Chapitre 37 : Triste Fin
Write by Rhema 241
Chapitre 37: Triste Fin .
Dini LESSAYIE
Non ce n'est pas normal, je ne peux pas avoir une telle envie de sexe , même si le docteur dit que ça peut être dû à la ménopause, j'ai vraiment du mal à y croire .
Kaffi vient de rentrer chez lui , il était là depuis hier , car après chaque rapport , je ressentais l'envie de faire à nouveau .
Il est parti car il ne se levait plus , quand je pense à cela , je me souviens des moments passés dans les bras de Kouka, on peut lui reprocher beaucoup de choses , mais il s'est se servir de ce qu'il a dans son pantalon.
Déjà il a cette force physique qu'il utilise pour te mettre où il veut , mais en plus de cela , il a de l'endurance, Kaffi est un bon coup , juste qu'ils n'ont pas la même force physique ,ni la même endurance, et encore moins la même imagination, car Kouka imagine de ces techniques qui te coupe le souffle directement, mais bon je n'y peux rien. J'ai essayé et je n'y arrive plus , plus rien ne l'attire vers moi , pourtant j'ai tout essayé.
Je sors de la chambre après une énième douche et de caresses à répétition dans le but de soulager ce manque que je n'arrive toujours pas à contrôler.
Non je dois voir pépé, ce n'est pas normal, j'espère vraiment que ce n'est pas ce à quoi je pense , sinon je crois que je vais me tuer une bonne fois .
Pendant tout le trajet, je m'arrête à plusieurs reprises pour respirer un peu , malgré la climatisation je transpire , l'envie de sexe me donne des sensations terrible, je vais perdre la raison si sa continue.
J'arrive chez pépé 2 heures après , je retire directement mes vêtements et me dirige vers lui, ce n'est qu'une fois terminée que j'arrive à me calmer un peu .
Moi( en larme ): je vais mourir
Pépé : calme toi Dini , tu sais que rien n'est jamais irréversibles .
Moi: mais je n'ai plus rien à donner , même mes filles je ne peux plus , car j'ai déjà donné leurs ventre , elles devront vivre pour que les esprits en bénéficient , je n'ai plus rien , tu sais que je n'ai plus de famille , je vais donner quoi ou qui ?
Pépé : la petite à qui on a donné le sida , elle est où ?
Moi: mais de toute façon il ne lui reste que 2 ou 3 mois à vivre .
Pépé : Au moins on pourra trouver une solution pendant ce temps là , on échange vos énergies, car toi tu dois mourir dans les jours qui suivent, au moins elle meurt et pour toi on cherchera une solution .
Moi: Donc je vais souffrir du sida ?
Pépé : oui
Moi: mais kaffi va me quitter
Pépé : c'est un sida mystique et il est mystiquement protégé, il ne va pas te quitter pour si peu.
Moi( dépassé): Le SIDA, non c'est trop
Pépé : au moins on aura 3 mois pour trouver la solution .
Moi: Et je suis censée me décider avant quel jour ?
Pépé : tu as 8 jours .
Moi: pourquoi ça n'a pas marché ?
Pépé : tu n'as pas vérifié , elle n'a jamais essayé les sous-vêtements.
Moi: mais pourquoi les choses doivent être si compliquées? Maintenant je fais comment avec cette sensation qui ne me quitte plus ?
Pépé : on trouvera une solution ne t'inquiètes pas .
Après une dernière partie de sexe, je rentre chez moi complètement dépassé par la situation , j'ai fais quoi pour mériter tout ça?
Je ne sais pas si je dois appeler Saveur pour l'insulter ou si je dois simplement garder ça pour moi , vraiment je suis dépassée.
Yvie MACKEMBI
Le docteur : comme vous le voyez, les résultats ne montre rien de spécial, tu n'as aucun problème.
Moi( désespérée) : Docteur regardez-moi, quand vous me voyez , ai-je l'air d'aller bien ? Je maigri un peu plus chaque jour sniff, déjà que je n'ai jamais été en chaire, je deviens l'ombre de moi-même. Je vais mourir docteur, je le sens au fond de moi .
