Chapitre 3: Deux minutes de câlins

Write by Les stories d'une K-mer

***Amira***

C’est elle qui me force à venir, et c’est encore elle qui me laisse pour être avec son Quentin (tournant les yeux) depuis quand on fait passer Quentin avant moi ? Tchrrr. Ça va faire quoi, quinze minutes que nous sommes assis, et j’ai l’impression que ça fait toute une année. On a attend nos commandes, sur une table de quatre. Véra s’est assise du côté de son Quentin, face à Olivier, et moi, je suis fac à Quentin du côté d’Oliver. Pas moyen de discuter avec elle, même mes signe elle fait genre elle ne voit pas.

Quentin : Euhh il y a d’autre potes qui vont nous retrouver, un peu plus tard.

Olivier : Nickel (me regardant) Tu t’ennui on dirai

Moi (sèche) : Non !

Véra (se levant) : Avec Quentin on va aller checker l’ambiance des autres Clubs, on revient

Moi (voulant me lever) : Et les boissons ?

Véra (me souriant) : On revient Ami (s’en allant)

Mes nerfs sont monté d’un cran, elle fait exprès ou bien ?  Je ne savais même pas comment agir face à Olivier, De toutes les façons je ne sais jamais comment agir.

Olivier (souriant) : On est plus que deux maintenant

Moi (ne le calculant pas) :

Olivier (me fixant) : Est-ce que je dois attendre Véra pour que tu parles ?

Moi (le fixant) : Je sais parler

Olivier (taquin) : Oh ! Miracle (souriant) Je m’appelle Olivier au cas où tu l’aurait oublier

Moi (agressive) : Je n’ai pas oublier

Olivier (levant les mains) : Oh ! Ranges tes griffes (les baissant) Désolé si j’ai été désagréable

Moi :

Tu réponds au  genre ci comment ? Il ne comprends pas que je ne suis pas du genre à discuter ? Il ne comprend pas ça ? Pourquoi il veut faire le gentil ? Pourquoi ? Pourtant on sait tous comment ils sont pffff. Il aurait dû se contenter de me demander son chemin et de disparaitre de ma vie. C’est quoi ces manière de se retrouver toujours là où je suis ?

Olivier : Si tu as un soucis on peut en discuter si tu veux

Moi : Non !

Olivier (insistant) : Excuses mon indiscrétion, mais pourquoi tu te montres agressive envers moi ?

Moi : Pfff Tu vas me lâcher ?

Il m’a observé longtemps avant de se ranger. Il a sorti son téléphone et s’est mis à le manipuler. Dieu merci le serveur s’est ENFIN pointé.

Le serveur : Alors, Le Mojito Ginger ? (le posant) Deux Planteur maison (les posant) et un Ti Punch (le posant) Alors ça fera trente-deux euros et cinquante centimes s’il vous plait (souriant) Tout à huit euro, mis à part l Ti Punch qui lui st à 8,50.

Olivier (sortant son portefeuille) : ce sera par carte

Moi (ouvrant mon sac) : Moi aussi

Olivier : je paye pour quatre

Moi : Non ! (posant ma carte) Je paye le Mojito et un Planteur (le fixant) Tu peux régler celui de Quintin si tu veux

Il a exactement fait ça sans dire un mot. J’ai tranquillement réglé la facture, Ma part de facture, et lui la sienne. Quelques minutes après Véra et Quentin nous ont rejoint étant dans un fou rire trop complice, de quoi me rendre jalouse, c’est avec moi qu’elle devrait s’amuser et pas (levant les yeux)

Véra (prenant place) : Alors, ça a un peu échanger en notre absence ?

Moi (tournant les yeux) :

Olivier (souriant) : oui un peu (rire)

Quentin : Après ici on ira à la Calle ils ont une meilleure ambiance, les autres vont y nous retrouver

Moi : Les autres ce sont les qui ?

