Chapitre 24

Write by Hübsch

Je n'arrivais pas à croire ce qui venait de se passer. Cette soirée était la dernière chance que j'avais de reconquérir Miranda. La soirée avait bien débuté. J'espérais vivement qu'elle allait me pardonner mais hélas elle a décidé autrement. Elle m'a demandé de sortir de sa vie d'un ton si sec que j'en ai pris peur. Me déteste elle à ce point ? Comment suis je censée vivre sans elle ? La sortir de mon coeur ? Je l'aime. Je n'ai jamais eu si mal de ma vie. J'avais le sentiment d'être poignardé. Elle n'a même pas cligné des yeux. Pourtant elle m'a dit qu'elle m'aimait. J'avais failli m'ecrouler dans ce restaurant. Fondre en larmes et la supplier de ne pas me faire ça. Mais à quoi cela aurait servi. Elle semblait décidé. Tout ce que j'aurais réussi à faire serait de me ridiculiser. Je la reconduisit chez elle en faisait tout pour cacher le mal que je ressentais. Je pensais qu'elle allait me regarder mais elle resta impassible. Elle en avait fini avec moi. Il n'y avait plus d'espoir. Elle ne me donna même pas un dernier regard d'adieu. Elle avait sans doute hâte de se débarrasser de moi. Je voulais appeler Julie pour m'aider à évacuer toute cette tristesse mais je ne voulais pas non plus compliquer les choses avec elle. Je conduisit directement chez moi et deversa ma colère sur ma bouteille de whisky et là c'est arrivé. J'ai pleuré. Un si grand homme comme moi. J'avais terriblement mal et j'avais envie de parler à personne.J'ai pleuré comme une petite fille. Je ne sais même pas quand ni comment les larmes ont envahi mon visage. Laissé à mon triste sort,  La sonnerie retentit. Je l'ignorais avec toute mon attention vu que je n'attendais personne. Elle retentit de plus belle. Enragé je jetai mon verre contre la porte qui se brisa en morceaux et alla ouvrir. C'était elle. Elle était là. Ou bien peut être que j'étais trop soûl et que j'hallucinais. Elle était dans la même robe que toute à l'heure au restaurant. Elle avait relâché ses cheveux et me regardait. J'étais dans un état pitoyable et je ne savais pas quoi dire. Peut être qu'elle avait oublié quelque chose d'important dans ma voiture et était venu le récupérer. J'ouvris ma bouche pour parler mais aucun son ne sortit. 

_M-i-r-a-n-d-a ! 

_Chuttttttttttt. Tu vois comment ça fait mal ?

 Elle m'empecha de parler avec son doigt sur ma bouche et très vite sa bouche pris la place de son doigt. Je ne comprenais pas ce qui était entrain de se passer. Était ce un rêve ? Elle m'embrassa langoureusement. Non je ne rêvais pas elle était belle et bien là. Je la tira à l'intérieur et ferma la porte. Je la souleva et la transporta dans ma chambre. Je lui enleva sa robe très délicatement. Elle était couché les cheveux relâchés .je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder. Elle était là. Elle ne m'avait pas abandonné. Elle était revenue.j'enleva aussi mes habits et alla me coucher à mon tour à ses côtés. Je la pris dans mes bras et la serra très fort de peur que le lendemain matin elle ne soit plus là. 

_J'arrive pas à croire que tu es là. 

_je suis là et je ne vais nulle part .je suis désolée. Il fallait que je me venge. 

_Ne refais plus jamais ça stp. J'ai failli mourir. Je t'aime Miranda. 

_Ah bon ! Dis le encore. 

_je t'aime je t'aime je t'aime petite diablesse.

Je la couvrit de baisers et je voulais rester là comme ça  toute la vie  dans ses bras. Je suis plus que contente que Miranda m'ait pardonné. Je lui demandai alors si elle avait commencé son traitement. Elle me raconta en gros comment ça se passait et comment elle devait retrouver sa mère comme première étape. 

_Tu peux compter sur moi pour quoi que ce soit .Et si tu veux que je t'accompagne je viendrais. 

_Vraiment ? Ça ne serait pas pour te faire racheter ? 

_Non.je suis prêt à tout pour toi et je veux que tu saches que je serai toujours là pour te soutenir si tu as besoin de moi. 

_D'accord mais pour l'instant je ne préfère pas parce que Charlotte risque de te crever les yeux. 

_On vient de se remettre ensemble et voilà que je dois gérer des menaces de mort. 

_hahahhah. Je vais lui dire mais je ne sais pas encore comment elle va le prendre. Elle ne veut que mon bonheur. 

_Et donc ! 

