CHAPITRE 54: LE POIDS DES RESPONSABILITÉS

Write by L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 54 : LE POIDS DES RESPONSABILITÉS.

**BHERNIE ELLO**

Il s’est tu un grand en regardant vers le sol pendant que dans mon cœur meurtri, j’étais en train de me demander qui leur a parlé de mes problèmes avec Lucia ?

Le deuxième : Cette histoire est très profonde. Que t’en semble papa ?

Je me suis mis à regarder le sol pendant un long moment en joignant mes mains entre mes jambes, mon silence était tel qu’il se sont mis à se regarder un moment et ils avaient l’intention de parler quand je l’ai fait.

Moi : Cette histoire est en effet une histoire très profonde et très riche d’enseignements. Ce jeune homme sur sa terre doit en effet penser à la vie après lui sinon les efforts du temps présent ne seront plus rien dans le temps. 

J’ai fait une pause avant de reprendre.

Moi : J’avais écouté une histoire semblable dans laquelle la terre du jeune homme n’était pas stérile. Elle avait bien donné une pousse au bout de la 5e année mais le jeune homme dans son imprudence avait déraciné cette pouce avant le temps et avait par ce fait rendu sa terre stérile. Grande avait été sa désolation d’apprendre les conséquences de son imprudence pour lui et sa précieuse terre mais il ne se découragea pas pour autant. Il tourna dans la forêt à la recherche d’une solution qui rendrait à nouveau le champ de sa terre fertile et il le trouva dans des engrais et auprès d’une autre terre qui avait un champ disponible que le jeune homme pouvait utiliser pour cultiver sa semence.

Le troisième : Ce jeune homme a fait preuve d’une grande sagesse parce que en effet son futur était trop important. 

Les autres : (Acquiesçant) Très sage.

Le quatrième : Le sage de l’histoire dit au jeune homme que lorsque que ses semences sur ce champ seront en train de pousser, il faudra qu’il vienne chercher la famille pour aller faire les procédures pour sécuriser ses pouces et ce champ car comme il le sait, il est particulier et l’une de ses pouces aussi le sera alors elles doivent recevoir les rites avant d’être retirés du champ.

Les autres : Tout à fait. 

J’ai levé mes yeux et j’ai croisé leur regard. J’étais profondément troublé par cette dernière partie de l’histoire. 

Moi : Dans cette histoire, le jeune homme ne pouvait pas emmené ses parents sur ce champ pour les rituels parce que ce champ ne lui appartenait pas. Il pouvait juste l’utiliser mais pas autre chose.

Le quatrième : Oh, c’est délicat. Ce jeune homme doit donc abandonner ce champ car celui-ci ne peut recevoir sa semence. Il lui faut donc acquérir un champ sur lequel les rituels seront effectués lors des pouces ou trouver une nouvelle terre.

Les autres : C’est la vérité.

Je suis resté là sans plus rien dire. Ils ont parlé jusqu’à ce que nous nous séparions.

Eux : Il faudra saluer maman pour nous en rentrant.

Moi : Je n’y manquerai.

J’ai démarré et je suis parti de là-bas et pendant que j’étais au volant mes mains se sont mises à trembler toutes seules et mes jambes sont devenues lourdes. J’ai pris mon téléphone et j’ai appelé mes frères pour leur dire que je voulais les voir dans les minutes qui suivaient chez Rail. En raccrochant j’ai failli cogner la voiture devant moi car mes jambes, je l’ai dit, étaient lourdes et avaient du mal à obéir quand j’essayais les manœuvres. Je me suis arrêté de justesse en faisant un grand bruit avec mes roues qui a attiré l’attention de tout le monde sur moi quand j’ai finalement réussi à freiner. Le chauffeur du véhicule en question m’a regardé par le rétroviseur avant de s’en aller, j’ai poursuivi mon chemin et je suis arrivé chez Rail presqu’en même temps que Lens. Nous sommes arrivés et il m’a salué, seulement je ne lui ai pas répondu. Nous sommes tous les deux aller cogner à la porte de la maison de Rail et ce dernier nous a ouvert.