Véra : Des amis de classe (tournant les yeux) Enfin des potes du boulot

Moi (sèche) : Ok

Il ont lancé des débats, et moi j’étais muette comme une carpe. Je n’avais qu’une envie, rentrer, Véra me connait très bien pour savoir que je n’aime pas ce qu’elle est entrain de faire. Si elle savait qu’elle ne voulait qu’être avec ses amis, il fallait qu’elle me le dise avant, j’allais m’arranger à ne pas venir, pfff.

Quentin : Alors Amira, l’installation à Nantes c’est pour quoi ?

Moi : un boulot

Quentin : super ça. Dans quelle boîte ?

Moi : Agap2, un cabinet de conseil

Quentin (souriant) : Super, j’y ai bossé pendant deux ans

Moi (surprise) : Ah oui ? Je pensais que tu étais un ami à Véra

Quentin : Oui, (rire)

Moi (paraissant idiote) : Mais comment ? Je veux dire, si vous êtes potes de classe, comment tu as bosser deux ans là bas ?

Quentin (sourire) : Je comprends (pause) je suis ingénieur pour une petite PME sur Nantes. Après ma mission chez eux, ils ont décidé de me garder, c’est comme ça que je quitte Agap2. Avec Véra on s’est vu lors d’une sortie, des potes en commun (rire) on va dire que le courant est vite passé (fixant Véra) J’ai eu du mal à croire quand elle m’a dit son âge (rire)

Moi (intéressée) : Parce que toi tu en as combien ?

Quentin (s’ajustant) : 28 bien tapé

Le choc ! J’ai eu un choc mais cet enfant es comment ? 28 ans et tu traine avec une gosse de 22 ans ? Sérieux ? J’étais à deux doigts d’éclater de rire quoi. En plus tu es à fond sur elle, Wow, wow.

Quentin (poursuivant) : En tout cas C’est une bonne boite et ils ont de bonnes missions, tu apprends assez et ils n’ont pas de mal à mettre les moyens en jeu pour ton épanouissement.

Moi (un peu relâchée) : C’est bon à savoir (souriant)

Quentin : En tout cas si tu des questions tu peux me les poser, mais je sis que tu devrait pouvoir t’y intégrer facilement

Véra (souriant) ; Je n’en doute pas (me fixant) faut juste qu’elle affiche son jolie sourire tout le temps

Olivier : En effet (souriant) Je ne sais pas pourquoi elle je cache

Je n’ai pas prêté attention à ses dire. Et à vrai dire j m’en fiche ? Je me sui excusée et suis allée aux toilettes, Véra a proposé m’accompagné et c’est avec plaisir que j’ai accepté elle va m’entendre celle-là.

Moi : Mais Non Véra. Tu me laisse avec un inconnu ? Et en plus j’ai l’impression que tout ça t’amuse

Véra : tu as quelle âge Ami ? Tu t’écoutes même ? (rigolant) tu es un enfant ? Je te l’ai dit, je ne serai pas toujours là, apprends à t’amuser sans moi

Moi (vexée) : Mais c’est toi qui m’a emmener ici. Si tu voulais être avec tes potes, fallait me le dire

Véra : Tu m’amuses hein. Dis que tu as peur de Rencontrer des gens, et ne mets pas la faute sur moi. (pause) Ce n’est pas la peine d’être désagréable avec les gens Amira

Moi : Et de quoi tu parles ?

Véra : Tu t’es entendue répondre à Olivier ? Qu’est ce qu’il t’a fait ? Tu ne le connais même pas. Et Quentin, il n’y a même pas deux secondes on aurait dit de vieux potes du lycée pourtant c’est à peine si tu lui adressais la parole en début de soirée. Tu vas arrêter de te braquer ? Parler avec les gens ne signifie pas SE FAIRE DRAGUER ; et même s’il te drague, il n’y a rien de mal !

Moi :C’était donc ça ? C’est pour ça que tu as insisté que je vienne ?

