Chapitre 4
Write by Nessa.Belmonde
Chapitre 4
Arrive au sol j’ai essayé de me révélé mais impossible il c’était mît sur moi
Moi : Y’a Denis !! Qu’est-ce que tu veut faire ?! Laisse moi partir !!! Dis-je en criant
Denis : tu peu crié autant que tu veut j’ai fermé toutes les portes personne ne va t’attendre
J’essayais tant bien que mal de me débattre mais impossible il était plus lourd que moi , il a commencé a posé des bisous sur ma bouche pour étouffé mes cries
Denis : laisse toi faire sinon j’emploie la manière forte !
Moi : s’il te plaît laisse moi . Dis-je en pleurant
Denis : ça va bien se passé tu va aimé et tu ne va plus te passé de moi . Disait-il en compressant son ventre sur le mien
Moi : arrête !! Arrête !!!! Arrête !!!!!!! Hurlais-je
Il m’a giflé
Denis : FERME TA GEUEUL !!
Je continuais à crié car je devenais horrifié par ce qu’il se passé , il a levé ma robe , dont je me suis maudite à cet instant d’avoir porté plus tôt dans la journée , il a déchiré ma culotte, je ne sais même pas quand et comment il c’était déshabillé, il m’a pénétré d’un coup sec j’ai hurlé de douleurs , j’avais mal au ventre , j’avais mal au plus profond de mes entrailles , il fessait des va et viens sur un sound de sa respiration lourde et perverse , sa me donnais la nausée de l’entendre respirer ainsi comme un porc sur moi , il continuait à abusé de moi au bout d’un moment je n’arrivais même plus à crié , je n’avais plus la force, j’étais comme vide , je suis resté mobile à fixer un point dont je ne voyais pas . Quand t-il eu fini il s’est levé en me laissant dans mon sang
Denis : t’inquiète pas tu en redemandera. Dit-il en remontant son pantalon
Je l’ai regardé partir depuis le sol , je n’ai pas bougé de la jusqu’au matin quand l’une des autres domestiques, Prudence, m’a trouver, elle a hurler
Prudence : Jesus !!!
Je n’avais même pas la force de pleuré ou même de bouger car mes membre été bloquer . Je sentais seulement les larmes couler sur mes joues .
Prudence : Keya je ne sais même pas quoi faire !!! Disait-elle paniquer en sautant par tout . Elle s’est baise en me tapotant la joue . Keya ? Keya ? S’il te plaît répond moi ! Keya !! Attend , attend ! Elle a pris une grande respiration. Reprend tes esprits Prudence. Personne ne doit te voir comme ça . S’adressant à moi . Je vais te ramener dans ta chambre .
Quand elle m’a levé j’ai hurlé de douleurs
Prudence : d’accord, d’accord ... on va la faire doucement .
Je ne sais pas avec qu’elle force elle ma porte jusqu’à dans ma chambre, Prudence elle est plus âgée que moi elle a vingt-cinq ans mais physiquement on as la même corpulence. Elle m’a ramené dans ma salle de bain , ma débarrasse de ma robe , elle m’a fait assoir dans la douche vu que je n’ai pas de bain , elle a allumer l’eau et laisse l’eau coulé sur moi
Prudence : je reviens je vais nettoyer le sang par terre
Elle revenu dix minutes plus tard , je n’avais pas bouger d’un poils , elle m’a laver en voyant que je ne fessais aucun effort , elle m’a lavé avec des feuille de mangue et de l’eau chaude. Je ne cherchais pas à comprendre ce qu’elle fessais , je n’étais plus moi. Elle m’a habillé et ma allonger dans la lit , elle ressorti de la chambre , elle est revenu cinq minutes plus tard .
Prudence : c’est une infusions de plante pour évite tout trace de fécondation, bois le
J’ai bu, c’était dégueulasse
Prudence : je sais c’est pas top mais fini le
J’ai fais un effort de le finir
Moi : Prudence ça reste entre nous . Dis-je en me forçant de parler
Prudence : il y’a pas de problème mais qui fait ça ?
