Chapitre 21: pardon

Write by Boboobg


... Jonathan.... 

Elle : monsieur, elle insiste. Elle dit qu'elle est votre mère et que.... 

Moi(ferme) : je t'ai dis et redis que cette femme n'est pas ma mère. Donc appelle la sécurité et mettez la à la porte ! 

Elle : bien monsieur ! 

Depuis que j'ai mis un sièges pour mon buzness, ma mère n'arrête pas de venir. Soit disant qu'elle veut me parler. Mais après avoir plus que gâché ma vie, que me veut elle. 

J'ai appris par sami que papa est revenu à la maison mais qu'ils font chambre à part. 

George est venu me voir une fois pour que j'accepte de parler avec sa mère. Je lui ai bien transféré le fond de ma pensée. Ce 'est pas lui dont on a gâché l' existence. 

Surtout avec la disparition de lovely et ma fille, je n'ai envie de rien. Et surtout pas d'arranger les choses avec qui que ce soit. 

J'ai tout fait, aéroport, gare, port. Aucune trace ! À croire qu'elles se sont volatilisés. 

(...) 

Ça fait trente minutes que je suis devant ce restaurant sans avoir le courage de rentrer. Mais je dois savoir et ci affronter cette femme aujourd'hui est l' ultime lois pour ça, je dois le faire. Ma fille et la femme de ma vie ne peuvent pas disparaître comme ça. 

J'entre et me place à une table vide. Une serveuse viens tout de suite me tendre le menu. 

Moi: heu s'il vous plaît, es que la proprio est là ? 

Elle : oui pourquoi ? 

Moi : en fait je suis entrepreneur et nous avons affaire. 

Elle : heu d'accord, je vais l'appeler. 

Quelques minutes après, je vois cette femme arrivé. Ça fait des années que je ne l'ai pas vu. A voir l'expression de son visage, elle m'a reconnu. Elle paraît dégouté. 

Clarisse Oko : que me vaut l'honneur de ta visite ? 

Moi: bonjour maman, comment allez ? 

Clarisse Oko : assez bien de toute la journée sauf quand je t'ai vu assi là dans mon restaurant ! 

Moi: maman je sais que je vous ai déçus et que je ne peux rien faire pour changer votre vision des choses vus à vis de moi. Mais je vous demande pardon, pardon pour tout. 

Clarisse Oko : ce n'est pas à moi de te pardonner mais à ma fille. 

Moi: c'est aussi l'une des raisons pour lesquelles je suis là. Nous nous sommes vu une ou deux fois avec Lovely à propos de notre fille et puis elle a disparu. (triste) à défaut d'avoir la femme de la vie de nouveau, je veux au moins savoir où se trouve ma fille. 

Clarisse Oko : donc après que ta mère l'ai nié en ton nom, tu as la prétention de venir demander après elles ? 

Moi: je suis désolé. Maman a agi sans que je ne sache rien. Ça a ne fait que quelques mois que je connais l'existence de ma fille. 

Clarisse Oko : je ne te dirai rien de ce que tu veux. 

Moi: je sais madame. Mais je sais que vous lui direz à elle. Je veux faire partie de la vie de mon enfant et je suis prêt à aller devant le tribunaux. 



... Lovely... 

Une fois encore je viens frapper à la porte de sa chambre pour lui parler mais elle refuse de m'ouvrir. 

Moi(derrière la porte) mimi ton comportement est tout à fait normal mais tu me manques, tu nous manques ! 

Je prends la direction opposé quand je croise Hope dans le couloir, les cheveux en bataille. 

Hope : Maman ? J'ai besoin d'avoir de jolies tresses ! 

Moi: celles que tu avais étaient encore jolies ! 

Hope : mis papa nous emmène au restaurant alors j'en veux d'autres. 

Moi: je suis fatigué chérie ! 

Hope (touchant mon ventre) : ça c'est parceque bébé n'arrête pas de faire grossir ton ventre ! Je vais demander à Mimi ! 

Elle va devant la porte et frappe. 

Hope : Mimi c'est moi ! 

La porte s'ouvre et elle y entre. J'entends ensuite la serrure. C'est comme ça ! 

Juste Hope, José et certaine fois Marie ont le droit d'y aller et de lui parler. Ça me fait de la peine de la voir comme. Dès qu'elles passent leurs examens, on rentre. Avec ou sans Alphonse, nous on va rentrer. De plus, je n'ai pas envie d'avoir mon bébé loin de chez moi. 

