Chapitre 45
Write by Boboobg
(BBBBOOOONNNNUUUUUSSSSSSSS)
... Mirna Benicia Elongo(Mbolo)....
Je regarde Céleste avec son accoutrement de petite bourgeoise en train de baver sur Akia !
Céleste(la soulevant) : c'est pas possible qu'un enfant soit aussi beau ! Ça me donne envie d'en faire d'un coup !
Moi : vas y, qui t'en empêche ?
Céleste (grimaçant) : tu as vu la sorcière qui me serre de mère ? J'ai même des sueurs froides, rien qu'à l'idée que je doives lui annoncer pour mon copain.
Moi(lui passant le biberon) : je suis sûr que tout ira bien. Avec moi elle est super gentille ta mère !
Céleste : ça c'est parce qu'elle t'apprécie, moi c'est autre chose. Cette femme ne peut pas me saquer !
Moi(rire) : tu vas trop loin !
Elle se met sur la chaise, place correctement Akia et lui donne le biberon.
Moi : en plus tu sais y faire !
Céleste : tu en doutais ?
Moi : loin de là, juste que quand on te regarde, toujours tiré sur deux épingles comme tu es, c'est difficile de penser que tu sais faire ce genre de chose !
Céleste (rire) : je sais bien !
Moi :tu devrais juste essayé de passer du temps avec elle, lu annoncé la chose en douceur !
Céleste : en fait, le gars est un peu plus âgée.
Moi : de combien ?
Céleste : il a fêté ses 33 ans le mois passé
Moi : ha ok
Céleste (fesant faire son rot au bébé) : si toi tu réagi comme ça, je ne sais pas ce que je vais faire avec Sirani !
Moi (lui prenant le bébé) : et si tu en parlais d'abord à Anna ?
Céleste : j'y ai aussi pensé et aurai voulu que Sasa m'aide mais madame est occupé depuis notre arrivée. C'est pour cela que je suis en train de prendre racine ici keh !
Moi (souriante) : en tout cas, moi ça me fait plaisir de voir de nouvelle tête !
Chris (déboulant avec Akin dans les bras) : en tout cas je ne me lasse pas de cet enfant ! Cece regarde comment il me ressemble !
Céleste : ha quitte là ! C'est normal qu'il te ressemble vu que toi même tu ressembles aux jumeaux et eux à tonton Alfred !
Chris : tu es juste jalouse !
Céleste : pfff
J'ai fini par donné aussi le biberon à Akin mais comme il ne voulait pas dormir comme sa sœur, on est allé prendre de l'air dehors en demandant à Ogobi de vérifier celle là dans son berceau.
Chris(jouant avec son neveu) : c'est possible d'aller le promener ?
Moi : bien sûr sauf qu'il faudra y emmener la petite aussi et toi tout seul, je ne paie pas chère de ta peau !
Céleste : es que tu sais même t'occuper des bébés toi ?
Chris (charmeur) : c'est moi Alfred quand même, je trouverai toujours quelqu'une pour ça !
Céleste : donc c'est pour draguer que tu veux sortir avec les enfants de Grace ?
Chris (souriant) : avec la beauté que j'ai et qu'ils ont, c'est sûr qu'on attrapera de jolie minette, (regardant Akin) n'es pas mon Alfred ?
Et celui ci d' éclater de rire, comme s'il comprenait son oncle.
Moi : avec tous ces Alfredo dans la même ligné, moi ça commence à me saouler ce prénom !
Chris (rire) : chacun de nos fils portera le prénom de son arrière grand père, c'est notre marque.
C'est à ce moment là que Van a passé le portail. Dès que Akin l'a vu, il a commencé à crier à son encontre. C'est toute joyeuse qu'elle l'a prise des bras de Chris qui d'un coup était devenu muet.
Van: ya Céleste tu es là depuis quand ? Et tu ne m'as même pas fait signe hein ?
Céleste : ma petite j'allais le faire, je ne suis là que depuis tôt ce matin !
