chapitre 33: colère/tristesse!

Write by ngakomal

~~~~ Sango Da Sango~~~~

La royauté, le pouvoir. Les maux de notre monde. Bien sont nombreux dans ces eaux qui donneraient leur âme pour pouvoir gouter à cette prison qu’est la mienne (La preuve !! dame Elimbi ! Je n’en reviens toujours pas). Ces responsabilités bien lourdes qui sont miennes depuis si longtemps que je ne m’en souvienne plus. Beaucoup pensent que je m’y plais ; que je tire un quelconque honneur à être le représentant spirituel Divin des eaux. S’il avait été possible j’aurais supplié pour qu’il éloigne de moi cette coupe. Ce que je sais, ce que j’ai vu, ce que l’univers engage…. Je ne le souhaite à personne d’en avoir la connaissance totale. Je ne le souhaite à aucun de mes fils. Mais c’est l’univers qui décide et j’ai bien peur qu’il n’est choisi njanè. J’ai longtemps haï mon père pour m’avoir choisit …. Aujourd’hui, je saisis que le choix n’était pas sien.

Je le comprendrais s’il agit de même… mon fils. Des fois, j’aimerais tout foutre en l’air et vivre dans l’immensité de ces eaux. Je soupire longuement et continue ma route. J’en ai encore pour dix minutes. Depuis un certain temps je me sais suivit. Plus précisément depuis que nous savons que la Prêtresse serait dans la ville où réside Djanè. Ils pensent et moi aussi que le hasard dans l’univers n’existe pas. Pour que l’éveil de la prêtresse se fasse près de mon fils…. J’en suis fier et en aie peur à la fois. Nous savons tous ce qui est arrivé au dernier gardien. C’est un honneur et une grande charge. Ceci fait plus de deux mille ans qu’aucun héritier des eaux n’avait été choisit comme gardien et compagne de la prêtresse. Si ce que dit la légende est vrai, mon fils sera terriblement puissant.

 J’ai attendu cette rencontre avec impatience et il ne m’a pas déçu. Ils ont été bien formés. Je craignais qu’ils ne puissent pas faire fasse à l’adversité. Mais vue combien ils ont su faire preuve de tac et de jugeote, je confirme !! Même moi, je n’aurais jamais eu l’idée de cacher le corps de ce Joël entre deux mondes. Je prie l’univers de prendre soin d’eux et de les conduire.

-          Alors,  qu’à dit son protecteur ? il va bien ?

Je sursaute et vois ma dame première ventre surgir de nulle part devant moi, prostrée en signe de salutation avant de me rejoindre à ma gauche.

-          Alors ?

Je mets un certain temps avant de comprendre qu’elle me parle par télépathie.

-          Plus tard ma reine soit patiente. Mais sache qu’il va bien.

Je suis arrivé et ai été entrainé dans la salle de conseil par les anciens. Elle peut rester. Ils savent sa loyauté envers les eaux sans borne. Je pense que s’il fallait me tuer pour maintenir les eaux en cage. Que si c’était la seule solution, elle le ferrait avant de se donner elle-même la mort.

Revenons au travail. Il paraitrait que certains clan de sans pur du pacifique, du fait de la grandeur de leur territoire, son contre la traversé d’un clan nomade qui utilise les courants chaux de l’atlantique.  Je vous demande où est le problème ! j’ai d’autres feux qui couvent et qui pourrait nous embrasser tous.

-          Majesté Sango Da Sango. Il faudrait agir afin d’éviter un bain de sang qui provoquerais le déchainement de la ceinture de feu d’il y a 500 ans.  Informe Zangle le 2eme conseillé

-          Quel est le réel  problème de quoi se plaignent-ils ?

-          Ils revendiquent le droit à leur source chaude. Que les nomades occupent au détriment des séances d’entraiment de leur jeunes. Informe le premier conseillé Balé. En plus de cela ils accusent les nomades de trainer avec eux plusieurs plantons qui à leur départ se développent en des espèces vivant qu’il faut gérer en leur absences

-          Notre devoir divin est d’accueillir la vie et celui terrestre est de maintenir l’harmonie. La vie dépend de l’harmonie et l’harmonie résulte de la vie. Nous ne pouvons chers conseillés interdire les nomades de construire la vie et ne pouvons détruire l’harmonie de nos frère du Pacifique. Ont-ils envoyés un représentant ? demandais-je à un de mes soldats.

