Chapitre 20: Quoi de plus?

Write by Les stories d'une K-mer

***Quentin***

ça grouille de tous les côtés. Nous sommes à trois semaines de la dote. Les billets confirmé tout est prêt, on attend plus que nous (rire). Comme Désirée me l’avait dit, j’ai reçu une liste de personne à qui Véra et moi devons rendre visites. 8 personnes au total, dispersé dans le cameroun (rire) d’après véra on va se taper des heures et des heures de trajets (rire) du mois pour les trajets dont elle se souvient, parce qu’il y a des endroits où elle n’a jamais mis pieds

Véra (bouclant les valises): Franchement je ne comprends pas. Tous ces gens, je ne les connais pas. Du moins pas tant que ça. Mami me parle de respect? sérieux? Eux même ont respecté qui quand ils faisaient leurs choses au pays? Qui d’entre eux nous a envoyé le billet? Personne. Mais comme c’est l’enfant de Dési, tout le monde veux AUSSI la voir. TChrrr

Moi (souriant): Calme toi bébé

Véra: non pas du tout. En tout cas c’est simple. On fini avec les gens de Douala , Après ceux de Yaoundé. On ira vire fait à l’Ouest. Mais la tata du Ngaoundéré là va m’excuse pardon. Déja je ne me rappelle mêm plus de son visage, bref (soufflant) Tu as fini avec les petits mots ?

Moi: plus que quelques uns

Véra (se levant): Je vais faire à manger

Moi: tu ne veux pas plus tôt commander?

Véra (pointue): tu m’invites?

Moi (rire): Qui d’autre

Véra (venant me faire un bisous): Merci chéri

Moi (la serrant dans mes bras): tu es fatiguée ça se voit (souriant) en plus tu as bossé dur toute la semaine (un autre bisous) tu as aussi droit au repos tu sais?

Véra (yeux de biche): tu es crrrooo Chou (prenant mon téléphone) Du coup tu veux quoi?

Moi (concentré sur les mots): Poulet Tandori (souriant)

Véra: moi je veux un truc mexicain , euhh. Allons pour un Chili

Moi: Ah oui. Tu le prends d’où?

Véra (sur le téléphone): TEX MEX

Moi: Ils livrent? (souriant) super. Prends moi un tacos del pastor s’il te plait. L’indien attendra (rire)

Véra: tricheur des goûts des gens (rigolant)

Moi (rigolant): mêm pas vrai. En plus toi tu prends du Chili, pfff

Véra: prière de respecter mes envies , Monsieur (déposant le téléphone) C’est fait. Il sont là dans une trentaine de minutes

Moi: ok!

Elle s’est allongé et a pris son téléphone. Moi j’ai fini avec les mots (rire). L’idée des mots c’est Véra. Etant donné que toute la cérémonie ne sera qu ela culture de chez elle, elle m’a proposé de faire des petite carte personnalisées avec des photos d’endroits touristique d’ici. Chacun des invités CONNUS l’aura en souvenir (rire). Le mot du coup est fait avec le nom des personnes. Au début c’était fun (rire) jusqu’à ce qu’il faille en rédiger pour 75 personnes à peu près (rire).

Dimanche on a pris le vols pour le pays. On a atterri à Douala, et avons posé nos affaire chez la grand mère à Véra. à peine, le nez au cameroun, on n’était déjà entre les motos, et les routes (levant les yeux) Je me demande bien à quoi ça ressemble de passer son permis ici.

Entre les décorations pour la maison et les derniers préparatifs, on a pas vu le temps passé. Désirée, Michel et nous on rejoint une semaine après. Véra elle était déjà à Yaounde. Je l’y ai rejoint, on  a fait le tour des maisons, et biensure, essayé nous vêtements, cousus par les soins de Vanessa.

Amira nous a rejoint une semaine après, là on est déjà à une semaine de la cérémonie. Tout semble calme.  La grande partie des achat a déjà été faite. (rire) il ne reste plus que les aliments de très courte durée de vie. Tout le monde a mis la main les achats (rire). Quand je dis tout le monde c’est tout le monde. Avec une grand mère comme la leure (rire) je comprends mieux le caractère d’Amira.