Van : et ce dont on avait parlé là ?
Céleste (rire) : tout est là, c'est quand même moi ou pas ?
Moi (intrigué) :de quoi vous parlez ?
Van:rohhh ya Beni c'est quoi ?
Moi : ok c'est bon, je ne dis rien.
Van(essayant de repasser Akin à Chris) : hoo lui là, il a la même tête que ya Grâce et ya Gloire hein !
Céleste :normal c'est le tout dernier, ne te fie pas à son visage d'ange il fait souffrir les fille ce con !
Chris :Céleste!
Céleste :oui c'est comme ça on m'appelle !
Moi (rire) : arrête de lui faire faux bon, tu étais venue pour quoi toi aussi.
Van: tu crois que c'est de gaieté de cœur que je vais venir un samedi soir ici ?
Moi : hum
Van (me donnant mon fils) : elle est où Moon?
Moi :partie avec son père, elle a insisté pour l'accompagner.
... Vanessa Elongo....
Je passes Akin à sa mère parceque je ne veux pas m'eterniser ici. La vielle m'attend et en plus c'est samedi, j'ai une soirée chargé et le soleil là va bientôt se coucher ici.
Moi (la fixant) : je peux te parler deux secondes ?
Ya Beni (regardant sa belle famille) : j'arrive tout de suite !
On s'est dirigé dans la maison. Je suis allée me servir à boire dans la cuisine et ya Beni m'a suivi.
Ya Beni : de parler vite, tu me fais peur !
Moi: c'est juste que Elongo est revenu. Hier j'ai bien appelé ya Ronald pour lui dire que Moon passera le week-end ici et aujourd'hui ce matin, il est venu avec son père et ses sœurs pour discuter avec Elongo !
Ya Beni : hum
Moi : ils disent qu'ils veulent avoir des droits sur Moon et pour ça, ils ont demandé à la doté chez ton père et celui là comme il a vu une occasion d'aller de nouveaux se saoulé, il a accepté le sourire aux lèvres.
Ya Beni (yeux rouges) : donc papa ça ne lui a pas suffit de manger l'argent que les Mbolo ont donné pour ma dote. Maintenant c'est sur la tête de mon enfant qu'il veut acheter ses bouteilles d'alcool ?
Moi :...
Ya Beni manipule nerveusement son téléphone qu'elle pose ensuite sur l'oreille.
Ya Beni (en larmes) : allo maman!
-...
Ya Beni : je suis avec Van et elle vient de me parler de ce qui se passe chez toi !
-...
Ya Beni :et comme toujours tu ne dis rien. Tu vas le laisser abusé de son rôle de père pendant longtemps hein ?
-...
Ya Beni : j'en ai rien à foutre maman. Tu n'encourage pas mais quoi qu'il fasse, tu restes toujours passive à cautionner ses bêtises. En tout cas si toi tu n'es pas capable d'être du côté de tes enfants et de les protégés, moi je ne laisserai pas l'avidité de ton mari gâché l'avenir et la santé psychique de ma fille.
-...
Ya Beni (en larmes) :je m'en bas les ovaires que Ronald soit son père. C'est moi qui me suit occupé de Moon depuis toujours. Quand il me donnait des coups avec elle dans mon ventre, il ne savait pas que c'était son enfant ? C'est moi qui ai vendu les fesses pour la nourrir, la soigner et l'éduquer alors ce n'est pas aujourd'hui que ma fille a une vraie figure paternelle, que son enfoiré de géniteur et le miens vont venir me faire chier ! En tout cas, répète le bien à ton mari, je ne me laisserai pas faire sur ce coup. Vous pouvez toucher à tout sauf à mes enfants, a bin entendeur salut !
Elle a coupé l'appelle, Akin la fixait comme si il arrivait à comprendre la peine de sa mère.
Moi : elle n'y est pour rien la vieille !