Le docteur ( compatissant): mademoiselle MACKEMBI, je suis un homme de sciences , je ne peux pas expliquer ce qui vous arrive malheureusement , le mieux serait certainement de vous rendre à Libreville , pour approfondir les examens.
Libreville ? La ville de la lionne ? Jamais , je préfère rester ici à Mouila, je ne veux plus de problème.
Je soulève mes affaires et sans mentir le goût de vivre je l'ai perdu il y a quelques temps, j'ai arrêté de dire à ma famille que je suis malade ou encore que je me sens mal , car les messages que je reçois dernièrement me fustrent et me démoralisent.
Comment tu dis à quelqu'un je ne me sens pas bien , la personne te réponds encore, toujours toi , toi aussi tu es toujours malade , oh tu fais souffrir tes parents , comme si j'ai commandé la maladie en question .
Je souffre dans mon être mais je ferme la bouche car je ne veux pas entendre les entendre me reprocher d'être toujours malade comme si je le voulais , aujourd'hui on me regarde de haut, on me traite comme une moins que rien , pourtant cette famille je l'ai nourri , ce père qui aujourd'hui dit que je fatigue les gens avec mon histoire de maladie chaque jour, est celui qui a dépensé mon argent au pmug et autre jeu de hasard depuis plus de 15 ans , mais aujourd'hui comme je n'ai plus d'argent, je fatigue tout le monde, après tout ce que j'ai fais pour cette famille, oui j'ai menti qu'ils n'existaient pas , mais je n'ai pas cessé de m'en occuper , mais ce que je vis en ce moment me démoralise. Ils oublient que même la maison où ils vivent, c'est moi qui ais construit ça .
Je rentre à la maison en essayant de masquer mon mal , et me dirige vers la cuisine traditionnelle qui se trouve derrière la maison pour chercher de quoi manger, je n'ai pas mangé ce matin car j'avais des prises de sang et pour récupérer également les résultats des examens précédent mais comme ici tout va au ralenti, depuis 6 h que j'y suis allé, c'est à 15 h que j'ai terminé .
Moi : bonjour
Elles : bonjour.
Moi: syntiche pardon sers moi un peu le poisson avec la banane
Syntiche (se levant): j'étais entrain de sortir désolé.
Je regarde Mireille qui tourne la tête à côté.
Je me lève et à l'aide du feuille de bananier j'ouvre la grosse marmite du bouillon de poisson.
Je sers deux morceaux avant de prendre de la soupe et la banane.
Je termine mon repas en silence avant de laver mon assiette et la ranger .
Je sors de la cuisine et tombe sur maman qui étale le linge de ses enfants à la corde , même le linge de mes petites sœurs de 24 et 20 ans .
Je salue et sa réponse du bout des lèvres, ne me pousse pas à insister.
Une fois dans la maison je me dirige vers la douche .
Je trouve les vêtements que j'ai terminé ce matin avant d'aller à l'hôpital, à même le sol déjà il n'y a pas de carreaux dans la douche, juste du ciment et c'est très mal entretenus donc ce n'est pas hygiénique du tout , avec ma santé qui se dégrade de jour en jour, voila les infections cadeaux.
Moi( en colère): Qui a jeté mes vêtements au sol ?
Silence
Je sors de la maison et me dirige vers maman .
Moi: maman , tu sais qui a jeté mes vêtements au sol ?
Maman : j'allais mettre ça où ? Je voulais laver le linge de mes enfants et mon mari .
Moi: Mais pourquoi à même le sol ? Et moi je ne suis pas ton enfant aussi? Pourquoi tu fais ça ?
Maman : À ton âge c'est moi qui vais laver ton linge ? Tu penses que tu es à Libreville où tu avais des ménagères ? Me faire le bruit pour des seaux que j'ai acheté ? Tchuips. N'importe quoi.
