Chapitre 7

Write by Sandy's Aby's

Chapitre 7


Medelva MOUKAGNI.


Je suis là dans cette voiture enfermé seule avec l'homme de mes rêves ! Mesurez un peu l'importance de la chose. 


Lui (sans se retourner) : Mède ! 


Moi (sortant de mes pensées ) : Euh ! Oui Steve. 


Lui( la voie douce) : Tu me pardonnes de ne t'avoir pas écrit de la semaine ?


 Je veux juste me rassurer que tu ne m'en veuilles pas. 


Mède ( la voie suave) : Bien sûr,  je ne t'en veux pas, tu n'as pas fait exprès.  


Steve ( toujours le dos tourné) : Merci !  


En passant J'ai apprécié passer l’après midi avec toi et les autres bien sûr.  


Moi (moi aussi) : moi aussi ! 


Lui (se tournant pour me regarder) : C'est bizarre je ne t'ai pas encore vu dans un ministère à l'église ! 


Moi (me redressant) : Oh !

 C’est vrai, mais, enfaite, j’ai l'embarras du choix ! 


Steve (me fixant) : Il suffit de savoir où tu te sens bien, prie pour la volonté parfaite de Dieu. 


Moi (surprise) : parfaite ? 


Steve (reprenant sa position initiale) : Oui !


 Il vaudra mieux que l'Eternel te dirige. 


Moi (rassurée) : Oh ok !

Pour pas me retrouver au mauvais endroit ! 


Pendant qu'on parle j’ai juste une envie, l'embrasser mais il est devant à la cabine et C’est quasiment impossible. 


Steve (subitement le regard droit devant lui) : Mède ? 


Moi (m'appuyant sur son siège) : Oui Steve 


Steve (sans se retourner) : Es-tu en couple ? 


Je m’apprête à répondre quand quelqu'un frappe à la vitre côté chauffeur. 


C'est Alban. 


Steve déverrouille les portières Alban s'y engouffre. 


Alban (s'adressant à Steve) : Ça te dirait d’accompagner Mède ? 


Je me suis fait mal au pied en revenant . 


Moi (inquiet) : C'est grave ? 


Alban (faisant une grimace de douleur) : Non non. 


Steve (ouvrant la portière et descendant du véhicule) : Ça ne me dérange pas. 


[S'adressant à Medelva] 


On y va Medelva.


Moi (cachant mon plaisir) : Ok, je descends .


bye Alban ! 


Alban (démarrant le véhicule) : bye et surtout doucement.


Steve (fermant la portière) : Il n'est que vingt heures moins, t’inquiète pas je l'accompagne et je reviens. 


Alban ( baissant la vitre) : je vais tourner, tu me trouves de l'autre côté.


Steve comme réponse, lève le pouce et on se met à marcher.


Je passe devant et lui il me laisse passer devant lui et on longe le couloir qui mène chez moi dans le silence puis quelques minutes après on est devant chez moi.


 Je me retourne, Steve me fixe dans les yeux et je baisse les miens, gênée.

 Je gesticule un peu avant de lui dire :


Moi (détournant le regard) : Bon je croix que je suis arrivé chez moi.  


Merci de m'avoir accompagné !


Steve (croisant ses bras) : Tu vies là en face ? 


Moi (moi tournant la tête pour voir l'endroit où il indiquait) : Oui oui ! 


Steve (Décroisant les bras, mettant les mains en poches) : Beh, on y va ? 


 Moi (surprise) : ?



Je ne veux pas qu'il y ait interaction avec mon père, il est capable de tout mais Steve à l'air de vraiment vouloir me laisser dans ma maison carrément. 


On est en face quand j'écoute la clé dans la serrure tourner et aussitôt la porte s'ouvre sur maman qui est surprise de me voir mais en plus accompagné.


 Je n'ai pas le temps de m'exprimer que Steve me précède. 


Si papa sort je suis cuite et surtout lui, il n'a pas idée.  


Steve (calmement) : Bonsoir maman, je suis venu déposer Medelva. 


On était manger entre frères. 


Maman sort complètement et referme derrière elle. Puis elle se met à parler à voix basse.


Maman (tres joyeuse)  : Bonsoir mon fils, merci beaucoup c'est très gentil , je sortais même pour l'appeler déjà avant que son père n'en fasse un problème d'état.  


