Chapitre 25

Write by Sandy's Aby's


Helena MAGUISSET


Il y avait là, un jeune homme et trois dames à l’intérieur de la boutique.


Nouna (nous précéda) : Bonjour à tous ! Dit-elle en poussant la porte de verre.


Le jeune homme et la jeune dame se tournèrent vers nous, nous saluant en retour pendant que l’autre jeune dame, le dos tourné, et une dame un peu âgée discutaient. 


Je reconnu aussitôt Célia sur l’une des tables.


Moi (me rapprochant d’elle) : Hey, Célia !


Célia (cherchant dans sa tête en s’enfonçant sur le canapé) : Heu ! Bonjour ! fit-elle les sourcils froncés.


Moi (tendant la main) : Helena, la fiancée d’Armand !


Off 

Comme si c’était encore le cas, j’espérais juste que la nouvelle ne se soit déjà répandue ! bref.


Célia (se souvenant) : Ah oui ! Helena, ça fait longtemps !


Pendant ce temps Graziella et Nouna commencèrent à longer les rayons tout en babillant.


Moi (continuant ma conversation) : C’est vrai hein ! Martin et toi vous nous avez zapper ! 


Elle eut un sourire gêné, comme si, elle se reprochait vraiment de quelque chose.


Elle (gesticulant) : C’est juste le temps expliqua-t-elle.


Moi (croisant les bras) : Ok, ça fait plaisir de te revoir, nous on est venu pour refaire renouveler nos sous vêt lol !


Celia (joignant ses main) : Je suis ici pour presque la même chose !


Moi (glissant mes mains dans les poches arrière de mon jeans) : Ah d’accord à toute à l’heure alors. Je suis juste là ! Désignais-je de la main.


Elle fit un oui de la tête un sourire de circonstance.


Je rejoignais Grazy et Nouna qui étaient désormais absorbées par les designs sans plus faire attention à moi.


Harmonie MAVOUNGOU ép. MENDOME.


Je terminais avec maman et me retournais vers Célia en remarquant trois clientes qui étaient de dos, concentrées à choisir les sous-vêtements et jacasser. Je les aie vu rentrer mais j’étais concentré sur ce que maman disait.

 Je me devais de l’écouter jusqu’au bout avant de m’occuper de Célia qui avait fini de déguster son café pour ensuite m’occuper des clientes suivantes.


C’est un peu chaud aujourd’hui car les commerciaux ont travaillé à l’extérieur.


Moi (me rapprochant de Célia) : Bien, je suis à toi !

Tu vas faire ton choix, je vais calculer le tout, te donner le montant totale et ensuite te les emballer.


Célia (ne voyant aucun inconvénient) : D’accord, pour commencer, j’aime bien ceux en peau de panthère que j’avais vu la dernière fois ! 


Moi (Lui montrant du doigt) : Il y’en a par là-bas !


Célia (Jetant un coup d’œil autour d’elle) : Je remarque que vous avez ajouté des rayons !


Moi (souriante) : Oui !


Célia (se déplaçant pour le lieu où je lui avais montré) : Ok, je vais mixer les designs ! annonça-t-elle en s’éloignant.


Je me dirigeais alors vers les jeunes demoiselles, c’est à ce moment précis, où dorothée entra dans la boutique et remarqua les clientes, elle eut un geste de recul, je les fixais à mon tour, ne comprenant pas vraiment l’expression de Dorothée, mon sang ne fit qu’un tour, lorsque je tombais sur, ELLE !


Non ce n’était pas possible !


Elle (le sourire aux lèvres) : S’il vous plaît c’est combien celui-ci ? questionna-t-elle en s’approchant de moi, en tenant un ensemble string couleur rouge sang.


Je me figeais pendant quelques secondes en la fixant, j’eu du mal à avaler ma salive ni prononcer quoi que ce soit si ce n’étais pas Dorothée qui vint à ma rescousse, car elle me tira de là en me trainant jusqu’à mon bureau puis dans les vestiaires pour m’aider à me calmer, je ne sais pas ce que j’aurai fait d’autre.