Moi: Je n'ai plus rien ajouter, j'ai rallumé le feu de bois avant d'y mettre une marmite d'eau à bouillir.
Une fois l'eau chaude, j'ai pris les vêtements que j'ai trempé à l'intérieur en ajoutant le bicarbonate.
C'est avec beaucoup d'effort que j'ai réussi à le faire car je me sentais épuiser ,le corps endoloris.
Une fois terminée j'ai installé pour moi avant de nettoyer la douche avec de l'eau de javel , en plus de passer de l'eau chaude sur les mur et le sol.
Je suis ensuite aller m'allonger dans la chambre car les efforts que je viens de faire ont retiré toute l'énergie en moi .
Je fini par dormir toute la nuit, le matin au réveil je ne sens plus ma jambe droite .
Prise de panique j'appelle ma mère pour signaler le problème.
Moi( criant): maman maman ! Sniifff.... Maman viens.
Maman ( depuis le salon ): Tu cries mon nom pourquoi ? Pourquoi tu cries mon nom? Je t'ai demandé d'arrêter avec moi , arrête ça , laisse moi tranquille.
Moi( en larme ): s'il te plaît
Maman : Fous moi le camp je vais en brousse , j'ai une famille à nourrir.
Je me suis dis qu'elle allait tout de même venir, mais qu'elle ne fut pas ma surprise de constater après 20 minutes qu'elle n'était toujours pas là .
J'appelle mon père et mes sœurs , mais personne ne répond .
Je n'arrive ni à bouger mon pied , ni à le sentir .
Je me lève et à l'aide de ma main sur le mur , je marche sur un pied , jusqu'à la sortie.
Je trouve mes sœurs devant la télé , les écouteurs aux oreilles. Écouteurs et téléphones que j'ai moi-même acheté.
C'est en larme que je me dirige à l'extérieur en rasant le mur .
Une fois à l'extérieur je me jette au sol car il n'ya plus de mur face à moi . Je rampe un moment derrière la maison et me retrouve dans la petite forêt derrière chez nous .
Je me mets à pleurer, à cause de la triste vie qui est la mienne. Cette maladie ne va pas me tuer, ce qui va me tuer c'est l'indifférence des miens , cette haine qu'ils ont contre moi, c'est toute cette douleur, cette blessure, qui vont me tuer.
Je pleure sans pouvoir me contrôler, je pleure à gorge déployée , je n'arrive pas à contenir cette douleur , j'ai envie de m'arracher le cœur .
Je repense à mes souffrances , à ma famille , je repense à la vie que j'ai vécu et je me dis que finalement tout est vanité, c'est ainsi que je termine .
J'ai mal partout , je suffoque petit à petit , j'ai l'impression que l'air qui sort de ma bouche s'en va avec ma vie petit à petit et bientôt il ne me restera rien . Qui va me pleurer ? Qui ? Si ma propre famille n'arrive pas à compatir à ma douleur, qui?
Je regarde au dessus de ma tête et remarque une corde sur l'arbre , c'est ce qu'il me faut , je dois en finir , je dois mourir.
Avec la dernière force qui me reste , j'empile les briques que je trouve près de l'arbre et m'asseois un moment.
Je sors mon téléphone de la poche et me met à regarder les statuts.
Sur celui de Jessye , je la vois avec un son petit ami, elle est enceinte et à l'air heureuse, Julie aussi est enceinte à ce que je vois ,elle est un peu pâle mais c'est sûrement dû a la grossesse.
Sur celui de Saveur, je vois une photo des enfants de ses sœurs et des photos de sa master classe de la semaine dernière.
Je dépose le téléphone et les statuts continuent de défiler, tout le monde est heureux et moi je n'ai que ce que je mérite.
C'est après plusieurs acrobaties que je réussi enfin à monter sur les briques. J'attrape la corde en larme quand j'entends un chant qui augmente le flot de larmes sur mon visage.
Au début j'avais l'impression que cette chanson venait de loin , puis j'avais l'impression que la personne chantait à mon oreille.
