Chapitre 21
Write by Sandy's Aby's
Alban Remanda
Steve se lève et va fermer la porte à double tour.
Je donne un sujet : remercier le Seigneur pour le souffle de vie, pour ce qu’il est et qu’il est sur le point de faire…
On prie quelques minutes, ensuite on commence à adorer le Seigneur.
Puis on demande au Seigneur de nous montrer les choses caché comme il dit dans sa parole en jeremie 33 verset 3
Invoque-moi, et je te répondrai; Je t'annoncerai de grandes choses, des choses cachées, Que tu ne connais pas.
On se base sur sa propre parole et on le lui rappelle dans nos prières
Isabelle
Je n’arrive pas à me calmer, je tremble de tous mes membres, qui est ce monsieur qui sait ce que je fais dans le secret, comment il a su ?
Oh dieu ! attend mais oui ! ça doit être…
Non ce n’est pas possible que ça soit le marabout ! Mais comment ??
Je change mes vêtements illico presto, je prends mon portefeuille et je sors sans que personne ne me voit.
Bonie
Je me lève à peine et je vais me soulager, brosser mes dents et prendre un bon bain, je profite des vacs, grâce matinée etc…
Je sors de ma chambre direction celle de ya Jonna, elle est fermée, il doit certainement dormir encore.
Pendant que d’autres vont pour dormir, certains y vont pour commencer leur soirée, voici les conséquences lool, moi-même d’abord.
Je suis sur le point de me diriger vers le salon, lorsque j’écoute comme des cries de guerre, ça provient de la chambre de ya Steve ; il n’a pas l’air d’être seul.
Je me rapproche pour écouter à sa porte, il prie avec le respo Alban !
Je vais ensuite à la cuisine ou je constate que le ménage est fait.
Il ne me reste plus qu’a m’allonger sur le canapé pour suivre la télévision.
Chez les Koumba
Medelva
Il est midi Barbie et moi, dressons la table.
Maman a finallement fait le bouillon et Tante Brigitte nous a fait un copieu met, hmm rien que l’odeur te rassasie, on sent une vraie punu.
La table est fin prête, Tante Brigitte vient nous rejoindre au salon, elle à prit une douche et a porté un tee shirt que papa gardait dans ses affaires.
Papa, tante Brigite et maman s’atable, Barbie et moi préférons manger devant la télé.
Maman ouvre les marmites et pose les couvercle sur la table.
Elle : Jean sert toi !
Papa : Mais la marmite de viande est loin de moi, je me sers comment ?
Maman : Mèriè ! ce n’est pas toi qui m’a reveillé à cinq heure pour me dire que tu veux le bouillon de poisson ?
Tante Brigitte : Toi tu connais mal ton mari hein !
Maman : Même pas, ma belle sœur !
Je le connais au point ou je prévois toujours pour pas avoir de surprise.
Façon il m’a reveillé ce matin, j’ai eu les palpitations sur place.
Tantte Brigitte : Ah, bouali !!!
Papa : Christine, je suis le chef ici !
J’ai le droit de manger ce que je veux et changer à la dernière minute.
C’est moi le chef !
Maman pour couper court, connaîssant son mari, elle prend la marmite que tante Brigitte à préparé, et pose devant lui, il se sert et se met à manger. Barbie ne fait que pleurer de rire lool.
Quelque part à bambouchine.
Isabelle.
J’arrive à peine chez le marabout.
J'entre dans la pièce,
je retire mes babouches et je m'assois sur la natte.
Le marabout : Ma fille, pourquoi es-tu troublée ?
Moi : Ah pepa ! Les choses se compliquent, il y a un chient vert, conard qui ose venir me défier je ne sais pas qu'elle sorcellerie il utilise, son niveau là je n'ai jamais vu !
Lui : Humm ! C'est quoi son nom ?
Moi : Alban, je croix, je l’ai entendu un fois parler de lui au téléphone, pepa !
Lui : Laisse moi voir ça !
Il prend ses cauris, prend une plume rouge et une noir, place les cauris dans une calebasse creuse et place les deux plumes en croix.
Puis il pose un petit miroir devant la calebasse, il observe.
Lui : As-tu suivis mes recommandations ?
Moi : Oui bien sûr pepa !
J'essaie de rentrer en contact avec le jeune homme mais je me rends compte qu'il n'est pas seul.
Isabelle : Non pepa et c'est son ami là qui est aussi sorcier !
Lui : Ah ! Je n'arrive même pas à le voir !
Isabelle : Il m'a dit que je fétiche son ami, je ne sais vraiment pas comment
Il est au courant de cela. Je vais lui donner une bonne leçon.
Le marabout (frottant sa barbe) : Il doit être dans un grade supérieur. Humm, laisse moi voir ça ! Moi on ne me défie pas.
Il prend une calebasse, fait signe a un de ses aides et lui demande d'apporter un coq. Ce qu'il fait de suite.
Le marabout attache une corde sur sa tête et allume Une torche indigène et commence à incanter.
Le coq se met à tournoyer sur lui-même Et chante puis il avance droit devant , puis se tord et fait ce que j’appelle une crise comme celle de l’épilepsi.
Le marabout prend un couteau de chasse, invoque les esprits et s’apprête à couper le cou.
À peine le couteau touche le coup que soudain, le sang jailli et nous éclabousse tous.