Pendant que nos chères clientes se demandaient, ce qui pouvais bien nous arriver à Dorothy et moi mais sans s’attarder dessus, conclure que certainement j’avais eu un malaise.


 Elles continuèrent leur conversation. 

Maman dû les rejoindre pour donner plus d’explication concernant les articles voyant qu'on ne revenait pas.


Je ne m’étais pas préparée à une éventuelle rencontre avec elle en plus, dans Ma boutique !


Ça ne pouvait pas arriver !


Horrible !


Ce qui est sûr c’est qu’elle va utiliser ces sous-vêtements avec Samuel ! ô mon Dieu !


Je n’ai même pas envie d’imaginer.


Dorothée (me tenant par les épaules) : Harmonie, je sais ce que tu peux ressentir présentement !


J’étais comme tétanisée, le regard vitreux, les larmes coulaient désormais, une après l’autre sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit.


Dorothée me caressait le dos puis, de sa main, tourna ma tête vers elle.


Dorothée (me fixant) : Tu ne vas pas te rabaisser ni te ridiculiser, je refuse. 

Considère que c’est une cliente comme les autres et affronte là sans lui faire savoir qui tu es, tu restes tout d’abord professionnel ! 

Ne salit surtout pas ta réputation s’il te plaît reprend toi, tu es au-dessus de ça !


Ce n’est pas une gamine qui va te faire perdre tes moyens !


Moi (essuyant mes yeux) : Je vais l’affronter, c’est tout ce que je peux faire mais j’ai besoin d’une minute, je crois savoir quoi faire !


On ressortit Dorothée et moi, quelques minutes plus tard.


Graziella OKOME MBA.


Je ne sais pas ce que la dame avait, mais c’est comme si elle venait de voir un fantôme elle s’est planté là et m’a fixé avec persistance, je fus même gênée !


Une autre dame qui à tout suivie, s’est approchée et l’a emmené dans ce que je crois être des vestiaires, sans elle, peut-être qu’on en serait encore là, ce qui éveilla tout de même notre curiosité.


Je me tournais vers Helena et Nouna qui me regardèrent sceptique !


Nouna (passant devant moi) : Tu la connais demanda-t-elle en rongeant son ongle !


Helena (d’un geste vif) : Bah peut-être, tu ressembles à quelqu’un qu’elle connait.


Moi (coupant court, me rapprochant du rayon) : Pardon venez voir ce magnifique string rose bonbon [me dirigeant près d’un rayon]. Fis-je pour changer de sujet.


Chacune d’entre nous tenait un petit carton avec le logo de l'entreprise où on posait nos articles avant de se rendre à la caisse pour le règlement.


Puis les deux dames de tout à l’heure ressortirent le sourire aux lèvres.


Etrange !


L’une d’elle, celle de tout à l’heure, se rapprocha de nous.


La dame (grattant son front, gênée) : Euh excusez-moi ! M’interpella-t-elle de retour dans la boutique, vers les rayons.


Nous portâmes unanimement notre attention vers elle, curieuses de savoir ce qui se passait concrètement dans sa tête.


Elle (Le sourire coupable) : Euh ! Je tiens à m’excuser d’abord de vous avoir dévisager de cette manière, sachez juste que je vous ais confondu à une amie à moi…enfin, une amie décédée ! Expliqua-t-elle.


Nous fîmes choquées mais malgré que ce n’était pas mon cas car j’étais bien vivante.


Helena (curieuse) : Si je puis me permettre, comment est-elle morte ?


Elle (le regard songeur) : Oh ! renversée par un [elle blêmit] … dix roues chargées de billes d’okoumé !


Nouna, les yeux écarquillés, poussa un petit cri horrifié, en plaçant sa main devant la bouche. 


J’étais si choqué et horrifié en même temps, Helena se figea, la bouche entrouverte.


Helena (faisant un énorme effort pour se contrôler et organiser ses idées) : A-t ’on put au moins l’identifier ?