Véra (soufflant longuement) : Tu as 25 ans, 25 bon sang ! tu viens de décrocher un CDI. Putain jusqu’à quand va tu rester coincée dans une peur du passé. Il y a tellement de garçon dehors. Kevin , Hervé, tout ça c’est du passé ok ? ça fait quoi 10 ans ? tourne la page bon sang, passe à autre chose, sors de ta bulle, fais toi des amis MERDE ! (sortant a clé de son sac) Tu sais quoi ? si tu veux rentrer voilà les clés (me les donnant) Tu es assez grande comme ça (se retournant)

Moi (larme dégringolant) : Tu sais comment me blessée toi !

Je n’ai pas pu sortir des toilettes, tellement les larmes coulaient. Pourquoi personne ne me comprends ? pourquoi ? C’est quoi cette manie de me balancer ça à la figure à chaque fois ? Vous ai-je dis que j’avais besoin d’amis ? Vous ai-je dis ça ? C’est la rage dans le ventre et les larmes plains les yeux que je me sui dirigée vers la table récupérer mon manteau, j’ai à peine dit aurevoir et me suis dirigée vers la sortie. Elle veut continuer la soirée Eh Ben,  bien de chose à elle.

Ils m’ont tous fixés du regard sans rien dire. L’expression de mon visage seul suffisait pour traduire mon état et ce n’était vraiment pas la peine d’en rajouter.

***Olivier****

J’ai vidé mon verre d’un traitn fais un signe de la main à Quentin puis Véra. J’ai pris ma veste et l’ai suivie

Véra : N’y compte pas trop Olivier

Moi (souriant) : Merci !

J’ai couru après elle pour la rattraper. Ce genre de fille , ou personnage devrais-je dire, je les connais. J’en ai étudiée pas mal (sourire), oui parce que je ne fais que ça, étudier les comportement des Hommes. J’ai fait de la psychologie, et aujourd’hui c’est une grosse partie de mon travail. Il n’a pas fallu longtemps pour cerner cette fille, je (souriant) je veux bien l’aider, rien de plus (sourire).

Moi (derrière elle) : Amira ! Attend !

Amira (avançant encore plus vite) :

Je l’ai rattrapé après avoir enjambé cinq long pas (rire) je me suis placé devant elle

Moi (la fixant) : Qu’est ce qui se passe ? (calme) Je t’ai dit que tu pouvais me parler si tu avais un problème

Amira (furieuse) : Tu parler de quoi ? hein ? Je ne te connais même pas. Tu ne trouve pas ça assez bizarre de se confier à un inconnu toi ? (inspirant)

Moi (la fixant) :

Amira : Laisse-moi passer ok ? je ne veux pas être désagréable Olivier

Moi (calme) : Et pourquoi le serait tu ? Tu ne trouves pas ça bizarre être agressive avec un inconnu ?

Amira : Qu’est ce que tu me veux Bon Sang Tu n’aurais pas juste pu me demander ton chemin et disparaitre ? Pourquoi i a fallu que je te revois ? ou que tu sois copain copain avec L’ami de ma sœur ?(s’emballant) Parlant de celle là même. TCHRRR ; C’est à cause d’elle que je suis là, et elle qu’est ce qu’elle fait, elle me laisse là, avec des gens que je ne connais pas, pour jouer les amourettes sous mes yeux. Tous ça pour me dire qu’il n’y a rien entre eux. 28 ans, 28 il a dit. Comment elle fait pour être ami avec un type de 28 ans ? Comment ? C’est pour me faire la morale par la suite c’est ça ? (avançant) je ne sais même pas ce que je suis venue faire là, en plus (sortant son téléphone) Merde, je n’ai plus de batterie (larmes qui coulent) ce n’est vraiment pas ma soirée quoi ? J’aurai dû reste sous les draps, j’aurai dû rester ? Mais non, je voulais être avec MA SŒUR, pas avec des mecs que je ne connais pas , pas ça. Elle me connais pour savoir ce que se passe dans ma tête, mais elle n’hésite pas à me pousser dans mes retranches (fondant en larmes)

Tout ce que j’ai fait c’est de la prendre dans mes bras et la laisser pleurer. Elle en avait besoin et ça se voyait. Son monologue m’a fait comprendre deux choses : sa sœur compte beaucoup et a une forte emprise sur elle. La deuxième c’est qu’elle en a beaucoup sur le cœur et a besoin de se détacher de ça. Bref ça c’est une analyse vite fait, si elle m’en donne l’occasion on traitera ça plus en profondeur, pour ça faudrait qu’elle le veuille.

