Chapitre 40: Possession
Write by ngakomal
~~~ Biboum~~~
Depuis hier soir, quelque chose ne tourne pas rond. Mon
entrainement avec Danielle commence à devenir intense. Elle comprend vite et
agit en conséquence. Sa maitrise de l’eau ne fait aucun doute. Mais j’ai pu
constater à un moment donné, qu’elle fait sortir un truck gluant de son être
qui se mélange à l’eau et la rend noir encre. Cella arrive quand je la pousse
dans ses retranchements. Comme tout bon soldat, on ne se frotte pas à des
substances inconnues. J’en ai pris dans un petit flacon et évite qu’elle ne
produise ce truck de nouveau avant que je ne sache quoi il s’agit.
-
C’est
bon pour ce soir. Annonçais-je après avant évité de justesse une rafale de
glace aiguisée. Et dire ne l’entrainement ne date que de deux semaines tout au
plus. Elle en a vraiment le don
-
Comment ?
on commence à peine ! dit-elle de sa petite voix candide.
-
Je
sais mais je ne me sens pas bien.
-
Et
pourquoi n’avoir rien dit.
-
Je
n’ai pas pour habitude de me défiler. J’aime aller au bout de tout ce que
j’entreprends. Et en plus qu’allais-je répondre quand Djanè allais me demandé
si nous nous sommes entrainé… je ne tiens pas a subir sa mauvaise humeur de ces
jour encore moins sa colère.
-
Je
comprends… moi je manque me faire pissé dessus dans il gronde. Je n’imagine
même pas ses colères.
Je laisse échapper un rire et me lève de ma posture recourbé.
Elle se casse les doigts de gêne.
-
As-tu
déjà assisté à une colère du roi ?
-
Jamais !
j’en ai juste entendus parler… il se raconte qu’à ces moments seule la Reine
premier ventre arrive à le calmer…. enfin mon père me le disait. Finit-elle le
regard voilé de tristesse.
-
Je
suis désolé. Il te manque vraiment ?
-
Oui
énormément c’est la seule chose que je regrette des profondeurs. J’aimais nos
moments. (me suivant au séjour) j’aimais lui raconter mes journées et lui les
siennes. Même quand il avait sombré je continuais à le faire.
-
J’espère
qu’il s’en remettra. Ce fut mon maître et c’est lui qui m’as permis de rester
près du Prince.
-
Je
l’espère aussi.
-
Bonne
nuit je vais me couché.
Dans mon lit, je ressentais une chaleur inhabituelle. J’ai
tourné et retourné et triple tourné rien. La chaleur m’envahissait et je sortis
boire une carafe d’eau et vin me poser sur le lit. La sensation s’était apaisée
et le sommeil avait décidé de ne pas se pointer. J’ai lancé un coup de fil à
Elle. A la huitième sonnerie, elle a décroché.
-
« Allô…..
Biboum…. Dit-elle d’une voix enrouée par le sommeil. tu as vue l’heure ? »
-
Oui
j’ai vue…. Je n’ai plus le droit d’appeler ma chérie quand elle me
manque ?
-
« Si
mais on s’est parlé tout à l’heure …..».
-
Et
alors ? et puis même pourquoi tu
chuchotes ?
-
« Mes
petits frères sont avec moi et nous dormons dans la même pièce. Tu as
oublié ? et demain il y a école et travail… ».
-
J’ai
juste envie de me perdre dans la moiteur de tes lèvres. Les plus petites sont
exquises.
-
…..
(je ne suivais que sa respiration)
-
Tu
te souviens ? du goût de tes lèvres, du goût de ta mouille quand je t’ai
fait l’honneur de le savouré ? de mes doigts dans tes profondeurs… de moi
me perdant en toi…. juste de revoir cette scène dans ma tête me donne un de ses
érections !!!
-
---
-
Babe ?
tu es là ?
-
« A
qui la faute ? tu me réveille à 2h du mat pour m’exciter après demain
c’est pour me dire que tu ne peux rien faire pour me soulager à base de la
prochaine fois…. »
-
Donc
tu me veux à ce point ? la coupais-je
-
Tchuip….
-
Ecoute
la dernière fois, je t’ai sentis honteuse et ai préféré attendre. Je te veux toute
entière sans doute ni regret.
