Chapitre 3
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EPRISE DE MON PATRON
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Chapitre 3
Alexender
Je viens d’arriver au travail ce matin et je voie une fille assise sur le bureau de mes assistantes mais bon je n’avais pas trop envie de lui parler donc je n’ai pas cherché à savoir, en plus elle était trop jeune pour travailler du coup elle s’est surement tromper c’est peut-être une stagiaire ou je ne sais quoi de toute manière je n’ai pas vraiment envie de savoir, je rentre dans mon bureau et je ferme la porte
William : je peux entrer ?
Moi sortant la tête de mes dossiers : vas y entre je te cherchais en plus, c’est qui cette petite ?
William prenant place dans un fauteuil en riant : je suppose que tu as fait la rencontre de ta nouvelle assistante
Moi : tu blague n’est-ce pas ?
William : je suis très sérieux
Moi : cette fille elle est surement mineur, elle fou et quoi ici ?
William rigolant : non non je te rassure qu’elle n’est pas mineure, en plus de sa elle est très très belle lorsque tu la verras le matin ta mauvaise humeur disparaitra
Moi un peu dépiter : ou est passer le professionnalisme du grand William SPENCER ?
William : bah détrompe toi, en plus d’être jeune et super belle je l’ai trouvé très réfléchis et poser
Moi sur un ton d’ironie : je verrai bien combien de temps elle pourra travailler ici
Je prends l’interphone et je lui demande de venir avec le dossier mine
Elle rentre d’un pas très sur habillée d’un tailleur pantalon blanc accompagner de son blazer rouge, elle a l’air très jeune mais avec tout ce qu’il faut ou il faut, mais je pense à quoi la ? je n’arrive pas à contrôler mes pensées ce qui m’irrite au plus haut point, j’essaie-je me reprendre très rapidement
Elle : bonjour monsieur voici le dossier que vous avez demandé et là c’est la liste des rendez-vous que vous avez aujourd’hui et des gens que vous devez rappeler
Moi un peu frustré : tout d’abord on ne se connais pas donc la première chose à faire c’est de vous présenter on n’est pas de la même famille, je ne suis pas sensé vous connaitre je ne suis pas magicien
Elle me répondant : désolé, moi c’est Alex JOHNSON je suis votre nouvelle assistante
Moi me tournant vers William : Alex ?
Alex : oui monsieur Alex tout simplement
Moi d’un air sérieux : je vous informe que vos parents ne vous désiraient pas, ils voulaient plutôt avoir un garçon et vous vous êtes incruster
Alex : d’accord, puis-je faire autre chose pour vous ?
William : non vous pouvez disposer merci
Elle m’énerve vraiment cette fille je ne sais pas pourquoi, il y a un truc en elle qui m’irrite au plus haut point malgré le fait que ce soit celle qu’il me faut, je parle bien sûr du travail
William avec un sourire aux lèvres : elle t’a tapé dans l’œil n’est-ce pas ?
Moi un peu irrité : d’où tu me sors des débilités pareilles
William : tu as failli baver devant la fille et tu me dis qu’elle ne te fait rien ?
Moi coupant court à la discussion : tu n’as pas du travail à faire ?
