Chapitre 4 : La goûte de trop.

Write by Ladiva225


Marlène Alla K.





La première chose que je fis à mon réveil ce matin là, c'est de flèchir genoux et de prier d'abord je remercie Dieu pour tout ce qu'il a accomplit jusque là dans ma vie ensuite lui demande de bénir ma famille ainsi que celle de mon mari ainsi que mon foyer qui ne tient que sur un bout de fil.


- Au nom de Jésus j'ai prié... Amen !


Je cours dans la salle de bain prendre un bon bain et en sors revigoré. J'opte pour une longue robe en tissus, m'attache un foulard sur la terre et complète le tout avec des sandales serties de perles laissant apparaître mes mes ongles manicurés. Un peu de parfum et le tout est joué , aujourd'hui j'allais rendre visite à ma mère pour passer la journée avec elle j'en avais vraiment besoin en ce moment ci, certes Jéremie m'avait convaincu qu'il ne ferait rien de ce que lui demande sa mère mais je ne peux m'empêcher d'être inquiète lorsque je sais toute sa famille impliquée dans cette histoire de second noce, ma belle-mère je pourrais en faire mon affaire mais est-ce que je pourrais contrôler les autres ? Ces personnes sont tellement hypocrite quand je pense à tout ce que j'ai fais pour eux, la pression que je mettais sur mon mari pour qu'il leur vienne en aide dans les moments de besoin, ah oui à l'époque ils venaient tous me lècher les bottes et ne cessait de dire que leur fils avait choisi la bonne femme maintenant ce sont ces mêmes gens là qui vont demander la main d'une autre femme pour mon époux.... Je n'en reviens toujours pas.


On frappe à la porte.


- qui s'est ?


- Anita madame.


- entre !


- bonjour madame désolée du dérangement mais vous avez de la visite.


- de la visite ? Qui est-ce ?


- ce sont les oncles de monsieur ils vous attendent au salon.


Je souffle que viennent-ils chercher ici ?


- ok... Est-ce que vous leur avez proposé quelque chose à boire ?


- Adja s'en charge déjà.


- ok merci Anita tu peux leur dire que je descends.


- d'accord madame.


Décidément cette famille me cherche, apparemment mon silence n'est pas à leurs goûts.


********



Je retrouve au salon les grands oncles de Jérémie comme me l'avait indiqué Anita. ils étaient au nombre de trois : Oscar le plus âgé ensuite Nestor et Clément. Je les Salut respectivement et prends place en face d'eux.

- j'espère que les filles vous ont bien accueilli. Fis-je.

- oh oui ma fille, elles se sont bien comporté. Dit Oscar. Tu es très bien organisée d'ailleurs c'est toujours un plaisir pour nous de nous rendre dans la demeure de notre fils avec une épouse telle que toi qui sait comment tenir une maison.

- Oscar tu as aussi oublié de dire à quelle point Marlène est une femme ravissante notre petit Jérémie à les yeux qu'il faut pour repérer les perles rare, en plus de sa beauté elle est très bien éduquée. Nous ne cesseront de dire que ton mari est un homme chanceux ! Ajoute Nestor.

Eh oui ! A chaque fois j'ai droit à des éloges de leurs parts, mais s'ils pensent pourvoir m'avoir avec leur récitation qu'ils continuent maintenant que je connais leur vrai visage je reste sur mes gardes.

- merci mes oncles c'est gentil. Que me vaut l'honneur de votre visite ?

- ah Marlène toujours aussi directe, c'est bien c'est même ça qui fait de toi une femme hors paire ! Réplique Oscar. Étant l'aîné ici je prends la parole pour d'abord te remercier de ta disponibilité... Bon ce dont nous allons te parler est un sujet un peu complexe mais nous te prions bien de prendre cela avec diplomatie.

Pourquoi autant de mystère ?

- je vous écoute.