Steve : Désolé maman ! 


Maman : pas de soucis mon fils 


[s'adressant à moi]


 donne ton sac je vais faire rentrer et accompagne l'autre mais pas loin et ne dure pas ! 


Steve voulait répliquer mais je l'interromps en me plaçant devant lui.


 Maman ouvre la porte doucement et rentre. 


Je me retourne alors et me met en face de lui.


Steve (me fixant désolé) : Tu n'es pas obligé de me raccompagner!


Moi (touchant brièvement son bras) : je sais, je te laisse devant.  


Steve se retourne et on repart vers le couloir qui mène au marché banane.


 Dès qu'on est tout près il s'arrête et me fait face. 


Steve (grattant la tête) : beh , à demain alors. 


Comme réponse je le serre dans mes bras, un geste auquel il ne s'attendait pas. 


Après quelques secondes il referme ses bras autour de moi.


 Je me retire de l'étreinte les yeux baissés.


 Il relève mon menton et me fixe.


 En ce moment, je sens un douce chaleur au niveau de mon bas ventre. 


Puis, il remet ses deux mains dans son jeans. 


Steve (calmement) : Il faut que j'y aille, j’ai trop fait attendre Alban. 


Moi (Un peu déçu) : Ok, désolée, bye ! 


Il me fait un baiser sur la joue, je ferme les yeux au contact de ses lèvres pour savourer l'instant. 


Puis, il se détache et s'en va sans regarder en arrière.


 Je soupir et me retourne, je me dirige vers la maison. 


Je trouve papa au salon devant la télévision. 


Il se retourne à cause du bruit de la porte d'entrée. 


Et moi qui voulait passé incognito.


Papa (la télécommande en main) : Mademoiselle Koumba ! 


Moi (avec la petite voix on dirait quelqu'un qu'on vient de surprendre en flagrant délit) : Papa ! 


Papa (déposant la télécommande sur la tablette) : Venez un peu par ici que je vous voye, je vous en prie. 


Je m'approche de lui, inquiète. Me plaçant prudemment à l'abri derrière le canapé.

On ne sait jamais. Quand papa commence à me vouvoyez c'est que je dois surement être sérieusement en danger.


Papa ( calmement) : Ou étiez vous, et avec qui ? 


Moi (les mains derrière le dos) : Manger avec des frères en Christ et Barbara. 


Papa (se redressant rn regardant sa montre qu'il ne portait presque jamais) : Frères en Christ ? 


Donc ça ne s’arrête pas l'église ? 


Ça va maintenant dans des restaurants et autres ?  


Je me mets à regarder le sol, la peur au ventre, il ajoute :


Papa (me pointant du doigt) : Tu as la chance que tu passes le bac cette année. 


 [Posant ses main de chaque côté de l'accoudoir] 


Tous ces comportements préhistoriques, tu les as certainement hérités de ton côté maternel. 


Ces vampireux là. 


[ criant à plein gosier] 


Christine !!! 


Maman (depuis la cuisine) : Chéri ! 


Papa (hurlant presque) : Ah quitte là ! C'est qui que tu appelles chéri ? 


Vient un peu ici. 


Off.

Eh, mon père ! 

Pour rien du tout il te crée un tsunami ! 

Maman à quoi à y voir là maintenant ?


Maman sort de la cuisine et nous retrouve au salon. 


Maman (réajustant son pagne) : Il y a quoi encore ? 


Papa (d'un ton farouche) : Tu me demandes ? 

Mais demande à ta fille où elle était avant de mal me parler bon sang. 

Je pari que c'est toi qui l'encourage dans les bêtises.


Il se lève éteint la télé et s’éloigna en nous laissant là pantois. 


Maman (s'adressant à moi avec le sourire après le départ de papa) : Mède, vient un peu me raconter, C’est qui le beau jeune homme respectueux qui t'a accompagné ? 


Moi (un peu embeté) : Mamannnn !  


Maman : Ah ! 

Mais je vais dire quoi ?  


C'est le seule homme qui a eu le courage de t’accompagner jusqu' ici. 


Et il est très poli hein ! 


Moi (la fixant hallucinée) : Mamannnn ! 


C'est juste un ami on verra par la suite. 


[Changeant de sujet] 


Attend maman ton mari à quoi ? 


Maman (s’asseyant sur le fauteuil) : Ah ma fille ! 


