Chapitre 33

Write by Sandy's Aby's

Harmonie MAVOUNGOU ép. MENDOME.


Il faisait six heures quarante lorsque j’ouvris lentement les yeux et m’étirais et me tourna vers Juste, il dormait à point fermé, couché sur le ventre la tête enfuie sous la taie d’oreiller.

Je descendis sur la pointe des pieds hors du lit direction la salle de bain où je dû emplir la baignoire avant d’immerger et laisser libre court à mes pensées. Je ressortis quelques minutes plus tard, trouvant Juste, assit sur son lit, songeur.


Moi (la voix mielleuse) : Bonjour mon Juste à moi.


Juste ne s’était pas rendu compte que j’étais de retour dans la chambre à coucher

Juste (sursautant) : Bonjour princesse ! tu as terminé !

[Se tenant debout]

Bien dormi ?


Moi (détachant la corde son peignoir) : Je dirai que c’est la meilleure nuit que j’ai eu à passer depuis que je suis rentrée d’Oyem. Le fait de me réveiller à côté d’un homme incroyablement beau !

Je dénouais la corde du peignoir que j’avais et le posa sur une sorte de porte manteau.

Il se rapprocha de moi, flatté.


Juste (me désirant du regard) : Tu es magnifique princesse !

Je crois que j’aurai du mal à m’endormir ce soir…


Moi (souriante) : Merci mon prince !

Sa proximité me troubla et sans attendre, je me retournais, cherchant ma sacoche des yeux, dans laquelle j’avais introduit un ensemble slip-soutient que j’enfilais devant le regard chargé de désir de Juste.


Juste (les mains à la taille) : Tu me rends déjà accro en une seule nuit !


Moi (souriante) : Et tu le seras encore plus. 

Juste (se grattant sa nuque) : j’ai voulu t’apporter le petit déjeuner au lit mais tu t’es levé avant moi !


Moi (me dirigeant vers la salle de bain) : T’inquiète, je ne pourrai le prendre, ce déjeuner, je file retrouver les enfants ils doivent se rendre chez ma mère.


Juste se dirigea vers son lit alors qu’il parlait.


Juste (dressant le lit) : Tu devrais prendre des nouvelles, avant ! Proposa-t-il, Je ne voudrais pas que ton mari lève la main sur toi à cause de moi.


Moi (de retour dans la chambre, enfilant ma robe) : Hum…je pense qu’il a découché tout comme moi ! si non, il m’aurait déjà appelé…

[Remarquant son regard insistant]

Eh ! mais pourquoi me dévisages-tu ainsi ? le questionnais-je perplexe.


Juste (haussant les épaules) : Pour rien, je ferai mieux de me laver les dents et te déposer !

Moi (ajustant ma robe) : Ne te dérange pas Juste.


Juste (se tournant vers moi l’air sérieux) : Tu ne penses pas que je vais te laisser sortir d’ici et rentrer chez toi en taxi ?


Moi (m’apprêtant à riposter) : Mais…


Juste (le regard sévère) : N’y pense même pas, et je suis très sérieux !


Moi (tournant la tête vers lui) : Bon c’est compris ! Peux-tu s’il te plaît m’aider avec la fermeture ?


Il revint sur ses pas et remonta lentement la fermeture avant de déposer un chapelet de baisers sur mon cou dénudé. J’eue la chair de poule mais me ressaisis.


On y va s’il te plaît ! Dis-je pour casser l’ambiance qui commençait à charger l’atmosphère.


Juste (se dirigeant vers la douche) : Accorde-moi quelques secondes.


Moi (fixant les baies vitrées) : Ok !

Je décidai de prendre mon portable et appeler Flora pour savoir ce qui s’est passé en mon absence !


Moi (le portable à l’oreille) : Allô Flora !


Flora (morte d’inquiétude) : Oh madame ! Vous m’avez fait une de ses trouilles vous et monsieur ! Aucune nouvelles et vos portables étaient éteint, j’ai pensé au pire.


Moi (le regard vers la salle de bain) : Désolée j’ai oublié d’avertir, je suis resté avec Dorothée !

Flora (inquiète) : Madame Dorothée va bien ?


