CHAPITRE 49: MOMENT DE DOUCEUR.
Write by L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE 49 : MOMENT DE DOUCEUR.
UN JOUR PLUS TÔT
**BHERNIE ELLO**
Moi : (La soulevant comme un bébé) Reviens ici toi.
Lucia : (Riant en s’agrippant à mon cou) Qu’est-ce que tu fais ?
Moi : Je te fais rentrer dans notre maison comme il se doit.
Lucia : (Riant) C’est-à-dire ?
Moi : Comme la reine et la patronne des lieux que tu es.
Nous sommes arrivés dans la chambre et je l’ai posée sur une des chaises.
Moi : Ne bouge surtout pas, ton serviteur va s’occuper de tout.
Lucia : (Souriante) J’aime ce genre de service.
J’ai mis la musique et j’ai allumé le ventilateur puis je me suis déshabillé avant de me diriger vers elle pour en faire de même. Je me suis agenouillé devant elle et j’ai commencé par lui retirer les chaussures, l’une à la suite de l’autre tout en caressant, massant et baisant ses pieds. Puis je suis lentement remonté avec mes mains le long de ses jambes, sur ses cuisses, ses hanches. J’ai passé mes mains derrière son dos pour ouvrir le bouton de sa jupe et baissé la fermeture. J’ai ensuite attrapé ça sur les côtés et je l’ai faite glisser pour l’ôter. Elle s’est retrouvée en string en bas avec son gros boubou que j’ai également retiré. Elle était désormais en sous vêtements avec ses bijoux au corps. Je l’ai observée un moment avec un énorme sourire sur les lèvres.
Moi : (Souriant) Est-ce que je t’ai déjà dit que tu es extrêmement belle Lumière ?
Lucia : (Baissant les yeux en souriant) Oui, tu me l’as dit.
Moi : Alors laisse-moi te le redire. Tu es incontestablement la plus belle de toutes les femmes et je suis un privilégié.
Lucia : (Silence)
Moi : C’est un énorme privilège pour moi de pouvoir te contempler dans tes plus simples attributs. (Caressant son visage) Quand je pense au mot perfection, c’est ton visage que j’ai à l’esprit. Tu incarnes la perfection à mes yeux. (Lui susurrant à l’oreille) Ma Lumière.
Je l’ai sentie frissonner avant qu’elle ne tourne le visage vers moi. Je lui ai une fois de plus caressé le visage puis je l’ai embrassée sur la bouche. D’abord doucement ensuite de plus en plus vite. Je l’ai soulevée de la chaise et je l’ai remplacée en la mettant à califourchon sur moi. J’ai fait glisser mes mains sur chacune de ses fesses en m’arrêtant dessus.
Moi : (Souriant en malaxant ses fesses, contre ses lèvres) C’est pour moi tout ça ?
Lucia : (Répondant à mon sourire) C’est pour toi et à personne d’autre.
Moi : (Élargissant mon sourire) C’est pour ça que je dis que je suis un privilégié.
Nous avons repris à nous embrasser avec des petites pauses pendant lesquelles nous nous sourions en nous regardant dans les yeux.
Moi : Je t’aime tellement ma Lumière.
Lucia : Et moi encore plus mon Ciel. Allons nous débarbouiller car je veux te sentir en moi.
Je l’ai tenue fermement et je me suis levé avec elle pour la conduire à la douche où je l’ai déposée avant de retirer nos sous-vêtements. Une fois tout nu, j’ai allumé de l’eau au dessus de nos têtes puis on s’est mutuellement lavé en se caressant. Une fois rincés, je l’ai retournée et l’ai collée contre le mur en me plaçant derrière elle. J’ai suivi les courbes de son corps depuis ses cuisses en remontant lentement jusqu’à ses bras que j’ai soulevé et suis venu les mettre à plat contre le mur. Je suis redescendu tout doucement et ai empoigné ses seins avant de les malaxer avec douceur tout en lui mordillant le dos. Elle a gémis de plaisir et j’ai souris. Le corps de Lucia était pour moi comme un piano. Je me suis évertué à apprendre toutes les bases pour jouer une musique harmonieuse. Je l’avais dit par le passé, je m’appliquerais à connaître le corps de Lucia pour lui donner du plaisir et ces dernières années ont été pour moi de grandes années d’études. Aujourd’hui je savais où toucher pour avoir un résultat et je m’amusais à faire des combinaisons pour produire d’autres mélodies toujours plus agréables. J’ai descendu une de mes mains sur son ventre que j’ai pris le temps de caresser, d’ici quelques années, il porterait mes enfants mais ce n’était pas encore le moment. J’ai continué ma course jusqu’à son entrejambe et j’ai lentement caressé son pubis de bas vers le haut avant de la faire cambrer pour qu’elle ressente mon érection contre ses fesses. Elle a gémis une fois de plus sous ma caresse. J’ai enlevé ma main sur son pubis et je l’ai portée à sa bouche en lui présentant mon index et mon majeur.