-
« Je
le veux aussi »
-
Ok…
s’il te plait touche toi et vérifie si tu es mouillée.
Silence.
-
Touche
s’il te plait.
-
«
tu sais déjà »
-
Touche
et dis-moi
-
« Je
suis très très mouillée…. »
-
Bien
bonne nuit….
Clik. Cette conversation n’as rien fait d’autre que de me
bouillir le sang. Et cette érection qui n’en fini pas ! je me lève et
manque tomber. J’entends des voix… non une seule… elle est faible mais je la
distingue. Qu’est ce encore ? Depuis peu il y a trop de fait aléatoire… j’espère
que les changements cosmiques n’agissent pas sur moi. Ce ne serait pas de bon
ton que je tombe malade maintenant. Je vais dans un de mes tiroirs, sors un
bocal d’eau de mer. Je me coule un bain et y verse le contenu. J’espère que ce
semblant d’eau de mer m’aidera à me calmer un peu.
Je me plonge dans le bain et sens une légère transformation
sur mon corps. Je vrille mes écailles de sorte à ce qu’elles aspirent les
composantes de l’eau salé. Je me détends.
Trente minutes plus tard, les sensations ont plus qu’empirer
et je ne sais pas ce qui se passe. J’ai de la peine à me sortir de ce bain.
J’en arrive à avoir des hallucinations. Qu’est ce qui se passe bon Dieu ?!
À l’instant où je me pose cette question, je me sens aspirer comme dans un
troue ou un gouffre. Je manque d’air…. puis je me retrouve comme dans les
profondeurs. Mon précepteur, le père de danielle me parle mais je n’entends
rien. Il est si loin … bien trop loin. Mon essence me signale le danger… mon
corps réagit et se contracte. Je ne contrôle plus rien …. C’est le trou noir.
J’ouvre un œil puis, le deuxième… le mal de crâne qui
m’accueille est d’une atrocité… je pousse un profond soupir et me roule sur le
côté. Qu’est ce que je fais là ? Je me souviens que j’étais dans mon bain
et que maitre Elimbi me signalais un danger de la manière la plus étrange. Je
me lève péniblement en constatant ma nudité. Je lève les yeux sur le mur menant
à la douche et que vois-je ? Des inscriptions. C’est bien mon écriture…
mais je ne me souviens pas de l’avoir écris. Je lis péniblement
« je ne
tiendrais plus longtemps. Royaume en danger. Le Prince soutenir son roi »
Qu’étais-ce encore ? je vérifie la porte et constate
qu’elle est fermé à clé. Je passe une main sur mon visage et soupire
profondément. Si on m’avait dis un jour que moi Biboum je vivrais assez
longtemps pour subir et vivre tout ceci je n’allais pas le croire. Je me
souviens encore comme hier lorsque le roi m’avait fait appel et me somma de
suivre son fils en précisant que c’était une recommandation du chef guerrier.
Il est vrai que j’avais développé avec lui un lien assez fort. J’étais un
orphelin et lui avait perdu sa femme qui était morte en couche ainsi que son
bébé. Il m’avait empêché de mal tourné et m’avais offert la chance de donner à
ma vie un sens loin de la douleur et de
la perte. Le savoir sur le point de mourir me fait mal. J’aurais aimé le revoir
une dernière fois. Mais que puis-je y faire ? Comme il aimait si bien le
dire,
« Le devoir avant tout »
Je soupire encore une fois et prends mon téléphone posé au
chevet du lit. Je lance djanè et ça sonne dans le vide. Je suppose qu’il est au
bloc. De toutes les activités terrestres, il avait fallu qu’il choisisse celui
là ! C’est vrai qu’il avait un petit don de guérison. Mais quand même !
Cela m’avait paru étrange lorsque je l’ai découvert. Il m’avait juste dis que
me savoir en danger avait déclenché le processus en lui … mais bon ce n’est pas
le sujet.
Je me laisse glisser au sol en position du lotus et cherche
une connexion direct. Voilà ! Qu’est ce que je disais…
-
Bonjour
djanè…
-
Je
suis occupé. Repondit-il sans lever les yeux de ses doigts tripotant les
intestins à l’aide de bistouris
-
il y a du nouveau et c’est très urgent.
-
Il
y a toujours du nouveau… fit-il avant de demandé à vois haute. Tension ?oxygène ?
rythme cardiaque ?