à quatre jours, Vincent a atterri avec mes parents, un cousin à papa, et la soeur et maman et son mari. On a pas pu déplacer grand monde, mais bon c’est déjà ça. La mère de Vincs est venue du Gabon avec deux frères à elle. Donc au total 8 personne derrière moi comme le dit Amira (rire).  Ils ont tous été logé à l’hotel. heureusement ils ont pu en trouver deux pas très loin l’un de l’autre.

La veille de la dote, on a eu une petite réunion pour pour bien définir les choses. Un oncle à Véra nous a assisté pour mieux nous expliquer le déroulé. On a aussé decidé sur la somme à mettre en jeu avec quelques extra. L’enveloppe sera remise le jour même. En fait étant donné que nous ne sommes pas d’ici, ils nous ont proposé une alternative: On fera une peu de jeu de rôle. Ma famille discutera avec celle de Véra de notre Venue. ils vont nous soutirer un peu de sous, juste pour animer la galerie. C’est Vincs qui parlera de mon côté. Parait que je n’ai rien à dire (rire). Ils iront ensuite chercher la mariée, je devrait encore dépenser un peu pour le transport (rire) encore la mise en scène. Ce sera suivi des conseils des patriarches, et pour finir le partage des éléments traditionnel, kola (rire) je ne sais même pas ce que c’est, vin de palme  ce qui symbolise l’union (rire). Après tout ça, on pourra enfin manger (rire). Ah làlà à voir ce qu’il y avait au menu, je sais que je ne vais pas avoir assez de place dans mon ventre.

Le lendemain à 13 heures, ma délégation et moi étions assis en face de la famille de Véra. Les choses se sont passées exactement comme prévues, mais avec beaucoup de retard. Le temps que tout le monde arrive, les installations, les débats (soufflant). Ce n’est que vers 20 heures que le service a commencé. La grand mère de Véra a fait venir un groupe traditionnelle qui jouait des tam-tam, tambours, balafons, pendant la grande partie de la célébration. Autour de 22 heures, tous les vues avaient libérés les lieux. Nous n’étions plus qu’entre jeunes, entrain de s’amuser, cette fois avec le Dj pris pour l'occasion. Il faut dire qu’en une soirée, j’ai appris tellement de pas de danse que je pourrais devenir chorégraphe (rire).

Mami Marta (s'approchant en chantant): L’homme le ventre et le bas ventre

Véra (la suivant dans ses gestes): le tour est joué

Mami marta (tirant son oreille): L’homme, le bas ventre et le ventre éh?

Véra: le compte est réglé

Elles se sont serrées très fort, en tournant sur elle même. Je ne suis pas sur d’avoir compris mais (levant les épaules) ça avait tout l’air d’un conseil. L’ambiance était vraiment au top, j’ai transpiré comme du n’importe quoi. Les gens sont sortis peu à peu, et avec la fatigue nous nous sommes assis (rire). L’ambiance s’est suivi en bavardage. Il était 2 heures du matin.

Amira (le bras platré): Ah là là , les amoureux sont là

Véra (rire): Oui hein (tombant sur sa soeur) fatiguée comme jamais

Amira: tu as déja vu quoi (rire).

Vincs: n’oublie pas que ta nuit de noce c’est ce soir (rire), Nous on vu le slip taché

Moi (éclatant de rire):

Et hop c’était parti en couilles (rire) Avec Vincs il ne faut pas s’attendre à meilleures discussion (rire).

Tante mireille (s’approchant): Vera, Amira, vous pouvez me rejoindre s’il vous plait

Elles ont pris un peu de leur temps avant se de lever. Je suppose problème de famille

***Désiré***

Maman: Vous voilà (faisant signe de la main) Fermez la porte s’il vous plait

Véra: Mamie je pensais que tu dormais

Maman; Non non pas encore (soufflant) Asseyez vous s’il vous plait (pause) Vous êtes toutes mes filles, et Déjà merci pour cette mobilisation pour le mariage de Véra. (nous pointant une par une) vous êtes mon sang, vous toutes. Et le sang ça ne se disperse pas. PEut importe le problème. (regardant Mireile) Mireille?

