Chapitre 39
Write by deli
Je m’excuse d’avance parce que ce chapitre est plus court que d’habitude mais j’avais besoin de faire passer cette étape à mes personnages et comme j’ai toujours autant de mal à écrire dés moment intimes j’ai essayé de faire quelque chose d’assez cohérent. Anyway, j’espère que ça vous plaira quand même et le prochain chapitre arrivera assez vite. Bisous <3
*****PDV de Patrick*****
Lorsque je l'ai vu prendre la direction de ma maison j'ai tout de suite compris ce que ça voulait dire. Cette fille est une vrai tentation et elle sait très bien comment stimuler et charmer un homme et ça marche vraiment bien avec moi ! Si la dernière fois je n'étais pas disposé à aller plus loin à cause de la situ dans laquelle elle se trouvait, ce soir je compte bien lui donner tout ce que son corps désire. Après avoir garé derrière sa voiture, je l'ai rejoint, saisi sa main et nous ai dirigé vers la maison que j'ai prit le soin de bien verrouillé après que nous y sommes entré.
tout juste après avoir verrouillé la porte je n'ai pas eu le temps de m'accommoder au bien être de la maison qu'elle s'est tout de suite jeté sur mes lèvres en encerclant mon cou de ses mains et avec la même fougue je lui rend son baisé dans une passion incroyable. Pour ne pas que nous succombions à un étouffement je m'éloigne légèrement d'elle pour qu'on puisse reprendre notre souffle. Son regard plein de désir me fixe avec une telle intensité que je sens déjà mon membre à l'étroit dans mon caleçon. Elle recule le regard toujours fixé dans le mien et elle déboutonne sa robe avec une lenteur incroyable me procurant des frissons atroces, j'ai l'impression d'être de retour dans ma période d'adolescence lorsque le sexe était euphorique, dépravé et excitant a en perdre la tête pour les fesses d'une fille.
La poitrine à l'air et une culotte noire comme dernière couche de vêtements dévoilé par la chute de sa robe qui réside désormais à ses pieds elle continue de me fixer avec les lèvres pincées me montrant clairement à quel point elle est excitée. Elle se rapproche de moi et commence à déboutonner tout aussi lentement chaque boutons de la chemise que je porte puis une fois cette dernière ayant retrouvé le sol on plonge à nouveau dans une danse sensuelle de nos lèvres scellées et nos langues entrelacées. Je glisse mes mains à ses fesses et les presses fermement la collant plus contre mon corps pour qu'elle sente à quel point j'ai envie d'elle grâce à la proéminence de ma queue déjà bien tendue et qui je demande qu'à être satisfaite. Les gémissements de dalia me font perdre la tête, j'ai tellement envie de la culbuter que je la soulève, l'incitant à encercler ma taille de ses jambes et je nous conduit jusqu'à la chambre sans pourtant arrêter de l'embrasser et une fois mon objectif atteint je la balance sur le lit sans ménagement.
Moi (la regardant sans pudeur) : tu sais qu'il n'y aura pas de retour en arrière après ça n'est ce pas ?!
j'ai beau mourir d'envie de la baiser mais ça ne veut pas dire que je suis un passe-temps, hors de question. Cette femme m'intéresse au-delà du sexe et je veux qu'elle en ait bien conscience.
Dalia: je ne suis pas une gamine, je sais très bien ce que je fais alors est ce qu'on peut baiser maintenant ?!
Moi (sourire en coin ) : à vos ordres madame
Je me suis débarrassé de mon jean et mon caleçon avec une frison d'excitation atroce, j'ai tellement envie d'elle mais j'ai également envie de la satisfaire pleinement et rien que le regard qu'elle porte sur ma queue dressée devant elle me donne des spasmes incroyables. Je m'approche d'elle et me glisse entre ses jambes et j'avoue aimer énormément le fait qu'elle soit tellement coopérative. Je fais glisser sa culotte le long de ses jambes et une fois cette dernière ayant rejoint le reste de nos affaires au sol, je remonte ses jambes avec des baisers que je parsème à l'intérieur de ses cuisses jusqu'à atteindre son sexe luisant de cyprine, elle est trempée hummm.
j'ai passé ma langue sur son clitoris et j'ai tout de suite sentie la crispation de son corps et et apprécie le gémissement qui l'a échappé ! Je me suis aventuré plus profondément dans son sexe avec ma langue et d'un geste expert j'ai commencé à lui donner du plaisir motivé par le doux gémissement qui attestent de son plaisir. Je suce et la pénètre de ma langue et voulant l'entendre crier d'excitation je joins mes doigts à la danse en la pénétrant le plus profondément possible. Ses cris remplissent mes oreilles et je n'arrête qu'au moment où sa jouissance inonde son sexe, lui coupant complètement la respiration et crispant son corps au max. Je me redresse aussitôt, saisissant un préservatif dans un tiroir près de mon lit et après l'avoir enfilé je reprend place entre les cuisses de Dalia et en plongeant mon regard dans le sien je la pénètre d'un coup sec dans un grognement d'excitation incroyable, putain elle est bonne. J'aime entendre ses gémissements, j'aime sentir son corps contre le mien, j'aime son odeur et la façon dont elle me griffe le dos, elle est trop bandante.
je prends mon pied en intensifiant les vas et viens dans son sexe trempée de la preuve de son excitation et le son de ses gémissements m’encourage à torturer nos corps de plaisir encore et encore jusqu’à ce que je sente l’orgasme pointer son nez et après quelques mouvements supplémentaires j’éjacule dans les cris de passion de dalia et un gémissement dépasse mes lèvres en sentant tout se décharger de mon corps
je me retire lentement d’elle en sentant mon sexe redevenir mole. Je me lève, retire mon préservatif et le jette dans la poubelle se trouvant dans un coin de ma chambre et reviens m’allonger près de cette magnifique femme qui semble redescendre d’un nuage et je l’attire contre moi sans qu’elle n’oppose de résistance et la blottie contre mon torse sur lequel elle pose sa tête tout encerclant ma taille de sa main et en passant une de ses jambes sur moi avec le visage à quelques centimètres du mien
Dalia (m’humant) : j’aime trop ton odeur
Moi (petit rire) : Merci! Tu es la première personne à me faire cette remarque
Dalia (me regardant dans les yeux): tant mieux pour moi et tant pis pour elles
Moi : je ne vois absolument pas de qui tu parles
Dalia : parle moi un peu de toi, de ta vie, de Port-Gentil. Est ce que cette ville est si jolie et petite qu’on raconte
Moi (souriant) : Port-Gentil est minuscule (riant) je crois que le fait que j’y ai grandit n’aide pas mon objectivité parce que j’ai l’impression d’avoir fait le tour de cette ville un nombre incalculable de fois mais par contre j’ai la certitude que tu t’y plairais énormément
Dalia (souriant) : est-ce une invitation ?
Moi : sans une once d’hésitation
Dalia : alors j’accepte avec plaisir
Pour accompagner sa phrase elle a scellé ses lèvres aux miennes et ses glissée sur moi glissant sa chatte humide et la faisant glisser sur mon membre. Elle a intensifié son baisé et ses frottis sur mon membre jusqu’à ce que ce dernier soit de nouveau tout dur et c’est ainsi qu’on a enchaîné une bonne partie du reste de la nuit à communiquer uniquement avec nos corps entrelacés.