Rail : Bonjour.

Lens : Bonjour.

Je l’ai regardé avec mon visage fermé et il nous a laissés entrer dans la maison, moi le premier. Je suis allé me mettre debout dans un coin en ayant mes deux mains sur ma taille, je leur faisais dos.

Eux : Il y a un problème ya Bhernie ?

Moi : (Dans la même position) Je pensais que vous étiez mes frères et que je pouvais vous faire confiance (Me passant une main sur le visage de bas vers le haut) mais je me suis rendu compte à mon grand désarroi que je me suis trompé et c’est vraiment triste pour moi d’apprendre que même à mes propres petits je ne pouvais pas me fier. Un ami me l’aurait fait ça ne m’aurait pas autant fait mal parce que je me serais dit que très certainement c’est parce qu’il ignore les liens du sang, mais que ce soit mon propre sang qui me le fasse, ma déception est 100 fois plus grande.

Il y a eu un grand silence après mes mots et j’ai fini par me retourner les larmes coulant le long de mes joues pour les regarder dans les yeux.

Moi : Ma vie vient officiellement de finir, vous venez littéralement de me tuer.

Lens : (Les yeux rouges)Qu’est-ce qu’on a fait ?

Moi : Tu me le demandes encore Lens ?

Lens : Oui, parce que je ne comprends pas ce qui se passe. Qu’avons-nous fait ?

Moi : Vous venez de me retirer la seule chose qui donnait du sens à ma vie Lens. Voilà ce que vous avez fait.

Eux : (Silence)

Lens : Je suis désolé mais je ne comprends toujours pas ce qui se passe ya Bhernie. Il va falloir que tu sois plus clair. 

Moi : (baissant la tête en souriant malgré moi avant de la relever) Qui est parti parler de la condition de Lucia aux oncles ?

Eux : (En chœur, les grands yeux) Hein ?

Je les regarde et ils se regardent également.

Rail : Je n’ai jamais parlé de sa condition avec qui que ce soit et tu sais qu’on crie sur moi tous les jours parce que je ne visite pas la famille. Comment je vais même d’abord commencer pour aller le leur dire ?

Lens : Je te le jure ya Bhernie que la seule fois que j’ai parlé de ce sujet c’était avec toi, depuis le jour où je suis sorti de ta maison jamais je n’ai dit quoi que ce soit dessus car ce sujet je l’ai laissé chez toi.

Moi : Pourtant quelqu’un a dû le leur dire parce qu’en dehors de Lucia et moi, il n’y a que vous qui êtes au courant de cette histoire.

Eux : (Silence)

Moi : (Essuyant mes larmes)Et je vous remercie énormément pour ce geste.

Je les ai dépassés et je me suis dirigé vers la porte mais j’ai été pris de vertiges au point de ne plus rien voir devant moi. J’allais très certainement tomber mais ils m’ont tous les deux rattrapés.

Eux : Ya Bhernie tu vas bien ? 

Moi : Comment voulez vous que j’aille bien ? 

Je me suis débattu pour qu’ils me lâchent parce que je préférais nettement tomber par terre que me faire porter par des personnes qui m’avaient trahi. Dans mon mouvement, nous sommes tombés tous les trois au sol et sans que je ne m’y attende j’ai éclaté en sanglots. J’étais en colère contre eux, contre mes oncles, contre la médecine, la vie en général d’avoir fait de moi l’héritier de cette famille et surtout contre moi d’avoir forcé Lucia à avoir mis fin à cette grossesse quelques années en arrière. Si Lucia se retrouve dans cette situation c’est à cause de moi, comment pourrai-je un seul instant penser à l’abandonner pour aller prendre une autre femme ? Comment ? Si j’enceinte une autre femme avec qui Lucia devra me partager, est-ce qu’elle pourra le supporter ? J’ai pleuré et ils ont pleuré avec moi sans savoir pourquoi je le faisais. À la fin, vidé de toute émotion je me suis assis par terre l’air dépité.