Je lui arracha son soutien gorge et glissa ma main sur sa poitrine. Mes doigts caresserent ses seins palpitants lui volant de nouveaux gémissements.je contemplais sa poitrine nue, offerte. Une poitrine bien charnue. Sans attendre elle se pressa contre moi et me couvrit de fiévreux baisers. Je lui écarta les cuisses et me mit à caresser son sexe brûlant et moite avec en tête une seule pensée. Elle était mienne. Miranda était mienne. Je me penchai et tout en glissant un doigt en elle je posai ma bouche sur son clitoris lui tirant des cris étouffés.Du bout du pouce j'effleurais son bouton doré faisant monter en elle un plaisir intense.

_Dis moi que tu m'aimes. 

_Tu le sais déjà. 

_Je veux te l'entendre dire Miranda ! 

_Je t'aime Ari plus que tout. 

_Dis moi que tu ne me quittera plus ? 

_Ça dépendra uniquement de toi. Si tu es bien sage et tu évite de me faire pleurer tu m'auras peut être à vie. 

Je ne pus me retenir de verser une larme mais de bonheur cette fois ci. 

_Je t'aime Miranda et je ferai tout pour ne pas te décevoir cette fois ci. Tu ne regretteras pas de m'avoir donné une seconde chance. 

Elle me fit taire par un baiser. Soudain sans cesser de lui prodiguer ces délicieuses caresses je posai ma bouche sur son sexe humide et la lécha assidûment. Quand je sentis qu'elle était sur le point de gémir, j'accelerai ma caresse. Elle se cambra et s'abandonner à un orgasme éblouissant. Elle se mit à crier mon nom de plaisir. J'aimais l'entendre crier mon nom de la sorte. J'aimais être celui qui lui procurait toutes ces sensations. Elle se blottit contre moi et déposa la tête sur mon torse.je sentis une main glisser le long de mon ventre et se poser sur mon sexe déjà érigé. Cette caresse ranima toutes mes ardeurs. Elle continua son mouvement et me pris en entier dans sa bouche. C'est ainsi qu'elle me conduit moi aussi aux frontières de l'extase. Je l'aimais cette femme et je voulais passer le restant de mes jours avec elle. Après cet épisode fatigant on s'endormit dans les bras l'un de l'autre et on étaient heureux d'être là. Miranda passa la nuit chez moi et j'étais plus que ravi. J'étais heureux de me réveiller le matin et de la voir dans mon lit au réveil. De la réveiller avec un baiser comme si elle était ma femme. Oui ma femme il faut que je fasse d'elle la mère de mes enfants. Je me réveille pour lui faire un petit déjeuner. Il faut qu'elle prenne des forces. Elle prit une douche et enfila un de mes t-shirt puis me rejoignis au salon. Comme elle était belle juste avec un simple t shirt. MElle se sert une tasse de café avec du lait et vient s'asseoir sur mes cuisses. Elle avait la peau fraîche et ses cheveux sentaient bon.Mon pénis ne tarda pas à entrer en érection. 

_Il est gourmand le monsieur. S'écria t'elle avec une voix amusée. 

_Faut pas le provoquer toi aussi. Il ne répond présent que quand tu es trop prêt. 

Elle se rapproche encore plus et se frotta contre mon pénis debout dans mon boxer. Elle ne portait pas de sous vêtements. Cette fille allait me tuer. 

_Comme ça ? Oups ! 

Fis telle avec le regard d'une innocente. Elle accentua sa caresse. 

Elle me torturait carrément. Je ne sais pas comment mais on s'est retrouvé dans le canapé entrain de se faire des câlins et des bisous.Elle n'arrêtait pas de rire et son rire remplissait la pièce. Elle était heureuse et moi aussi.je suis l'homme le plus heureux de la terre.  Je l'invita alors à m'accompagner au dîner familial. Il était temps de passer aux présentations. Je n'ai pas l'intention de la laisser filer une deuxième fois .je veux rendre notre relation officielle. Je lui avais déjà raconté comment ces réunions ont été pénibles pour moi à cause des commentaires de ma famille sur mon incapacité à me poser donc elle accepta de bon coeur. Elle avait même élaboré un plan pour moi. J'aime cette fille et je suis sûre que ma famille aussi l'aimera. J'ai plus envie de me pavaner avec elle à mes bras et montrer à tout le monde comment je suis fier qu'elle m'ait choisi moi .

_Alors Ma belle on part pour deux jours. Tu es prête ? 

_Toujours. Mais il faut que je rentre chez moi faire mes affaires. Je te retrouve ici plus tard. 

_Et si j'ai pas envie de te laisser partir ? 

_je porte plainte pour cequestration'.hahahahha

Elle se leva et remua son derrière au passage pour me provoquer. Je la couru après et la transporta jusqu'au lit. On s'embrassa langoureusement pendant un moment puis elle se changea et prit un taxi pour se rendre chez elle. 

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Un secret si lourd à...