Elle (baissant les yeux) : On n’a pas eu besoin puisque son corps était en compote…


A cet instant même moi je ne pus m’empêché de pousser un cri horrifié.


Elle (ajoutant) : J’ai assisté à la scène !


L’autre dame (s’adressant à elle, en se penchant vers son oreille) : Je crois que Celia à terminer.


Elles s’excusa et alla s’occuper de la cliente qui était prêt à passer à la caisse.


Moi (intriguée) : Je crois que ma journée est gâtée je n’étais pas parenté à cette dame mais j’éprouve une vive douleur concernant cette dernière, je pense que l’image de son amie décédée va me hanter toute la soirée à moins que je me change les idées quelque part.


La dame qu’on avait trouvé dans les rayons avant nous, nous devança avec ses sacs en papier contenant les articles qu’elle s’était achetés.

 Elle fit de la main, un signe d’aurevoir à Helena qui lui sourit en retour.


Helena (qui avait repris contenance) : Les fille vous avez là madame MEVIANE alias Martin.


Nouna (me fixant incrédule) : Tu n’es pas sérieuse !


Helena (nous devançant) : Je crois que nous avons assez prit de sous-vêtement il est temps de partir.


Moi (croisant les bras, furieuse) : Mais tu ne nous as rien dit, imagine qu’elle reconnaissait Nouna ? la questionnais-je, en l’emboîtant le pas.


Helena (sans s’arrêté d’avancer) : Je vous aie juste protéger car en me rapprochant d’elle, c’était pour se rassurer qu’elle ne connaisse pas Nouna.


Bref.


Helena (devant le comptoir) : On peut savoir combien ça fait s’il vous plaît.


La dame âgée prit les cartons de chacune, les comptabilisa pendant que celle de tout à l’heure se rapprochait.


La jeune dame (s’adressant à celle âgée) : Euh, laisse-moi faire maman !


Elle afficha un sourire neutre.


Elle nous communiqua la somme totale puis elle me tendit un ensemble un sourire que je n’arrivais pas à décrire aux lèvres.


Elle (la main tendue vers moi) : Offert par la maison…un peu pour m’excuser aussi.


Moi (surprise) : Waouh ! c’est très gentil dis-je en prenant l’ensemble un peu hésitante.


Nouna (me fixant) : Waouh c’est magnifique, je n’ai pas vu ce design sur les rayons.


Elle (les mains posées sur le comptoir) : Oh c’est le seul exemplaire ! mais j’ai déjà lancé la commande. D'ici là, vous l'aurez.


Moi (la fixant en souriant) : Merci !


Quoique, La gentillesse de cette dame me déroute.


Après avoir réglé on quittait la boutique, direction la maison.


Harmonie MAVOUNGOU ép. MENDOME.


Je souriais toujours en les regardant s’en aller, fière d’avoir mené à bien mon projet presque machiavélique.


Dorothée se rapprocha précipitamment de moi en quête d’information et battant ses mains sous les regards plein d’incompréhension de maman et Leonel.


Dorothée (le sourire aux lèvres) : Bravo tu as assuré !

Comment tu te sens ?


Moi (inspirant et expirant) : Je me sens… maitresse de la situation. Soufflais-je en allant m’affaler sur le canapé.


Dorothée (croisant les bras) : Bah voilà, ça n’aurait servit à rien que tu lui reproches quoi que ce soit où encore que tu lui portes main.


Maman (un brin de curiosité dans la voix) : Qu’est-ce qui se passe ?


Moi (me tournant vers elle) : Mamé, parmi les filles que tu as vues là, celle à qui j’ai remis l’ensemble gratuit ?

C’est elle la maitresse de Samuel.


Maman (écarquillant les yeux) : wi furi ! (Tu mens !) 


Moi (amusée) : Ngo u fure eh ma ! (je ne te ment pas maman !)


Maman (croisant les bras) : Mais, vraiment, elle est culottée de se pointer ici !


Dorothée (pointant le bout de son doigt sur le comptoir) : Maman, elle ne sais pas que c’est la femme du monsieur avec qui elle sort qui se tenait devant elle !