Lens : Les oncles t’ont dit quoi ?

Je l’ai regardé.

Lens : (Essuyant ses larmes) Ils ont appris que ya Lucia est stérile oui maintenant ils ont dit quoi ?

Moi : Je dois prendre une deuxième femme qui va me faire des enfants.

Lens : Mais c’est ce que vous faites déjà non ? Je veux dire que vous êtes en train de faire les démarches pour ça non ? Le prochain voyage que vous allez faire pourrait 

Moi : (Coupant ses propos) Une femme sur laquelle des rituels seront faits pour sécuriser les enfants.

Lens : (La bouche ouverte)

Moi : Merci. Je ne peux plus faire cette fécondation qui ne me servira à rien car je ne pourrai pas ramener cette femme ici pour les rituels du village. Alors soit je quitte Lucia pour prendre une autre femme soit je prends une deuxième femme qui sera sa rivale. Je ne me vois pas infliger ça à Lucia, je ne peux pas lui faire ça. Je lui ai promis que jamais je ne la laisserai.

Rail : (Reniflant) Alors prends une deuxième femme.

Moi : Je ne peux pas non plus faire ça, elle en mourra.

Rail : Elle n’en mourra pas. Lucia est une femme forte comme nous le savons tous et qui a bien conscience des réalités qui sont les tiennes. Tu es l’héritier de cette famille ya Bhernie et nous tous savons que tu ne peux pas mourir sans faire des enfants car l’héritage doit se poursuivre et Lucia le sait. Elle est consciente des enjeux de ta position et elle connait sa condition. C’est triste oui mais tu n’as pas le choix. Au moins vous serez toujours ensemble et nous savons que Lucia t’aime et même si cela va certainement lui faire mal au début, elle finira par accepter cela. Tu n’es pas obligé de lui dire tout de suite mais tu peux essayer de voir et si la femme tombe enceinte, tu lui diras que voici le dilemme qui a été le tien et que tu as fait cela parce que tu ne voulais pas la perdre. La famille aura l’assurance de son héritage et toi tu pourras continuer de vivre ta vie avec Lucia.

Moi : (Silence)

Rail : Réfléchis à la situation. 

Je me suis levé et je suis sorti sans rien répondre. J’ai grimpé dans la voiture et j’ai roulé jusqu’à ma cachette au niveau de la plage d’Acaé. J’ai fait un message à Lucia disant que j’ai dû faire un déplacement sur la route avec mon oncle pour régler un souci et qu’elle ne devait pas m’attendre pour manger ni même pour dormir car j’allais très certainement le faire au petit matin du lendemain. 

-Ma Lumière : J’espère que ce n’est rien de grave.

-Moi : Non bébé, enfin pour eux. En tout cas je règle ça et je reviens.

- Ma Lumière : D’accord . Sois prudent. Je t’aime.

-Moi :Je t’aime aussi ma vie.

Je suis descendu de ma voiture et j’ai pris la petite piste qui me conduit à mon coin secret avant d’aller m’asseoir sur le sable. Je suis resté là et j’ai à nouveau éclaté en sanglots fasse à ma situation avant de m’allonger au sol. Je revoyais dans mon esprit tout ce que j’avais vécu avec Lucia depuis cette fois où mon regard avait croisé le sien dans le studio de tantine Leslie à sbg jusqu’à aujourd’hui et tout ce que nous avons traversé ensemble comme épreuve pour en ressortir plus soudés. Je ne peux décemment pas quitter Lucia pour une autre femme. Et si je prends une deuxième femme et que c’est elle qui me quitte, j’en mourrai car Lucia est toute ma vie. 

Moi : (Parlant aux esprits en fang) J’ai besoin de vous, j’ai besoin de votre aide. Aidez moi à trouver quoi faire. Ma vie est sur le point de se consumer, dieux de mes ancêtres, je vous en prie, venez à mon aide. 