A chaque fois qu’il posait la question une jeune dame
s’empressait de lui répondre.
-
Ok
on referme. Conclut-il après une brève évaluation.
-
S’il
te plait ce n’est pas parce que je suis dans ta tête que tu dois m’ignorer… ça
ne va vraiment pas.
-
Quoi ?
qu’est ce qu’il y a ?
Je sens de l’inquiétude dans le ton et comprends que j’ai pu
enfin capter son attention.
-
Je
ne sais pas…
-
Explique.
-
Non.
Je pense qu’il faudrait que tu m’examine.
-
Ok
dès que je fini, je passe à ton bureau. Dit-il en coupant lui-même la
connexion.
En parlant même de bureau. Est-il prudent que j’y
aille ? A ce rythme, je serais en retard.
-
Une
première ! murmurais-je.
Je laisse la chambre tel quel. Il faudrait qu’il le voie. Je
me débarbouille m’apprête. Smoking sur mesure grise, chemise blanche, cravate,
paire de chaussure et ceinture en ornement. J’ai l’assure et sort de ma
chambre.
-
Enfin…
je commençais à m’inquiéter. M’accueilli t-elle lorsque je mis pied dans le
séjour.
Elle était du coté cuisine. Attablé de devant son petit
déjeuné et avait posé une tasse à ma place habituelle.
-
Viens.
Prends ton café.
-
Merci.
Mais sans façon.
-
Qu’est
ce qui se passe ? hier j’ai entendus des bruits dans ta chambre ?
-
Des
bruits?....
-
C’est
peu dire… on aurait dit que tu cassais tout. Tu grognais et lorsque j’ai cogné
à ta porte tu m’as sommé d’aller me coucher.
-
Escuse-moi.
Je ne voulais pas être grossier.
-
Ça
va. J’espère que tu vas mieux.
-
Je
l’espère aussi. Bon j’y vais. A ce soir.
Je sors et trente minutes plus tard, je traverse le couloir
menant à mon bureau (après être sortis de l’ascenseur) d’un pas aléatoire. Je
reconnais les sensations d’hier. Pourquoi ? Je sens que je ne contrôle
plus rien. La chaleur m’envahit et je commence à voir flou. Et dire qu’il faut
sauver les apparences. Je fais des efforts surhumains pour donner le change.
Tant qu’à dure, je ne suis pas humain. Devant mon bureau, je l’aperçois perché
sur ses talons. Elle contourne le bureau et s’assois. Je veux esquisser un
sourire mais ne réussis qu’à faire une grimasse. Seigneur… la douleur. Je passe la porte vitré et la seule chose qui
m’importe c’est m’assoir dans ce foutu bureau. Je sens que je serais bientôt
dans les vapes.
-
Bonjour Elle.
Dis-je d’une voix à peine audible. La main sur le poignet de sa porte
-
Bonjour Bou.
Je marquais un temps d’arrêt.
-
Boo ?
-
B.O.U.
épela-t-elle.
Ok.
Dis-je en mon fort intérieur. Je lançai presque ma mallette sur la table avant
de m’assoir dans ma chaise. Ma respiration devins saccadé…. Je pris ma tête
entre mes mains avec pour support la table dans le but de conjurer la douleur.
C’était plus pire qu’hier. Et puis plus
rien… je me retrouvais dans un espace de néant cosmique et je revis le Chef
Elimbi.
-
Mais qu’est ce
que tu fais ici. Tu devrais voir le Prince Djanè.
-
Je lui ai fait
appel…
-
Fait appel ?
tu …. C’est ton Prince qui Vient à toi ?
-
….
-
Cette
jeunesse ! bref je n’ai pas le temps. Je ne sais pas pourquoi je ne peux
converser qu’avec toi. mais l’heure est
grave. Tu as bien reçu mon message ?
-
Oui.
-
Bien. Comprends
que l’heure est grave. Je prenais à peine conscience des paroles de feu Nzeu
tchoko que je suis tombé dans cet état végétatif. L’heure est réellement grave.
Je le sans dans mes veines, dans les fibres de mon corps. Les ténèbres se
mobilisent. j’ai une faveur à te demander. Ma fille Danielle ne la laisse pas
avec sa mère. Elle ne lui ferra que du mal. Sa soif de pouvoir et de
reconnaissance l’aveuglent….
-
Mais
pourquoi ?