Moi (embarrassée) : Oui, oui elle va mieux maintenant mais dit-moi, les enfants, comment se portent-ils ? dis-je pour changer de sujet. 

M’ont-ils cherché ?


Flora : Euh non madame ! Heureusement ! Ils sont allés dormir plus tôt et là ils prennent leur petit déjeuner. De toute façon je leur dirais que vous avez fait un tour très tôt le matin.


Moi (fermant les yeux en soupirant d’apaisement) : Ok merci et… celui qui me sert de mari ?


Flora : Eh bien ! Je me suis dit qu’il était avec vous ?


Moi (me rendant compte de mon erreur) : Oh ! c’est vrai il me disait qu’il…enfin je suis au courant c’était juste sortie de ma tête. On se voit tout à l’heure.


Flora : Ok madame !


Je raccrochais au même moment Juste sorti de la douche une serviette autour de la taille, beau et tout aussi élégant qu’un dieu grec. 

Le sentant s’approcher dans mon dos, je me retournais vivement vers lui un sourire radieux sur les lèvres.


Il me prit par la taille et m’étreignit quelques secondes puis se retira lentement encadra ma tête de ses mains. Son regard chargé de désir me consuma littéralement.


Juste (faisant un pas en arrière) : Il vaut mieux qu’on se dépêche ! sinon je serai obligé de dresser le lit une seconde fois.

Je baissais les paupières pour reprendre contenance.


Moi (sur ma faim) : Je suis d’accord avec toi murmurais-je sous le coup de l’émotion.

Je pris place sur le lit en attendant qu’il se prépare et que je rentre chez moi 


Juste (essuyant sa tête avec la serviette) : Au fait, j’ai une invitation pour deux, ce week-end, tu veux bien m’y accompagner ? 


Il se disparu dans son dressing et en ressorti totalement vêtu, ajustant son pantalon.

 

Moi (le fixant) : Humm… intéressant ! Je veux bien ! J’aurai deux jours pour me dénicher une belle robe de soirée.


Juste (le sourire charmeur) : Cool ! Ne t’inquiète pas pour tout ça soit juste naturelle et pas la peine de dépenser pour une nouvelle robe. Il s’écarta et me considérant quelque secondes avant d’ajouter :  Merci, tu viens de me retirer une épine du pied en acceptant de m’accompagner !


Il mit quelques gouttes de son eau de parfum et pris la clé de sa voiture sur le chevet du lit.

Je me contentais de sourire en me dirigeant vers la porte alors qu’il m’emboitait le pas.


Moi (me tournant vers lui pendant qu’on dévalait les escaliers pour déboucher dans le salon) : Je garderai un souvenir impérissable de la soirée d’hier.


Il se contenta de sourire.


Pour la première fois, Juste n’avait pas ressenti de remords comme autrefois, ou du moins, il ne me l’avait pas fait savoir. Je crois qu’il était désormais convaincu qu’il fallait pour lui, ne pas laisser cette opportunité lui échapper à nouveau.


Nouna MAPESSI


J’étais dans la voiture avec Martin, entrain de l’embrasser. Il venait d’arriver avec quelques babioles, il était tout beau dans son costume bleu marine les cheveux coupés à ras.

Lui (interrompant le baiser) : Tu vas bien à ce que je constate ?


Moi (souriante) On peut dire. Mais il y a une chose dont j’ai vraiment besoin en ce moment !

Lui (se redressant l’air curieux) : Et peut-on savoir ce que c’est !


Je baissais les paupières en triturant mes doigts. Depuis que Célia était repartie dans son foyer tout avait changé entre nous. En plus d’être mystérieux, Martin s’était complètement éloigné de moi, j’aurai même souhaité qu’il lui donna de l’argent et qu’elle s’en ailla à la découverte du monde pour qu’elle me laissa le champ libre car je n’avais plus de longueur d’avance sur elle, au contraire !

Martin voyant mon silence se pencha vers moi et réitéra sa question.


Martin (murmurant, un bras sur le volant) : Qu’est ce qui te manque ? 


Moi (tournant un regard larmoyant vers lui) : Toi !


Martin (se redressa en grattant sa tête) : Ecoute, je suis là et pourtant ! la preuve, je suis arrivé ce matin pour te voir et t’apporter quelques trucs !