Ta grand-mère paternelle a donné une parcelle de terrain à Brigitte, ta tante et elle l'a vendu où à voulu vendre à sa belle-famille donc là, il cherche un bouc émissaire.  


Moi (croisant les bras) : Je me doutais bien qu'il avait un soucis .


Mais il n'a qu'à zapper c'est tout. 


Maman (secouant la tête lentement) : Humm. Tu connais mal ton père!

 Il dit que demain très tôt il ira la fusiller; que : ,<< ce n’est pas son faux vampire de débutante qui va <<m'arrêter.>>


J'éclate de rire, maman aussi. 


Moi (prenant place en face d'elle) : Mais maman, tu n'as pas peur qu’il mette ses projets à exécution ? 


Maman (d'un geste vague) : Laisse Mède, je sais comment le lui faire oublier.  


Moi (faisant mine de me lever) : Ok maman !


 Il est vingt et une heure moins, je vais me préparer pour demain. 


Maman (la moue boudeuse) : Humm !


Là, c'est juste pour ne pas me raconter, alors que je t'ai couverte ici avec ton père. 


Moi (reprenant place résignée) : Bon ok.

 je te raconte vite. 


 

Cependant chez la famille ASSEKO. 


 

 Steve ASSEKO.


 

J'arrive à peine à la maison Alban m'a laissé devant le portail. 


 En entrant dans le salon, j’ai trouvé tout le monde à table.


 J'ai salué et je suis venu prendre place.

 Le repas du soir est un rituel chez nous. 


Moi : Bonsoir. 


Tous : Bonsoir ! 


Papa (fourchette et couteau en main) : Fiston ça s'est bien passé ? 


Steve (joignant mes mains) : Oui papa. Merci. 


Bonie (portant sa fourchette à la bouche) : Yaya, tu m'as rapporté quelque chose ?


Jonathan : Humm !

 Toi tu nous apportes souvent quoi quand tu sors ? 


Bonie (soupirant) : Eh yaya tu es obligé de toujours intervenir !! 


Moi ( les interrompant) : Je t'ai déjà dit que tu n'es plus bébé. 


Maman (s'adressant à moi rermaquant que je n'avais touché à rien) : Ah Steve, tu ne manges pas ? 


Moi (tirant le plateau de fruits) : je vais juste prendre les fruits, maman, je n'ai pas très faim. 


Quelques minutes après, papa s’excuse et se lève de table suivi de maman. 


Papa (après avoir essuyé sa bouche avec une pochette) : Les enfants à demain, bonne nuit.


 

Bonie (posant sa fourchette) : Mbeba alu (Bonne nuit) papa et maman.


Papa et maman :Akiba. 


Je prend les fruits que je met dans une assiette et je me lève pour la chambre. Jonathan se lève de table et aide Bonie à débarrasser. 


Bonie (me fixant) : Yaya ! Je dois te parler ne ferme pas déjà ta porte. 


Moi (depuis le couloir)  : Ok. 


J'entre dans ma chambre je me déshabille, je rentre sous la douche pour prendre un bain. 


Quelques minutes plus tard quelqu'un cogne à ma porte. 


J’ouvre, C’est Bonie, elle rentre dans ma chambre et referme la porte. 


Je récupère mon téléphone dans la poche de mon pantalon et je m'allonge sur le lit. 


Bonie prend place à côté de moi pendant que je manipule mon téléphone. 


Moi (pianotant) : Je t'écoute Arisa. 


Bonie (baissant les yeux) : Je suis désolé pour ce qui s'est passé avec Medelva. 


Moi ( Levant un sourcil en arrêtant mon geste) : Je ne comprends pas ? 


Bonie (se triturant les doigts) : Je te parle de ce qui s'est passé ce matin à l'église, je n'ai pas voulu être impoli, j’ai juste voulu parler avec elle mais je me suis mal prise.


Moi (fonçant les sourcils en me redressant) :Tu me parles de quoi ? 


Bonie (surprise) : Quoi, elle ne t'a rien dit ? 


Moi (m'asseyant) : me dire quoi ?


[Perdant patience] 


Parle-moi Arisa ! 


Bonie (se frottant les mains, la tête baissé) : J'ai parlé à Medelva et je lui ai dit de plus s'approcher de toi ! 


Moi (soupirant) : Arisaaa !


 pourquoi ? 