Maman (fixant dorothée, la mine déconfite) : …


J’éclatais de rire en voyant la réaction de maman.


Shirley DIVOUNGUI.


Depuis ce matin, EYOUBANGOYE et Heinrick sont chez moi. J’ai tenu à les inviter, voir, là où je vis désormais.

 On se met à l’aise dans mon salon, mon blanc est sorti faire une course.


Ça faisait longtemps qu’on ne s’était pas vu avec les garçons. Et depuis que Natacha s’est rendue en Côte d’Ivoire, on s’est revu qu’une seule fois !


Heinrick (s’adossant sur le canapé) : Moi je vous ai toujours dis de rester tranquille, toi, tu avais un bon mec, cool et tout mais tu as décidé de le quitter pour un moussoto… (un homme incirconcis)


Shirley (l’oreille tendue) : Hein ?


Heinrick (posant son verre de bière sur la table basse) : Je parle des guys (gars)  incirconcis comme ton blanc là !


Eyoubangoye (tapant dans ses mains en riant) : Mort de rire ! Un moussoto avec la peau qui pend ! Tu éprouves du plaisir même ? est-ce que tu manges l’oreiller (avoir un orgasme) ? fit-il en ricanant 


Shirley (souriante) : …


Heinrick (fixant Shirley) : Moi, je ne vous comprends pas, vous mes sœurs Gabonaise là !  

Tu laisses un bon mec pour un blanc et quand je vais dire que vous êtes complexé, oh non !

 Finalement vous cherchez quoi ? Si ce n’est l’argent, le luxe ?

 Quelques fois, ça vous rattrape hein !


Shirley (croisant ses jambes) : Mais est-ce que c’est un problème ? 

Je n’ai pas dit que je vais forcément finir avec lui, il est marié, moi je me cherche !


Elle avala sa bière et posa la canette sur la table basse.


Heinrick (mon bras sur le dossier) : En tout cas j’ai des paquets de kleenex chez moi pour toi quand tu vas regretter. 

[Se tournant vers moi]

 N’as-tu pas tiré un enseignement de ce qui s’est passé avec ta sœur Natacha ? 


Désormais obligé de vivre loin de ses parents. Imagine un temps soit peu que la pauvre femme mourait ?


Shirley (le regard coupable) : J’avais oublié que toi, tu es un moralisateur !


Eyoubangoye (le bras posé sur l'accoudoir ) : Il a tout à fait raison. 

Je suis d’accord avec lui.


Shirley (prenant à nouveau sa canette) : Pardon buvons !


Je ne supportais pas qu’il me parle de la sorte. Ce qui est arrivé à Natacha, c’est peut-être juste une malchance, ce n’est pas pour autant que ça va aussi m’arriver à moi !


Est-ce qu’on a une même étoile ?


Certes, Richard est marié ! Mais sa femme est aux USA, donc je ne crains rien, les choses sont totalement différentes.


Heinrick : Et Richie ? questionna-t-il.


Shirley (prenant une gorgée avant de reposer sur la table) : Il est chez ses grands-parents, je fais quoi avec lui maintenant ?

 Je ne veux pas les charges pour l’instant.

 Depuis qu’il est né, il n’a jamais vu ses grands-parents donc là, ils font le rattrapage des câlins.


Heinrick (stupéfait) : T’es-tu un jour demander s’il n’avait pas besoin de sa maman ? 

Déjà, tu l’enlèves de chez son père, pourquoi ?

 il n’a jamais vu ses grands-parents, pourquoi l’envoyer là-bas ?


Shirley (agacée) : Rohh, Heinrick ! 

Est-il le premier sur terre à vivre sans sa mère ?


 Je n’ai pas voulu que la nouvelle femme de son père la maltraite, c’est tout !


Heinrick (la fixant, amusé) : Humm ! Pardon ma bouche !

Toi là, tu as toujours affectionné les problèmes !


Shirley (m’allongeant sur le fauteuil) : Hum pourquoi vont-ils se la couler douce avec mon fils, elle n’a qu’a lui faire un enfant, c’est tout !