-          Oui Majesté. Ils sont venus de tous les deux clan. En me les présentant de doigt.

-          Peuples frère et fils de l’univers avancez…. Je pense que vous avez suivis ce que j’ai dis en amont. Alors pour complaire chacun des clans. Le pacifique choisira deux ou trois sources chaudes qui accueillera les nomades pendant leur traversé. Ainsi les nouvelles vies créer seront cantonnés dans un endroit fixe ainsi leur suivit en sera facilité.

Les deux hommes se sont avancés, ont présenté leur respect,

-          Merci mon roi pour ta magnanimité et ce compromis bien ourdit. Notre chef de clan en sera reconnaissant et satisfait.

-          Qu’ai-je à faire de la satisfaction de ton chef de clan ? tonnais-je. Vraiment ces jeunes avec leur manque de tac permanant. En plus du fait que je n’ai même pas la tête à cela… ils osent sous entendre que mes décisions sont fait pour leur satisfaire. Je satisfais le Dieu de l’univers a travers mon peuple. Pour le peuple je décide de ce qui est le mieux pour tous.

Un des conseillés accours à leur secours. S’excuse à leur place pour éviter que ma colère ne s’abatte sur eux et ils s’en vont.

Pour dire vrai, je ne ressens aucune colère mais de la frustration. Le manque de connaissance apporte de la faiblesse. Je ne peu me le permettre. Je ne peux être faible. Il faut que je j’assemble les pièces du puzzle. Que je comprenne les plans des forces obscures. Pourquoi ? Oui pourquoi me mettre sous surveillance ?  Ces actions ne dépendent pas de moi. Il est de notoriété publique qu’entre mon fils et moi il n’y a pas d’amour fou sauf un peu de respect réfractaire.   Plongé dans mes pensées je n’entends pas les autres membres du comité dérouler l’ordre du jour ;  jusqu’au moment où le mon de dame Elimbi est prononcé.

-          Que désire-t-elle ?

-          Ma majesté… elle désire une audience pour savoir a qu’elle niveau se trouve les recherches concernant sa fille. Répondit le grillot en charge.

-          Nous lui avons dis que les recherches étaient en cours que nous l’informerons si nous avons du nouveau. Mais insiste pour te voir. Reprit  l’un des 12 sages chargé de l’enquête. Nous comptions ne pas donner suite.

-          Non ! laissez la venir que nous restions à son écoute. C’est une grande peine que de ne pas savoir où se trouve son enfant.

-          Bien mon Roi.

-          Et faites venir ma dame deuxième ventre. Il n’est pas bien qu’elle ne soit pas à l’écoute des problèmes de la couronne.

-          Elle n’est pas au palais mon roi. Mais nous avons laissé le message qu’elle nous rejoigne dès son retour.

-          Commençons !

Les problèmes allaient de vols de plantons à l’attaque des sites de pouvoir par des nués de bulles sombres. C’était surement les personnes qui cherchaient à rendre la prêtresse esclave du mal. Je ne pouvais divulguer mes informations. Si nos ennemis savaient mes rendez vous avec Biboum, alors ils avaient quelqu’un d’encore plus proche de moi. Dame Elimbi était insignifiante et n’avait accès à aucune information. Elle aurait été utile si son mari n’était pas alité presque léthargique. Car il est et reste chef guerrier et des services secrets jusqu’à sa mort. Tout ceci n’est pas net. Pourraient-ils vouloir qu’il ainsi ?

Dame Elimbi entre enfin et se précipite a mes pieds en larmes. Je ne sais même plus s’ils sont vrai où faux. Les femmes ! C’est toute une histoire.

-          Sa majesté… snif je t’en prie fait quelque chose !!!  retrouve ma fille snif… elle est si innocente et si douce… sniff si fragile…. Comment on t-ils pu ?  ce sont des être sans cœur. Snif…. Snif….snifff…

-          Là, là, là cesse de pleurer. Nous la retrouverons… les Dieux ne permettrons pas qu’ils lui fassent le moindre mal. C’est une noble. Lui répondis-je en allant la prendre par le bras pour la mettre debout.