Moi : Suce-les chérie.
Elle s’est exécutée en les suçant et j’ai accompagné le tout en frottant mon érection contre elle, en appuyant son sein et en lui faisant des bisous sur le dos. J’ai finis par les retirer de sa bouche pour la mienne avant de la ramener devant son sexe, j’ai inséré mes doigts l’un à la suite de l’autre dans son vagin et je me suis mis immédiatement à les bouger à l’intérieur.
Lucia : (Se cambrant d’avantage) Ô mon Dieu !
J’ai continué à bouger à l’intérieur avant de légèrement lui écarter les jambes et de lentement la pénétrer. La sensation de mon passage dans ses parois était juste grisante, tant l’adhérence était parfaite. Lorsque j’ai touché le fond, nous avons soupiré d’aise. Après quelques secondes d’inaction, j’ai commencé un va-et-vient en elle. Je le faisais tellement sans pression que j’avais le temps de voir mon pénis entrer et sortir totalement de son sexe. Elle a voulu baissé ses bras mais je l’en ai empêchée.
Moi : Laisse-les où elles sont.
Lucia : (Gémissant) Je veux te toucher Ciel.
Moi : (Enroulant mes bras autour de sa taille) Plus tard bébé, tu le feras.
Elle n’a plus rien dit et j’ai continué sur ma lancée avant de soulever une de ses jambes sur le côté pour avoir une meilleure ouverture. J’ai maintenu celle-ci suspendue et j’ai accéléré mes mouvements. Ses gémissements devenaient de plus en plus sonores. Je me suis retiré d’elle et l’ai faite décaler afin qu’elle soit face à moi. Je l’ai pénétrée à nouveau toujours avec sa jambe suspendue que j’ai bloquée autour de ma hanche. Cette fois-ci elle a baissé ses bras et est venue les nouer autour de mon cou avant de m’embrasser sur la bouche en gémissant. Nous sommes restés dans cette position quelques secondes puis j’ai décidé de la soulever par les fesses pour la sortir de la douche. Je suis allé avec elle m’asseoir sur la chaise et aussitôt elle s’est mise à tourner des reins sur moi.
Moi : (Giflant sur ses fesses en souriant) Oui bébé, vas-y.
Elle s’y est donnée à cœur joie et j’ai senti mon plaisir monter en puissance dans mes reins, la jouissance n’était plus loin. J’ai fermement tenu ses fesses et j’ai resserré mon étreinte. J’ai touché avec beaucoup plus de précisions le fond et elle a contracté son vagin en me griffant les épaules.
Lucia : (À mon oreille) Ciel ! Ô ciel. Je vais jouiiiiiirrr !!!
La chose s’est produite à l’instant et elle m’a fortement serré le cou en se contractant davantage. Moi-même je me suis libéré en elle dans la même foulée. Au bout d’un moment, on s’est regardé et on s’est souris.
Moi : Tu es incroyable.
Lucia : (Souriant) Je sais.
Elle s’est penchée et m’a embrassé, j’y ai répondu avec le même entrain jusqu’à ce que je l’ai soulevée pour la ramener à la douche pour un autre bain rapide histoire de nous rincer. Lorsqu’on a fini, on s’est essuyé puis je l’ai soulevée une énième fois pour la poser sur le lit.
Moi : (Lui caressant le visage) Bonne nuit bébé.
Lucia : (Souriant) Bonne nuit Ciel.
On s’est regardé un moment puis je l’ai tirée pour bien la coller contre moi. Je l’ai retournée pour la mettre en cuillère. Je lui ai fais des bisous dans le cou sous ses rires avant de soupirer d’aise et sombrer dans les bras de Morphée (…)
Moi : (L’enlaçant par la taille en lui faisant un bisou sur la tempe) Tu regardes quoi ?