Moi (me tournant vers lui, interloquée) : Justement, je n’en ai pas plus besoin, [Levant les yeux vers lui] c’est toi que je veux.

[Parlant avec des gestes tout en fixant mes pieds, le ton larmoyant] Je revis les mêmes choses constamment à chaque fois que je suis enceinte, je n’ai jamais pu être accompagner pendant mes grossesses et c’est encore pareil maintenant avec toi je…


Martin (le ton dur) : Je ne te permets pas de me comparer à tes vaut rien d’ex d’accord ? renchérit-il.


Il ajouta avec fierté : Moi, je suis un cadre compris ?


Moi (le fixant les sourcils froncés) : …


J’étais si surprise de constater ce changement brusque et soudain.

Qu’avais-je dit de mal ?

 Déjà, les larmes me montaient aux yeux mais je les refoulais pour ne pas paraître faible devant lui, je n’avais pas besoin de sa pitié. Je l’ai apprise de Grazy, de ces nombreux conseils !


Je décidais de descendre du véhicule mais il me retint par le bras, je fermais les yeux une fraction de seconde empêchant la colère de prendre le dessus avant de les rouvrir.


Lui (soupirant) : Désolée ! Ne t’inquiète pas je vais y remédier… [Tournant sa tête vers moi en tenant mon menton de sa main droite]

Ça va aller, ce soir je viens te chercher on ira manger quelque part !


Moi (la moue boudeuse) : Juste manger ?


Lui (démarrant le véhicule) : Je dois y aller excuse-moi, mais ma réunion débute dans peu. On règlera ça ce soir


Il m’attira à lui et m’embrassa langoureusement avant de se redresser et me regarder m’en aller le sourire en coin.


Les secondes qui suivaient, il faisait sa manœuvre et s’en alla, je rentrais dans le salon un peu triste, une douleur fulgurante dans ma poitrine.


Une fois parvenue au salon, Helena qui sortait de la chambre remarqua ma tristesse elle s’assit sur un des canapés en face et me fixa étrangement.


Helena (s’allongeant en mettant la télévision en marche) : Qu’as-tu ? 


Moi (haussant les épaules) : C’est Martin !


Helena (inquiète) : Tu veux en parler ?


Moi (m’asseyant sur le fauteuil près d’elle) : Ce sont juste les mêmes choses qui se répètent.

Helena (levant ses sourcils) : Le problème c’est que sa femme aussi est enceinte il faudra redoubler d’effort.


Moi (mon bras soutenant ma tête) : mouais ! Sauf que je ne sais plus quelle carte jouer !

Un bruit provenant de la porte attira mon attention.


Shirley (entra dans la maison avec un sac sur le bras) : Toc Toc !


Helena qui jusque-là était paisiblement allongée, redressa sa tête pour voir qui s’était.

Helena (tout sourire) : Eh Shirley ! Ça fait du bien de te voir !


Nouna (souriante) : Salut Shirley ! Tout en remarquant la présence du petit que je devinais était Richie.


Oh tu n’es pas venu toute seule !


Shirley entra avec Richie, son garçon. Elle nous l’a présenté une fois à l’une de nos rencontres avec le club, il vit avec ses grands-parents. Elle nous salua toutes les deux avant de regagner le canapé avec son fils.


Ils s’installèrent dans le salon alors qu’Helena se rallongea en zappant les chaines.

Moi (à Richie) : Bonjour le grand garçon de sa mère !


Richie (triturant un bout de sa chemise carrelé) : Bonjour tata !


Helena (s’adressant à Richie) : Je vais mettre un dessin animé pour que tu ne t’ennuie pas trop d’accord.


Richie hocha la tête timidement en signe de réponse.


Shirley (un brin d’excitation dans la voix) : Aujourd’hui c’est un grand jour pour nous !

Helena (arquant un sourcil) : Qu’entends-tu par grand jour ?


 Soudain je me souviens de la visite surprise décidée par les membres du club, ça m’était sortie de la tête et c’était une idée de Shirley pour non seulement créer des liens avec les nouveaux membres mais aussi rendre visite à ma mère et mes enfants qui s’étaient rendu finalement chez mes parents maternels.