Ya Beni :je sais mais qu'elle essaie tout de même d'expliquer la conduite de papa, de lui trouver des excuses, ça m'a trop énervé. En tout cas, ils vont devoir me passer sur le corps, même les visites de week-end là, il n'aura plus.
Moi : anyway! Moi je vais partir et j'ai besoin de sous pour l'école. Les locataires là me fatiguent !
Ya Beni (ouvrant sa trousse) : ça fait juste une semaine que j'ai commencé avec le boulot donc ne commence pas à m'énerver. Je t'ai demandé de les gérés si tu ne peux pas je le ferai moi même !
Moi : ils disent qu'il y'a la crise ! Tu veux que je fasses quoi ?
Ya Beni :la crise ou pas je m'en fous, qu'ils te payent pour que toi tu payes vos cours ! Tiens voilà la moitié, tu donnes ça à l'école et dès qu'ils payent, tu vas compléter le reste.
Moi : okey et les petits du quartier m'ont dit que y'a un grand monsieur dans une grosse voiture qui demandait après toi!
Ya Beni : qui ça ?
Moi : yo no se! Juste que il leur a sois disant donné de l'argent pour qu'ils montrent la maison et leur a donné sa carte qu'ils appellent dès qu'ils te voient dans le quartier !
J'ai sortie la carte que les petits m'avaient remis et le lui ai donné. Dès qu'elle a posé les yeux dessus, une lueur de colère et puis la surprise et ensuite la peur est passé sur son visage avant qu'elle ne se recompose un visage qui se voulait neutre !
Moi : qu'est ce qu'il y'a ? C'est qui ?
Ya Beni : personne d'important ! Bon je dois m'occuper de mes invités.
On a rejoint les ya céleste dehors et j'ai dit au revoir pendant que le petit mignon qui était avec eux n'arrêtait pas de me zieuter. Pauvre petit, tu n'es pas de mon niveau Mbolo ou pas !
.... Elodie Santos Mapembe....
Je pousse un cri de terreur en voyant le sang coulé de ma lèvre.
Moi (ma main à la bouche) :ho mon Dieu ! Ho seigneur !
Jamais au grand jamais, un homme n'avait levé la main sur moi. Ya Elliott a toujours été très tactile dans ses moments de colère :ça allait de me serrer le bras à me tirer pas les cheveux et dans les cas les plus extrême quelques claques mais ce coup de poing, je n'arrive pas à y croire. Et surtout que je ne penses avoir vraiment rien fait d'aussi catastrophique pour mériter ça.
Moi (en larmes) : tu m'as frappé ? Tu m'as frappé ?
Ya Elliott (en colère) : tu n'es qu'une pute et tu mérite qu'on te traite comme la pute que tu es !
J'ai toujours détesté qu'on m'insulte et qu'il le fasse ainsi me fait oublier la douleur sur ma lèvre.
Moi (la main sur la bouche) : tu n'es qu'un demi homme, osez frappé une femme mon Dieu !
Je vais ouvrir la porte des toilettes, je veux m'enfermer mais il a sans doute compris car très vite son pieds bloque la porte et il me tire par les cheveux me ramenant dans la chambre.
Je regrette de l'avoir suivi, d' être monté jusqu'à cette chambre. J'essaie de voir les issus possible, mais je suis piégé.
Oui je suis sorti sans sa permission, oui il a cru voir des choses qu'il a sans doute mal interprété mais de là à me donner un coup comme si j'étais son égal, non ça jamais ! Je ne peux pas tolérer ce comportement.
Ya Elliott (yeux haineux) :tu le ment ? Pour aller te faire toucher dans des piscines ? Il t'a baise c'est ça ? T'es qu'une pute !
Moi (lui crachant le sang sur le visage) : la pute te dit va te faire foutre ! Tu n'as pas de couilles, tabasser une fille ! Faut vraiment avoir un manque de confiance terrible en soit pour en arriver là !
J'aurai peut être mieux fait de fermer ma bouche, il s'avance dangereusement vers moi et prise de panique je recule.