Je suis resté en train de parler là jusqu’à 2h du main sans m’en rendre compte puis j’ai pris le chemin de la maison où Lucia était endormie. Je l’ai regardée dormir pendant je ne sais combien de temps avant de me décider d’aller prendre ma douche et la rejoindre sur le lit. Je me suis mis en cuillère derrière elle et je l’ai fortement serrée dans mes bras.

Lucia : Tu viens de rentrer ?

Moi : Oui.

Lucia : Tout s’est bien passé ?

Moi : Oui. On en reparle après. Dormons. 

Lucia :  Bonne nuit Ciel.

Moi : Bonne nuit Lumière.

Elle n’a pas tardé à se rendormir et je suis resté éveillé le reste de la nuit en la serrant dans mes bras avec le cœur qui me faisait douloureusement mal dans la poitrine. C’est aux premiers rayons de soleil que j’ai trouvé le sommeil (…)

Moi : (Rentrant dans la cuisine) Pourquoi tu ne m’as pas réveillé ce matin ?

 Lucia : (Se retournant pour me regarder) Parce que j’ai vu que tu étais fatigué et que tu avais besoin de sommeil.

Je l’ai soulevée par les fesses sous ses rires pour la poser sur le plan de cuisine.

Moi : Et pourquoi n’es tu pas resté avec moi au lit madame ?

Lucia : (Souriante) Parce que je n’avais plus sommeil.

Moi : (Mordant son nez) Est-ce une raison ?

 Lucia : (Riant) Ciel.

Moi : Est-ce une raison pour abandonner son homme au lit tout seul femme ?

 Lucia : (Souriante) J’avais aussi des choses à faire.

Moi : Comme quoi ?

 Lucia : Comme ton petit déjeuner et ton déjeuner.

Moi : Et le pré petit déjeuner dans tous ça, me l’avez-vous donné ?

Elle rit.

Moi : (L’embrassant) Vilaine femme, vous serez sévèrement punie.

J’ai repris à l’embrasser pendant qu’elle me caressait le torse nu étant donné que je n’ai qu’un bas de jogging que j’ai enfilé après ma douche à mon réveil. Elle a un grand boubou des femmes ouestaf là et j’ai fait rentrer mes mains sous son boubou, j’ai remarqué qu’elle avait une mini culotte. Alors j’ai entrepris de retirer le boubou.

Lucia : (Riant) Bébé j’ai les marmites au feu.

Moi : Je sais (retirant pour la laisser en culotte et soutien) Prépare.

Lucia : (Montrant son corps) Dans cette tenue ?

Moi : Tout à fait. 

Je me suis éloigné d’elle pour aller m’asseoir autour de mon petit dej qui était posé sur la table à manger de la cuisine.

Moi : Je veux dorénavant te voir faire la cuisine ainsi quand je suis là et ce jusqu’à nouvel ordre.

Lucia : (Riant en descendant de là où elle était assise pour venir récupérer son boubou) Tu es complètement fou. Donne mon habit je vais mettre, si quelqu’un vient me trouver ainsi tu diras quoi ?

Moi : Va préparer Lucia, je ne te donne rien, je veux te voir sexy quand tu prépares. Chaque organe de mon corps doit pouvoir te manger comme il se doit et mes yeux les premiers.

Lucia : Oh. Si on vient me trouver ici comme ça, tu vas dire quoi ?

J’ai pris son téléphone qui était posé devant moi et je l’ai manipulé pour voir si elle avait du crédit avant de lancer l’appel sur le numéro du gardien.

Lucia : Tu fais quoi ?

«Lui : Allô madame Lucia »

 «Moi : (Mettant sur haut parleur) Ce n’est pas madame Lucia, c’est monsieur. »

 « Lui : D’accord. Bonjour monsieur. »

« Moi : Bonjour. Je t’appelle pour te dire que je ne veux que tu laisses rentrer aucun membre de ma famille ici avant la nouvelle année. »

« Lui : Il y a un problème monsieur ? »

«Moi : Il n’y a aucun problème. Ma femme et moi, ne voulons juste voir personne jusqu’au 5 janvier. C’est compris ? »

 «Lui : C’est compris monsieur. »

 «Moi : Ok. »

Clic !