Elle (me fixant) : Je ne veux pas que tu souffres,


[baissant la tête à nouveau] 


 Je sais que tu as des sentiments pour elle, il n'y a qu'à te voir quand elle est proche de toi. 


Ton regard, tes gestes, tu souris trop ... 


Je passe ma main sur mon visage et je me mets à rire. 


Moi (dépassé) : Kia kia kia !


Bonie, tu as besoin d'être en couple pour que John et moi, on puisse respirer.


Elle baisse la tête en crispant sa bouche comme si elle se retenait de pleurer. 


Je me rapproche d'elle et lui fait une bise sur le front.


Moi ( avec douceur) : allez, va dormir demain c'est l'école. 


Elle se lève et se dirige vers la porte. 


Moi (malicieux) : Et surtout ne recommence plus, sinon je vais la draguer juste pour que tu te calmes. 


Elle (boudant) : Yayaaaa ! 


Moi (souriant) : Essaie, pousse-moi à bout et tu verras. 


Elle sort complètement de la chambre en boudant.  


Je reçois un bip c'est un whats app ; c'est Mède. J'ouvre pour lire. 


<< Non je suis seule, pas de futur ou copain >> 


Ah ok elle répond à  la  question  que je lui ai posé. 


Je décide de lancer l'appel, elle décroche à la troisième sonnerie. 


Medelva (La voix ensomeillée) : Allô.  


Moi (La voie douce) : Medelva !

 Ça va ? 


Elle : Oui oui, tu es bien rentré j'espère ? 


Moi (posant la main sur mon torse) : Oui bien !  


Medelva (sur le coup) : Je me suis senti bien dans tes bras tu sais ? 


Moi (gêné) : Je vois ! 


Medelva (calme) : Tu vois ?


C'est tout ce que tu as à dire ? 


Moi  (coupant court) : Mède...[soupir]...bonne nuit. 


Je ne lui laisse pas le temps de répliquer je raccroche et je dépose au chevet du lit, je m'allonge et je réfléchi.  

Je ne veux pas qu'elle se fasse des idées.


Je sors à peine d'une relation qui n'a pas marché.


Pourquoi ai-je raccroché Ce n’est pas de sa faute si j’ai peur de retomber amoureux. 


Je croix que j'ai chié, qu'est-ce qui m'a pris ? Je relance l'appel ça sonne mais elle ne décroche pas. 


                                                         ***


Chez Medelva 


Il est vingt-deux heure et je viens d'être raccroché au nez par Steve!!! 


Non, je n'en reviens pas et il ose me rappeler après sa sale besogne. 


Je mets mon téléphone en mode silence et je me rendors le cœur gros comme un ballon de foot. 


                                                           ***


Le lendemain au Lycee Paul Emane Eyeghe.


Après les cours 


Barbara et moi on se retrouve au portail on se fait des bisous et je lui fais une update (mise à jour) elle n'en croit pas ses oreilles. 


Barbara (les yeux écarquillé) : Nooon !!! 


Moi (les yeux baissés, justant mon sac) : Barbie je t'assure je suis au summum de la colère. 


Je n'ai plus envie de le voir ni de l'entendre IL m'ENERVE c'est officiel !! 


Barbara (marquant une pause) : calme toi Mède, il a peut-être une bonne raison de... 


Moi (me retournant brusquement) : Me calmer Barbie ? 

Après ce qu'il a fait ? 


Nan !! je ne supporte pas qu'on me raccroche au nez, Mais franchement, pour qui il se prend ?


Barbara (marchant à nouveau) : il t'a appelé quand même pour s'excuser ? 


Moi (faisant de même) : Que, qui va lui redonner cette opportunité ? 


Barbara (l'indiquant une place assise) : vient on prend place dabord, tu veux !! 


Moi ( le regard brouillé par les larmes) : Barbie j'ai juste envie de pleurer ! 


Barbara (faisant passer ma main sur son dos) : Non Mède, je sais qu'il a des sentiments pour toi, sauf qu'il ne veut pas les avouer il a dû subir avec ses relations précédentes. 


Moi (la fixant la voix chargée d'émotions) : Et, j'ai quoi à y voir avec ? 

Je n'ai pas envie de payer pour quelque chose où je ne connais ni les tenants ni les aboutissants. 