C'était la voix de Saveur j'en suis sur .
J'ai un Dieu
Il s'appelle Jésus de Nazareth
Il peut tout changer
Il a la capacité de bouleverser .
J'ai un Dieu
Il s'appelle Jésus de Nazareth
Il peut tout changer
Il a la capacité de bouleverser
Plus j'entendais cela , plus je ressentais , quelques chose de fort en moi , j'avais déjà attaché la corde à mon cou , j'ai ouvert la bouche les yeux pleins de larmes et je me suis mise à chanter .
J'ai un Dieu
Il s'appelle Jésus de Nazareth
Il peut tout changer
Il a la capacité de bouleverser
Plus je chantais plus je ressentais une force prendre place en moi , je ressentais mon pied à nouveau, pas totalement mais je sentais qu'il était là.
J'ai un Dieu
Il s'appelle Jésus de Nazareth
Il peut tout changer
Il a la capacité de bouleverser
Jai donc décidé de descendre mais malheureusement pour moi j'ai senti une force me pousser , j'ai entendu meurt , j'ai reconnu l voix de ma mère , c'est elle , c'est elle qui m'a poussé , je m'ettoufes, j'ai l'impression de ....
Aria BIJOU LEKOUA
J'ai passé toute ma journée à ressasser la nuit d'hier dans ma tête , j'ai déjà changé plusieurs slips tellement je mouille rien qu'en y pensant , je ne peux pas garder ça pour moi .
Je dois absolument en parler .
Il est 19heures et je viens de finir avec ma dernière commande de la journée .
Je dois rapidement aller voir ya Saveur pour savoir comment était sa conférence, les enfants sont chez maman avec leur nounou, car cette dernière fait une dépression , le manque de ses petits-enfants la rend malade, selon elle .
J'arrive là-bas en taxi vu que ma voiture est toujours chez l'autre type là .
Une fois sur place, je trouve ya Monique avec elle , elles sont toutes les deux assisent dans le deuxième salon .
Ya Saveur : je suis farouchement contre ce genre de pratique, la sodomie n'est pas correct Monique, que tu veuilles avoir des rapports avec ton type malgré que tu sais que ce n'est pas correcte. Mais la sodomie ! Non arrête ça, ne pratiquez pas des choses contre nature, là je ne suis pas du tout d'accord .
Moi: bonsoir
Elles retournent vers moi surprises.
Ya Monique : ça fait un bye qu'on ne t'a pas vu sourire mon bébé .
Ya Saveur : coucou chérie ça va ?
Moi : oui oui
Saveur se lève et se dirige vers la cuisine .
Ya Monique : toi tu veux dire un truc j'en suis sûr.
Moi ( me rapprochant de ya Monique): Ce que j'ai vécu hier yaya , il ya goût et goût , mais le goût d'hier la hummmm , le goût qui te fais perdre connaissance .
Ya Monique ( Amusé): Allons y doucement, tu as rencontré quelqu'un ?
Moi( grimaçant) : Qui ? Moi j'ai fini avec les histoires d'hommes .
Ya Monique: donc tu parle de quoi .
Moi: Un gars là , on s'est rencontré il ya quelques jours.
Elle me fait signe de me taire mais j'étais tellement lancé que je n'ai rien remarqué.
Moi: même son nom je ne connais pas, je sais juste que dorénavant je l'appellerai mon pipi d'Or , le gars connait damer je jure, mon
Ya Saveur: Attend LEKOUA , tes petites sœurs et toi comme je suis calme depuis un moment , vous voulez tester mes limites ? On verra , j'aménage chez moi lundi , et toutes les trois vous allez vivre avec moi , je vais voir quel goût passera ma porte pour vous trouvez.
Moi: oh mais j'ai ma maison
Ya Saveur ( sérieuse) : j'ai l'air de m'amuser avec toi ?
Moi(boudant): hum
Ya Saveur : EST-CE QUE TU VOIS MES DENTS ?