Lucia : (Souriante) L’endroit où je vais mettre les plantes. Je veux de grandes plantes vertes dans un coin du jardin et aussi au salon.
Moi : Des plantes artificielles ?
Lucia : Non, de vraies plantes qui vont bien réguler l’air, dans le même style que celles qui sont au balcon à Bruxelles.
Moi : D’accord. J’ai ramené le petit déjeuner.
Lucia : Tu ne veux vraiment pas que j’aille nous faire un truc à manger ?
Moi : Non. Personne ne nous verra avant demain et tout le monde le sait.
Lucia : (Se retournant pour me faire face) Donc je suis ta prisonnière ?
Moi : (Souriant) Tu ne le savais pas ?
Lucia : Hum. Je dois vraiment réfléchir à si je veux aller jusqu’au Mariage à ce rythme.
Moi : (Riant) Dis celle qui est déjà mariée sans le savoir.
Lucia : (Montrant son doigt) Je ne vois pas d’alliance dessus.
Moi : Pourtant tu as deux bagues dessus et pas n’importe lesquelles.
Lucia : Hum.
Moi : Sais-tu que ton cadeau d’anniversaire avait pris le plus gros de mes économies à l’époque?
Lucia : Tu ne me l’avais pas dit.
Moi : Et bien sache-le. C’était de l’argent que j’avais travaillé dur pour l’obtenir et que j’avais mis de côté pour mes études à Franceville. J’avais pris et j’avais fait faire ton cadeau.
Lucia : (Souriante) Et tu veux me faire croire que tu n’avais pas des intentions derrière ?
Moi : (Changeant de sujet en souriant) J’ai faim Lucia, allons manger.
Lucia : (Riant) Fuis bien, un jour tu finiras par me l’avouer. Ça sortira un peu un peu.
J’ai ri et je l’ai soulevée comme un bébé sans qu’elle ne s’y attende.
Lucia : (Riant) Attends, je suis ta poupée ?
Moi : Oui, tu l’es.
C’est en riant que nous sommes rentrés dans la maison et sommes allés dans la chambre. Elle a pris le sachet de pâtisserie et elle a fait un petit dressage sur un plateau qu’elle a posé sur le tapis au sol. Elle a pris les jus dans le frigo. Elle a aussi pris les choses pour se faire du café et elle a branché le petit chauffe eau. Nous n’avons pas tardé à nous asseoir et manger en amoureux. Un peu plus tard, nous sommes montés sur le lit et nous nous sommes assis dessus. J’étais adossé contre le mur et elle était assise entre mes jambes avec son dos contre ma poitrine.
Lucia : (Touchant sa bague de fiançailles) Cette bague, qui te l’a donné ?
Moi : Mon père. Elle lui avait été transmise par son grand-père pour ses fiançailles
Lucia : Donc elle appartenait à ta mère ?
Moi : Non.
Lucia : Je ne comprends pas.
Moi : C’est un sujet complexe dont moi-même je ne maîtrise pas les contours. Juste que cette bague est dans la famille de mon père depuis des générations et elle va aux doigts de certaines femmes lors des fiançailles car ce n’est pas n’importe qui qui la reçoit. Seulement un type de femmes.
Lucia : Qu’entends-tu par là ?
Moi : Que tu es spéciale Lucia, c’est pourquoi c’est toi qui l’as.
Lucia : Maman ne l’est pas ?
Moi : (Après un moment) Non.
Lucia : (Silence)
Oui, je l’ai compris de la discussion que j’ai eue avec mon père le jour où il me l’a remise. Il a dit que cette bague lui avait été remise par son grand-père pour ses fiançailles et que celle-ci allait au choix du cœur. J’ai donc supposé qu’il allait se fiancer ou l’avait fait avec une autre femme qui n’était pas ma mère mais que pour une raison ou une autre que j’ignorais, il avait fini avec maman. Elle n’a pas reçu cette bague alors elle n’était pas le choix de son cœur. Cela remettait beaucoup de choses en perspective et soulevait beaucoup de questions mais il ne m’était pas donné de les poser car ça ne me concernait pas, il s’agissait de leur vécu à eux et je ne voulais pas apprendre des choses qui pourraient biaiser mon regard sur l’un d’entre eux.
Lucia : (Changeant de sujet) Dis, tu t’es disputé avec maman ?
