Chapitre 40

Write by Nessa.Belmonde

Chapitre 40 


** Delinda K ONWUNKA ** 




Moi : tu n’a pas intérêt à sortir mon prénom de ta bouche ! 


Tout les regarde se sont retourner vers moi 


Moi : vous êtes tous des être ignobles ! Tous ! Je vous haie tous au tant que vous êtes ! 


Chuckie : Delinda .. 


Moi: tu a encore l’audace de m’appeler ?! N’est tu pas dégoûté par ce prénom qui sort de ta bouche ?!


Chuckie : on paient tous de nos erreurs.. 


Moi : J’AI PAYÉ DE VOS ERREURS !!!!!!!! La cruauté est le remède de l’orgueil blessé, le fait que maman t’est fait du mal tu a voulu te venger sur moi , je comprend tout maintenant , tout ! 


Maman : Delinda on ne voulais te dire la vérité par peur te blesser 


Moi : la vérité est bonne , mais elle blesse, le mensonge est mauvais mais il engraisse, en aucun cas je vous aurez jugé car vous êtes mes parents si la vérité aurait été sorti plus tôt en famille, entre nous on aurait pu trouver une solution à tout sa car pour tu était mon père , mon papa à moi , mais ce que vous avez préféré faire c’est de me vendre à un homme sadique qui ne mérite ni moi ni mon enfant ! 


Maman : .. 


Moi : et dites moi qu’est ce que sa vous a apporter ?! Pourquoi as tu voulu déverser ta haine contre maman sur moi ?! M’adressant à mon père 


Chuckie : on ne sait plus qu’est ce que c’est la colère quand on a le cœur blessé 


Moi : foutaise ! J’ai était blessé par vous mais ce n’est pas pour autant que je vous ai fait du mal, vous m’avez vendu , j’aurais pu vouloir me venger comme Devon , mais j’ai le sens propre des choses et je sais qu’on ne répond pas la haine par la haine . J’ai un enfant maintenant et je sais que je pourrais lui donner le monde entier si il me le demande et je prendrais tout les malheur qui lui arrivera , je lui donnerais tout l’amour du monde parce je suis SA MÈRE ! c’est mon sang ! Ma chair ! 


Eux : ... 


Moi : vous savez quoi !? Allez tous vous faire foutre ! Tous ! 


Je tremblais de colère tout ce que je voulais c’était de déversé ma colère sur quelqu’un 


Moi : vingt-un ans , vingt-un putain d’année !!! Vous m’avez vendu , j’ai souffert et personne n’était là pour moi , je me retrouver maman et sur le point de divorcé à vingt-un ans !! Vous savez ce que l’on fait quand on a cette âge là ?! 


Personne ne me répondait ils avaient tous la tête baissée 


Moi : mais putain répondez moi ! Répondez ! Criant . On ne se soucis meme pas de la vie , on profite de nos études , des fêtes , des copinages mais moi regardez moi comment je suis devenu ronger par la tristesse et l’ego démesuré mon mari ! Vous m’avez tous utilisé, j’ai était votre marionnette vous avez bien pu me manipuler. Sans me contrôler j’ai commencer à pleurer. Bravo vous avez tout gagner, félicitations à vous !! 


Je suis parti . Cette sensation est horrible , je me sent .. je ne serait d’écrire le sentiment que j’ai a présent . Je n’arrivais pas à conduire tellement que je le pleurais. J’ai était utilisé dans tout les sens tu thermes par mes propres parents .. enfin parents , je ne sais même pas comment les appeler et Devon je n’ai même plus les mots pour lui . 


Je suis arriver à la maison trois heures après que j’ai réussi à me calmer. Physiologiquement je suis perdu, je n’ai plus de sentiment , je n’arrive même pas penser, je suis comme ailleurs, en rentrant la nourrisse me parlait mais je n’entendais rien je voyais juste ses lèvres bouger, prendre l’enfant je n’y arrive pas , je me suis assis par terre dans la chambre et je ne sais pas combien de temps je suis rester comme ça car à partir de là j’ai arrêter de penser . 



** Devon EDOZIENE ** 



Après que Delinda soient parti , je suis aussi parti à mon tour , j’ai voulu me changer les idées car rester avec eux s’en été trop moi . 


Je me suis rendu dans la suite de l’hôtel que j’occupais avec Delinda , en rentrant j’ai parcouru la suite j’ai trouver des affaires à Delinda , je les ai tous rassemblés pour les lui ramener . 


C’est ici pour la première fois que nous avons consommé notre mariage si je peut appeler sa comme ça et j’étais déjà amoureux mais je me voilé la face , j’avais une voile de haine qui me bandait les yeux . Je regrette tellement de chose passer, j’aimerais tellement revenir en arrière mais cela m’est impossible . 