Moi : nonnn
Ya Saveur : c'est mieux .
Elle part vers la cuisine en murmurant.
Ya Saveur: le goût , le goût, imbécile.
Non je dois parler aux filles, je ne veux pas vivre avec ya saveur , tout sauf elle .
Je reste un petit moment avant de rentrer chez moi et la solitude peut me tuer, il n'y a personne.
En parlant de ça , ma voiture est toujours chez The pipi d'or, je n'ai même pas son numéro , je pense que je vais y aller , juste pour récupérer ma voiture , en plus les clés y sont .
J'emprunte un taxi , une fois sur place je remarque que les roues sont en place .
Je trouve la maison fermé une fois de plus, je regarde dans la cachette et prend la clé, j'ouvre la porte et rentre , je me met à chercher la clé pendant plus de 30 minutes .
Résignée, je fini par me poser sur le canapé, il viendra me donner ma clé.
Une heure après j'entends cogner à la porte , en allant ouvrir je suis surprise de voir une femme de près de 40 ans d'âge devant la porte .
Elle : Bonsoir, Sean est là ?
Moi( perdue): Sean c'est qui ?
Elle: Sean BIYOGHE celui qui vit ici .
Moi: Il n'est pas là.
Elle( me poussant pour rentrer ): Ok je vais l'attendre.
Moi( l'air de rien ): ok d'accord .
Elle lance un appel et se met à insulter quelqu'un en fang , ensuite j'entends , je t'attends ici chien , je fini par comprendre qu'il s'agit de the pipi d'or, donc il est Fang, hum les ethnies compliquées comme ça.
30 minutes après il rentre , son regard passe d'elle à moi .
Moi: où sont mes clés de voiture .
Lui : bonsoir quand-même , madame la propriétaire de ma cachette .
Moi: tu parles trop donnes-moi mes clés.
La dame en question fait sortir un papier, c'est une liste , une très longue liste on aurait dit un parchemin .
La dame : je ne suis pas venue ici pour assister à une dispute de couple . Sean depuis 10ans qu'on se voit , 10 ans , du jour au lendemain tu décides de ne plus me donner du plaisir.
Lui: s'il te plaît, je t'ai déjà expliqué la situation, j'ai grandi et j'aspire à beaucoup plus que des simples coucheries à présent.
La dame : Fous moi le camp chien , la tête comme j'aspire plus à des , bref je ne suis pas là pour ça ,je suis venue ici pour te dire,que si tu ne veux plus de moi ,tu vas devoir me rembourser.
Moi( dans ma tête ): De mieux en mieux.
Lui : pardon ?
La dame ( lisant le papier): Au début de notre relation tu étais encore en 4 ème tu n'étais rien , personne, je t'ai aidé à payer tes études jusqu'en Terminal soit 1million 100 mille.
Sans compter les petits cadeaux et autres car tu étais encore un gamin, mais à l'université , j'ai payé ta troisième année ainsi que tes frais de soutenance , si tu l'as oublié . 1.800.000 , tu me rends mon argent . Ensuite , un jour on est allé au magasin , city sport, tu as apprécié une chaussure et je te l'ai acheté , 72 . 000 , les reçus sont tous là . Après ça ta mère est tombé malade, je t'ai donné 400 mille pour les soins , puis je t'ai demandé de commencer un buissness et je t'ai remis 1 million et tu as ouvert ta petite structure que mon mari a cassé mais ce qui est sur c'est que je t'ai donné cet argent , on est à la première année je te rappelle , par la suite
Lui: Tu veux Quoi Claudia?
La dame : sois tu continues à me faire du bien , où tu me rembourses, je suis très sérieuse et je peux te dire que tu me dois énormément.
Lui: A chaque fois que tu as voulu m'aider , je t'ai enregistré, tu penses que je suis bête ?
Il fait sortir son téléphone du sac .
J'ai le même téléphone depuis 6 ans .
Il va dans ses audios et après 5 minutes il dit
Lui: VOILÀ !