On aurait dit que ce geste avait fait redoubler l’intensité et la force des pleurs. Je fis signe aux gardes de venir avec un siège tandis qu’un autre la soutenais. Je repris ma place. Il ne fallait surtout pas qu’elle m’enlace. J’ai faillit commettre cette erreur. Je me suis souvenu d’une conversation  avec le chef guerrier ou il me fessait part du fait qu’il ne pouvait rien cacher à sa femme car bien qu’elle soit bouclier elle était aussi sensation. Il suffisait qu’il la prenne dans ses bras elle devinait son humeur et par déduction savait ce qui n’allait pas. Peut-être est-ce pour cela que je n’ai pas pu lire en elle…. Son bouclier.

-          Je te le promets nous la retrouverons et malheur à celui qui la détiendra. Dis-je calmement.

-          Mon Roi… si ma fille se trouve sur la terre ferme…. Sniff sniff ohh quel horreur ! s’écria t-elle en prenant son visage dans ses mains. Elle le relève quelque seconde après les yeux bien rouge. Sniff sniff… et  ne peut –on pas avertir ton fils Njanè… sniff qu’il la recherche aus…..

-          Assez ! plus jamais ce non dans ce pas ce fils de déhonneur ! il a choisit les hommes ces êtres d’un instant qu’il y reste ! dis-je en mimant une rage folle. Il ne viendra jamais le jour où j’aurais recours à lui. Jamais !

-          Mais….

-          MAIS RIEN !!!!  tonnais-je. L’écho traversa le palais et le royaume de part en part. Puis, repris-je plus calmement. Je pense que ton inquiétude pour ta fille est méritée. Et pour montrer ma compassion, je charge ma femme deuxième ventre….. mais où est –elle  bon sang ! questionnais-je faussement courroucé.

-          Toujours pas là sa majesté. Répondis le grillot craintif.

-          Alors je charge ma femme première ventre de te soutenir dans le traitement de ton mari. Tu pourras te reposer et elle prendra aussi soin de toi. Elle sait ce que c’est que de perdre un fils.

-          Mais …. Mon roi ? dis ma femme.

-           C’est ma décision femme ! elle ne souffre d’aucune contradiction.

Les gardes accompagnèrent Dame Elimbi dans ses quartiers et  la réunion pris fin. Plus dans nos appartements, je ne cessais de faire les cents pas. Il fallait que je trouve le fin mot de cette histoire. Il en fallait de la vie de mon fils.

-          Alors tu vas me dire à quoi rythmais tout ton cinéma de  tout à l’heure au conseil ? je précise pour que tu ne  me dises pas que tu ne sais pas de quoi je parle.

-          Ce n’étais pas tu cinéma. Fis-je las avant de m’écrouler sur le lit.

Je lui fis signe d’approcher en silence. «  Les temps sont à la prudence femme ! oui c’était du cinéma pas pour toi certes mais pour l’assistance. J’ai vue le protecteur de njanè et la petite Danielle vit avec lui. Sa mère à orchestrer son enlèvement afin qu’elle épouse ton fils. Je ne sais pas comment elle a su ce celui-ci était le choix des Dieu. Et complote pour que la prêtresse future et déjà née leur prête allégeance. Ainsi dominer le monde. »

«  Et mon chers mari tu pense vraiment qu’en connaissant tout ceci je me mettrais a son service ? Elle veut asservir mon fils juste ciel ! »

«  Pas seulement ton fils mais le monde. Je pense …. Non j’en suis certain que mon chef de guerre n’est pas malade…. Elle le rend malade. Je voudrais que tu m’aide. Tes talents de guérisseuse sont méconnus de tous. »

« je peux aussi détruire…. »

« Seulement si tu le veux … ma mi ton cœur est si bon que tu guéris à ton incus. Soit prudente et prend soin de lui faire recouvrer la santé contrôle son eau sa nourriture… »

« et si tu te trompais ? »

« je  ne me trompe pas »

-          Ok maintenant que tu t’es fâcher pour des broutilles. Lève toi que je te débarbouille pour que tu te repose.

« Je crois qu’elle savait que j’allais voir Biboum et elle venais pour voir la tendance »

« Laisse cela pour ce soir et repose toi ».

-          Vraiment ! m’exclamais-je avant de m’exécuté.