 Lucia : (Me regardant) Tu es sérieux Ciel ?

Moi : On ne peut plus sérieux. Quand on se saignait en Europe pour construire cette maison, on était à deux alors je ne comprends pas pourquoi on ne peut pas se balader les fesses à l’air dans une maison que nous avons nous-même construit.

Lucia : (Touchant mon front) Tu vas bien ? Tu n’as pas de fièvre ?

Moi : (La tirant pour la faire asseoir à califourchon sur moi, attrapant ses cheveux en un chignon et pressant son sexe contre ma virilité, voix rauque) Tu sens ça ?

Lucia : (Bougeant affirmativement la tête visiblement excitée) 

Moi : C’est ça ma fièvre. J’ai envie de toi Lucia, j’ai envie de te sentir, j’ai envie de te voir vibrer, de te voir prendre ton plaisir, de t’entendre jouir à plein poumon, de te lâcher complètement comme ce jour à l’hôtel. Je veux te voir le faire dans cette maison et ce à n’importe quelle heure et pour ça aucun membre de ma famille ne viendra m’emmerder dans notre maison jusqu’à nouvel ordre. (Tirant sur sa lèvre inférieure) D’accord ?

 Lucia : D’accord. Je me ferai sexy pour toi jusqu’à nouvel ordre dans toutes les pièces de cette maison.

Moi : (Souriant grandement) Tu m’envoies ravi. Maintenant si tu ne quittes pas de là immédiatement pour finir de préparer ton repas, je te baiserai sauvagement dans cette cuisine qui prendra feu avec nous à l’intérieur.

Elle s’est rapidement levée en riant pour quitter sur moi et je lui ai mis une claque sur les fesses.

Lucia : (Riant) Espèce de fou. 

Moi : (Reprenant à manger en souriant) Je sais et c’est pour ça que tu m’aimes. 

Lucia : Ouais c’est ça.

Elle a continué ses choses et moi j’ai mangé avant de débarrasser et rincer. Je suis monté à l’étage pour prendre mon téléphone et j’ai bloqué tous les numéros des membres importants de ma famille. Je suis revenu au salon et j’ai mis la musique en prenant une bouteille de vin et deux verres. Je nous ai servis à boire et lui ai donné son verre avant de la prendre dans mes bras pour une danse.

Lucia : (Riant) Mais est ce que le repas là va bien cuir aujourd’hui ?

Moi : Je m’en fiche. Je veux danser avec ma femme, j’ai ce droit non ?

 Lucia : Attends je diminue au moins les feux.

Elle l’a fait et je l’ai entraînée pour une danse assez posée avant d’enchaîner les rythmes. C’était aux grés des chansons qui passaient. Tantôt, douces tantôt flèxes, tantôt sensuelles, tantôt endiablées. Il y avait de tout. Et nous avons fait ça quasiment toute la journée en riant, buvant, grignotant, s’embrassant et baisant. Nous avons été dans notre bulle ainsi tous les soirs en rentrant du bureau jusqu’au 5 janvier où j’ai débloqué tout le monde avant d’appeler mon oncle et convoquer une réunion comme la dernière fois et cela s’est fait. Quand je suis arrivé ils m’ont dit que beaucoup de gens ont essayé de me joindre mais mes frères ont dit que je ne voulais pas parler et que je ne voulais pas non plus que l’on appelle maman. Je l’avais en effet commandé à Rail et Lens pour qu’ils le disent aux autres. Ceux qui sont passés à la maison, ont été renvoyés sans avoir vu ne serait-ce que la terrasse. 

Eux : Que se passe-t-il ?

Moi : (Après un long moment ) Le jeune homme de la forêt dit au sage qu’il ne pouvait pas quitter sa terre mais il lui demanda de trouver un champ fertile qui recevra sa semence….


L'AMOUR SUFFIT-IL? T...