Moi je lui ai poussé un enfant, un garçon en plus !

 Qu’elle fasse pour elle et on verra !


Eyoubangoye (l’air soudain anxieux) : Un enfant que tu élèves comme si c’était l’enfant de la voisine ?


Shirley (manipulant son téléphone) : Déposez-moi oh !

 On n’est pas là pour les remontrances. Dis-je toujours allongée sur le canapé, la tête relevée par une taie.


Heinrick (changeant de sujet) : Tu te souviens de Martine, notre condisciple qui a perdu sa mère il y’a quelques mois ? On était allé veiller Eyoubangoye et moi ?


Shirley (le fixant) : Je connais Martine !

 Elle nous faisait même la concurrence Nathacha et moi, tellement elle farotait à l’U.O.B là-bas !


Eyoubangoye (éclata de rire) : Tchouo, les filles du grand portail !


Heinrick (le regard sur sa canette) : Elle se marie bientôt là !

 fit-il nonchalamment avant de reporter son regard vers moi.


Moi (le fixant subitement) : …


Tu blagues !


Mais le papa là est marié non ?


Heinrick (levant les yeux) : Est-ce que ça constitue une barrière pour vous ?


Moi (manipulant à nouveau mon téléphone faisant fi) : …


Eyoubangoye : Cette fille qu’on appelle Martine en question, malgré qu’elle soit avec un homme marié, elle couche toujours dehors !


Heinrick (fixant Eyoubangoye) : C’est la vie qu’elles ont choisies !


Désire NGUIMBI.


Tonton Tanguy (à l’autre bout du fil) : Bonjour mon fils, comment vas-tu ?


Désiré (poussant le rideau du salon) : Bonjour tonton ça peut aller !


Tonton Tanguy :   Très bien ! Comme je te le disais, on est à la recherche d’un local pour l’entreprise.

Pour le moment nous avons eu six propositions mais on n’a personne sur le terrain pour aller vérifier et nous donner un retour on a besoin de quelqu’un de confiance et tu es le seul que j’ai sous la main.

J’aimerai que tu te charges de ça s’il te plaît !

Tu seras par ailleurs payer pour cette mission.

Apparemment l’entreprise veut s’installer le plus tôt possible.


Désiré (grattant le front) : Waouh tonton je suis flatter ! Dès demain, je demanderai une permission et je m’occuperai de ça !


Tonton Tanguy : Super ! J’ai eu ta mère au téléphone hier on a beaucoup discuté, elle me dit que papa va de mieux en mieux et il se déplace vraiment mieux qu’avant !


Moi (souriant) : Ah oui tonton ! Il est sur pied ! Grâce à toi !


Tonton Tanguy : C’est grâce au bon Dieu !


Moi (grattant la tête) : C’est vrai tonton.


Tonton Tanguy : Ok, Demain je t’enverrai quelque chose pour Pamela, elle m’a appelé ce matin pour un petit souci d’ordre scolaire. Tu remettras à Elie qui va le lui envoyer et je mettrai un peu plus pour tes déplacements bien sûr ton Frère aura quelque chose aussi dedans.


Moi : D’accord tonton !


Tonton Tanguy : Bye !

Clic.


Le Seigneur est bon, il a fallu que Lize et moi commençons à prier pour que les choses se décantent. 

Jésus-Christ est merveilleux, j’en suis convaincu.


Célia MIKALA ép. MEVIANE


Je me suis fait une nouvelle garde-robe, je suis prête à me jeter à l’eau pour JUSTE. 


Franchement, je crois que j’ai besoin de quelque chose de nouveau dans ma vie sentimentale. Martin est devenu un infidèle invétéré.


Honnêtement, ça ne me dérange le moins du monde tant que j’ai JUSTE qui, finira par céder à la tentation que je l’offrirai sur un plateau d’argent.


J’inaugure un de mes ensemble que j’ai acheté, aujourd’hui, je sortirais le grand jeu, je me suis préparée en conséquence.


A suivre...

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