- eh bien vois-tu cela fait pratiquement 4 ans que tu es mariée à notre fils et nous constatons que jusque là le mariage n'est pas encore fructueux tu dois sans doute comprendre mes dires....

- non mais je suppose que tu seras explicite. Dis-je en gardant en mon sang froid.

- en gros tu n'as jamais porté une seule grossesse !

Je reçu la réponse comme un poignard dans la poitrine.

-  plus le temps passe il prend de l'âge et l'on ne sait pas de quoi est fait le lendemain tout comme on ne sait pas   quand la mort surgit.

- ok j'ai bien entendu ce que tu viens de me dire oncle même si ce n'est pas encore claire dans ma tête mais j'ai entendu cependant je constate que vous tous ici présent avez la mémoire courte quand tu dis que je n'ai pas porté une seule grossesse. Vu que vous semblez avoir oublié je vous rappelle qu'il y a environs trois ans  de cela que je suis tombé enceinte  malheureusement j'avais fais une fausse couche au 8ème mois.

Eh oui ! Pendant quelques mois j'ai porté en mon sein un bébé dont la grossesse n'est pas arrivé à terme, ça été un coup dure à surmonter à l'époque, Jérémie en avait été ravagé une douleur qui jusque là reste marqué dans mon cœur il m'a fallut me faire suivre par un psy pendant plusieurs mois pour que je puisse faire le deuil. Lorsque mon mari et moi avions voulu en avoir de nouveau nos tentatives sont restées vaines, seulement que des retards qui au final n'ont abouti à rien. Pourtant selon les médecins il n'y avait aucuns problèmes venant de moi encore moins de Jérémie tout était normale pourtant je ne réussissais pas à tomber une nouvelle fois enceinte j'ai fini par me convaincre qu'avec le temps le bébé va pointer son nez.

- euh sans pour autant te blesser on ne compte pas une fausse couche chez nous. Si au moins l'enfant était d'accord mais vu qu'il n'est même pas venu au monde c'est comme ci il n'avait jamais existé. Lance Clément le plus jeune des trois.

Bam ! Cette phrase eut l'effet d'une gifle. Quoi mon enfant n'a pas compté ??

- Clément a qui tu as demandé la permission pour prendre la parole ?? Le gronda Oscar.

- euh excuse moi.

- bref Marlène je suppose que tu es au courant du fait que nous souhaitons donner à Jérémie une seconde épouse qui pourra lui faire des héritiers.

-....

Nestor fit un signe à Oscar puis prends la parole à son tour.

- tu sais ma fille l'importance que tu as à nos yeux ne disparaîtra jamais, si nous sommes en arrivé là c'est uniquement pour votre bien. De plus je suis sûr que tu vas prendre grand plaisir à t'occuper de ces enfants qui seront aussi les tiens.

Dans ma tête s'était la troisième guerre mondiale, plus ils continuaient de parler et plus une rage fulgurante s'emparait de tout mon être. J'étais révolté non mais à un point inimaginable.

- aller ne fait pas cette tête, la nouvelle fera ce que tu as été incapable de faire pour notre fils. Donc pour éviter de faire long il faut l'accepter. D'ailleurs nous sommes venu avec elle et nous attends dans la voiture dehors, étant la deuxième épouse nous avons trouvé juste qu'elle regagne son foyer car la demeure de sa belle-mère n'est pas le lieu adapté où elle est sensé vivre. Conclut Oscar.

Là s'en était trop pour moi, ces hommes là avaient trop testé ma patience.

Je leur fait un sourire malicieux.

- ah elle est déjà là ?

- oui oui on voulait avant toute chose parler avec toi.

Je souffle longuement.

- vous avez pris au moins la peine  d'informer Jérémie ?

- ah lui ce n'est pas un problème sa mère l'a déjà mis au courant.

- hum je vois que vous déjà décidé pour nous.

- et on le fait pour votre stabilité. Fit Nestor.

- ok !

Ils se dévisagent surpris puis se reprennent rapidement.