-
Elle est… j’ai
découvert que…. Cette humaine est collante ma parole !
-
Qu’elle humaine ? Demandais-je en me
sentant aspirer de nouveau.
-
Retient bien ….
Faut avertir le roi…. Il a besoin du prince… disait-il la voix lointaine c’est
à peine si j’arrivais encore à l’entendre. Cette jeune fille a coupé le
contact…. Rattrape-la fermement….
Rattraper
qui ? Je me sentis tendre vers le sol et me retint de justesse pour ne pas
me fracasser le nez sur le sol. Qu’est ce qui pesait si lourd à mon bras. Je baissai
les yeux sur le corps inerte d’Elle. Qu’est ce qui s’était passé ? C’est
en ce genre de moment que je regrette le fait qu’il n’y ait pas de camera de
surveillance dans cette pièce.
Je
la soulève et l’allonge sur canapé a deux places dans le coin salon. Je vérifie
son pouls, sa respiration. Je crois qu’elle s’est évanouie. Qu’est ce que je
fais maintenant ? Punaise !
~~~ Mike Sanga~~~
-
Oui…ooooouuuuuuiiiiii !
plus vite…. Plus fort miki. Oui je viens… je vais jouir.
Je me bouche mentalement les oreilles et continue à lui
donner mes coups de boutoir sans ménagement. Qu’elle jouisse pour que je me
laisse aller. Je la retourne comme une crêpe, l’aide à replier les jambes en
levrette et la pénètre d’un coup ferme et profond. Je la maintiens par les
hanches des deux mains et la bessonne. Je ressens ses parois se contracter
autour de moi. C’est si bon ! je pars dans elle ralle contenue tandis qu’elle
crie a tue tête. Ses Miki ne cessent que
lorsque je me retire et me couche sur le coté. Qu’elle idée de m’appeler ainsi.
On dirait son chien.
-
C’était
super Miki. Fit-elle en venant se lover dans mes bras.
-
Je
t’ai déjà dis d’arrêté avec ce nom ridicule que tu me colle à chaque fois. Dis-je.
Je me retire lentement du lit à la recherche de mon boxer. Je vais à la douche.
Retire le latex, me rince, porte mon boxer et reviens dans la chambre.
-
On
se revoit la semaine prochaine ?
-
Crystal
je ne sais pas si tu comprends le fait que je me mari dans moins de 3 mois et
que tu pourras plus m’appeler à l’improviste pour des partis de jambes. Expliquais-je
en me revêtant.
-
Je
le sais parfaitement (s’étirant entre les draps de façon
sensuelle). Mais je ne vois en quoi le fait de te marier impacterait sur nous.
Je ris intérieurement et la sonde du regard. Elle me prend pour
un con où quoi ? Pour ma part je ne suis là juste parce que je l’ai
trouvée belle, sure d’elle et que je voulais me la faire. Mais à vrai dire elle
est nulle. Archi nulle. Je prends prétexte sur mon mariage pour qu’elle me
colle la paix.
-
Je
ne suis pas ce type d’homme chérie. Je prends
cet engagement au sérieux.
-
Qu’à
t-elle-même de plus que moi Mike. J’ai un héritage de plusieurs milliards, je
suis belle et entreprenante. Tu pourrais bien me mettre à sa place.
La bonne blague. Moi finir mes jours avec une momie dans mon
lit ? Jamais ! J’avais fait suivre Béthanie et vue le nombre de ses
amants, il fallait bien qu’elle soit bonne pour attirer autant de monde. Je mets
ma montre et m’avance pour prendre place au chevet du lit. Toute suite, elle posa
sa tête sur ma cuisse.
-
Elle
n’a rien de plus que toi. loin de là. Mais c’est elle que j’ai doté (un petit
mensonge ne fait pas de mal). Il serait injuste que je mette fin a notre
histoire juste par égoïsme. Je veux me concentré sur mon couple futur et lui donner
une chance. Voudrais-tu vivre en sachant que tu as détruit la vie d’une autre
femme ? demandais-je la main lui caressant la tête.
-
Non.
-
Alors
pour le mieux à partir de cet instant, notre relation redevient juste professionnelle.
-
Je
ne sais pas si je tiendrais
-
Tu
y arriveras. J’en suis persuadé. Je te
sais forte.
-
---
nous sommes d’accords ?