William riant : pas besoin de me remercier, bonne journée
Lorsqu’il ferme le bureau derrière lui je sors me débarbouillée je ne comprends pas ce qui vient de se passer ce dont je suis sûr est que je ne vais pas y penser
Alex
QUELQUES MOIS PLUTARD
Ça fait un moment que je bosse dans cette boite et j’ai enfin ma voiture a moi, pour ma mère qui pensais que je pourrai rien faire sans un homme dans ma vie bah je lui montre tous les jours que c’est pas forcément le cas, j’adore tout ce qui m’arrive en ce moment mais je dirais pas la même chose concernant mon patron c’est un vrai tirant, parfois j’ai envie de tout laisser et de partir mais lorsque je pense à ma mère et au cheque que je perçois à la fin du mois je me ravise automatiquement, aucun travail n’es facile, donc il faut s’armer de courage et de patience pour pouvoir arriver a quelque chose dans la vie, malheureusement j’ai dû faire face à la vie très tôt, et j’ai beaucoup appris de tout ça, si mon père avait été là les choses auraient été tellement différent pour moi, parfois je me demande pourquoi il nous a quittés, il ne voulait pas de moi, ne m’aimais-t-il pas assez pour rester auprès de moi ou m’amener avec lui ? ma maman elle m’a donner la vie, elle a fait de son mieux avec moi mais je ne lui décernerai pas la palme de la meilleur mère au monde
Parfois j’ai l’impression qu’elle ne m’aime pas, ou qu’elle me fait payer le fait que mon père nous ait abandonner, j’arrête de me plaindre et je me met au travail, aujourd’hui il y a une revue qui est sortie, et elle indique le classement des hommes d’affaire les plus sexy et les plus riches de l’année et mon patron en fait partie, je lui dépose la revue sur son bureau avant qu’il n’arrive et je retourne prendre place à mon bureau, j’avoue que c’est un homme avec un charme que personne ne peut nier, il est réellement vraiment beau, s’il n’avait pas ce caractère de cochon, il serait l’homme parfait
Moi balayant l’air des mains : Alex arrête de penser à ce gars il ne sera jamais à toi
Je me remets au travail, jusqu’à l’arrivée du boss, il me lance un bonjour et rentre dans son bureau sans même attendre ma réponse, comme je le disais c’est un gros mal élevé, a peine il rentre dans son bureau qu’il crie mon nom de colère, c’est devenu tellement une habitude pour moi d’assister à ce genre de comportement venant de lui que ça ne m’effraie plus, je me lève et je rentre dans son bureau avant de fermer derrière moi
Moi dans tout mon sérieux lol : bonjour monsieur
Alexender me lançant la revue : c’est quoi ça ?
Moi regardants la revue au sol : ils ont envoyé sa pour vous donc je devais vous le remettre
Alexender hurlant comme à son habitude : combien de fois dois je te à dire de ne pas m’envoyer ce genre de torchons ?
Moi essayant de pas rire : mais monsieur vous avez posé pour eux le mois passé non ?
Alexender rentrant dans une colère sourde : ramasse sa et sors d’ici
Moi murmurant : qu’il peut être con celui la
Alexender : pardon ? tu peux répéter ce que tu viens de dire ?
Je n’ai pas eu le temps de réfléchir à quoi dire que je sens une personne derrière moi, j’ai tellement eu peur que j’aie glacer en me relevant mais il me retient avant de me pousser dans le canapé à côté et bondit sur moi, il m’enjambe avant de de prendre mon menton entre les mains, tout se passe tellement vite que je ne comprends pas ce qui se passe, je suis tellement prise de peur que je reste tétaniser je n’arrive ni à bouger ni à parler
Alexender reprenant : mais répète encore ce que tu viens de dire petite insolente
Moi essayant de contrôler ma voie qui tremble : mais monsieur vous me faite mal
Alexender très satisfait de lui : la prochaine fois que tu me parles comme sa je t’arracherai tes dents
Moi tremblant : je vous promets que je ne parlais pas de vous mais de ceux qui ont écrit cette revue, promis lâchez moi maintenant s’il vous plait
Je ne sais pas pourquoi je n’arrive pas à détourner mon regard du siens c’est comme si j’étais hypnotiser mais qu’es ce qui est entrain de m’arriver, il finit par me lâcher le menton, il n’a pas le temps de se relever que quelqu’un ouvre la porte, merde c’est sa maman
Madame SMITH : mais qu’es ce qui se passe ici ?
Alexender se relèvent : rien, il ne se passe rien par ici
Il par rejoindre son bureau et s’installe dans son fauteuil avant de me lancer de manière détacher
Alexender : vous pouvez partir
J’étais tellement sonner que je n’arrivais pas à me lever c’est comme s’il y avait une force qui me maintenait assise dans ce fauteuil
Alexender criant : je te dis de sortir
Je me lève et sors presqu’en courant, je suis tellement gênée de ce qui vient de se passer que lorsque je sors de là je me dirige automatiquement dans les toilettes ou je m’en ferme