Je me suis mise à pleuré car les image de la veille son revenu à moi , j’ai couru dans la salle de bain pour vomir .
Quelques semaines plus tard, Je ne dort pas la nuit , je fais que des cauchemars, je pleure dès que je me retrouve seul , je me dégoûte , je me sent sale , je me sent utilisé et jeté à la poubelle, je ne me sent plus nécessaire, je n’ai plus d’estime pour moi, je me déteste, je déteste mes parti intimes ça me dégoûte , je n’arrive pas à me regarde pas dans le miroir .
Les propriétaire de la maison sont de retour depuis un moment, cela fait un bout de temps que je ne me rend pas chez mes parents , j’ai peur que mes parents remarque quelque chose. Je ne me sent pas forte , j’ai aucune force pour parler à qui se soit , j’évite tout le monde sauf Prudence qui dort souvent avec moi depuis un moment , madame Sylvie ne dis rien car je suis là seul qui dort ici . Bruce aussi est de retour je fait en sorte de l’évité je ne veut pas qu’il me voit .
Je suis toujours la première à rentré dans la cuisine le matin et toujours la dernière à en ressortir , je fais en sorte d’éviter tout le monde mais maman Yvette je l’évite et je pense qu’elle la remarqué car je ne m’assois plus avec elle derrière le jardin le soir en fin de service pour discuté de tout et de rien .
Un soir après que j’ai fini de ranger la cuisine , je suis parti m’enfermer dans ma chambre , je pleurais comme à mon habitude, soudain j’ai entendu toque à la porte , je ne voulais pas répondre peut être que la personne partira en aillant aucune réponse de ma part mais la personne a insisté, je me suis difficilement levé sans forcément me soucié de ma mine épouvantable causé par mes larmes .
Bruce : salut .. Dit-il après que je lui ai ouvert la porte
Moi : salut . Dis-je en baisant la tete
Bruce : je peu ?!
Moi : Je ne veut pas de problème avec tes parents
Bruce : ils sont parti à Kivu depuis ce matin je pensais que tu était au courant
Moi : ah .. je ne veut quand même pas de problème
Il a forcé le passage et il est rentré
Moi : c’est chez toi après tout
Bruce : Bien dit , c’est chez moi
Je me suis assis sur le lit en regardant dans le vide , sa présence ne changeait en rien que je me sentais vide .
Bruce : Keya , je te sent mal . Dit-il avant de s’asseoir près de moi
J’ai reculé
Bruce : je ne vais pas de faire de mal loin est mon attention
Moi : quand tu me voit , tu me trouve sale ?!
Bruce : quoi ?!
Moi : répond à ma questions !
Bruce : non loin de la ! Au contraire
Je n’ai réussi à retenir mes larmes
Bruce : Ai-je dis quelque chose de mal ?!
Il a voulu me prendre dans ses bras mais j’ai de suite reculé en manquant de tombé du lit
Bruce : qu’est-ce que tu as ?!
Moi : rien cava ! Dis je en me levant
Bruce : je me fais du soucis pour toi Keya
Moi : ça va merci ..
Bruce : ..
Il me regardais avec un air indescriptible, il cherchait à comprendre ce que qu’il n’allait pas
Moi : Bruce ?!
Bruce : oui ?!
Moi : je suis très fatigué ..
Bruce : d’accord je te laisse tranquille . Dit-il en se levant avant de partir
J’ai fermer la porte à clé derrière lui .
Six mois plus tard
Je suis toujours aussi vide , six mois sont passé et je continue a évité toute le monde , même Bruce je l’évite , maman Yvette essaye toujours de me tiré les vers du nez pour savoir ce que j’ai , je lui répond seulement que je suis fatigué , elle en as eu marre d’elle même et elle m’a dis que le jour où je serais prête à me confier à elle , elle m’écoutera .