Je descend à la cuisine me goinfrer de glace avant que Tracy vienne me rejoindre. 

Tracy : j'ai besoin d'une signature pour une émulation culturelle au lycée. 

Moi: heu bien essayé mais ton père a été très clair. Pas de sortir ! 

Tracy (suppliant) : je sais bien que c'est à cause de moi que nous sommes ici. Que c'est à cause de ma honte que je lui ai causé que nous subissons tous les conséquences mais je ne vais pas être emprisonné ! 

Moi: je sais mais ce n'est pas moi qui décide. 

Tracy (les larmes dans les yeux) : je sais. Je ne devrais pas me plaindre mais c'est plus fort que moi. Papa ne me parle pas, Mireille non plus. Je me sens indigne de vous. Et ça faut encore plus mal de savoir que tout ça est de ma faute. 

Moi(la prenant dans mes bras) : rien n'est de ta faute. Tu vois, t'es exercice avec la psy t'aide. C'est la première fois que tu t'ouvre et parle de ce que tu ressens. (prenant son visage dans mes mains) tu n'es en aucun cas responsable. Ce garçon t'a manipulée et Dieu seul sait pourquoi mais il paiera s'il ne le fait pas déjà ce qu'il t'a fait. Ton père et Mireille, ça leur passera. 

Tracy (sourire timide) : j'aurai dû simplement venir te voir et te dire ce que je ressentais. Au lieu de me mettre à te haïr sans raison. La psy dit que ça a été la porte d'ouverture pour lui, afin de me faire faire ce que je ne devais pas. (pleurant) je suis tellement désolé pour tout ça. Je ne voulais pas ça ! 

Voix devant la porte : mais ce n'est pas lui qui a dit que j'étais collante ? 

On de retourne toute les deux sur Mireille qui semble avoir entendu tout. 

Mireille (rouge de colère) : c'est toi qui m'a délaissé, qui lui a dit toute ces choses blessantes sur moi et c'est encore de ta faute si aujourd'hui je suis loin de chez moi. Tu ne mérite même pas que la sœur te prenne dans ses bras. 

Moi: Mireille ! 

Mireille : quoi ? Qu'est ce qui est faux dans ce que je dis ? Je n'ai rien demandé moi ? Rien ! Mais il a fallu que mademoiselle Onda fasse je ne sais quoi pour que je sois obligé de fuir mon pays comme une vulgaire voleuse ! 

Elle déverse sa colère les larmes pleins les joues. C'est bien que ça sorte. 

Contre toute attente, Tracy quitte mes bras et se met à genoux devant mimi. 

Tracy (pleurant) : je suis tellement désolé de t'avoir fait et de te faire mal. Je regrette tout, je regrette tellement si tu savais ! Pardonne moi, je ne supporte plus que tu t'enferme loin du monde à cause des conséquences de mes actes. A défaut d'occuper à nouveau cette place que j'avais dans ton cœur, accepte juste de m'accorder ton pardon. Pas pour moi, mais pour toi même. Je te connais assez pour savoir que cette situation te fait plus de mal qu'à quiconque. Ne devient pas mégère à cause de moi. Pardon, pardon ! 

Mireille se jette en larme dans les bras de Tracy et moi aussi comme une maboule je me met à pleurer. 

Mireille (venant devant moi) : je suis désolé d'être aussi méchante avec toi ! 

Moi(la tirant contre moi) : je t'aime petite sœur. Je vous promet à toutes les deux, qu'après votre examen, on se tire d'ici ! 

Mireille : c'est vrai ? 

Moi: parle de la fille d'Oko ! 

On se prend toute les trois dans les bras. Je suis contente que ma sœur ai enfin ouvert son cœur. 

Leur examen est dans un mois, je dois déjà commencer à tout planifier. Je donnerai une chance à Alphonse, soit on s'en va tous en famille, soit il viendra nous rejoindre là bas. 


... Ray.... 

Je me réveille de nouveau. Ce n'était pas un cauchemar. Je suis bien dans une chambre d'hôpital et je ne sens plus mes jambes. 

L'infirmière à côté de moi me parle en français dans un accent américain très prononcé. Donc je suis aux state. 

Elle: vos parents seront là au plus tard demain matin. Je sais que c'est difficile mais laissez moi vous dire que vous avez eu beaucoup de chance ! 