Mireille: Maman

Maman; Ingrid ici présente c’est ton enfant , c’est vrai, mais c’est aussi l’enfant de Désirée.De que Véra et Amira sont les tiennes. Il convient donc de retablir le dialogue entre vous. (agitant son doigt) tu as mal agit, très mal (fixant Ingrid) et toi aussi. Pour toi encore on comprends tu est l’enfant. Mais toi mireille (soufflant) même avec tes cousines qui ont grandi avec vous, est ce qu’une fois seulement vous avez entendu ce genre de choses? Votre père n’est plus là pour vous remettre sur le droit chemin. Si vous mes enfants vous déchirez, c’est pour que je fasse quoi? hein? (soufflant) C’est pour m’envoyez le rejoindre c’est ça? (levant les mains) je veux mourire en paix, pardon. Je ne veux qu’une seule main porte mon cercueil. Vous devez montrer l’exemple, vous êtes les ainées  (arrangeant ses peids) Bon . Je vous écoute

Moi (inspirant): Mireille (elle a levé la tête) Moi je ne veux pas t’incriminer, parce que on fait toutes des erreurs, mais sache juste que la confiance là (tapant mes mains) C’est fini comme ça. Mais ça ne change pas la place que Ingrid a dans mon coeur. (pause) Que tu colporte des choses sur moi, ok , je comprends, tu sabote tes propres filles? Véra et Amira, on eu de ton éducation pendant près de 15 ans, mais tu trouves à redire sur leurs vies? (tapant des mains) ça encore on peut laisser passer. Mireille. Ingrid a fait combien de temps à l'hôpital? Hein. Même appelé? Un message? Pour les sous je n’en parle pas. Pourtant tu sais très bien la situation dans laquelle je suis. (levant les mains) Dieu merci Amira et Véra ont un peu du coeur de leur grand mère. Si non les factures je ne sais pas comment j’aurais géré.

Ingris (se mettant à pleurer): ça ne fait que confirmer tout ce que j’ai toujours pensé. C’est tout comme si tu ne m’a jamais aimé. Après que je sois sortie de l’hopital, Maman (pause). Tu ce que tu as fait, c’est me montrer que je ne suis pas trop ci, trop ça. Je me tuais à te plaire, mais jamais (sniffant) ce n’était jamais assez, jamais, jamais (fondant en larme)

Maman: Ingrid, c’est ta mère, c’est ta mère

Ingrid (du tic au tac); Non! non!

Mireille (se levant): je t’ai porté neuf mois Nanjip, je suis allée te poussée à l'hôpital, pour qu'aujourd'hui tu me dises quoi? Hein? C’est ce qu’on t’apprends là bas?

Véra (se levant): là bas où ? là bas où ta ta Mireille. (pause) Mamie on a compris, du moins j’ai compris ta doléance, raison pour laquelle elle est là, pour ma dote. Mais bon, je ne vais ma une fois de plus me faire insulter pour des choses que j'ignore. Ma dote s’est très bien passée. et je vous dit merci à toutes. Mais franchement, je ne vais pas me gâcher la soirée. vraiment. Si vous le permettez je vais retrouver mon époux (sortant)

Moi: Amira tu n’as rien à dire?

Amira/ Nor. Je n’ai rien à dire. je préfère ne rien dire. Juste qu’ils y a des non dit entre vous (regardant mireille, puis moi) et je crois que vous devriez régler ça à votre niveau (se levant) Et sans inclure les enfants. Ingrid a des problèmes avec sa mère, et quand elle sera prêtes, elles en parleront comme deux adultes (faisant un bisous à sa grand mère) Mamie tu sais qu’on t’aime plus que tout. Mais s’il te plait ne te ruine pas la santé avec les problèmes de tes enfants ok? (un autre bisous) elles sont assez grandes. (à Ingrid) Vient

Elles sont sortis nous laissant tous les trois. Mamn les a suivi, et je ne suis restée qu’avec Mireille.

Moi: toi et moi savons l’origine de ce problème Mireille. ET non ne mêle pas les enfants à ça. Non!