Dénis je ne le revois plus , je ne sais même pas si il travaille toujours ici et à vrais dire j’en ai rien foutre !
J’essaie de rendre visite à mes parents le plus souvent possible même si c’est très dure pour moi .
C’est le week-end et je le passe chez mes parents, là où ils ont démanger ils m’ont fait une chambre pour que quand je vienne les week-end.
Maman et moi étions assis devant la télé , moi qui a l’habitude de lui parler , j’étais ailleurs
Maman : cava ?
Moi : ..
Maman : Keya ?! Dis t-elle en posant une main sur mon épaule
Moi : hum ? Levant les yeux vers elle . Oui tu me parlais ?!
Maman : qu’est-ce que tu as ? Je te sent mal ?
Moi : je suis fatiguée maman , tu sais avec tout ce que j’ai à faire la journée chez mes employeur sa me met ko
Maman : y’a pas cette gentille dame pour d’aider ?
Moi : si mais tu sais je suis la première à me lever et la dernière à me couché
Maman : c’est le travaille ma chérie il faut supporter, si tu vois que tu n’arrives pas à te repose la bas les week-end recommencer à revenir à la maison
Moi : oui je verrais ..
Tout les soir je m’enferme dans ma chambre pour pleuré , chez moi ou chez mes employeur, dès que je me retrouver seul je pleure , j’ai l’impression qu’il m’a tuer , j’ai l’impression qu’il m’a arrachée une parti de moi , je suis dans un trou noir et je me demande quand est ce que je vais en sortir parce que sa commence aussi à m’épuiser d’être dans le mal à chacun instant , quad j’essaie de relativiser j’ai toujours ses images qui me reviennent et je retombe dans mon trou noir .
Par moment j’ai des envie de me suicide, j’y songe quand je me retrouve seul dans ma chambre.
Après mon retour de mon week-end j’ai enchaîné le travail, je nettoyais le jardin , les chambre , la piscine , tout ce qui été pas dans mes corvée je le fessait , quand la nuit je n’arrivais pas à dormir je me mettais à faire des brunch jusqu’à six heures du matin , j’installais la table du petit déjeuner ensuite j’allais me coucher pour me réveillé deux heures après car je n’arrive plus à avoir des long sommeil, je cuisinait le repas du midi et le dîner , je cherchais toujours occupation , quelques choses à faire pour penser à autres choses et sa , va durer pendant un an . Mais même un an passé je n’arrive toujours pas à me sortir ce cauchemar de la tête .
Les garçon de madame Sylvie je les évite au maximum quand ils viennent voir leurs parent , depuis que je suis ici , deux ans maintenant, je n’ai pu voir que Bruce , en parlant de Bruce , quand t-il me parle je reste très courtoise et poli et sans plus même si il ne me laisse pas indifférente quand je le vois .
Un soir j’étais dans la cuisine je mangeait , quand madame Sylvie est rentré dans la cuisine
Sylvie : bonsoir ma chéri cava ?
Moi : oui et vous ?!
Sylvie : je te cherchais toute la journée où était tu ?
Moi : j’étais parti faire des courses pour la maison
Sylvie : tu m’étonnera toujours Keya
J’ai sourit
Elle s’est assis en face de moi
Sylvie : je voulais te parler d’une augmentation
Moi : heu ..
Sylvie : tu travail très dur , très dur et mon mari , qui ne t’a encore jamais vu ma parler de d’augmenter, son déjeuner est prêt tout les matin , son dîner etc .. tu fait tellement de chose qui ne sont pas dans tes corvées , tout travail dur mérite un bon salaire
Moi : je le fais parce que j’en ai envie madame et non pour une augmentation
Sylvie : je sais , mais nous on voit tes effort et c’est complètement correct qu’on d’augmenté et puis j’y tient !
Moi : d’accord madame
Elle m’a sourit ensuite elle est parti