Je le contente de la regarder sans pour autant écouter ce qu'elle me dit. Je n'ai qu'une seule envie, voir ses magnifiques lèvres rose s'ouvrir, s'ouvrir pour crier de douleur. J'ai envie de lui faire mal mal. Je suis convaincu que si je lui fesais mal, j'en éprouverai de la satisfaction.

Moi: comment vous appelez vous ? 

Elle(souriante) : Nicole, Nicole Rose! 

Moi : Rose ! Vous avez un prénom magnifique. J'aimerai tellement pouvoir me lever, afin de courir vous acheter des roses. 

Elle(rougissante) : heu je ne sais pas quoi dire 

Moi (hum une proie facile) : vous devez comprendre que vous êtes une femme magnifique et que vous avoir ainsi tout proche de moi, me fais me sentir extraordinaire ! 

Elle (rougissant encore plus) :...

Moi (la fixant) : j'ai envie de vous Nicole ! 

Elle(choqué et flatté) : ho 

Moi(la détaillant) : je veux que votre châte toute rose vienne s'empaler sur mon membre (lingala montrant) regardez dans quel état je suis ! 

Elle(faussement outré) : c'est inadmissible monsieur, vous un patient et ce genre de chose... 

Je remarque bien qu'elle le veut aussi car sinon, elle aurait déjà quitter la pièce. Elle ne serait pas là à rougir comme une tomate mûr, en serrant les jambes peuvent que ça l'excite. 

Moi : avez vous déjà goûter au noir ? 

Elle(décontenancé): what ? 

Moi(la fixant dans le yeux) : je ne vous parle pas de vos black métissé jusqu'à la moelle, je  vous parle du noir du vrai, de l'africain avec tout ses atouts. 

Elle se décide enfin à se lever mais pas pour s'en aller mais pour fermer la porte à clé. Ha les femmes, toute des petites putes. Je me demande même comment je sais tout ça ? 

Elle enlève lentement sa jarretière avant de venir se mettre sur moi. Il me suffit juste de remonter la couverture pour lui montrer mon membre tout dur. Émerveillé par cette vision, elle s'empale avec empressement. 

C'est elle qui mène la danse mais l'image de son cou dénudé et en sueur attire plus mon attention. Sans pouvoir me controler, je pose mes mains de part et d'autre de celui ci et me met à le serrer de toute mes forces. Son visage devient tout rouge dû au manque d'air, elle arrête de bouger et je prends la relève. Content de constater que l'immobilité de mes jambes ne m'empêche pas d'être performant. 

Elle se met à suffoquer, la jouissance ne tarde pas à me saisir. 

Elle m'enfonce ses doigts dans la peau des mains pour le faire lâcher. 

Elle: please... 

Les images de moi en train de tuer une femme s'empare de mon esprit. D'autres succèdent à celles ci et puis je la relâche  en jouissant. 

Elle se laisse tomber hors du lit et tousse pendant un bon moment, les yeux semblant sortir de son crâne. 

Elle (entre deux toux) :Mother fucker, you want kill me ? 

Moi(souriant): peut être ! 

Elle : you are a psychopath, je dois le dire aux médecins, vous devez être interner, vous... 

Moi(la coupant) : tu ne vas rien dire à personne (menaçant) ou peut être tu tiens tellement à ce que tout tes collègues sachent que tu couches avec les patients ? 

Elle me regarde en blemissant avant d'ouvrir la porte en tremblant. 

Je souris car je viens de me rappeler de tout. De ma vie, de mon plan, d'elle et de lui. J'avais déjà tout ce que je voulais, mais j'ai commis une erreur. Je n'ai pas pris en compte que le père de Tracy avait le bras long et qu'il ferai suivre sa fille. Je ne l'ai pas vu venir (regardant mes jambes) et j'en ai payé le prix. 

Ce monsieur m'a pris en otage dans mon propre appartement. A l'aide d'une batte, il m'a frappé encre et encore jusqu'à ce que je perde connaissance. Il attendait que je me réveille pour me frapper et ainsi de suite pendant des heures. Puis s'en est allé me laissant presque mort en emportant tout ce que j'avais sur sa fille. 

Il a dû croire que j'étais mort alors, et bien en voilà une erreur monsieur Onda. Avant je voulais la fille, mais maintenant, je vois veux tous. Tous sans exception. Je me vengerai de la plus sale des manières qui soit. Au moment où vous vous attendrez le moins, quand votre vie sera presque parfaite, je m'amuserai à le détruire. 




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