Oui je devrais sans doute la fermer mais il m'a déjà frappé, ça va me servir à quoi encore de rester tranquille pendant que je bouillonne de rage. La rage de ne pas être assez forte pour lui rendre son coup. La rage que ses insultes me fassent plus mal que le coup qu'il m'a donné.
Je tire alors la lampe sur la commode et la lui envoie au visage. Il anticipe la trajectoire et l'évite. Je veux trouver un autre truc à lui balancer mais il le fait un croche pied et je tombe,le frond contre les carreaux. J'ai l'arcade sourcilière déchirée, monde grosses gouttes de sang font leur apparition sur ses carreaux jadis blanc neige. J'ai le vertige mais je puise sur toute mes forces pour ne pas flancher.
Il au dessus de moi et commence à me donner des claques sur les joues mais je bloque sa pomme de la main droite et le mord de toute mes forces, jusqu'au sang. C'est un autre coup de poing sur l'œil gauche qui me fait lâcher ma proie. Maintenant, je ne suis plus la seule à saigner !
Le temps de me relever, Ya Elliott est en train d'enlever sa ceinture le regard mauvais. Sa chemise est rouge de nos sang mélangés.
Ya Elliott(enragé ) : je t'ai traité comme une princesse, je t'ai mise au dessus de toutes. Ça aurait dû me piquer le fait qu'a ton âge, tu ne sois même pas vierge et surtout que tu te sois donné à moi le premier soir. Il n'y a que les filles devergondés qui agissent ainsi ! Tu n'es qu'une "Marie couche toi là" pour se faire baisé à quinze ans par un homme qui a le double de son âge !
Moi (la bouche en sang) : il n'y a qu'un pédophile pour baiser une fille qui a carrément la moitié de son age. Tu devrais te faire soigner papi, tu n'es qu'un prédateur sexuel, sale pervers !
Il s'est mise à tiré sur la frêle robe de plage que j'avais jusqu'à ce qu'elle se déchire.
Ya Elliott: je ne veux plus de toi, une petasse qui va finir par me filer un MST !
Moi : sniff laisse moi partir alors ! Pourquoi tu prends la peine de me battre, laisse-moi, je vais aller me faire baiser par des hommes de mon âge. Tu crois que quoi ? Que c'est toi qui me donne ma ration quotidienne d'oxygène ? Pour que je sois incapable de vivre sans toi ? Sniff osez me frapper ? Avec des coups poing ? Sniff !
Le premier coup de ceinture était tellement douloureux, que mon cri c'est étouffé dans ma gorge.
Ya Elliott (complètement fou) : à force de te baisé, j'ai oublié que tu n'étais pas une femme mais une enfant. (coup de ceinture) et maintenant je vais te donner l'éducation que tu n'as pas eu ! (coup de ceinture) on verra encore où tu vas me faire passé pour un con devant des petits connards qui te servent de copains (coup de ceinture) !
L'adrénaline le fait me lever, je coure dans toute la pièce en criant pendant qu'il me poursuit en me fouettant à coup de ceintures. J'en reçois partout,aucune parcelle de peau ne s'en sort indemne. A un moment donné, fatigué, essoufflé je me suis jeté à ses pieds en implorant sa clémence !
Moi (m'accrochant à son pantalon qui s'est mis à descendre) : désolé, je.... Sniff je suis désolé sniff arrête de me frapper sniff.... Ar... re.... te.... Jai...trop.... Mal... Sniff sniff
Il a commencé à me repousser et plus je m'aggripais, plus il me donnait des coups de ceinture avec plus de force.
C'est à ce moment que ya Gloire et ya Clovis ont defoncer la porte. Pes cris doivent avoir alerter tout le quartier.
J'ai profité qu'ils se mettent à le résonner pour sortir en courant,la peau marqué, le visage en sang et le corps à moitié nu.