Moi (embarrassée) : Ah oui j’avais complètement oublié ! Mais Grazy n’est pas encore rentrée.


Helena (le regard inquisiteur) : Mais soyez plus explicite au moins !


Moi (amusée) : Les membres du club seront ici aujourd’hui pour passer du temps et créer des liens forts.


Helena : Oh ! D’accord … Cool ! Mais pourquoi avoir emmené Richie alors !


Shirley (se rendant compte de la présence de son fils) : Oh ! Lui, c’est juste une approche que j’ai envie d’essayer avec son père qui ne cesse de me harceler. Mais ne vous inquiétez pas pour lui


Moi (la fixant) : Pourquoi ne veux-tu pas alterner la garde puisque toi-même tu n’as pas assez de temps pour t’occuper de lui et qu’il soit obligé de rester chez tes parents ? 


Shirley haussa les épaules sans savoir quoi répondre.


Helena compris sur le coup l’objet de ses manigances et éclata de rire.


Helena (se tournant vers Shirley) : Han ! Je vois ! Tu en a marre de ton white ! (Blanc) Et malgré qu’il te couvre d’argent, il ne sait pas comment te faire prendre ton pied, je mens ?


Shirley hocha la tête en faisant une grimace !

Puis elle se leva en arpentant la pièce un peu nerveuse.


Shirley (croisant les bras) : Je tiens à vous avouer que depuis quelque temps Richard ne répond pas au quart de tour !


Helena pouffa de rire, si je ne la connaissais j’aurais certainement piqué une colère mais bon… Je la connais et la majorité des filles du club aussi.


Shirley (dardant Helena agacée) : Tu te paies encore ma tête là !


Helena plaça une main devant sa bouche en s’efforçant de ne plus rire.


Helena (agitant sa main) : Désolée, vous savez comment je suis ! Fit-elle en levant les mains.


Richie murmura quelque chose que je ne pus déchiffrer je fis signe à Shirley d’arrêter de parler.


Moi (le sondant) : Richie, tu veux quelque chose ?


Richie leva ses yeux vers moi rassuré que quelqu’un l’a entendu.


Richie (timidement) : J’ai faim tata !


Shirley (roula les yeux exaspérés) : Je t’ai dit que tu allais manger lorsqu’on pourra t’acheter un sandwich au chocolat n’est-ce pas ?


Helena (se tourna vers elle indignée) : Tu nourris ton fils au pain au chocolat alors qu’il te demande à manger ?


Shirley (gênée) : Laisse ! il aime le chocolat.


Helena : Ce n’est pas raison !


Moi (me tenant debout) : Attend je vais le servir à manger.


Deux jours plus tard


Harmonie ép. MENDOME


Après avoir garé le véhicule dans un parking privé d’une soixantaine de places, Juste saisit mon bras et nous nous dirigeâmes vers les escaliers que nous franchissions jusqu’au seuil.


L’hôtesse d’accueil nous salua en tendant la main pour récupérer le billet que je tenais. Elle fixa le billet et releva la tête, fit un large sourire puis, nous conduisit dans une vaste salle lumineuse, meublée de fauteuils qui donnait accès à une grande terrasse où discutaient plusieurs personnalités de la capitale vêtus de smoking et accompagnés de belles dames en robes de soirée. Dans une ambiance chaleureuse et.


J’en reconnut quelques-uns de mes clients de 2sous chic&Co à qui j’adressais un sourire chaleureux.


Les serveurs défilaient avec des plateaux qu’ils portaient au niveau de leur épaules.


Puis, l’hôtesse qui nous avait accueilli nous conduisit directement à celle que je devinais être Madame KANE.


Elle se retourna et offrit son plus beau sourire en voyant Juste, le prenant dans ses bras


Mme KANE (le regard tendre) : Juste ! Vous êtes venu ! quelle joie vous me donnez !


Juste (le sourire charmeur) : J’en suis fort aise. Il me tint par le bras et m’attira près de lui. Je tiens à vous présenter mon invité, Harmonie !


Mme KANE (s’émerveilla) : Ah ! Enfin vous êtes accompagné !