Je ne veut pas de divorce , je ne veut pas la perdre, il est hors de question que je lui donne le divorce . 


J’étais assis entrain de réfléchir quand mon téléphone c’est mit a sonné 


Moi : allô . Sans même regarder l’interlocuteur 


Doni: Devon ?! 


Moi : oui monsieur Doni ?! 


Doni : je suis à la maison , tu doit vite rentré je pense que Delinda ne sent pas bien .. 


Sans même qu’il est fini de parler j’ai pris mes clés et je me suis vite rendu à la maison . 


En arrivant monsieur Doni m’attendait devant les escaliers 


Moi : ou est elle ?! 


Doni : dans sa chambre 


J’ai grimpé les escaliers , en rentrant dans la chambre j’ai trouver Delinda assis par terre le regarde dans le vide, elle était comme ailleurs , c’est comme si elle n’était pas avec nous , à ses yeux tu ne voyais rien , je lui parlait mais aucune réponse 


Moi : depuis combien de temps elle est comme ça ?! Demande à la nourrisse 


Nana : depuis son retour , cela fait maintenant deux heures 


Moi : avez vous essayé de lui parler ?! L’aide à se lever ?! Parlant à elle et monsieur Doni 


Nana : non .. 


Moi : ou est le bébé ?! 


Nana : il dort dans votre chambre monsieur 


Moi : d’accord, monsieur Doni pouvez vous appeler un médecin s’il vous plaît 


Doni : d’accord 


Il est vite parti 


Nana : je vais préparer du lait pour le bébé c’est bientôt son heure et ensuite je devrait partir à par si vous avez besoins de moi 


Moi : non c’est bon je maîtrise la situation merci 


Nana : d’accord 


Elle c’est éclipsé 


Je me suis retourné pour faire face à Delinda , je me suis mise à sa hauteur 


Moi : Delinda ?! Lui caressant les cheveux 


Nous yeux se sont croisé et elle m’a fixé quelques instant avant de se lever en courant dans la salle de bain c’est après quelque secondes que j’ai compris qu’elle était entrain de vomir . 


En sortant de la chambre je suis parti m’occuper de mon fils . 


Quelques minutes après j’ai entendu le médecin rentrée dans sa chambre . Je ne suis reparti quelques minutes après 


Moi : bonsoir . Rentrant dans la chambre. Je suis son mari 


  • Bonsoir monsieur EDOZIENE 

Moi : je peut savoir de quoi souffre ma femme ?! Jetant un regard à Delinda qui était allongé sur lit 


  • Tout sa est du à une surcharge mentant, le stresse. Le stress peut parfois entraîner des réactions néfastes selon les événements qui les provoque et la résistance de chacun à l’anxiété , elle a eu une surcharge d’événement du coup elle a besoins de se reposer, et d’éviter toutes disputes ou quoi que se soit qui est liée au stress donc il faudrez que vous vous aménager . Ensuite son état physique c’est à elle même de se remettre sur pied si elle le souhaite mais je lui ai donner des anti dépresseurs et des calment d’ici deux jour elle devra être sur pied 

Moi : d’accord , le truc c’est que elle allaite , nous avons un petit de garçon qui à peine une semaine 


  • comme je vous l’ai dit tout dépendra d’elle , de son état physique .. 

Moi : ok merci . 


Il m’a serré la main puis il est parti 


J’ai à mon tour quitter la chambre pour la mienne et aujourd’hui va être là premier fois que je vais passer toute une nuit avec mon fils . 

Pourquoi suis-je autant stressé !? Ce n’est qu’un bébé , il ne sait même pas ce qu’il se passe . 

Me dire que je l’ai renier me fait tellement de mal .. je n’aurais pas dû, la colère était tellement en moi que je ne pouvais bien réfléchir à ce que je fessais . 


Je n’aimerais pas qu’on touche à un seul de cheveux, je me chargeais personnellement a ce que il vive les meilleurs moments de sa vie et qu’il ne manque de rien dans se monde . 


Je suis rester tout la nuit avec lui dans pouvoir fermer l’œil , lui il s’est endormi à partir de cinq heures du matin , sa maman devait lui manquer . 


J’ai compris que la vie est heureuse quand elle commence par l’amour et fini par l’ambition, dans mon cas sa été l’inverse , mais je devait choisir au final je prendrais celle-ci . Ma vie a toujours été à mes yeux, instinct de croissance, de durée, d’accumulation de force, de puissance . 