Mireille:

Moi: Que tu m’en veuille ok. Mais ton propre sang? est de la faute à tes enfants s’ils sont né? est ce de leur faute? Tu ne peux pas indéfiniment rejeté tes échecs sur eux. Non. Surtout ingrid qu’est ce qu’elle t’a fait? qu’est ce qu’elle t’a fait? hein?

Mireille: Moi: Ce n’est pas de ma faute si ton visa n’était pas sorti mireille. Toi et moi avaon donné les même papiers

Mireille; Il ne s’agit pas de ça

Moi: Bah si. Tu n’as jamais accepté que j’aille en france et toi pas. Or je n’y ai pas eu une vie rose, et tu le sais. Jusqu'à quand va tu calquer  tes envies sordides sur l’enfant? hein? Et même est qu’elle n’est pas en europe elle aussi? Hein. Tu voulais aussi le blanc? Qu’à tu fais de tous ceux avec qui je t’ai mis en contact à part essayé de les escroquer mireille? Et c’est sur l’enfant que tu viens de défouler? Leur père t’a enceinté, il t’a EPOUSE, tu veux quoi d’autre? Hein? Il t’a positionner. Tu veux quoi? hein? Moi je suis marié? Je suis mariée Mireille? J’ai élevé toute seules, SEULE mes enfants. Quand toi tu filait le parfait amour soit disant. Qu’est ce que tu as a envié ma vie Mireille? Tu aimes tant l’europe? prends toi des vacances et vient, je t'accueillerai avec plaisir. Mais de grâce épargne les enfants de ta frustration. Metisse, noire, blanc, tout ça c’est pareil. (me levant) Tu vas avoir la gentillesse de présenter tes excuses à ton enfant! ok? Elle n’a jamais demandé à naître, jamais. Soit tu assumes tes choix, c’est à dire ton mariage avec leur père, soit tu divorces et te trouve un blanc et on en parle plus! (allant vers la porte) à demain.

Je ne lui ai même pas laissé le temps de me répondre. Près de 28 ans que je rêve de lui dire ça. Il fallait que ça sorte, et voilà c’est sorti. Je me demande bien la tête qu’elle fera qu’elle va apprendre que Michel et moi voulons passer à l’étape supérieure. Il est venu avec nous, mais s’est glissé dans la clique de Quentin. La semaine prochaine les présentations officielles se feront. Je ne suis plus un enfant, donc pas besoin d’avoir toute la famille pour ce genre de choses. Ma mère et deux oncles ça suffit largement (me couchant) Il est temps de vivre ma vie de jeune fille (fermant les yeux) La fatigue.

***Amira***

J’ai rejoins les autres, qui étaient dans des discussions bien chaudes. Ingrid est allée changer ses vêtement. et Véra bah, sur les pieds de son époux (rire).

Moi (prenant place): Alors? ça discute de quoi?

Vanessa: parait qu’un gars a changé ta couche

Moi (fixant Véra): madame congossa

Véra (éclatant de rire): je n’ai pas pu m’en empêché. C’est un geste trop fort

Quentin: je n’aurais jamais fais ça pour une fille quelconque. Même si elle est ma meilleure amie; jamais je dis bien jamais. Et ça tu peux le demander à n’importe quel garcon ce sera pareil.

Moi: ce n’est pas pour autant que je vais me lancer dans ses bras comme ça

Véra: Deux mois Amira. toi même tu penses qu’il va t’attendre indéfiniment?

Vanessa: En tout cas hein. il faut te décider, avant qu’il ne change d’avis. Les hommes sont très bizarres. façon il te court après, c’est aussi comme ça qu’ils lâchent prise

Ludovic (sourire); tu en sais quelque chose hein

Vanessa: pffff. Toi ça ne te concerne pas

Moi (rire): Non mais sérieux. Tu t’engage dans le genre ci. Tu es trop sûre du gars, et après , kpaa… plus rien? (secouant la tête) Naan je ne suis plus dedans

Vincent : tu sais, refuser d'aimer par peur de souffrir à nouveau, c'est comme refuser de vivre par peur de mourir. Qu’est ce qui te dis que ce n’est pas le bon? et Qu’est ce qui te dis que c’est le bon?