Dailleurs on ferai mieux de rentrer. 


On se lève pour prendre le taxi .


Mon téléphone se met à sonner,  je le sors de mon sac je regarde sur l’écran , c’est Steve. Tchiup 


Barbara m'arrache presque le téléphone et décroche .


Elle (me fixant) : Hello Steve ! C’est Barbie. 


Steve (gêné) : Euh Barbara ? 


Elle (la main sur mon épaule) : Oui C’est Moi.


Je te passe Mède. 


Moi lui faisant signe de pas me passer le téléphone.


 Mais avec Barbie C’est peine perdu, elle met le haut parleur et rapproche le téléphone de ma bouche. 


Steve : Allô ? 


Silence !! 


Steve (réitère ) : Allô Mède, je sais que tu m’écoutes.

Pardonne moi je t'en prie, je ne sais vraiment pas ce qui m'a poussé à raccrocher. 


Je sais...c'est pas poli.


C'est vraiment difficile pour moi s'il te plait ne me prive pas de toi. 


Je vais te dire ce que j’ai ressenti quand tu m'as serré dans tes bras et que J’ai fait de même.


 J’ai ressenti une paix et ça m’a vraiment fait du bien et m'a rappelé ce que J’ai vécu avec mon ex, mais malheureusement j’ai été déçu. 


Ça m'a procuré un bien être. 


Je suis désolé Medelva. 


Moi (réprimant un frisson, compatissante) : Je te pardonne Steve, Je suis désolé pour toi ! 


Je... te pardonne. 


Steve (soupirant) : Merci Mède, tu es la meilleure, si tu étais devant moi je t'aurai fait autant de bisous au point où tu en auras assez . 


Moi (retrouvant le sourire) : Ah ah ah Steve ! Tu es graves. 


Steve (un peu plus sérieux) : Merci Mède, je me sentais déjà très mal . 


Moi : Tu l'as un peu mérité. 


Steve : Lol ,en tout cas merci, tu m’enlèves un poids et j'en profite aussi pour m'excuser par rapport à Arisa pour ce qui s'est passé dimanche. 


Là je veux prendre le téléphone de la main de Barbara mais elle résiste lool. 


Moi (souriant à cause du geste de Barbie) : Oh laisse Bonie, elle est encore gamine, je la comprend. 


Steve : Ok merci de comprendre. 


Barbara Merci pour tes efforts. 


Barbara (tout sourire) : De rien Steve .


Steve (sur un ton solennel) : Mesdemoiselles je vous souhaite une bonne fin de journée bisous. 


Barbie et Moi : bisous ! 


Elle raccroche enfin le phone et on se met à rire. Le chauffeur qui a suivi toute la scène prend la parole.


Le taximan (regardant le retroviseur) : Ah ça ! Les femmes sont fortes ! 


Moi (le dévisageant) : C’est maintenant que vous le réalisez ?


Le taximan : vous me surprenez toujours. 


Moi (marmonnant) : en tout cas. 


Du côté de Batterie quatre  


 

 Steve ASSEKO.


On arrive à peine à la maison chacun se dirige vers sa chambre pour se changer. 


Je rentre dans ma chambre je dépose mon sac et je me mets à déboutonner ma chemise. 


Mon téléphone sonne, c’est un numéro masqué. Je déccroche avec hésitation. 


Steve : Allô. 


Silence ! 


Steve : Allô ? 


Je raccroche. 


Je suis sceptique je sais qu'il ya quelqu'un au bout du fil mais la personne refuse de parler. 


C’est bizarre ! 


Quelques heure plus tôt. 


Chez Roanne  


Je me prénomme Roanne OBONE ASSOUMOU, je suis l'enfant de la grande sœur de maman Adeline Obone ASSEKO. Je suis un peut élancé un metre soixante dix, de teint clair.


Je loue une chambre aux trois quartier pas très  loin de chez mes Cousins je suis présentement en troisième année à l'UOB pour y arriver j'ai dû faire 2 ans par niveau bref. 


Je suis dans un restaurant et j'attends une amie quand une jeune demoiselle vient prendre place en face de moi, lunette de soleil en place, tout de suite je panique, mais dès qu'elle  


Enleve ses lunettes je la reconnais immédiatement. 


Moi ( écarquillant les yeux comme si j'avais vu un fantôme) : Comment oses tu te présenté devant moi ??


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