~~~~ Estelle FOKAM~~~~~~

-          Petit pa c’est même quoi avec toi norr ? bouge-toi et ramène-moi tes chaussures.

-          Lesquelles Est ?

-          Toutes celles que tu as portées cette semaine. Et où est Dany ?

-          Il a dit qu’il arrivait au carrefour.

-          Il y a quoi là-bas ? tchuip vous me rendez vraiment bête. Murmurais-je dans ma barbe.

Je suis assise dans la cours de notre chambrette à faire la lessive. Et sincèrement je suis de mauvais poil. Je ne sais pas ce qui ma prise. Pourquoi me suis-je donnée à lui ?  Librement totalement avec une telle impudeur et audace que cela me rend furieuse et me surprend tout à la fois. Le comble de tout est que depuis vendredi la… aucun signe de vie. RIEN ! Le pire est que je ne peux même pas regretter mon Dieu que c’était bon. Super même.

-          Tourne le coté du pantalon là avant de continuer à brosser ? on dirait que tu veux plutôt l’abimer. Et je ne sais pas de qui tu es fâchée mais je n’aimerais pas être à sa place.

-          Tu as parfaitement raison. Moi aussi je n’aimerais pas être à ta place. Ripostais-je en laissant tomber dans la bassine le vêtement et la brosse. Pourquoi tu es têtue comme ça ? pourquoi lorsque je te parle tu mets tous les efforts possibles pour ne pas me comprendre ? qu’est ce que tu fiche au carrefour ? le carrefour là te donne quoi ?

Au fur et à mesure que je lui parlais le ton montait en octave et je ne me rendais pas compte du fait que je criais presque et que des larmes ruisselaient sur mes joues.

-          Tu sais bien que je n’aime pas que tu traine avec ces gens que tu appelles les BOYS. Je ne veux pas que tu deviennes comme eux. Je me consacre à toi et petit pa. Je veux que tu sois le meilleur en tout. Que tu cloue le bec à cette soit disant famille qui nous a jeté comme des mendiants. Que petit pa ne réalise pas je comprends. Mais pour toi ca me fais mal. On dirait que tu veux toujours tout discuter. Rivalisé avec moi. C’est quoi même ?  depuis le matin que je t’ai demandé de nettoyer la maison le temps que je fasse la lessive. Tu es au CARREFOUR !!! Tu sais bien comme le dimanche est char….

Me prenant de court, il vint me prendre dans ses bras me soulevant de la chaise comme une plume pour nous faire entrer dans la chambre. C’est en cet instant que je su que le voisinage était sortit. J’avais oublié dans quel quartier je me trouvais. Les afférés des afférages ! Demain les transformations et les différentes versions de cette seconde seront devenus officielles au point d’effacé l’original.

-          Je suis désolé…. Excuse-moi esta. Je n’ai pas voulu te mettre en colère où autre chose. Chuchotait-il dans mes oreilles. Je ne pense jamais te rendre la vie dure. Tu le sais dejà j’ai juste du mal à accepter que ce soit toi qui fasse tout pour nous.

-          Snif moi ca ne me dérange pas … snif comme je te le répète toujours ce n’est pas un sacrifice que je fais… j’ai quand même pu avoir une licence. Sniff tout sniff tout ce que je veux est de voir les souhaits de papa je révéler en toi.

-          Je sais.. mais sache que je ne suis pas idiot. Si je salut une personne ca ne veux tout de même pas dire que je vais copier ses mauvais comportements. Et si je suis monté au carrefour c’était pour récupérer ma tennis chez maguida.

-          N’empêche  tu es têtue….

-          Je suis désolée je promets de faire des efforts.

 Nous sommes resté ainsi quelque une minutes avant petit pa ne vienne nous enlacer à son tour.

-          Est ? pourquoi tu pleures ?

-          Parce que ton frère m’énerve !

-          S’il te plait Est…. Il ne faut plus pleurer. S’il t’énerve tape le où tire ses oreilles mais ne pleure plus.

-          Oui tape moi où tire moi les oreilles.

Je me suis mise à rire et mes deux frères ont fait de même. Peu de temps après, dany a demandé à  petit pa d’aller faire ses devoirs de classe dans la cour. Puis il nous fit assoir sur le lit. Il me demanda de me reposer il terminerait la lessive. Il a fini et moi j’ai nettoyé l’intérieur avant de me rendre au marché pour la préparation des repas de la semaine. J’avais fini par acquérir un mini réfrigérateur. C’était plus pratique pour  gérer la nutrition de ma petite famille. Vers  22h de ce jour la. Le signe tant attendu arriva. Un message bien que court. « Bonsoir sweetheart. Tu me manque énormément. Vivement demain ! kiss

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