Je voulais à tout prit la puissance , la puissance de la vengeance et la puissance de tout possède . La ou la volonté de puissance fait défaut il y’a un déclin . Maintenant que j’ai eu , si on peut dire sa comme ça , ce que j’avais voulut, je me sent toujours aussi vide rien n’a changer , j’ai cette petite choses qui est venu remplir le vide mais il manque sa mère, j’ai besoin des deux pour être moi . Plus redoutable que la mort c’est une vie sans amour, je suis devenu comme ça par rapport à Delinda elle m’a donner tellement d’amour que je n’ai su en prendre soin, maintenant m’imaginer sans elle m’est improbable. 


Avant l’arrivée de Delinda et de mon fils dans ma vie j’étais comme une personne sans vie, vide , le baume de la vie c’est l’amour, il en est l’interêt, par lui la vie se renouvelle et par lui, elle se soutient 


J’ai construit ma propre famille contre mon grès mais maintenant les imaginer loin de moi m’est insupportable . 


Je ne sais pas comment mais à partir de dix heures après le biberon je me suis en dormir avec Kephren dans les bras , à mon réveil il n’y était plus 




** Delinda K ONWUNKA ** 



Je me suis réveillé de force ce matin , je ne veut pas tomber dans la dépression, non , ses personnes ne le mérite pas ! J’essaie de joindre les deux bout pour mon fils, il a besoin de moi, lui . 


A force de donner et encore donner c’est ce que vous recevez en retour . 


Je me sent trahis par toute ma famille , je me sent seul à présent, j’ai était utiliser dans tout les sens du therme . 


A mon réveille mon fils n’y était pas , en me rendant dans la chambre de Devon je les ai trouvé entrain de dormir tout les deux, je l’ai pris et nous somme parti dans la chambre . 


Je me suis occupé de lui toutes la mâtiné tranquillement . 


Devon : ca va ?! Derrière moi 


Moi : ... 


En voyants aucune réponse de ma par il a fini par partir . 


Ma question et « qu’est-ce que je fous encore ici ?! » je n’ai plus rien qui ne me retienne dans cette maison il faut que je m’en aille ! 


Quelques heures plus tard je me suis rendu dans la cuisine pour laver les biberons de mon bébé quand Devon a décidé de ce moment pour revenir tenter une discussion . 


Devon : je sais que je suis la dernière personne à qui tu veuilles parler maintenant .. mais je tien au moins a ce que tu puisse m’écouter ..


Moi : .. 


Devon : je m’en vais .. comme je te l’ai dit il y’a plusieurs jour de cela je te laisse la maison et comme je te l’ai dit il y’a plusieurs mois quand j’aurais fini à faire ce que j’ai à faire ici à Lagos je m’en irais et toi tu pourra refaire ta vie ou même coupe les ponts avec moi mais à présent le contexte est différent,j’ai un fils avec toi, je ne peut m’en aller et oublier une parti de moi , mon enfant c’est moi donc je veut ,Delinda, que quand j’aurais envie de voir mon enfant tu me le laisse .. d’ailleurs non je l’exige 


Je me suis arrêté de laver les biberons en m’appuyant fortement sur l’évier toujours dos à lui la tête baiser 


Devon : Kephren est mon sang et je sais que par ta haine en vers moi tu est capable de me le priver 


Moi : je ne suis pas remplie de méchanceté comme toi ! Coupais je 


Devon : certes mais Delinda on se sait entre nous 


Moi : non ! Me retournant . On ne se sait pas ! Ne me fait pas passer pour une personne mesquine tout comme toi ! Je ne suis pas toi ! 


Devon : encore heureux que tu ne soit pas moi .. mes valises sont devant la porte .. 


Moi : .. 


Devon : Delinda ?!


Moi: et qu’est-ce que tu veut que je te dise !? Lui tournant le dos 


Devon : j’aurais tellement voulu que nous réglions nos différends avant que je parte 


Moi : .. 


Devon : ce dire les choses.. 


Moi : on a rien à se dire .. 


Parlant plus calmement 


Devon : moi si ! J’ai tellement de choses à te dire .. comme .. je t’aime 


Mon cœur a explosé dans ma poitrine, j’ai entendu mon cœur tomber en mille morceaux comme un verre qui vient de se brisé au sol 


Devon : je me suis rendu compte trop tard de mon erreur et de mes sentiments en vers toi .. bon j’ai un avion à prendre .. 


Je l’ai senti s’avancer jusqu’à moi et ma chuchoter a l’oreille 


Devon : j’espère que tu trouvera la force de me pardonner 


J’ai voulu parler mais aucun son n’a pu sortir de ma bouche .. 

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