- je savais depuis très longtemps qu'en t'épousant notre fils avait fait un bon choix. Ah Marlène tu ne sais pas à quel point nous sommes heureux que tu aies accepté sans faire d'histoire. Je prie qu'à partir d'aujourd'hui l'esprit d'enfant mort qui habite cette maison disparaîsse très vite. Fit Oscar tout sourire.

- ok !

- bon on ne va plus perdre de temps hein, Clément va chercher la nouvelle épouse de Jérémie. Lui intime Nestor.

Ce dernier se lève rapidement puis revient quelques minutes plus tard accompagné d'une jeune femme au teint d'ébène, les cheveux coupé court avec un derrière digne d'une vraie africaine bien que mince. Mon ego m'interdisait de la trouver belle même si au plus profond de mon être je savais parfaitement qu'elle n'était pas moche ils l'ont bien déniché.

Je l'étudie rapidement du regard c'est donc elle que l'on veut m'imposer hein !

- Marlène nous te présentons Wassia, Wassia voici ta coépouse. Fit Clément qui était chargé de faire les présentations.

- bienvenue dans ta nouvelle demeure Wassia.

- merci. Fit froidement cette dernière avec un regard mauvais. Je n'y prête pas attention et appelle mes deux servantes. Wassia tu peux t'asseoir on t'apporte de l'eau ?

- non non ça va. Répond t-elle en s'asseyant.

Adja et Anita ne tarde pas à arriver.

- les filles suivez moi on va faire la chambre de la nouvelle femme de monsieur.

Les filles tiquent de surprise, mais je leur fais signe de me suivre.

Une fois en haut je sors les doubles clés de la maison que je laisse à Anita.

- descends les remettre au gardien et dit lui que dès qu'il voit Adja sortir qu'il ferme la porte d'entrée à double tour et qu'il reste derrière à attendre. Tandis que toi Adja tu fermes toutes les autres pièces de la maison ici personne ne doit sortir ni entrée tu m'a bien entendu ?

- oui oui madame.

Après ces consignes je rentre dans le bureau de mon époux, nous avons une passion commune pour les armes à feu, il m'a appris à m'en servir depuis lors en cas d'urgence je peux donc utiliser celle qu'il laisse dans son tiroir. Faisant partie de l'armée il avait le droit au port d'arme à feu. C'est de la folie ce que m'apprête a faire mais ça en vaut bien la peine.

Alors que je descends je vois les trois hommes agités essayant d'ouvrir la porte d'entrée.

- attends la porte est close ! Constate Oscar.

- ayi c'est encore quoi cette histoire ? Pardon Clément ça vite appelé Marlène pour qu'on...

- je suis là que se passe t-il ?

- tes deux filles de ménage sont sortis à tour de rôle, et juste après la dernière on entendu la porte se fermer. Qu'est-ce qu'il y a ?

Sans parler je sors mon arme qui jusque là était cachée dans mon dos.

- eh !!! Marlène pourquoi tu sors cette arme ? Tu es folle ? Pardon l'heure n'est pas à rigoler range ça.

- parce que tu crois que je rigole Oscar? Regard bien mon visage tu penses que je m'amuse ??

- a qui tu crois...

Je tire deux fois en l'air, Wassia qui jusque là semblait sereine sursaute et s'enfonce dans les fauteuils l'air apeurée.

- ah ma chérie donc tu es une peureuse et puis tu viens t'installer dans le foyer d'autrui. Tu voulais le mari non ? Demandais-je en braquant l'arme sur eux.

- ih mes oncles c'est dans quel histoire vous m'avez mise oh... Ma chérie pardon si c'est ton mari là faut le garder mais de grâce fais moi sortir d'ici.

- Quoi ? Sortir d'où ? Tu étais venu pour t'installer tu vas rester .

- non non c'est bon comme ça.

- écoute Marlène ne fait pas quelque chose que tu vas regretter dem...

Oscar ne termine même pas sa phrase que j'appuie sur la gâchette et tire la balle survole sa tête, fait exploser la lampe non loin de lui.