Vanessa: en tout cas hein. Les hommes là c’est comme le parfum tant que tu n’essaies pas tu ne sauras jamais ce qui te vas. Tu auras beau hummer les échantillons, tant que l’odeur du parfum ne se mélange pas à ton odeur corporelle, tu ne sauras jamais si ça te vas ou pas

Vincent: Merci là bas (regardant ludovic) Si tu n’étais pas déjà sur ça, j’allais mélanger mon parfum avec son odeur corporelle

Ludo: ptdrrrrr. J’ai déjà racheté l’usine de son parfum. ils ne produisent que pour moi

Ingrid (arrivant): Le parfum a fait quoi? (rire) les hommes ont fait quoi?


Amira (plié de rire): non mais…. Vous allez arrêter avec cette histoire de parfum

Véra : Aka! vas acheter ta part tu laisses les gens

Ingrid (s’ajustant): en tout cas moi j’en suis encore aux échantillons

Amira; n’est ce pas chérie?

Ingrid (l’air de rien): je ne connais pas encore mon odeur corporelle

Vincs (la regardant): à quel âge?

On a tous éclaté de rire.

Ingrid avait l’air larguée (rire) On est partie en fou rire. Et c’est sur cette ambiance que chacun est allé au dodo. La phrase de Vanessa a trotté dans ma tête durant tout le séjour. Tout le reste de séjour. De retour à Nantes, j’ai pris un grand souffle, et je lui fait fait un message pour lui proposer un rendez vous. Mon message était sec, très sec. Et sa réponse aussi.

Vendredi après le boulot, je suis rentrée me faire une beauté. Dans mon sac j’ai mis une petite nuisette que j’ai pris à Undiz il a trois jours. Petit outfit sexy, et hop j’étais dans sa voiture. Nous nous sommes posé dans un restaurant, l’ambiance un peu tendu. Il n’a pas pipé mot, et mot non plus. Mis à part le bonsoir on ne s’est rien dit. Le serveur est venu pour nos commandes.

Franck (prenant un gorgée de vin): Tu voulais me voir Amira , je suis là. ça va une bonne vingtaine de minute et tu n’as encore rien dit

Moi (le fixant): Tu en connais beaucoup de garçon qui changeraient la (à voix basse) garniture d’un fille?

Franck : où veux tu en venir Amira?

Moi: Tu m’as dit que tu voulais que je fasse partie de ta vie Franck. Je ne t’ai jamais donné de réponse. (prenant ses mains entre les miennes) s’il fallait passer des test je crois que tu as réussi les tiens.

Franck (sourire en coin): Tu ne serais pas entrain de me draguer par hasard?

Moi: Mais non

Franck: Parce que je suis un peu difficile comme garçon hein

Moi (rigolant): ah ouais?

Il a serré fort mes mains dans les siennes, s’est approché pour un bisous, et moi aussi

Le serveur: Vos commandes

Nous nous sommes regardant en souriant (rire). Le diner s’est assez vite écourté (rire) Entre les conversation à tendance érotiques, les jeux de yeux et les pieds sous la table. On est assez vite passé au dessert. C’est en cascade que nous avons rejoint son appartement. Déjà que dans le parking, on a failli se faire un coup rapide (rire) la chaleur est trop.

C’est avec le pied qu’il a fermé la porte derrière lui. Nos bouches n’ont pas pu se séparer l’une de l’autre. Nos habits se sont envolés du salon, et sur le chemin jusque dans la chambre (rire). Nous nous sommes jetés sur le lit, dans le même élan

Moi (le stoppant): Bébé (quittant ses bras) je ne suis pas sûre (me levant)

Franck (soufflant): J’ai fait quelque chose de déplacé?

Moi (vers la porte): Non (la main sur ma poitrine) tu n’a rien fait (regardant son bermuda)

Franck: comment je fais maintenant? (appuyant sur sa bosse) Je ne te force à rien tu sais, ce seras à ton rythme Amira

Moi (sortant):

Franck: Amira? (soufflant)

Si je vous dis que sa bosse ne m’a pas effrayé je mentirai. Wow wow. j’ai filé à la douche, en ramassant mon sac au passage au salon. Une petite douche intime, avec un produit plutôt mentholé (rire) vous connaissez tous l’effet de la menthe (clin d’oeil).J’ai troqué les sous vêtements que j’avais pour la petite nuisette à dentelle noire. J’ai attrapé mes cheveux tous à l’arrière, un peu de rouge à lèvre, un léger parfum, et je me suis présentée à lui. il s’était couché, à plat ventre, certainement pour faire passer son excitation.