Le couteau se met à tournoyer à la vitesse d'une hélice en plein vol. Prise de panique je recule mais je me rend compte que le marabout est paniqué lui aui aussi, et moi qui croyait qu'il était à l'origine de ce qui arrivait ! Tchiup.
Le marabout (criant) : Il faut sortir d'ici sur le champ !
Je ne me fais pas prier je prends mes jambes à mon cou suivit du marabout, et son aide de fermer le rideau après nous.
Moi (à bout de souffle) : Qu'est-ce que c'était ?
Lui (les bras croisés, tremblant) : J'ai sous-estimé le jeune homme, je ne sais pas dans quel ordre il opère mais je préfère me retirer, je tiens à ma vie.
Tu feras mieux de t'en aller et va faire disparaitre la calebasse que je t'ai remise.
Moi : Mais tu es malade !
Donc tu veux abandonner si facilement ?
Donc moi, j'ai risqué mon renvoie au village pour que tu viennes me raconter tes sottises ?
Lui : Madame, si vous voulez continuer allez-y chez un autre marabout, ce n'est pas ma vie que vous allez sacrifier.
Si c'est l'argent que vous voulez, tenez, reprenez votre argent.
Il fouille sa tunique et me remet mes cinquante mille.
Je le lui arrache presque des mains, et je bats en retraite.
Moi : Quel conard ! Incapable d'intervenir, tchiup.
Quant à toi, je vais régler ton cas.
Je ramasse une pochette qui traîne et essuie le sang qui est sur moi., mais il en reste encore sur mon vêtement.
Pendant ce temps chez les Asseko.
Steve.
On continue la prière quand je sens une chaleur me prendre des pieds en montant progressivement le long de mon corps.
Je stop un moment.
Moi : Alban, fait appel à Bonie s’il te plaît !
Il ouvre la porte et sort de la chambre et revient quelques minutes après avec Bonie.
Moi : Appelle maman pour qu’elle vienne se joindre à nous s’il te plaît, je sens que c’est plus sérieux que je ne le pensais.
Bonie exécute, elle revient avec maman, affolée.
Maman nous trouve en train de prier, elle se calme et rentre.
Moi : Bonie, appelle le pasteur Jérémie s’il te plaît dit lui de venir si c’est possible.
Bonie (Prenant mon portable) : Ok yaya !
Moi : Maman, juste te dire qu'il y’a des fétiches dans la maison.
Alban a été saisi tout à l’heure et il a reçu que je suis influencé par des esprits qui me veulent du tort. J'ai fait un rêve avant ça qui me confirme carrément cela.
Maman : Qui a bien pu les apporter ?
On n'a jamais eu ce genre de chose dans cette maison !
Moi : Alban pense que c’est Isabelle et je commence aussi à douter d'elle !
Maman : Nzian ! ça ne lui ressemble pas !
Moi : Ça ne ressemble à personne maman mais il y à forcement quelqu’un qui l’a fait, et je ne pense pas que ça soit Bonie, Jona, toi, papa ou moi-même !
Maman : Qu’est-ce qui vous fait dire d’abord qu’il y a forcément des fétiches ?
Alban : Maman Dieu n’est pas un menteur !
Maman : Prions alors, je vais chercher Isabelle pour qu’elle se joigne à nous. Je n’accepterai pas ce genre de conneries dans ma maison.
Maman sort de la chambre un peu énervée.
Bonie (rentrant dans la chambre) : Le pasteur Jérémie verra comment arriver, il a un entretient.
Moi : Ok, maman est allé chercher Isabelle pour qu’on prie tous ensemble.
Bonie (me tendant mon téléphone) : C’est quoi le souci ?
Moi : Alban a reçu que Isabelle fait des fétiches sur moi.
Bonie : Ah ça c’était évident !
Alban : Pourquoi ?
Bonie : A cause du comportement de yaya, on en parlait récemment avec ya Jonathan.
Il a l’air différent quand elle est dans les parages, on se demandait même s’il n’étais pas déja sous son charme façon il se comportais là.
Alban (me regarde comme pour me dire) : As-tu vu ? Ça confirme ce que le Seigneur nous a révélé.
Maman : Isabelle n'est pas là, elle à dû sortir.
Bonie (les bras croisés) : Sans ta permission ?
Maman(les mains à la tête) : Eh ma fille, j'espère que je ne suis pas allé chercher un monstre pour mon fils oh !
À Nzame wôm !
Continuez à prier Je vais l'attendre à la terrasse.
Adeline Obone (mère de Steve )
Donc moi Obone, je suis passé à côté en choisissant une sorcière à mon fils ?
Non je ne croix pas, peut être ils se trompent de personne,
Le portail s'ouvre enfin sur Isabelle, qui est surprise de me voir, elle reste figée devant le portail, voyant mon mécontentement.
elle avance ensuite lentement vers moi.
Moi : Ah Obone, tu reviens d’où comme ça ?
Elle se met à genoux devant moi.
Moi (hystérique ) : han han, lève toi ! Et répond moi !
Elle ( faisant couler les larmes) : Mama, pardon, j' étais m'acheter des produits de soins, j'ai pas voulu te déranger !
Bonie (m'interrompant, affolée) : Maman ! Vient voir ce qu' on à trouver oooo !!