Chapitre 26

Write by Linda Bongo

Je n’arrivais pas à écrire la suite mon esprit était accaparé par cette nouvelle cause . Et je trouvais futile de suiter mais j’ai réalisé que ce n’était pas ainsi qu’il fallait réagir . Quand on commence quelque chose on la termine peu importe les circonstances. Car si nous n’arrivons pas a achever les petites choses comment arriverons nous à achever les plus grandes ? . Je veux vaincre l’esprit de mon accomplissement et la meilleure chose pour ça c’est d’achever nos objectifs. Peu importe la tristesse , le dégoût la fatigue il faut garder son regard sur la cible et se dépasser . Surtout que ce combat n’est pas un sprint mais un marathon.

On ne triomphe pas d’une personne qui n’abandonne jamais .

Alors bonne lecture !


Chapitre 27: Le Deuxième nom de Dieu le TEMPS 


Jérôme était dans la salle de sport près de son bureau . Depuis deux heures il se dépensait ,il suait à grosses gouttes . Les femmes de la salle ne pouvaient s’empêcher de reluquer ce beau spécimen de la race masculine .

Le voir infatigable sur les machines et la maintenant en train de soulever les poids leur provoquaient des hausses de température.

Comment pouvaient t’elles savoir que Jérôme était en pleine détresse mentale et  qu’il évacuait sa colère par le sport . 

Ses parents l’avaient éduqué dans des principes moraux stricts . 

Il réalisait a quel point la colère était destructrice. La partie du film qui l’affaiblissait c’est que c’est lui même qui avait réclamé cette grossesse à cor et à cri . 

Tellement il en voulait à sa femme , tellement il voulait qu’elle souffre , pour lui elle le privait intentionnellement du désir d’être père . 

Il n’avait ressentit aucune culpabilité maintenant que la colère anesthésiante était partie . Sa femme avait tant agi avec sagesse qu’il avait su qu’il avait le privilège d’avoir une Reine dans sa vie. 

Contre vents et marées elle avait tenu bon . Là où beaucoup de femmes auraient claqué la porte et l’auraient quitté . Virginie était restée comme un pilier et purée ça lui faisait du bien de savoir qu’il avait une femme véritable . Celle qui reste qui se bat elle lui avait démontré qu’elle était une puissante guerrière et il la respectait profondément pour cela . 


Comment faire pour se dépêtrer de ce mariage  et donner ce qu’elles méritent à Valérie et à sa fille ? Récupérer son enfant et garder sa femme ??? Était ce possible d’avoir tout ça ? Il continua à se creuser les méninges. 

Il fut le dernier à quitter la salle de sport il n’était pas devenu ce qu’il était en se laissant marcher dessus . La seule qui avait le droit de lui marcher dessus et elle avait gagné ce droit a cause des innombrables souffrances qu’il lui avait fait subir .


Jérôme : Vanessa tu veux te marier avec moi ? Ok d’accord tu veux faire souffrir ma femme et me tenir à ta botte à cause du respect que j’ai pour l’enfant que tu portes ????

Hmmmm regarde moi je parle seul maintenant tellement tu m’as acculé . Mais tu sauras que c’est quand il est blessé qu’un Lion devient plus dangereux. 

Tu veux le mariage ? Non ? Tu l’auras tu pourras t’étouffer avec !!!!


Au lieu de rentrer à l’appartement il rentra à la villa . Il trouva sa mère qui aidait Vanessa de retour de l’hôpital à s’installer sur le canapé . 

Jérôme vint l’aider à poser délicatement Vanessa sur le canapé . A l’immense et surtout agréable surprise des deux femmes . 

Sopi : tu dors ici mon chéri 

Jérôme : oui maman j’ai compris que mon attitude n’était pas bonne pour la santé de l’enfant . Vanessa sera bientôt ma euh compagne officielle donc autant aussi prendre soin d’elle 

Vanessa : oh mon Dieu maman tu entends ça ? 

Sopi : ouiiii merci seigneur j’entends ma fille enfin je sens que j’ai mis mon fils au monde . Tu reviens de loin quelque jours sans manger la nourriture envoûtée de cette femme tu reprends tes esprits . 


Jérôme ne dit rien et fixa sa mère d’un regard narquois . Il prit son chéquier et le posa sur la table il signa l’un d’entre eux . 

Jérôme : Voilà maman un chèque en blanc pour toutes les courses du Mariage faites vous plaisir.

Vanessa mît la main à son cœur le vent avait enfin tourné en sa faveur.  Elle avait eu raiSon d’accéléré le processus. Elle allait avoir un mariage digne des films de Nollywood . Toute la famille s’en souviendra pendant des décennies plus personne ne parlera de virginie . 

Celle ci ne s’en remettra pas d’ailleurs . Son cher mari avec sa cousine Elle ne resterait pas fière comme elle l’était . 


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PARIS 


Gloria raccrocha son portable une nièce bien intentionnée venait de l’informer du mariage à grandes pompes qui se préparait. Valérie distribuait le pagne et l’argent de la couture les plus chanceuses eurent aussi la coiffure offerte . 

Gloria n’avait manifesté aucune émotion particulière . Elle avait juste acquiescer et remercié la nièce .


Gloria à elle même : Valérie ma pauvre sœur que Dieu te pardonne tu ne sais pas ce que tu fais . Tu es en train d’accélérer la bénédiction de ma fille . 


Gloria ne pouvait rien lui prendre sa joie . Son Dieu avait exaucé ses prières . Il y’a deux jours pendant que Virginie l’aidait à terminer de vêtir son père . Elle avait remarqué que sa poitrine avait enflé et que le pouls à la naissance de sa gorge battait vite . 

Mais virginie était trop préoccupée par son père pour remarquer les changements physiques de son corps . 