Moi : (Silence)
Lucia : J’ai remarqué que tu l’as évitée durant toute la fête hier.
Moi : Pas exactement. Je ne me suis pas disputé avec elle, j’ai juste surpris sa conversation avec Stella quelques minutes avant que nous ne partions de la maison et cela ne m’a pas plu. Je lui ai donné ma position et c’est pourquoi chacun était dans son coin.
Lucia : Ça avait un rapport avec moi ?
Moi : Quoi ?
Lucia : La conversation que tu as entendue.
Moi : Pas exactement.
Lucia : (Après un moment, triste) Tu crois qu’un jour elle finira par m’apprécier ?
Moi : (Tournant son visage vers moi) Eh regarde-moi Lumière (Ce qu’elle fait) Je ne veux pas que les sentiments de ma mère t’affectent. Ce qu’elle pense de toi et le fait qu’elle t’apprécie ou non ne change strictement rien pour moi alors je ne veux pas que tu penses à ça. Penses plutôt aux bonnes choses par exemple à mon père qui a tué le tien à la danse hier.
Elle a éclaté de rire et j’ai souris, je préférais penser aux choses joyeuses plutôt qu’à ma mère, ça n’en valait pas la peine.
Lucia : (Souriant) Ce sont mes parents qui ont battu les tiens.
Moi : (Souriant) Jamais, on vous a bien battus à domicile. Vous étiez obligés de dire au DJ de nous chasser parce que c’était trop fort.
Et nous avons passé un bon moment à débattre dessus avant d’aborder la question des photos. Tantine Reine a tout récupéré et a envoyé une bonne partie à Lucia dans son téléphone. Nous avons envoyé quelques images dans notre groupe avant de nous mettre en profil. J’ai regardé avec insistance une photo de Lucia montrant sa bague.
Moi : Je ferai développer celle-ci en plusieurs exemplaires et je mettrai un petit format dans mon portefeuille.
Lucia : (Souriante) Pourquoi ?
Moi : Parce que je le veux.
Lucia : Mais pourquoi particulièrement celle-là ?
Moi : Parce que je l’aime. Elle dégage quelque chose. De plus ce sera pour moi un rappel du fait que je détiens la plus belle femme et que je dois rapidement finir les choses pour qu’elle ne me file pas entre les doigts. Ça commence maintenant.
Je l’ai mise comme écran de verrouillage, fond d’écran et thème sur WhatsApp de mon téléphone.
Moi : (Lui montrant) Tu vois ?
Lucia : Tu l’as mise partout ?
Moi : Oui, tu es partout dans mon corps, c’est une transposition.
Lucia : (Riant) Tu es bien fou.
Moi : (Posant mon téléphone pour la faire basculer) Répète un peu ça.
Lucia : (Sous moi, Riant) Tu es fou Ci
Je l’ai embrassée sur les lèvres avant d’envoyer ma main sous sa robe pour titiller son clitoris.
Moi : (Contre ses lèvres) Voici ce qui me rend fou.
Lucia : (Souriant en se tordant de plaisir) Laisse-moi tranquille ciel, ne m’embrouille pas.
Moi : (Souriant, lapant ses lèvres) Alors repousse-moi. (Elle rit) Repousse-moi Lucia.
Elle a noué ses jambes dans mon dos et a fait mine de me pousser avec ses bras.
Lucia : (Riant) Quitte.
Moi : (Riant) Petite joueuse. Tu as autant envie de moi que moi de toi.
Lucia : C’est faux.
Moi : (Souriant) Avoue que tu veux crier ton Ciel, tu ne l’as pas bien fait cette nuit.
Lucia : Ce n’est même pas vrai, c’est (Se mordant la langue en gémissant) Ciel.
Je venais d’insérer deux doigts en elle et j’ai bougé. Elle a soulevé son bassin avant d’attraper mon haut et me tirer à elle.
Moi : (Bisou sur le cou) Tu veux crier ?
Lucia : (S’agitant sous moi) Oui chéri, fais moi crier.
Moi : (Souriant) Vos désires sont des ordres.
Je suis monté l’embrasser sur la bouche avant de descendre sur vers le bas de son corps, j’ai fait monter sa robe et plié une de ses jambes. J’ai ensuite mis son string sur le côté pour lui bouffer la chatte…
NB : À partir du prochain chapitre attrape ton cœur parce que les choses vont aller très vite. Jdcjdr