Amira (se séchant le visage) : Je suis désolée

Moi :Non c’est rien. Tu sais, je n’ai  pas planifié me retrouvé dans ce restaurant, ni même soupçonné que Quentin connaissait ta sœur. Désolé si cette coïncidence te pose problème.

Amira : Non ! (soufflant) C’est moi qui m’excuse. Désolé de te pourrir la soirée.

Moi (souraint) : Non au contraire, tu lui donne un sens

Amira (souriant) :

Moi : Waouuu !

Amira (regardant autour) : Quoi ?

Moi (large sourire) : Ton sourire ! il est magnifique. Pense à le montrer plus souvent

Elle a de suite froncé son visage (rire) Cette fille a les problèmes avec les compliments ou quoi ?

Amira (sèche) : Tu peux me prêter ton téléphone STP ?  

Je le lui ai tendu, sans me préoccuper de ce qu’elle allait en faire. Tout ce qui m’importait c’était de la regarder, et chercher à savoir pourquoi une fille à priori gentille pouvait être autant agressive. En plus elle ne me  connais pas. Le jour du Bus (pause) Ce jour en toute simplicité elle m’a répondu, je me suis dit le temps d’une seconde, si tous les gens que je rencontrais étaient comme ça mes journées seraient de mieux en mieux. Quand je l’ai revu au restaurant je me suis dit, c’est le destin qui essaie de nous réunir, donc je n’ai pas hésité à prendre son numéro. Avec les tracs de la maison et tout je n’ai pas pu lui faire signe mais j’y comptais. Et là, Quentin me la ramène. Non, Vous n’allez pas me dire que ce n’est pas le destin tout ça.

Elle m’a tendu mon téléphone à nouveau que j’ai pris en disant merci.

Amira : Tu veux aller ailleurs ?

Moi (levant les épaules) : Je ne connais pas la ville

Amira : On ne sera pas loin, on va juste de poser aux bord de L’Erdre, c’est à 500 mètres environs

Moi : ok ! (sortant mon téléphone) Je préviens  Quentin

J’ai fait un message vite fait à Quentin et c’est Véra qui m’a répondu  du portable de Quentin (rire).

Véra : Si tu peux Rentres à l’hôtel avec elle, je ne la veux pas chez moi avant demain matin (clin d’œil).

Moi (rangeant mon téléphone) : On y va ?

Le chemin s’est fait en silence, et une fois sur les lieux elle s’est assise sur les marches et moi avec. En face de nous la Loire, le plus long Fleuve de France. L’ambiance était plutôt sympa. Il y avait du monde autour de nous, des groupes de jeunes surtout, et plusieurs couples (rire). Ça se voyait qu’elle était gênée, je lui ai proposé de partir, mais elle a refusé. Tout question avec elle c’est d’abord un NON !   

Nous (au même moment) : Alors qu’est

Moi (souriant) : à toi

Amira (souriant) : Qu’est-ce que tu fais à Nantes ?

Moi : Comme toi je viens Bosser

Amira : tu fais dans quoi toi ?

Moi(souraint) : Devine

Amira : euhh Inngé comme Quentin

Moi (non de la tête) :

Amira : euhhh Sais pas, un truc en rapport avec le marketing, le commerce ?

Moi (rigolant) : Non, non. Dernier essaie. Tu trouves je suis à tes ordre pour le restes de la soirée

Amira : et si je perds ?

Moi : Je te demanderai juste une chose

Amira : quoi donc ?

Moi : tu n’as même pas encore essayé

Amira :huum. Alors tu n’es pas Ingénieur, non plus marketeur ? Euhh Prof ?

Moi (ouvrant les yeux) : Sérieux c’est ton dernier mot ?

Amira (sûre d’elle) : Oh mince j’ai vu juste, tu es Prof d’université ! c’est cela !