J’ai posé une jambe sur la petite étagère à l’entré, gardant une main sur mon entre jambe

Moi (voix douce): Franck? Bébé? tu t’es endormi?

Franck (la tête entre les oreilles): Non

Moi: Tu peux regarder s’il te plait

Il s'est tourné avec peine, certainement parce qu’il pensait que je voulais lui demander quelque chose.

Franck (ouvrant les yeux): wowww (se mettant sur le dos) WOwo (passant la main sur le visage) euhh.. je  je

Moi (me caressant les jambe est l'entrejambe): tu vas me laisser là?

Franck (surpris): Hein. (secouant la tête) quoi? Non non (se précipitant sur moi) Bébé (enlevant délicatement ma jambe de l’étagère) Je ne te savais pas aussi souple

Moi (lui chuchotant à l’oreille) : il a tellement de chose que tu ne sais pas (lui donnant un frappe à la fesse) hummm

Franck (me mordant l’oreille): coquine heinn (pressant avec délicatesse et force ma poitrine)

On a passé un bon moment à se regarder, se défier du regard je dirais. entre les petits suçons dans le cou, les tapes aux fesses, les attouchements. Je peux vous assurer que j’étais à l’apogée de mon excitation, je ne sais pas si c’est dû au faIt du trop d’amour (rire) . Ses geste sont tellement mesurés, à la fois doux et pleins de vigueur, je ne saurais vous expliquer, il me dompte avec seulement son regard, et croyez moi, ça ne date pas d’aujourd’hui.

Il a débarrasé l’étagère d’un trait en me posant dessus. il s’est agenouillé face à fois , posant mes jambes sur ses épaules. Il a commancé par un bisous entre mes cuisse, puis un autre, et à progresser tout doucement jusqu’à Jessica

Moi (soupirant): humm

J’ai instinctivement posé mes mains sur ma tête. Il les a enlevé, en les condamnant entre avec mes jambes. Seule sa tête est allée chercher dans mon intimité. Il a dû  un moment me libéré tellement je m'agitais de plaisir. Pression sur ma poitrine, et hop on était sur le lit. Dans ses bras? On dirait je suis une feuille, tellement il trimballe mon corps. J’ai voulu prendre les choses en main mais, il m’a stoopé net

Franck (yeux dans yeux): Ce soir bébé, je passe je teste du sexe (mordant mon sein)

Moi: Aiee (rigolant)

Franck: j’aime ça (me donnant une tape sur l’autre sein) crie plus fort

(rire) heureusement pour nous c’est un nouvel immeuble et il n’y a pas encore trop de personnes. La nuit a été agitée, très agitée. Le lendemain la chambre était méconnaissable, ni lui, ni moi n’avons fermé les yeux, après les trois coups (rire), j’étais lessivée, et surtout mal à l’entre jambe. Il m’a sorti la totale, et ne m’a laissé rien faire, rien. Pour qui comptait l'éblouir avec, la pipe mentholée (rire), la force des cristaux de menthe vous connaissez?. Ce n’est que vers 5 heures du matin que nous nous sommes endormi, après une douche bien chaudes

Franck (m’embrassant en pressant ma poitrine): Je t’aime bébé

Moi (caressant son torse): je t’aime encore plus

Ma main à glissé jusqu'à sa ceinture, où son engin était déjà en position

Moi (le poussant): Encore? Norrr

Franck (rigolant): qu’est ce que tu veux? C’est toi qui me fait cet effet. En plus n’oublie pas tous ces mois de sevrage

Moi (rire):  C’est pour ça que tu veux tuer l'enfant de Désirée?

Franck (me reprenant dans ses bras): Si elle ne me tue pas avant

Moi : mdr… Je n’ai plus de force


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