté un menteur ?


Donc moi Zhenia pendant que je me crois titulaire je ne suis en fait qu'une tchiza ? Rien qu'a y penser mes pleurs s'intensifient. Toujours la même rengaine ! La vérité est encore plus douloureuse à accepter du haut de mes 35 ans je n'arrive pas à me caser lentement je vois mon rêve de devenir mère un jour s'effriter.....


Moi c'est Zhenia Vao une jeune ivoirienne de 35 ans j'ai a mon actifs trois boutiques de vêtements d'hommes et femmes plus un atelier de couture. Vous avez un petit aperçu de mon incroyable vie je suppose ? Bref avec le temps vous comprendrez mieux.

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Trois bonnes semaines se sont écoulées depuis l'humiliation sans nom que m'a infligé Achille et sa Dorothée. La première semaine a été vraiment un calvaire pour moi j'ai broyé du noir et n'osais pointer le nez dehors, je passais mes jours et mes nuits à pleurer à chaudes larmes comme une jeune adolescente à qui on a offert son premier chagrin d'amour. C'est que cet homme pour moi c'était le bon vous vous imaginez un seul instant que vous projetez votre futur avec une personne et du jour au lendemain vous apprenez que vous avez vécu dans le déni et de la pire des façons en plus. C'est vrai que quelques années en arrière je prenais vraiment ce plaisir là à coucher les hommes mariés et tout ce qui bougeait j'adorais tellement le sexe que je devais a chaque fois me taper quelqu'un à tel enseigne que j'enchaînais les coups d'un soir au relation de quelques mois comme ci je changeais de vêtements mais à un certain âge on finit par prendre conscience que ce genre de vie ne nous serait pas favorable et tant que femme surtout il est impératif de fonder une famille et de se ranger.  Pour moi Achille c'était l'homme idéal avec lequel je lequel je désirais avoir mes enfants mais hélas.... Pour lui j'ai mis fin à toutes ces relations inutiles, la cigarette, les fêtes, l'alcool pour apprendre que depuis tout ce temps c'était un homme marié que je me tapais.


La deuxième semaine je noyais ma peine dans la nourriture et l'alcool. Ce salaud avait osé venir sonner à mon portail dès que je m'étais rendu compte qu'il s'agissait de lui je retournais sans même prendre la peine de lui ouvrir. Il n'a pas abandonné en revenant les jours qui suivis mais au bout de plusieurs efforts il me laissa dans ma tranquillité.


Aujourd'hui j'en avais plus que marre de rester dans mon lit à chialer alors j'ai sorti de mon dressing une magnifique robe moulante dotée d'un décolté plongeant qui donnait une belle vue sur mes seins. Après un bon bain je prends soins de me lisser ma longue '' chevelure '' puis me maquille en prenant soin d'appliquer plusieurs couches de fond de teint pour cacher le sale état dans lequel était mon visage. Je devais rencontrer une amie de longue date avec qui je traînais dans les boîtes et qui vivait toujours dans cette vie de débauche contrairement à moi elle n'a pas voulu arrêter, pour Myriam le mariage n'a aucune importance elle ne fait que profiter de sa vie et dit ne pas avoir peur de finir vieille fille.


Nous avions rendez-vous à Abidjan Mall qui avait récemment ouvert elle m'a dit m'attendre devant le burger King. Je me dirige donc vers le fast food lorsque deux jolies enfants venaient en courant dans ma direction. Celle qui semble être la plus petite se jette à mes pieds je manque d'atterrir au sol tellement je ne m'y attendais pas pour garder l'équilibre je décide de l'attraper son frère (si je ne me trompe pas) imite sa sœur.


- tata ! Tu es finalement venu !


Mon regard se pose sur eux mais leurs visages ne m'est pas familier cependant j'essaie d'être la plus aimable possible.


- euh je pense qu'il y a un petit problème mes loulous.


Ces derniers relèvent la tête pour me regarder.


- Lequel ? Demande le plus grand.


- euh bah... Voilà... En fait je ne suis pas votre tata.


- vraiment ? Insiste le petit l'air attristé.


Oups je ne sais même pas comment m'y prendre avec ces petits.


- euh oui mais... Je suis très enchantée de faire votre connaissance. Comment vous appelez vous ? Demandais-je en m'abaissant du haut de mes talons aiguilles pour être à leur niveau.


- Matteo ? Penda? Oh désolée madame je... Ces enfants sont irrécupérable. Veuillez vraiment m'excuser.


- mais on croyais que c'était tata Lyne. Dit le garçon.


- oui maman yegarde(regarde) elle yessemble à tata Lyne. Ajoute la petite.


Son regard croisa alors le mien c'était une belle femme au teint bronzé avec de très longs cheveux que j'ai toujours rêvé d'avoir. De taille moyenne elle devait avoisiner la trentaine d'année.


- oh ne vous inquiétez pas madame ?


- Taraji.


- Taraji si je peux me le permettre.


Elle me fait un signe de tête pour me donner son approbation.


- vous avez de très beaux enfants.


- merci vous pouvez me tutoyer.


- ok ce fût un plaisir d'avoir échangé avec tes enfants ils sont si adorable !


- merci c'est gentille. Sourit-elle faiblement Taraji semblait affaiblit. De plus lorsque sa fille lui tapa la jambe pour attirer son attention sur un magasin de vêtements d'enfants elle fit une grimace qui ne m'échappe pas.


- tu vas bien? Lui demandais-je.


- euh oui oui ça va...nous...nous allons devoir te fausser compagnie connaissant bien ma fille elle ne me lâchera pas tant que je vais pas faire un tour dans cette boutique.


- je vois les enfants et leurs caprices.


- je ne te le fais pas dire ! Bon les enfants dites au revoir à votre nouvelle amie.


- elle s'appelle comment ? Demande Matteo.


C'est à cet instant que je réalise ne pas leur avoir dis mon prénom.


- moi c'est Zhenia. Souris-je.


- Zhenia ? J'aime bien. Me complimenta Taraji.


- merci. Euh au fait est-ce que je peux te laisser ma carte de visite j'ai plusieurs boutiques de vêtements féminins et aussi pour hommes très bien cousu et à des prix abordables cela me ferait plaisir si tu passais y faire un tour... Peut-être que tu pourrais prendre quelques chemises ou pantalon chic pour ton époux.


Eh oui quand on est une commerçante on se familiarise très facilement avec les gens.


- euh... Mon mari est un peu compliqué en matière de vêtements mais je passerais quand même merci. Fait-elle me prenant la carte des mains puis le met dans son sac à main .


- je comprends. C'est quand tu veux quand tu es prête passe moi un coup de fil.


- très bien.


Je les salut et les regarde s'en aller, seulement après quelques secondes de marches je vois Taraji s'écrouler par terre. Que se passe t-il ?


Je cours à son chevet cette dernière était dans les vapes, alors que les gens s'attroupent  autour de nous j'essaie tant bien que mal de réconforter Matteo et Penda qui pleuraient pendant que je criais aux gens d'appeler les secours. Taraji ne me fait pas un truc pareil s'il te plaît....



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