Je suis sorti de la parcelle sous le regard choqué et désolé de tonton Dan, je n'ai que cure. Tout ce que je veux, c'est aller loin d'ici. Aller loin de cet homme de cet animal sauvage mais que j'aime comme une folle.
C'est ya Gloire qui a commencé à klaxonner derrière moi, jusqu'à ce que je m'arrête. Il est sortie avec un grande serviette, m'a couvert et m'a conduit dans la voiture. Je me suis mise à pleurer à grosse larmes. Je n'arrive pas à le croire.
Ya Gloire: je... Je n'arrive pas à comprendre, mon Dieu Elodie. Je t'emmène à l'hôpital !
Il m'a emmène dans une clinique pas très loin. Où on n'a désinfecté ma lèvre et mis trois points de sutures à l'arcade sourcillere (en larmes) putain je vais avoir des cicatrices !
L'infirmière m'a donné des antalgiques pour le corps. Je me suis endormi.
À mon réveil, ya Gloire avait acheté des vêtements. J'ai essayé de regardé mon visage dans la glace, ça m'a foutu la trouille. On dirait qu'un camion citerne vient de me passer dessus. C'est ya Elliott qui m'a fait ça (pleures)!
Ya Gloire (me tendant le téléphone) : il est plus calme, il veut te parler !
Moi (essuyant une larme) : plus jamais de la vie sniff qu'il ne s'approche plus jamais de moi !
Ya Gloire : je suis désolé !
Moi : ramène moi chez moi s'il te plaît !
Ya Gloire : tes parents... Je suis d'avis que tu reste ici, au moins jusqu'à demain, il est déjà zero heure du matin !
Moi (en larmes) : s'il te plaît ya Gloire je veux juste rentrer chez moi sniff sniff
Le médecin m'a prescrit des antibiotiques que ya Gloire a acheté et des crèmes pour une rapide cicatrisation. Le médecin voulait m'accompagner à la police et m'a même dit qu'il est prêt à être témoin si je voulais porter plainte contre mon agresseur mais j'ai gentiment refusé, en disant que je ne me rappelle plus de qui c'était.
Ya Gloire m'a déposé devant le portail, il voulait entrer mais je lui ai dit que si papa et Loic sont là ça risque de mal se passé. Au final, j'ai dû lui promette de l'appeler demain.
J'ai tellement mal partout malgré les médicaments que je n'ai pas remarqué la grosse voiture dans l'allée.
Alors quelle surprise n'a été pour moi quand j'ai croisé en entrant dans le salon, le visage horrifié de ma mère : ma vraie mère !
Maman(criant) : iki ? Iki? Zambi ? Elodie ? Qui a voulu me tuer l'enfant (en pleure) je te croyais déjà dans l'avion seigneur !!! Elodie iki?
Isabelle : c'est donc comme ça que vous vous occuper de ma fille ? Non seulement elle rentre à pareil heure à son âge mais dans cet état là ? Qu'est ce qui t'es arrivé jeune fille ? Qui t'a fait ça ?
Son mari (venant à moi) : Isabelle arrête de les blâmer ! Ma fille que s'est il passé ? Qui t'a mis dans cet état ?
Moi (les regardant) : je me suis faite agressé par des voyous, ils m'ont tout pris et m'ont tabassé !
Maman:heeee !
Papa: mon Dieu ! (me prenant dans ses bras) la sécurité dans xe pays seigneur ! Demain on ira à la police !
Isabelle : tu vois jean-Edmond, tu vois ? Quand je t'ai dis que je voulais prendre mon enfant, regarde ? Si je n'avais pas insisté pour qu'on vienne hein ? Elodie que passa ?
Moi (fatigué) : je suis fatigué !
Maman m'a emmené dans la chambre. Isabelle n'arrêtait pas de crier sur papa. J' ai fermé mes yeux pleins de larmes en pensant à Ya Elliott.
(Je dis hein, ne m'insultez pas l'enfant. C'est l'amour qui le rend comme ça sinon Elliott est le plus doux des enfants Mbolo )