-
Oui. Donne-moi un baisé d’adieu.
Je m’exécute avant de sortir de cette chambre d’hôtel. Enfin !
je m’en suis débarrassé. Elle devenait collante, niaise et possessive. Je me demande
encore ce qui m’a pris de lui faire des avances. Peut-être ai-je cru que ses
talents professionnels pouvaient s’étendre aussi sur le plan personnel. pfff …
un dossier clos.
Je prends place dans ma porche et direction chez mes parents.
Maman a demandé à me voir je ne sais pour quoi. Une heure plustard je gare dans
le parking. Les embouteillages dans cette ville ce n’est pas possible. Encore heureux
que je peux subvenir aux besoins de carburants que cela engeance. Je descends
et monte sur le perron.
-
Salut
George. Saluais-je le major d’homme.
-
Bonjour.
Petit patron.
-
Mon
père est là ?
-
Non.
Il est sur Yaoundé depuis une semaine déjà.
-
Et
ma mère ?
-
Elle
t’attend dans le salon du rez-de-chaussée.
-
Merci.
Je me lance vers le séjour. Je regarde ma mère feuilleté son
magasine et l’enlace de derrière. Je lui mets des bisous dans le cou et sur sa
joue gauche.
-
Je
dis hein Sanga je suis ta femme ? dit-elle en me tapant de son journal.
-
Ha
maman laisse. Si ton mari n’avait pas été c’est moi que tu aurais épousé. Criais-je,
protégeant mon visage de ses coups.
-
La
bêtise ! je te dis. Pardon passe t’assoir labas. Ce dont je voudrais te
parlé est très important.
Je prends place près d’elle. Elle sonne la cuisine pour que l’on
nous amène un encas et boisson.
-
Vous
prendrez quoi monsieur. Me demanda la servante.
-
Un
verre de whisky coca. Repondis-je
-
Jamais !
repris ma mère. Apporte-lui un jus naturel. Celui au gingembre irait à la
perfection. (s’adressant à moi) il n’est même pas encore 10h que tu veux te
saouler. Pas dans ma maison attend quand tu seras dans ton appartement, tu
ferras ce que tu voudras labas.
Je ne relève pas et passe simplement à un autre sujet.
-
De
quoi tu voulais me parler si urgemment maman ?
Elle prit un air grave et me demanda par un signe de la main
de patienté que la serveuse finisse le service. Lorsque ce fut fait, elle
commença ainsi.
-
Ne
le prend pas mal… je voudrais savoir si tu as déjà été intime avec ta fiancée.
-
Non
maman. Tu me l’as formellement interdit tu ne t’en souviens pas ?
-
On
ne sait jamais … manière tu es têtue là. Je ne compte même plus le nombre de
fois que tu n’en a fait qu’à ta tête. Surtout quand elles sont belles et
métissées.
-
Maman
…. Si tu t’étais vue paniqué en me le fessant promettre après le diner chez
eux. Toi-même tu aurais compris.
-
Merci.
fils… je… en fait ….. tu sais il y a des
choses dans la vie …. Bref. Hummm. Hésita t-elle.
-
Maman
parle… quelque soit ce que tu veux me dire, je promets de t’écouter jusqu’ à la
fin.
-
En
fait, j’ai mené des recherches sur la relation de couple des parents de
béthanie. Il semblerait que dans ce foyer, la mère de béthanie fait marche son
mari à la baguette. Tu sais que je suis assez traditionaliste même si ton père n’aime
pas que je m’y implique. Mais pour toi ne braverais tout les interdits. Je suis
allé au village dès que ton père est parti pour confirmer mes soupçons. Je ne
dis pas que béthanie sera comme sa mère. Je dis juste que vaux mieux prévenir
que guérir. Tu es la seule personne que j’ai sur cette terre et je ne
supporterais pas que l’on me sépare de toi.
tu sais très bien bien que je ne suis pas envahissant. Je te promets qu’après
ton mariage je me tiendrais à carreau.
-
Maman
viens en au fait… je suppose que ce n’est pas pour cette information que tu m’as
appelé
-
J’ai
reçu l’adresse d’un monsieur à Yabassi qui travaillera dans le sens d’otter de
toi toute fragilité et de bloquer les portes aux esprits envoûtements. J’ai
pris rendez vous pour le mois prochain avant la dote.