Il commence la lecture de l'audio en question et la femme le supplie d'accepter de quitter l'université publique où il était pour une école privée.
Il lui répondait qu'il n'avait que 20 ans et n'avait rien pour rembourser cet argent , elle a répondu je le fais sans arrière penser car tu es un bosseur.
Il coupe l'audio et joue celui dans lequel elle lui demande de choisir une chaussure car il devait représenter son école dans un concours et qu'elle le voulait présentable .
Il a enchaîné les audios et je me demandais comment il avait pensé à tout ? Et elle , les factures et autres ? Vraiment l'intérêt guide l'esprit .
Ils se disputent un long moment tous les deux puis elle décide de retirer sa robe.
Je pense que j'en ai assez vu , je me dirige vers la chambre en les laissant tous les deux dans leur discussion.
Lui: Tu as profité de ma naïveté car je n'étais qu'un gamin, n'oublie pas que la première fois tu m'a violé, je ne voulais pas mais tu m'a forcé .
La dame: Et tu bandais tel un taureau? Menteur.
Lui: J'ai continué à coucher avec toi car je pensais t'être redevable , ce qui n'est pas le cas tu m'a utilisé, donc sors de chez moi.
La dame : chien, tu vas mal mourrir , imbécile.
Elle criait en lui demandant de la lâcher .
Elle me menaçait même , toi même tu dis que depuis 2 mois le gars ne te touche plus , c'est même toi qui me donne son nom et tu me menaces comme si c'était ma faute .
15 minutes après il rentre dans la chambre en colère .
Lui: Toi tu as quel problème avec moi .
Moi( le dévisageant): genre j'ai trop ton temps ? Pardon donne moi mes clés je rentre chez moi .
Lui: Tu ne me parles pas de cette manière on a pas le même âge .
Moi: oui c'est ça , gigolo.
Je continue à manipuler mon téléphone quand il s'approche de moi très en colère.
Lui: Tu traites qui de gigolo ?
La vaine sur son front se dessine , il est vraiment en colère ça se ressent dans sa manière de respirer .
Il me fixe sans un détour et j'en fais autant .
Moi( mordant ma lèvre ): Sean BIYOGHE, tu es un rigolo.
Je le disais avec une main dans son pantalon ,je caressais son membre en le fixant avec un air de défis .
Moi( me mordant la lèvre): Tu vas me faire quoi ?
Il presse un de mes seins avant de remonter sa main vers mon cou , je penche ma tête vers l'arrière pour qu'il fasse ce qu'il veut et il l'a ramène en insérant deux doigts dans ma bouche , en les faisant rentrer et sortir de manière sensuelle.
Les minutes d'après j'ai senti une vague immense de plaisir parcourir mon corps au moment où le pipi d'Or est entré en action en moi .
J'ai finalement passé la nuit là-bas , c'est le bruit à l'extérieur qui m'a réveillée, en regardant à côté de moi il n'était plus là .
Je porte une chemise à lui et me rend à l'extérieur pour comprendre le problème.
Une femme : Je ne suis pas dedans, on va se ranger ensemble , donc tu décides de ranger ta vie et moi tu me jettes après m'avoir baiser pendant 2 ans ? Jamais BIYOGHE , c'est ton pied mon pied.
Sean : mais on était même pas en couple .
La femme : je m'en moque tu entends ? Ce n'est pas mon problème.
Je pense que j'en ai assez entendu, un rigolo comme ça .
Chance que je n'attendais rien de lui non plus , un chien comme ça .
Moi( me rapprochant de lui) : donne moi mes clés je rentre chez moi .
Lui: dans la commode , il ya un petit pot bleu , c'est à l'intérieur.
Je vais à l'endroit indiqué et récupère ma clé , mais en sortant je remarque qu'il a fermé la porte , il est dehors avec sa go , et il m'enferme ici .
S'il pense pouvoir m'embrouiller il va se fatiguer, moi je n'ai même plus le temps de goumin, je cherche mon argent et j'avance.