- Wou je vais faire une crise ici oh, c'est chaud je perds le contrôle....ehhh sortez moi d'ici. Dit Clément qui s'était pissé dessus. Ces frères n'osaient ouvrir la bouche restés sous le choque de mon acte.

- je ne veux jamais plus vous revoir mettre les pieds chez moi bandes d'hypocrites que vous êtes. Et toi Clément la prochaine fois que tu oses parler de mon enfant c'est tes deux yeux que je vais crever. Allez oust ! Moussa ouvre la porte ! Criais-je mon gardien s'exécute, les quatre se précipitent dehors sans demander leurs restes Oscar avant traverser le portail me lança un mauvais regard.

- tu peux dire adieu à ce mariage avec le comportement que tu viens d'avoir avec nous ! Notre fils ne peut reste marié à une attardée mentale.

- tu as encore la grande gueule toi ? Fis-je en braquant de nouveau le révolver sur lui, il sortit aussi rapidement qu'il le pu.

- Moussa ferme le portail et cherche un maçon ou je ne sais qui pour trouver une solution au plafond perforé. Lui dis-je en rentrant à l'intérieur j'avais besoin de me calmer, finalement je n'ai plus aucune envie d'aller voir mes parents ces vieux shnock m'avait gâché la journée.







Wassia Gnahoré.




C'est toute tremblante que je marche vers le taxi qui nous attendait, donc cette famille est allée demander ma main pour que je me fasse tuer à seulement 26 ans ? Moi une jeune diplômée de mon état ? Pardon j'ai encore beaucoup de choses à vivre. On m'avait bien prévenu que j'allais occuper la place de seconde épouse, ce n'était ce que je désirais mais vu qu'il s'agissait d'un homme riche j'ai accepté pour sortir mes parents de cette misère chronique, ces mêmes personnes m'ont aussi dit que la femme de ce Jérémie que je n'avais jamais vu de mes yeux à part sur une photo était une personne tranquille, ils appellent ça  tranquille ?? Je dirais plutôt une déséquilibrée quelqu'un qui a toutes ces facultés mentales ne peut pointer une arme sur les gens, le pire dans tout ça c'est qu'elle a osé tirer. Hum hum les histoires comme ça là j'enlève mon pied dedans je vais de ce pas informer maman Gisèle que je ne veux plus de cette union la folle là peut garder son époux.

- Wassia attend s'il te plaît ! Crit oncle Nestor dans mon dos.

Je m'exécute et le fusille du regard Oscar et Clément eux s'étaient muré dans le silence.

- ma fille je sais que tu es fâchée et qu'en même temps tu dois sans doute vouloir tout plaquer mais de grâce ne fais rien...

- que je ne fasse rien ?? Cette Marlène nous a carrément terrorisé là bas et tu veux que moi Wassia j'aille vivre avec elle ?

- pour le logement ont peut toujours arranger, d'ailleurs une fois Jérémie au courant il va la jetter dehors.

- je commence vraiment à douter de votre neveu.

- comment ça ?

- si j'avais réellement une quelconque importance à ces yeux il serait venu me voir ne serait-ce qu'une seule fois durant ces deux mois qu'on est sensés être marié coutumièrement, environ 1 mois que je vis chez sa mère et jusque là aucune nouvelle de lui.

- oh ma fille Jérémie voyage beaucoup voilà pourquoi il ne vient pas, il occupe une importante place au sein de l'armée ivoirienne raison pour laquelle il se déplace souvent mais je t'assure que tu comptes énormément pour lui.

- Hum....

- aller montons une fois chez notre sœur on pourra mieux discuter mais ne nous en veut pas pardon.

Je monte à l'arrière suivis de Nestor et Clément tandis que Oscar lui a l'avant l'air pensif.







Taraji Benson L.