Elle me serra dans ces bras avant de me faire un sourire chaleureux.


Mme KANE (pointant du doigt à Juste tout en me fixant) : Je sens qu’il est heureux avec vous et il le mérite. 

C’est pour quand le mariage ? Fit-elle le regard inquisiteur.


Je déglutis avant replier lentement ma main sans attirer l’atention dans l’optique qu’elle ne puisse voir mon alliance et lui fit un sourire exagéré en espérant trouver de l’aide auprès de Juste qui jusque-là n’avait encore donné une réponse.


Juste (me fixa avant de lui répondre calmement) : C’est une histoire compliquée ! 


Mme KANE (levant ses mains) D’accord, parfait [Laissant retomber ses mains] Je n’insisterais surtout pas ! Sur ce, on se voit tout à l’heure [Se retournant] Alexandra, s’il te plaît, accompagne ce merveilleux couple à la table VIP ce sont mes invités de marque.


Alexandra (nous devança) : Oui madame, [Se tournant vers nous] s’il vous plaît veuillez me suivre.


Juste inclina la tête devant madame KANE qui le lui gratifia d’un beau sourire puis, on emboita le pas de l’hôtesse qui nous installa à quelques mètres de là, pendant que madame KANE alla souhaiter la bienvenue à d’autres invités.


Samuel MENDOME


Graziella (après avoir jeté un regard circulaire) : Waouh ! c’est très grand et très beau ! Ce n’est pas une réception comme les autres !


Moi (la tenant par le bras) : Bien sûr, je ne traîne pas dans n’importe quelle soirée mondaine.

Je marquais une pose au seuil et fixa Graziella. Elle était toute resplendissante dans sa robe de soirée ample mais fait sur mesure et tenant compte de sa grossesse, elle à dû le commander d’urgence pour assister à cette soirée organisée par madame KANE une grande dame d’affaire du pays qui est aussi l’épouse du ministre des affaires étrangères.


Elle a eu la gentillesse d’inviter tous les responsables des affaires étrangères.

Après avoir franchit l’entrée principale, madame KANE vint à notre rencontre.


Mme KANE (se dirigeant vers nous) : Monsieur MENDOME ! Quelle surprise !


Je pivotais et me retrouva en face de madame KANE une dame aux formes généreuse, une dame en or, je dirais.


Moi (un bref sourire) : Bonsoir madame KANE, merci déjà pour l’invitation. Euh je vous présente Graziella ma compagne.


Mme KANE (sceptique) : Votre compagne où votre maîtresse ? 

Questionna-t-elle en jetant un coup d’œil au solitaire qui ornait l’annuaire gauche de Graziella. 

Une succinct expression de colère passa dans les yeux de cette dernière qui se crispa. 


Off

J’avais oublié à quel point elle était aussi direct et surtout indiscrète.

Finalement je retire le mot que j’avais dit plutôt, je dirais par contre une femme sans gêne mais bref on ne va pas gâcher la soirée à cause de ce fâcheux incident en plus c’est la femme d’un de mes supérieurs.


Graziella (soutenant son regard avec un brin de défi) : Je ne crois pas que sa soit si important pour vous de savoir qui je suis mais je suis déjà fiancée et sur le point de me marier avec Samuel en plus d’attendre un enfant de lui.

C’est le plus important.


Mme KANE (fit une grimace en se reprenant) : D’accord ! Alors, je vous souhaite le meilleur ! Désolée si je vous aie offensé !


Graziella (leva le menton avec un calme feint) : Oh bien sûr que non ! je ne m’offusque pas pour si peu. Fit-elle, le sourire méprisant.


Je posais ma main sur son bras pour l’empêcher d’ajouter quoi que ce soit.


Mme KANE (esquissa un sourire) : Bienvenue encore !


 [D’un geste de la main, elle nous montra le chemin] 


une hôtesse vous installera ! Bonne soirée à vous fit-elle à la cantonade…


Graziella (furieuse) : Quelle empoté !

Grrrr elle m’énerve !


Moi (agacé) : Ignore-la, bébé ! Elle n’en vaut pas la peine !


On fit encore quelque pas, quand Graziella s’arrêta net …


À suivre...

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