Moi (éclanat de rire) : Mais pourquoi tu penses ça ? Prof ? Why ?

Amira (éclatant de rire) : Oui c’est ça ahahah. Alors c’est simple, tu vas juste faire le tour sans ton t-shirt (rire)

Moi :Non !

Amira : quoi non ? Tu as pourtant dit que tu serais à mes ordres (rigolant) mauvais Perdant ahaha

Moi ; Non ce n’est pas ça. AHHH je suis jsute surpris que tu me vois en prof (rire)

Amira : Non ! Fais voir, ta CNI, ou je ne sais pas qoi mais je veux une preuve

Moi (sortant mon portefeuille) : Je suis Psychologue du travail (rire)

Amira : ça existe ça ?

Moi : Puisque j’en suis un (lui montrant mon badge)

Amira (déçu) : Sérieux ? (lisant dessus) à STX (me le rendant) Ok c’est quoi ma punition ?

Mo (rire) : Rien de Bien méchant (sourire)

Amira : Je t’écoute

Moi : deux minutes de Calin

Amira (me fixant) : Quoi ?

Moi : Oui, deux minutes de Câlin, Deux minutes où on se tiens l’un l’autre sans parler. Que se tenir, c’est tout.

Amira (sceptique) : Non !

Moi : C’est toi la mauvaise perdante Amira (souriant)

Amira : Je t’offre un restau à la place, j’ai même faim

Moi :

Amira : Quoi ? Ne me demande pas de me coller à toi pendant deux minutes, je ne te connais même pas !

Moi : Mais tu es pourtant dehors toute seule avec moi

Amira :

Moi : prends ton temps, quand tu te décide je suis prêt (me frottant les mains)

Amira (vexée) : Deux minutes pas plus. Elle a posé sa tête avec force sur mon torse, gardant ses bras le long de son corps. Je l’ai reçu (rire), en posant mes bras autour d’elle, sans trop serré dessus.

Amira : Pfff, n’importe quoi, tu aurais pu

Moi : Chut !!! On a dit sans parler, détends toi, ce n’est que pour deux minutes

Amira : Tchrrrrrr

C’était tendu, très tendu. Je la sentais crispée, apeurée, par je ne sais quoi. Nous étions pourtant au milieu des gens, je ne pouvais rien lui faire de mal (rire) comme si j’en avait l’intention. Les 4 secondes qui ont suivi étaient les plus agréable, après un long soupire de sa part, elle a, à so tour posé l’une de ses main autour de ma taille (sourire) Je savais que ça marcherait (rire)

Moi (dans son oreille) : Hey ! Les deux minutes sont passées (essayant de la regarder) Oww, tu pleures ? Qu’est ce qui se passe ? (tenant sa tête) Amira je suis désolé, sincèrement

Amira (sniffant) : Je ne te connais même pas et là ça va faire la deuxième fois que tu me vois pleurer (rire en larmes) ce n’est vraiment pas plaisant

Moi (la fixant) : Non ne dis pas ça (essuyant ses larmes) peu importe ton soucis ça va aller ok ? Ce soir tu vas penser à autre chose  ok ?

Amira (séchant ses larmes) : Ok 

Moi (clin d’œil) : tu me raconteras quand ton sctock de larmes sera épuisé (rire)

Amira (me bousculant) : Moufff !

Moi (la main sur la poitrine) : Aiee ! (rire)

Nous sommes partis en fous rire, et de toute la soirée c’est le second moment que j’ai le plus apprécié. Après un sms à Quentin, on a décidé de les retrouver, cette fois plus détendus que jamais. (rire) Amira s’est jeté dans les bras de sa sœur le temps de lui dire je ne sais pas quoi (rire) Ces deux peuvent te faire rêver. C’est en ambiance vraiment dansante que la soirée s’est achevée. Quentin a déposé chacun chez lui (rire).

Une fois dans ma chambre, j’ai fais un tour vite fais sur les annonce de location puis j’ai texté Amira

Moi (par message) : Bien rentrées j’espère (smiley sourire), je t’appelle en journée. 2 minutes de Câlins (smiley clin d’œil)


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