Ce matin j'ai repris le boulot, à vrai dire mon morale va mieux rester auprès des enfants me réconforte avec eux je pense moins à mes soucis. Raison pour laquelle j'ai quittée mon bureau de directrice aujourd'hui pour assister les maîtresses dans les salles de classes. Je suis plus précisément dans la petite section en train de border la petite Stéphanie la plus turbulente de sa classe qui a un peu de fièvre, sa mère qui a été prévenu est en route pour venir la chercher. Une fois endormie je la quitte avec précaution pour aller jouer avec les autres tout en s'assurant de faire moins de bruits.

Comme je l'avais tantôt dis je travaille dans une école maternelle dont je suis la fondatrice, quand Germain a commencé son activité il était pratiquement jamais à la maison, et refusant de finir femme au foyer l'idée de créer cette maternelle à germé dans ma tête et pendant plusieurs mois j'ai fais toutes les démarches qu'il fallait pour qu'elle voye le jour... Disons que c'était un projet que je rêvais de realiser, étant bien située l'école n'a pas tardé à recevoir ces premiers bouts de chou, dont mon fils qui est à présent au primaire en classe de CE1, tandis que sa petite sœur Penda fait la grande section. L'année prochaine mon bébé me quitte pour le primaire ça m'attriste mais c'est comme ça elle doit avancer dans son cursus scolaire ! Je dois sérieusement penser à agrandir l'école comme ça ma petite princesse n'irait pas trop loin pour fréquenter je verrai bien.

La sonnerie retenti indiquant qu'il est était l'heure de la récréation, les différentes maîtresses indiquent aux plus grands qu'ils peuvent prendre leurs goûtés et font manger les plus petits dehors dans la cours de jeux.

Alors que j'allais les rejoindre mon tel vibre. Je viens de recevoir un message sur whatsapp d'un numéro que je ne connaissais pas je le consulte néanmoins et tombe des nues face au contenu.

'' salut la cocue ! ''

Qu'est-ce que c'est que ça ? Je décide ne pas y répondre, les secondes qui suivent je reçois un second.

'' quoi tu me laisse des vues ? Bon attend que je t'envoie une surprise après ça on verra si tu vas garder ton calme ''

Là je décide de répondre.

'' qui êtes-vous ? Et que me voulez vous ? ''

Je ne reçois aucune réponse mais, une vidéo me parviens. Je faillis m'évanouir lorsque en l'ouvrant je vois mon mari couché tout nu sur un lit en train de se masturber en grognant lançant toute sorte d'insanités à mon égard, une voix dans le fond l'incitant à le faire.

''- ta femme c'est une sacrée salope n'est-ce pas ? ''

'' - oh oui ma chérie c'est une salope... Une putain... Qui ne t'arrive pas à la cheville bébé. ''

'' - en es-tu sûr ? ''

'' oui....oh ouiii babe!!! Ouiiii.... ''

Ce dernier atteint le sommet et éjacule tout en hurlant la vidéo prend fin. Je me sentis blessée au plus profond de mon âme, c'est écœurant ce que je viens de voir. Comment Germain a pu me faire un truc pareil ? Qu'ai-je bien pu lui faire pour mériter une telle humiliation !

De grosses larme roulent sur mes joues, mon cœur se serre de douleur au point où point j'avais l'impression que j'allais craqué c'est un cauchemar ce que je vis s'il vous plaît réveillez moi je veux pourvoir avoir un peu de tranquillité et de bonheur je ne lui ai pourtant jamais fais de mal si ce n'est que l'aimer..
Pourquoi Germain s'obstine t-il tant à vouloir me détruire de la sorte ?? Mon téléphone vibre de nouveau.

''- alors tu as aimé la surprise ?? Ce n'est que le début très chère serre bien la ceinture car tu n'es pas au bout de tes peines, en attendant je me tape ton mari si tu désires des détails  de nos ébats fais moi signe ''

Le message me parviens avec des imojis qui rigolent à la fin, mon portable atterris violemment au sol brisant l'écran au passage.












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