Gloria jugea qu’il était temps que Virginie rentre . Elle avait la foi que son Dieu ne les lâcherait pas tous les matins elle mettait ses genoux au sol . 

Jamais elle n’avait convoité le bien d’autrui . Tendu de pièges ou complote pour nuire à qui ce soit . Tout ce qu’elle avait eu c’était son Dieu que lui avait donné .

C’est pour ça qu’elle avait le cœur certain que tout s’arrangerait . Sa bible ne disait elle pas  dans Luc 1:45 Heureuse celle qui a cru, parce que les choses qui lui ont été dites de la part du Seigneur auront leur accomplissement.


Elle savait que les promesses de son Dieu s’accomplirait car elle avait une foi inébranlable. 


Virginie se leva encore patraque . Elle ne comprenait pas pourquoi elle était si fatiguée le matin . Ça avait commencé depuis Libreville elle devait faire une carence en vitamines ou en Magnésium. 

Elle prenait l’élan psychologique de se lever pour aller à la douche. Tout son corps voulait rester dans son lit et dormir encore .

Mais elle devait accompagner sa mère au centre de rééducation ou son père se trouvait . 

Elle était encore en train de voir comment elle sortir de son lit pour affronter le froid de Paris .


Quand sa mère ouvrit la porte munie d’un gros plateau où était disposé plusieurs plats . 

Virginie la regarda surprise : maman ? Qu’est que c’est ?

Gloria : Ton petit déjeune ma puce dit elle en posant le lourd plateau sur le lit . Virginie se redressa pour s’asseoir les cheveux dans le visage .


Gloria en soulevant les couvercles des harengs des cornichons avec du pâté de ferme et du pain noisettes. Avec des œufs aux plats 


Virginie : Maman ça pue oh mon Dieu une profonde nausée la saisit elle du se précipiter aux toilettes pour vomir toutes ses tripes . Quand elle revint elle était encore plus mal . Sa mère avait débarrassé l’immonde plateau pour en apporter un autre . Où il y avait du lait des viennoiseries de la confiture et du beurre et des œufs le jaune des œufs lui donnèrent encore la nausée . Sa mère les retira du plateau .


Virginie regarda sa mère perplexe elle avait l’impression que sa mère savait quelque chose qu’elle ignorait . 

Gloria s’assit près d’elle et lui prit le visage entre Les mains . 


Virginie la regardait sans comprendre 

Virginie : maman il est arrivé quelque chose à papa ?

Gloria : non mon enfant c’est a toi qu’il est arrivé quelque chose 

Virginie : hein ? Sa mère la regardait les yeux brillants de larmes et d’amour . Elle mit sa main à son ventre . 

Virginie la regarda au départ interloquée et soudain elle comprit et ouvrit les yeux incrédules. 

Virginie : maman? Tu crois ?

Gloria : j’en suis sure 


Virginie il me faut un test de grossesse . Virginie sautait déjà du lit mettait une veste sur son pyjama elle enfila la Hâte ses bottes fourrées . Quand sa mère brandit le paquet clearblue . 


Virginie se mit à trembler elle n’osait pas toucher le paquet . Elle voulait jouir encore de cette non confirmation . Si le test s’avérait négatif elle souffrirait encore . Mais si il était positif ?


Toutes ces années à guetter ses règles à espérer . Elle s’enferma dans les toilettes elle voulait le faire seule . Elle sortit le test de la boîte et urina sur la languette . Elle posa le test sur le lavabo.


Elle se rassit sur les toilettes son cœur battait vite seigneur si elle portait un enfant de son mari !!! 

Enfin cette lutte pouvait cesser cette peur permanente dans le creux de son ventre . Elle pourrait porter la vie en elle c’est serait un signe que Dieu lui avait pardonné son avortement. 

Elle n’aurait plus à être gênée quand dans lors des réceptions les femmes se mettaient à parler couches et pédiatres . Quand on lui posait la question combien d’enfant avez vous et qu’elle devait répondre aucun .


Le regard qu’on lui lançait alors mais ça n’avait rien à voir avec le regard que les autres posaient sur Jerome . Ils allaient avant aux anniversaires des enfants de leurs amis . Jérôme avait arrêté et elle aussi a son grand soulagement. 


Virginie s’allongea sur le sol glacé de la salle de bains et pria .

« Seigneur je te loue et je te remercie pour ma vie ma santé et celle de ma famille. Je sais que tu es un Dieu juste et bon . Tu as dit que la stérile enfantera 7 fois . Tu es le Dieu des cas impossibles. Je te promet que si Tu me donnes un enfant je vais te le consacrer. Il va te servir je lui enseignerait tes voies . Seigneur aïe pitié de ta servante je sais que si tu as permis que mon mariage tienne c’est pour ce moment . Car tu n’es pas le Dieu des œuvres inachevées ce que tu commences tu le termines . 


Au fur et à mesure qu’elle priait elle sentit une profonde assurance la saisir . Elle se redressa avec la ferme conviction qu’elle avait obtenu ce qu’elle avait demandé . 


Elle prit le test il y avait deux barres elle était enceinte. Elle poussa un hurlement de joie et alla ouvrir à sa mère . 

Elles se jetèrent dans les bras l’une de l’autre . Virginie pleurait de joie elle n’arrivait plus à penser . 


Gloria : tu vas te remettre au lit et dormir je vais te réserver un vol pour demain sur Libreville. Tu dois annoncer la merveilleuse nouvelle à ton époux de vive voix . Tu dois voir la tête de Sopi aussi . Ma fille c’est moi ta mère qui te parle quoi qu’il advienne ai confiance en ton Dieu . Ne cesse pas de prier il va te justifier et il fera de tes adversaires ton marchepied. 


Virginie : Amen Maman qu’il en soit ainsi

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